source : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/09/23/maestria-une-partition-de-musique-carte-du-tresor-nazi/#xtor=RSS-32280322Leon Giesen, un réalisateur et musicien néerlandais de 51 ans, est convaincu que le trésor nazi dort sous les rues de Mittenwald, une ville bavaroise proche de la frontière avec l'Autriche. Il se base sur une partition annotée de la Marche impromptue, composée par Gottfried Federlein, et sa démarche suscite en tout cas la curiosité et l'intérêt des autorités, qui se sont laissé convaincre et ont autorisé les fouilles, dans une "volonté d'éclaircissement", comme le rapporte le site du Spiegel International.
L'hypothèse d'un trésor nazi caché circule et fascine depuis la chute du IIIe Reich, et, en tant qu'ancien bastion du nazisme la Bavière est l'objet de tous les fantasmes en la matière. Car, si l'argent de la Wehrmacht et la Reichsbank a bien été saisi par les Alliés, une partie des réserves de lingots et de liquidités aurait manqué à l'appel. Et, selon la légende, dans les derniers jours de la seconde guerre mondiale, le secrétaire particulier d'Adolf Hitler, Martin Bormann, aurait gribouillé des lettres et des dessins sur la partition pour coder les coordonnées géographiques de la cache du trésor nazi.
Un aumônier militaire aurait été chargé de livrer cette partition à Munich, mais celle-ci ne serait jamais arrivée à destination... Des décennies plus tard elle réapparaît entre les mains d'un journaliste néerlandais, Karl Hammer Kaatee. Celui-ci, après avoir passé des années à tenter de déchiffrer le document, a décidé de rendre la partition publique en décembre 2012. Bien qu'il n'y ait aucune preuve que le document soit authentique, il a passionné les amateurs d'énigmes historiques et a déclenché un déluge de courriers et de suggestions.
Selon Giesen, les mots ajoutés à la partition "Wo Matthias die Saiten Streichelt" ("où Mathieu pince des cordes") est une référence à Mittenwald et à son luthier Matthias Klotz, qui y a initié la tradition de fabrication de violons. Et, selon lui, la partition reproduirait schématiquement le tracé du chemin de fer dans la ville dans les années 1940. Ainsi, l'expression écrite en runes "Enden der Tanz" ("finir la danse"), à la fin de la composition, indiquerait que le trésor se trouverait à l'emplacement du terminus du train à l'époque.
Ces dernières semaines, le sol a déjà été sondé à trois endroits à Mittenwald. Et ces tentatives ont apporté leur lot de surprises, avec la découverte de grandes quantités de métaux non identifiés, qui pourraient, selon l'historien local, Jürgen Proske, être celles d'"un coffre de trésor... comme d'un simple abri en métal". Giesen recherche désormais une entreprise spécialisée dans les fouilles et utilisant des explosifs pour poursuivre ses explorations. Il envisage également de faire un documentaire sur son projet.
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Une partition de musique carte du trésor nazi ?
Apollyôn- Modérateur
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Une partition de musique carte du trésor nazi ?
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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Une mission pour Indiana Jones ou Benjamin Gates!!!
Apollyôn- Modérateur
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Dans le même genre :
source : http://www.slate.fr/monde/78734/chambre-ambre-chasse-tresorDepuis soixante-dix ans, la Chambre d'ambre fait rêver les chasseurs de trésors du monde entier. Volé par les nazis en 1941, ce sublime ensemble de panneaux d'ambre sculptée qui ornait autrefois les murs d'une chambre du palais Catherine, en Russie, a disparu deux ans et demi plus tard.
Tous ceux qui se sont lancés à la poursuite de ce trésor caché à travers l'Europe ont échoué jusqu'ici, mais un chasseur de trésor allemand refuse de baisser les bras, rapporte le quotidien allemand Die Welt. Karl-Heinz Kleine, qui cherche la Chambre d'ambre depuis 1978, se lance actuellement dans des fouilles dans les sous-sols de Wuppertal, à un endroit où sont censés se trouver plusieurs grands bunkers souterrains.
Fabriquée à Berlin sur une commande de Frédéric-Guillaume Ier de Prusse, la Chambre d'ambre a été offerte au tsar Pierre Ier de Russie au début du XVIIIème siècle. En échange, celui-ci lui aurait offert cinq douzaines de soldats russes de deux mètres de haut. Fou de la guerre, Frédéric-Guillaume Ier avait en effet une armée de «langen Kerle» (les «grands gars») composée uniquement de très grands soldats. La Chambre d'ambre sera principalement exposée au palais Catherine, à Tsarskoïé Selo, désormais connue sous le nom de Pouchkine, et située dans les environs de Saint-Pétersbourg.
Quand les nazis dérobèrent l'ensemble de panneaux d'ambre en octobre 1941, ils l'expédièrent en pièces détachées réparties dans 28 caisses vers la ville allemande de Königsberg. Une fois arrivée à destination, la Chambre d'ambre fut remontée et exposée au public pendant deux ans et demi, puis à nouveau démontée et stockée dans un lieu tenu secret par crainte des bombardements.
Contrairement à d'autres chasseurs de trésors qui sont partis à sa recherche jusqu'aux confins de la Russie, Karl-Heinz Kleine est persuadé que la Chambre d'ambre n'a pas quitté l'Allemagne. Et que le fonctionnaire nazi Erich Koch, qui s'était entiché de l'oeuvre, l'aurait dissimulée non seulement dans un lieu sûr, auquel l'armée rouge n'aurait pas accès, mais aussi qu'il connaissait bien. C'est pour cette raison qu'il a orienté ses recherches vers Wuppertal, près de là où est né et a grandi Koch, et où ce dernier disposait de nombreuses relations.
Comme le révèle le quotidien régional Der Westen, c'est sur le terrain sur lequel est située une usine d'armement désaffectée que les recherches ont débuté aujourd'hui. Kleine et son équipe supposent que les bunkers sont restés fermés depuis la Seconde Guerre mondiale. Pour financer ses fouilles, il a fait appel à des sponsors privés, à qui il promet en cas de succès de rendre dix fois plus que la somme investie au départ.
Apollyôn- Modérateur
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Tssss, même pas besoin d'une carte ou d'énigmes pour retrouver des trésors nazis, c'est presque décevant :
Pour voir quelques-uns de ces tableaux : http://www.lemonde.fr/culture/portfolio/2013/11/05/les-premieres-images-des-tableaux-retrouves-en-allemagne_3508563_3246.html
source : http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/11/05/precisions-sur-les-tableaux-pilles-par-les-nazis-retrouves-a-munich_3508526_3246.htmlLe destin des tableaux pillés par les nazis retrouvés à Munich
On en sait un peu plus sur l'incroyable découverte de très nombreux tableaux dans l'appartement munichois d'un octogénaire, Cornelius Gurlitt, quarante-huit heures après que celle-ci a été révélée par l'hebdomadaire Focus.
Mardi 5 novembre, le procureur général du parquet d'Augsburg (Bavière), Reinhard Nemetz, a donné une conférence de presse en compagnie d'une experte, Meike Hoffmann, historienne de l'art de l'université de Berlin. En fait, il s'agit de 1 406 œuvres (des dessins, des aquarelles, des lithographies...), dont 121 sont encadrées. Parmi celles-ci, des Picasso, Chagall, Renoir, Toulouse-Lautrec, Courbet, Matisse, Macke, Dix, Liebermann...
Selon Mme Hoffmann figurent dans ce trésor un autoportrait d'Otto Dix et un tableau de Chagall datant du milieu des années 1920, dont on ignorait l'existence. Le plus ancien de ces tableaux date du XVIe siècle. Un certain nombre remonte au XIXe siècle. Il ne s'agit donc pas uniquement d'œuvres modernes, et sans doute pas uniquement non plus d'œuvres saisies par les nazis, qui les jugeaient symptomatiques de "l'art dégénéré". Si Focus estimait leur valeur globale à 1 milliard d'euros, le procureur s'est simplement contenté d'indiquer que leur "valeur théorique ne saurait être surestimée".
Ces œuvres sont cependant d'une "qualité extraordinaire", selon Meike Hoffmann. La découverte, qualifiée de "sensationnelle" par la presse allemande, remonte au 28 février 2012, et non à 2011, comme l'affirmait Focus. C'est ce jour-là que les douanes ont perquisitionné l'appartement de Cornelius Gurlitt, né en décembre 1933, qui avait été contrôlé en septembre 2010 dans un train vers la Suisse, avec 9 000 euros en liquide. Bien que cela n'ait rien d'illégal (les sommes en liquide doivent être déclarées à partir de 10 000 euros), les douaniers cherchent des renseignements sur ce paisible retraité et s'aperçoivent qu'il n'est inscrit dans aucune localité, ne dispose d'aucun numéro fiscal, ne paie pas de cotisations sociales et ne reçoit aucune retraite.
Il se dit domicilié à Salzbourg, mais c'est à Munich qu'on retrouve sa trace dans un appartement rempli de détritus, de boîtes de conserve parfois périmées depuis trente ans et de chefs d'œuvre que les douaniers mettront trois jours à déménager. Ceux-ci se trouvent encore aujourd'hui dans un endroit tenu secret. Comment Cornelius Gurlitt a-t-il pu posséder un tel trésor ? Grâce à son père Hildebrand Gurlitt, grand collectionneur d'art qui avait aidé les nazis à vendre des œuvres volées à des familles juives.
Après la guerre, Hildebrand Gurlitt, qui avait lui-même des ascendants juifs, parvint à travailler quelques années aux beaux-arts de Düsseldorf avant de mourir dans un accident de la route en 1956. Il avait toujours affirmé que ses tableaux avaient disparu dans l'incendie qui a ravagé Dresde en février 1945.
Certains, notamment l'expert Peter Raue, jugent "scandaleux" que l'Etat allemand n'ait pas plus tôt révélé cette découverte extraordinaire. Selon lui, ces œuvres auraient dû rapidement être exposées sur Internet pour que leurs propriétaires légitimes puissent les réclamer. Ce n'est pas ce qui va être fait. Mardi, le procureur général a indiqué qu'elles ne seraient pas exposées car cela pourrait, selon lui, être contraire à l'intérêt des propriétaires.
Pour Mme Hoffmann, "les recherches sur l'origine des œuvres sont complexes et prennent beaucoup de temps". Les experts n'excluent pas que Cornelius Gurlitt possède encore d'autres tableaux précieusement conservés dans un endroit connu de lui seul. Au fait, où se trouve à présent l'octogénaire ? Nul ne semble le savoir.
Cornelius Gurlitt, qui dispose d'un passeport allemand et d'un passeport autrichien, ne fait pas l'objet d'un mandat d'arrêt. Il est pour le moment simplement soupçonné de fraude fiscale, mais les autorités allemandes ne sont pas en contact avec lui et n'auraient pas demandé à l'Autriche de participer à sa recherche.
Pour voir quelques-uns de ces tableaux : http://www.lemonde.fr/culture/portfolio/2013/11/05/les-premieres-images-des-tableaux-retrouves-en-allemagne_3508563_3246.html
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