J'aimerais avoir votre avis sur cette affaire. J'avais gardé une copie d'une portion de l'histoire dans mon ordi, mais le site original n'existe plus. Je ne sais pas s'il s'agit d'un canular ou non. Les sources de l'histoire sont peu nombreuses, et les faits énoncés ne semblent pas avoir fait l'objet d'un examen scrupuleux. Voici les infos que j'ai:
Le début
Tout commence le 19 mai 1819, dans une petite bourgade de Provence, Venelles. Vers onze heures du matin, le postier fait une macabre découverte: à la lisière de la forêt qui jouxte le village gisent les corps mutilés de trois hommes. Leur gorge a été arrachée et des signes cabalistiques ont été gravés sur leur front. Il prévient alors sur-le-champ le maire, le curé et trois autres habitants du village, qui découvrent avec horreur que les restes sanguinolents qu'ils contemplent sont ceux de trois habitants de Venelles, partis le matin même sur les coups de six heures chasser dans la forêt. Les corps sont amenés à la mairie. Les habitants du village, choqués, portent alors immédiatement la responsabilité de ce meurtre atroce sur la personne de Charles Musset, un marginal de quarante-cinq ans vivant dans une vieille maison en dehors du village.
Lors de son arrivée à Venelles trois ans plus tôt, soit en 1816, Musset avait tout de suite été mal vu par les villageois. Restant toujours chez lui, les volets fermés, il sortait seulement pour faire ses courses une fois par semaine. Des bruits étranges venant de sa maison étaient souvent entendus la nuit, et son air inquiétant effrayait les gens qui ne lui adressaient jamais la parole. Certains le disait maléfique et son odeur fétide montrait que la propreté n'était pas sa priorité.
L'arrestation de Musset
Ce jour de mai 1819, soupçonnant l'homme des meurtres, les villageois défoncent la porte de sa demeure et découvrent Charles Musset prostré dans un coin, en état de démence, tenant un couteau ensanglanté dans une main et une poule égorgée dans l'autre. L'homme ne cesse de marmonner ces mots : « je n'ai rien pu faire, le bannissement n'a pas fonctionné, elle s'est échappée! ». Un énorme pentacle surchargé de symboles est tracé à la craie sur le sol et des signes païens (les mêmes retrouvés sur le front des victimes), sont dessinés sur tous les murs de la maison. La puanteur règne dans la pièce, des excréments humains et des restes d'animaux en putréfaction jonchant le sol. De plus, un fort relent de soufre émane des murs. Le curé trouve sur la table le célèbre grimoire de Magie Noire "Le Dragon Noir", ainsi qu'un cahier très épais.
Charles Musset est arrêté sur le champ et les villageois, convaincus de sa culpabilité, décident de faire justice eux-mêmes en le pendant le soir même et en enterrant son corps dans la forêt. L'affaire est étouffée et les autorités d'Aix-en-provence ne seront jamais mises au courant.
Dans le cahier retrouvé par le curé, il est question de magie noire, de sorcellerie et d'incantations. Il y est également précisé que Charles Musset retrouva, après des années de recherches et grâce à un texte très ancien, les restes d'une créature antédiluvienne enterrés dans un endroit secret à Venelles depuis près de 2000 ans. Il envisagea, grâce au grimoire "Le Dragon Noir", de l'invoquer et de la ressusciter! Le curé brûla le grimoire et le cahier, et l'affaire fut close.
La créature
Quelques jours plus tard, soit le 20 juillet 1819, autre découverte morbide à laquelle s'ajoute le monstrueux: on retrouve deux jeunes enfants en bas âge horriblement mutilés. Les mêmes signes cabalistiques sont gravés sur leur front, à même la peau. Quant à leur père, il a mystérieusement disparu. On organise alors une battue pour tenter de le retrouver. Pendant quatre jours, les hommes du village fouillent méticuleusement chaque recoin, chaque trou, chaque ruisseau, mais en vain. Le père des enfants n'a jamais été retrouvé.
Par contre, plusieurs personnes ont été témoins de choses pour le moins étranges, comme cet homme qui confie avoir aperçu une créature haute comme deux hommes, capable de se tenir sur ses pattes arrières, passant très vite entre les arbres. D'autres prétendent avoir entendu un grognement sinistre.
Venelles va alors tomber dans une sorte de psychose qui durera plus de six mois : Le Maire demande à la population de ne plus sortir après le coucher du soleil. Les gens ne sortent quasiment plus de chez eux, d'autres quittent le village et les hommes vont chasser par groupe de cinq au minimum. Puis petit à petit, la vie va reprendre et cette histoire va être oubliée par les générations suivantes.
Les décennies suivantes
La paix va durer plus de 90 ans, jusqu'à ce jour terrible du 11 juin 1909... Ce jour-là, un tremblement de terre frappe le village. L'église de Venelles-le-haut s'effondre ainsi que plusieurs autres habitations. Encore sous le choc, Mme Emeline Frankin court chez les Mourneau pour vérifier que les enfants n'ont rien. À peine arrivée, elle découvre que le couple Mourneau et leurs trois filles ont été littéralement taillées en pièces dans leur salle à manger. Les corps sont entièrement démembrés et des signes cabalistiques sont peints sur le mur avec leur sang.
Quelques mois plus tard, le petit Lucien Damel, âgé de 12 ans, rentre à la maison en criant. Complètement traumatisé et les pupilles dilatées, il prétend avoir vu un monstre dans la forêt. Il se réfugie ensuite dans un silence total. Sa mère lui demande de dessiner sur une feuille ce qu'il avait vu dans les bois. Le dessin montre une créature cauchemardesque, les bras tendus. Le maire et les gendarmes, avertis par la mère de Lucien, ne prennent pas cette histoire au sérieux, et prétendent que l'enfant a dû voir un loup. Lucien Damel ne dira plus un mot jusqu'à sa mort, se suicidant à 19 ans en se jetant sous un train.
En janvier 1915, M. Martin Sola revient de la guerre avec une blessure à la jambe et, traumatisé par trop d'horreurs sur les champs de batailles, il n'a plus toute sa tête. Deux mois plus tard, il est découvert dans un bois derrière le village, à moitié fou. Il raconte qu'une créature, « l'ombre de la forêt aux yeux de feu », est venue lui parler, et lui a demandé d'avertir les villageois que le souffle de la mort est sur eux pour toujours et que les bois seront leurs tombes.
M. Sola est rapidement jugé hystérique et interné à l'hôpital psychiatrique Montperrin à Aix-en-Provence. Un mois plus tard, il se suicide en sautant du toit de l'hôpital. Dans sa chambre, on découvre un cahier sur lequel sont dessinés les signes cabalistiques. Il a aussi laissé un mot dans lequel il demande à sa famille de ne pas être enterré à Venelles
Durant l'été 1915, la classe de CE2 de l'école part pique-niquer dans la forêt afin de fêter la fin de l'année scolaire. Vers 17 heures, la maîtresse, Mme Buttaire, revient au village avec la classe, hurlant que cinq enfants ont disparu. Les recherches durent une semaine. Seule une peluche maculée de sang est retrouvée.
Mais deux semaines plus tard, soit le 27 Juillet vers vingt-trois heures, la petite Fernande est aperçue, déambulant près de l'ancienne église, les habits en lambeaux et couverte de boue. Profondément traumatisée, elle raconte une histoire abracadabrante au sujet d'une grotte et de longs tunnels souterrains où ses amies ont été emportées avant d'être dévorées. Quand un gendarme lui demande de décrire celui ou celle qui les a enlevées, Fernande se recroqueville et refuse de parler. Tout ce qu'elle en dit par la suite, c'est qu'elle courait dans le noir pendant longtemps tout en entendant les cris de ses copines qui hurlaient.
Le 3 Mai 1960, avant le lever du soleil, M. Roland Préjean, 38 ans, quitte son domicile pour aller dans la forêt près de Venelles avec son fils Martin âgé de 2 ans, afin de photographier des écureuils que son fils aime tant. Dans la journée, leurs corps mutilés sont retrouvés dans un trou. Le petit Martin a été dévoré, il n'en reste quasiment plus que des os rongés. Son père, quant à lui, a la tête fendue en deux. L'autopsie révèle un coup donné à la vertical de haut en bas avec l'aide d'une lame ou d'un objet tranchant. Les fameux signes cabalistiques sont gravés sur son torse. Sur les lieux du massacre, on retrouve, posé sur un pied, un appareil photo apparemment cassé pendant l'attaque. Le développement de la pellicule laisse perplexe les autorités qui découvrent trois photos floues montrant une étrange créature. La police décèle aussi des traces anormales autours des cadavres. La thèse d'un animal sauvage fut vite écartée à cause des signes gravés sur la peau.
Le 27 Juin 1970, le corps de Valérie Clovel, âgée de 21 ans, est retrouvé sur le bord de la voie ferrée. Ses parents avaient signalé sa disparition trois jours auparavant, mais étant donné sa majorité, la police ne pouvait rien faire. Le cadavre est retrouvé éventré et de multiples plaies recouvrent son corps. Comme toujours, les mêmes signes sont gravés sur le front. La nuit d'avant, Mme Perez, 81 ans, habitant dans une maison non loin du drame, affirme avoir entendu vers 3 heures du matin un cri inhumain qui l'a réveillée en sursaut.
Vérité ou canular?
Cette histoire nous vient d'une seule source, Régis d'Angelo, qui aurait eu accès au cahier de notes de l'arrière-grand-père d'un de ses amis, l'aïeul ayant habité Venelles. Il a réuni les informations sur un site internet qui est maintenant fermé. Plusieurs internautes ont publié des extraits du site original (entre autre sur http://forum.mystere-tv.com/bete-gevaudan-t313-10.html ), mais il ne semble pas y avoir une réplique complète du site qui soit disponible aujourd'hui.
Les sceptiques crient au canular, mais leur analyse du cas semble incomplète. Bien que d'Angelo ait donné beaucoup de détails, entre autres les noms complets et les dates des événements, ce qui permettrait une analyse poussée du cas, le débunking n'a que gratté un peu la surface, sans plus. Si un debunking complet existe quelque part, ce serait intéressant que vous nous partagiez le lien.
Certains habitants de Venelles commentent sur internet qu'ils n'ont pas entendu parler de l'affaire, alors que d'autres confirment certains événements, comme la disparition d'enfants lors d'un pique-nique. Quelqu'un a même écrit qu'une autre victime fut trouvée en 2005, mais sans donner de précisions.
Alors, qu'en est-il? Une bête hante-t-elle les bois de Venelles depuis deux siècles?
Le début
Tout commence le 19 mai 1819, dans une petite bourgade de Provence, Venelles. Vers onze heures du matin, le postier fait une macabre découverte: à la lisière de la forêt qui jouxte le village gisent les corps mutilés de trois hommes. Leur gorge a été arrachée et des signes cabalistiques ont été gravés sur leur front. Il prévient alors sur-le-champ le maire, le curé et trois autres habitants du village, qui découvrent avec horreur que les restes sanguinolents qu'ils contemplent sont ceux de trois habitants de Venelles, partis le matin même sur les coups de six heures chasser dans la forêt. Les corps sont amenés à la mairie. Les habitants du village, choqués, portent alors immédiatement la responsabilité de ce meurtre atroce sur la personne de Charles Musset, un marginal de quarante-cinq ans vivant dans une vieille maison en dehors du village.
Lors de son arrivée à Venelles trois ans plus tôt, soit en 1816, Musset avait tout de suite été mal vu par les villageois. Restant toujours chez lui, les volets fermés, il sortait seulement pour faire ses courses une fois par semaine. Des bruits étranges venant de sa maison étaient souvent entendus la nuit, et son air inquiétant effrayait les gens qui ne lui adressaient jamais la parole. Certains le disait maléfique et son odeur fétide montrait que la propreté n'était pas sa priorité.
L'arrestation de Musset
Ce jour de mai 1819, soupçonnant l'homme des meurtres, les villageois défoncent la porte de sa demeure et découvrent Charles Musset prostré dans un coin, en état de démence, tenant un couteau ensanglanté dans une main et une poule égorgée dans l'autre. L'homme ne cesse de marmonner ces mots : « je n'ai rien pu faire, le bannissement n'a pas fonctionné, elle s'est échappée! ». Un énorme pentacle surchargé de symboles est tracé à la craie sur le sol et des signes païens (les mêmes retrouvés sur le front des victimes), sont dessinés sur tous les murs de la maison. La puanteur règne dans la pièce, des excréments humains et des restes d'animaux en putréfaction jonchant le sol. De plus, un fort relent de soufre émane des murs. Le curé trouve sur la table le célèbre grimoire de Magie Noire "Le Dragon Noir", ainsi qu'un cahier très épais.
Charles Musset est arrêté sur le champ et les villageois, convaincus de sa culpabilité, décident de faire justice eux-mêmes en le pendant le soir même et en enterrant son corps dans la forêt. L'affaire est étouffée et les autorités d'Aix-en-provence ne seront jamais mises au courant.
Dans le cahier retrouvé par le curé, il est question de magie noire, de sorcellerie et d'incantations. Il y est également précisé que Charles Musset retrouva, après des années de recherches et grâce à un texte très ancien, les restes d'une créature antédiluvienne enterrés dans un endroit secret à Venelles depuis près de 2000 ans. Il envisagea, grâce au grimoire "Le Dragon Noir", de l'invoquer et de la ressusciter! Le curé brûla le grimoire et le cahier, et l'affaire fut close.
La créature
Quelques jours plus tard, soit le 20 juillet 1819, autre découverte morbide à laquelle s'ajoute le monstrueux: on retrouve deux jeunes enfants en bas âge horriblement mutilés. Les mêmes signes cabalistiques sont gravés sur leur front, à même la peau. Quant à leur père, il a mystérieusement disparu. On organise alors une battue pour tenter de le retrouver. Pendant quatre jours, les hommes du village fouillent méticuleusement chaque recoin, chaque trou, chaque ruisseau, mais en vain. Le père des enfants n'a jamais été retrouvé.
Par contre, plusieurs personnes ont été témoins de choses pour le moins étranges, comme cet homme qui confie avoir aperçu une créature haute comme deux hommes, capable de se tenir sur ses pattes arrières, passant très vite entre les arbres. D'autres prétendent avoir entendu un grognement sinistre.
Venelles va alors tomber dans une sorte de psychose qui durera plus de six mois : Le Maire demande à la population de ne plus sortir après le coucher du soleil. Les gens ne sortent quasiment plus de chez eux, d'autres quittent le village et les hommes vont chasser par groupe de cinq au minimum. Puis petit à petit, la vie va reprendre et cette histoire va être oubliée par les générations suivantes.
Les décennies suivantes
La paix va durer plus de 90 ans, jusqu'à ce jour terrible du 11 juin 1909... Ce jour-là, un tremblement de terre frappe le village. L'église de Venelles-le-haut s'effondre ainsi que plusieurs autres habitations. Encore sous le choc, Mme Emeline Frankin court chez les Mourneau pour vérifier que les enfants n'ont rien. À peine arrivée, elle découvre que le couple Mourneau et leurs trois filles ont été littéralement taillées en pièces dans leur salle à manger. Les corps sont entièrement démembrés et des signes cabalistiques sont peints sur le mur avec leur sang.
Quelques mois plus tard, le petit Lucien Damel, âgé de 12 ans, rentre à la maison en criant. Complètement traumatisé et les pupilles dilatées, il prétend avoir vu un monstre dans la forêt. Il se réfugie ensuite dans un silence total. Sa mère lui demande de dessiner sur une feuille ce qu'il avait vu dans les bois. Le dessin montre une créature cauchemardesque, les bras tendus. Le maire et les gendarmes, avertis par la mère de Lucien, ne prennent pas cette histoire au sérieux, et prétendent que l'enfant a dû voir un loup. Lucien Damel ne dira plus un mot jusqu'à sa mort, se suicidant à 19 ans en se jetant sous un train.
En janvier 1915, M. Martin Sola revient de la guerre avec une blessure à la jambe et, traumatisé par trop d'horreurs sur les champs de batailles, il n'a plus toute sa tête. Deux mois plus tard, il est découvert dans un bois derrière le village, à moitié fou. Il raconte qu'une créature, « l'ombre de la forêt aux yeux de feu », est venue lui parler, et lui a demandé d'avertir les villageois que le souffle de la mort est sur eux pour toujours et que les bois seront leurs tombes.
M. Sola est rapidement jugé hystérique et interné à l'hôpital psychiatrique Montperrin à Aix-en-Provence. Un mois plus tard, il se suicide en sautant du toit de l'hôpital. Dans sa chambre, on découvre un cahier sur lequel sont dessinés les signes cabalistiques. Il a aussi laissé un mot dans lequel il demande à sa famille de ne pas être enterré à Venelles
Durant l'été 1915, la classe de CE2 de l'école part pique-niquer dans la forêt afin de fêter la fin de l'année scolaire. Vers 17 heures, la maîtresse, Mme Buttaire, revient au village avec la classe, hurlant que cinq enfants ont disparu. Les recherches durent une semaine. Seule une peluche maculée de sang est retrouvée.
Mais deux semaines plus tard, soit le 27 Juillet vers vingt-trois heures, la petite Fernande est aperçue, déambulant près de l'ancienne église, les habits en lambeaux et couverte de boue. Profondément traumatisée, elle raconte une histoire abracadabrante au sujet d'une grotte et de longs tunnels souterrains où ses amies ont été emportées avant d'être dévorées. Quand un gendarme lui demande de décrire celui ou celle qui les a enlevées, Fernande se recroqueville et refuse de parler. Tout ce qu'elle en dit par la suite, c'est qu'elle courait dans le noir pendant longtemps tout en entendant les cris de ses copines qui hurlaient.
Le 3 Mai 1960, avant le lever du soleil, M. Roland Préjean, 38 ans, quitte son domicile pour aller dans la forêt près de Venelles avec son fils Martin âgé de 2 ans, afin de photographier des écureuils que son fils aime tant. Dans la journée, leurs corps mutilés sont retrouvés dans un trou. Le petit Martin a été dévoré, il n'en reste quasiment plus que des os rongés. Son père, quant à lui, a la tête fendue en deux. L'autopsie révèle un coup donné à la vertical de haut en bas avec l'aide d'une lame ou d'un objet tranchant. Les fameux signes cabalistiques sont gravés sur son torse. Sur les lieux du massacre, on retrouve, posé sur un pied, un appareil photo apparemment cassé pendant l'attaque. Le développement de la pellicule laisse perplexe les autorités qui découvrent trois photos floues montrant une étrange créature. La police décèle aussi des traces anormales autours des cadavres. La thèse d'un animal sauvage fut vite écartée à cause des signes gravés sur la peau.
Le 27 Juin 1970, le corps de Valérie Clovel, âgée de 21 ans, est retrouvé sur le bord de la voie ferrée. Ses parents avaient signalé sa disparition trois jours auparavant, mais étant donné sa majorité, la police ne pouvait rien faire. Le cadavre est retrouvé éventré et de multiples plaies recouvrent son corps. Comme toujours, les mêmes signes sont gravés sur le front. La nuit d'avant, Mme Perez, 81 ans, habitant dans une maison non loin du drame, affirme avoir entendu vers 3 heures du matin un cri inhumain qui l'a réveillée en sursaut.
Vérité ou canular?
Cette histoire nous vient d'une seule source, Régis d'Angelo, qui aurait eu accès au cahier de notes de l'arrière-grand-père d'un de ses amis, l'aïeul ayant habité Venelles. Il a réuni les informations sur un site internet qui est maintenant fermé. Plusieurs internautes ont publié des extraits du site original (entre autre sur http://forum.mystere-tv.com/bete-gevaudan-t313-10.html ), mais il ne semble pas y avoir une réplique complète du site qui soit disponible aujourd'hui.
Les sceptiques crient au canular, mais leur analyse du cas semble incomplète. Bien que d'Angelo ait donné beaucoup de détails, entre autres les noms complets et les dates des événements, ce qui permettrait une analyse poussée du cas, le débunking n'a que gratté un peu la surface, sans plus. Si un debunking complet existe quelque part, ce serait intéressant que vous nous partagiez le lien.
Certains habitants de Venelles commentent sur internet qu'ils n'ont pas entendu parler de l'affaire, alors que d'autres confirment certains événements, comme la disparition d'enfants lors d'un pique-nique. Quelqu'un a même écrit qu'une autre victime fut trouvée en 2005, mais sans donner de précisions.
Alors, qu'en est-il? Une bête hante-t-elle les bois de Venelles depuis deux siècles?
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