Une loge maçonnique dirige le Vatican
Le souvenir d’un crime peut parfois raviver des vérités détonantes que le grand public abreuvé de mensonges méconnaît. C’est dès lors toute une représentation de la vérité de ce monde qui s’effondre, à l’image des tours jumelles du World Trade Center à Wall Street.
Nous savons, grâce à David Yallop [1], que l’assassinat du pape Jean-Paul 1er fut l’œuvre de la loge P2, 33 jours après le début de son règne, et que ce meurtre intervint juste après qu’il a évincé deux francs-maçons de l’Église romaine (Marcinkus et Villot).
Nous apprîmes aussi, par la plume du journaliste maçon Pier Capri, que Jean XXIII avait été initié dans l’ordre des Rose-Croix. Divers éléments à charge démontrent que ce dernier et Paul VI étaient vraisemblablement des francs-maçons.
Pier Capri révéla notamment qu’évêques et cardinaux appartenaient à la loge P2 : « On l’appelle la loge ecclésiastique et elle est en contact direct avec le grand maître de la loge unie d’Angleterre, le duc Michael de Kent. Cette loge agit au Vatican depuis 1971. Plus de cent frères cardinaux, évêques et monseigneurs de la curie lui appartiennent. Ils parviennent à maintenir le secret le plus absolu, mais pas au point d’échapper aux enquêtes des hommes de la puissante organisation de l’Opus Dei. » [2]
Capri nous dit que « cette loge agit au Vatican » après avoir affirmé que Jean XXIII était maçon. Il dit aussi que ce ne sont pas des clercs isolés qui lui appartiennent mais plus d’une centaine de cardinaux et d’évêques ! Il ne proclame pas textuellement qu’elle dirige Rome, mais on peut toutefois en déduire qu’au minimum elle influe sur le Vatican – et nous pouvons alors parler de lobby – et au pire qu’elle en a le contrôle.
Dans tous les cas, cette Église n’est plus l’Église catholique. Mais pour d’autres raisons. Sur le sujet, monseigneur Lefebvre fut catégorique : « Le droit à la liberté religieuse est blasphématoire car c’est prêter à Dieu des intentions qui détruisent sa Majesté, sa Gloire, sa Royauté. Ce droit implique la liberté de conscience, la liberté de pensée et toutes les libertés maçonniques. L’Église qui affirme de pareilles erreurs est à la fois schismatique et hérétique. Cette Église conciliaire n’est donc pas catholique. » [3] Relevons au passage que, juste avant le Concile Vatican II, cette liberté religieuse fut demandée par le B’naï B’rith auprès du cardinal Béa. Elle fut alors établie au sein de l’Église romaine et doit être considérée comme une victoire maçonnique.
Revenons à présent sur l’appartenance maçonnique des précédents chefs de l’Église conciliaire. Lors d’un entretien réalisé par Louis-Hubert Rémy, le père Malachi Martin affirma : « Sur l’appartenance de Jean XXIII à la franc-maçonnerie, toutes les preuves sont dans les archives du Vatican, jalousement gardées par le cardinal Sodano. Lui-même aurait vu des photos prises par son chauffeur dévoilant Jean XXIII fréquentant les loges parisiennes. [...] Jean XXIII fut initié par Vincent Auriol. »
Malachi Martin parla d’une « loge spéciale ». Il ajouta : « Cette loge est réservée à Rome aux cardinaux en liaison étroite avec le Grand-Orient. Jean XXIII et Paul VI ont fait partie de la loge spéciale », disait-il. Cette révélation fut confirmée par le franc-maçon mexicain Jaime Ayala Ponce pour qui « Roncalli et Montini ont été initiés aux augustes mystères de la confrérie. »
Concernant les autres chefs de Rome depuis Vatican II, le bilan n’est pas plus reluisant. D’origine juive, Benoît XVI fut officiellement soutenu par le B’naï B’rith. Il reçut d’ailleurs cette secte juive au Vatican tout en faisant l’éloge de la fraternité inter-religieuse, dans la droite ligne œcuménique. De plus, Ratzinger écrivit pour un journal maçonnique en 1979. [4] Ses relations étroites avec les hautes sphères mondialistes furent plus que douteuses. [5] Tout autant que ses poignées de mains à des francs-maçons notoires. [6]
Quant à cet autre marrane que fut Jean-Paul II, rien ne prouve qu’il fut franc-maçon sauf qu’à trois reprises, il reçut chaleureusement au Vatican les représentants du B’naï B’rith. En mars 1984, avril 1985 et décembre 1990. Dans la revue Fideliter en 1986, monseigneur Lefebvre écrivit qu’il est « au service de la franc-maçonnerie ». Selon le grand maître de la franc-maçonnerie italienne Armando Corona, Jean-Paul II appartenait au Rotary Club, à l’instar de l’Argentin Bergoglio qui est actuellement en place. [7] Remarquons aussi que la secte satanique des Skull and Bones lui rendit hommage à sa mort.
Concentrons-nous à présent sur l’argumentation de monseigneur Marcel Lefebvre concernant la collégialité à la tête de l’Église romaine et l’infiltration maçonnique dans ses murs : « Je crois sincèrement que nous avons affaire à une contrefaçon de l’Église et non pas à l’Église catholique. Parce qu’ils n’enseignent plus la foi catholique. Ils ne défendent plus la foi catholique. Ils enseignent autre chose. Ce n’est plus l’Église catholique. Tous ces cardinaux dans les congrégations et toutes ces secrétaires dans les congrégations, ils sont bien assis là où étaient leurs prédécesseurs, mais ils ne continuent pas leurs prédécesseurs. Ils n’ont plus la même foi, ni la même doctrine, ni la même morale que leurs prédécesseurs. Et principalement, leur grande erreur c’est l’œcuménisme. Ils enseignent un œcuménisme qui est contraire à la foi catholique.
Je dirai : que pensez-vous des anathèmes du Concile de Trente ? Que pensez-vous des anathèmes de l’encyclique Auctorem Fidei ? Que pensez-vous du Syllabus ? De l’encyclique Immortale Dei du pape Léon XIII ? Que pensez-vous de la lettre sur le Sillon par le Pape Pie X ? De l’encyclique Quas primas du Pape Pie XI ? Mortalium animos du Pape Pie XI contre le faux œcuménisme ? Que pensez-vous de tout ça ? Qu’ils me répondent sur ces documents qui définissent notre foi. Ce ne sont pas des documents quelconques. Ce sont des documents officiels qui engagent l’autorité du pape. On peut et on doit même croire que l’Église est occupée par cette contre-Église que nous connaissons bien et que les papes ont condamné. Depuis bientôt quatre siècles, l’Église ne cesse de condamner cette contre-Églisequi est née avec le protestantisme et qui est à l’origine de toutes les erreurs modernes, qui a détruit toute la philosophie, qui nous a entraîné dans toutes ces erreurs que nous connaissons : libéralisme, socialisme, communisme, modernisme, sionisme. Nous en mourrons. Les Papes ont tout fait pour condamner cela.
Et voilà que maintenant, ceux qui sont sur les sièges de ceux qui ont condamné ces choses-là sont maintenant d’accord pratiquement avec ce libéralisme et cet œcuménisme. Plus les choses s’éclairent et plus nous nous apercevons que ce programme, qui a été élaboré dans les loges maçonniques, on s’aperçoit tout doucement et avec des précisions de plus en plus grandes, qu’il y a tout simplement une loge maçonnique au Vatican. Maintenant, quand on se trouve devant un secrétaire de congrégation ou un cardinal qui se trouve assis dans le siège où se trouvaient de saints cardinaux qui avaient la foi et défendaient la foi de l’Église, on se trouve devant un franc-maçon. » [8]
Le propos fut sincère. L’aveu éloquent. Mémorable, même. Car il ne vint pas de n’importe qui. Ce ne furent pas des paroles en l’air, mais celles d’un homme d’Église connaissant très bien l’institution romaine. Après avoir été minutieusement pré-établi dans les arrière-loges, notamment celles de la Haute-Vente, le projet de destruction de l’Église officielle par la contre-Église est arrivé à son aboutissement. Les choses ne s’étant point arrangées mais empirées, nous pouvons tirer la même conclusion que cet illustre clerc.
Ainsi, parce qu’il est indéniable que la (fausse) religion enseignée au Vatican est un protestantisme ayant juste l’apparence du catholicisme, et parce qu’il est très vraisemblable que, depuis Jean XXIII, les derniers chefs de Rome furent tous maçons ou étroitement liés à la franc-maçonnerie (hormis Jean Paul 1er, d’où son assassinat), nous sommes en droit d’approuver cette évidence, affirmée par monseigneur Lefebvre dans les années 1970 :
Oui, une loge maçonnique dirige bel et bien l’Église officielle romaine. Telle une chape de plomb au-dessus des fidèles. Et ce, pour le grand égarement des âmes depuis 50 ans. Puisse les Catholiques de cette Église humaine et non divine regarder honnêtement cette réalité en face. D’autant que l’Église conciliaire n’est assurément plus l’Église catholique, puisqu’elle enseigne une autre religion et qu’elle ne contient ni une même foi, ni une même hiérarchie, ni les mêmes sacrements d’origine. Les francs-maçons et modernistes à la tête de cette institution sont les premiers responsables de cette situation désastreuse, car ce sont eux qui, depuis 50 ans, sont à l’origine du scandale.
Johan Livernette, le 10 décembre 2013
[1] Dans Au nom de Dieu, de l’anglais David Yallop.
[2] Dans L’Espresso en décembre 1987.
[3] Le 29 juillet 1976 dans Quelques réflexions à propos de la suspens a divinis.
[4] http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-23851474.html
[5] http://www.resistance-catholique.org/documents/2008/RC_2008-02-29_Les-liens-occultes-entre-Ratzinger-et-les-pires-ennemis-de-lEglise.pdf
[6] http://www.blogcatholique.fr/2010/10/preuves-que-benoit-xvi-ratzinger-est.html
[7] http://johanlivernette.files.wordpress.com/2013/04/bergoglio-rotary.jpg
[8] L’intégralité de l’entretien audio de monseigneur Lefebvre :https://www.youtube.com/watch?v=XSuBwJ4xuns
Source : Livernette
Le souvenir d’un crime peut parfois raviver des vérités détonantes que le grand public abreuvé de mensonges méconnaît. C’est dès lors toute une représentation de la vérité de ce monde qui s’effondre, à l’image des tours jumelles du World Trade Center à Wall Street.
Nous savons, grâce à David Yallop [1], que l’assassinat du pape Jean-Paul 1er fut l’œuvre de la loge P2, 33 jours après le début de son règne, et que ce meurtre intervint juste après qu’il a évincé deux francs-maçons de l’Église romaine (Marcinkus et Villot).
Nous apprîmes aussi, par la plume du journaliste maçon Pier Capri, que Jean XXIII avait été initié dans l’ordre des Rose-Croix. Divers éléments à charge démontrent que ce dernier et Paul VI étaient vraisemblablement des francs-maçons.
Pier Capri révéla notamment qu’évêques et cardinaux appartenaient à la loge P2 : « On l’appelle la loge ecclésiastique et elle est en contact direct avec le grand maître de la loge unie d’Angleterre, le duc Michael de Kent. Cette loge agit au Vatican depuis 1971. Plus de cent frères cardinaux, évêques et monseigneurs de la curie lui appartiennent. Ils parviennent à maintenir le secret le plus absolu, mais pas au point d’échapper aux enquêtes des hommes de la puissante organisation de l’Opus Dei. » [2]
Capri nous dit que « cette loge agit au Vatican » après avoir affirmé que Jean XXIII était maçon. Il dit aussi que ce ne sont pas des clercs isolés qui lui appartiennent mais plus d’une centaine de cardinaux et d’évêques ! Il ne proclame pas textuellement qu’elle dirige Rome, mais on peut toutefois en déduire qu’au minimum elle influe sur le Vatican – et nous pouvons alors parler de lobby – et au pire qu’elle en a le contrôle.
Dans tous les cas, cette Église n’est plus l’Église catholique. Mais pour d’autres raisons. Sur le sujet, monseigneur Lefebvre fut catégorique : « Le droit à la liberté religieuse est blasphématoire car c’est prêter à Dieu des intentions qui détruisent sa Majesté, sa Gloire, sa Royauté. Ce droit implique la liberté de conscience, la liberté de pensée et toutes les libertés maçonniques. L’Église qui affirme de pareilles erreurs est à la fois schismatique et hérétique. Cette Église conciliaire n’est donc pas catholique. » [3] Relevons au passage que, juste avant le Concile Vatican II, cette liberté religieuse fut demandée par le B’naï B’rith auprès du cardinal Béa. Elle fut alors établie au sein de l’Église romaine et doit être considérée comme une victoire maçonnique.
Revenons à présent sur l’appartenance maçonnique des précédents chefs de l’Église conciliaire. Lors d’un entretien réalisé par Louis-Hubert Rémy, le père Malachi Martin affirma : « Sur l’appartenance de Jean XXIII à la franc-maçonnerie, toutes les preuves sont dans les archives du Vatican, jalousement gardées par le cardinal Sodano. Lui-même aurait vu des photos prises par son chauffeur dévoilant Jean XXIII fréquentant les loges parisiennes. [...] Jean XXIII fut initié par Vincent Auriol. »
Malachi Martin parla d’une « loge spéciale ». Il ajouta : « Cette loge est réservée à Rome aux cardinaux en liaison étroite avec le Grand-Orient. Jean XXIII et Paul VI ont fait partie de la loge spéciale », disait-il. Cette révélation fut confirmée par le franc-maçon mexicain Jaime Ayala Ponce pour qui « Roncalli et Montini ont été initiés aux augustes mystères de la confrérie. »
Concernant les autres chefs de Rome depuis Vatican II, le bilan n’est pas plus reluisant. D’origine juive, Benoît XVI fut officiellement soutenu par le B’naï B’rith. Il reçut d’ailleurs cette secte juive au Vatican tout en faisant l’éloge de la fraternité inter-religieuse, dans la droite ligne œcuménique. De plus, Ratzinger écrivit pour un journal maçonnique en 1979. [4] Ses relations étroites avec les hautes sphères mondialistes furent plus que douteuses. [5] Tout autant que ses poignées de mains à des francs-maçons notoires. [6]
Quant à cet autre marrane que fut Jean-Paul II, rien ne prouve qu’il fut franc-maçon sauf qu’à trois reprises, il reçut chaleureusement au Vatican les représentants du B’naï B’rith. En mars 1984, avril 1985 et décembre 1990. Dans la revue Fideliter en 1986, monseigneur Lefebvre écrivit qu’il est « au service de la franc-maçonnerie ». Selon le grand maître de la franc-maçonnerie italienne Armando Corona, Jean-Paul II appartenait au Rotary Club, à l’instar de l’Argentin Bergoglio qui est actuellement en place. [7] Remarquons aussi que la secte satanique des Skull and Bones lui rendit hommage à sa mort.
Concentrons-nous à présent sur l’argumentation de monseigneur Marcel Lefebvre concernant la collégialité à la tête de l’Église romaine et l’infiltration maçonnique dans ses murs : « Je crois sincèrement que nous avons affaire à une contrefaçon de l’Église et non pas à l’Église catholique. Parce qu’ils n’enseignent plus la foi catholique. Ils ne défendent plus la foi catholique. Ils enseignent autre chose. Ce n’est plus l’Église catholique. Tous ces cardinaux dans les congrégations et toutes ces secrétaires dans les congrégations, ils sont bien assis là où étaient leurs prédécesseurs, mais ils ne continuent pas leurs prédécesseurs. Ils n’ont plus la même foi, ni la même doctrine, ni la même morale que leurs prédécesseurs. Et principalement, leur grande erreur c’est l’œcuménisme. Ils enseignent un œcuménisme qui est contraire à la foi catholique.
Je dirai : que pensez-vous des anathèmes du Concile de Trente ? Que pensez-vous des anathèmes de l’encyclique Auctorem Fidei ? Que pensez-vous du Syllabus ? De l’encyclique Immortale Dei du pape Léon XIII ? Que pensez-vous de la lettre sur le Sillon par le Pape Pie X ? De l’encyclique Quas primas du Pape Pie XI ? Mortalium animos du Pape Pie XI contre le faux œcuménisme ? Que pensez-vous de tout ça ? Qu’ils me répondent sur ces documents qui définissent notre foi. Ce ne sont pas des documents quelconques. Ce sont des documents officiels qui engagent l’autorité du pape. On peut et on doit même croire que l’Église est occupée par cette contre-Église que nous connaissons bien et que les papes ont condamné. Depuis bientôt quatre siècles, l’Église ne cesse de condamner cette contre-Églisequi est née avec le protestantisme et qui est à l’origine de toutes les erreurs modernes, qui a détruit toute la philosophie, qui nous a entraîné dans toutes ces erreurs que nous connaissons : libéralisme, socialisme, communisme, modernisme, sionisme. Nous en mourrons. Les Papes ont tout fait pour condamner cela.
Et voilà que maintenant, ceux qui sont sur les sièges de ceux qui ont condamné ces choses-là sont maintenant d’accord pratiquement avec ce libéralisme et cet œcuménisme. Plus les choses s’éclairent et plus nous nous apercevons que ce programme, qui a été élaboré dans les loges maçonniques, on s’aperçoit tout doucement et avec des précisions de plus en plus grandes, qu’il y a tout simplement une loge maçonnique au Vatican. Maintenant, quand on se trouve devant un secrétaire de congrégation ou un cardinal qui se trouve assis dans le siège où se trouvaient de saints cardinaux qui avaient la foi et défendaient la foi de l’Église, on se trouve devant un franc-maçon. » [8]
Le propos fut sincère. L’aveu éloquent. Mémorable, même. Car il ne vint pas de n’importe qui. Ce ne furent pas des paroles en l’air, mais celles d’un homme d’Église connaissant très bien l’institution romaine. Après avoir été minutieusement pré-établi dans les arrière-loges, notamment celles de la Haute-Vente, le projet de destruction de l’Église officielle par la contre-Église est arrivé à son aboutissement. Les choses ne s’étant point arrangées mais empirées, nous pouvons tirer la même conclusion que cet illustre clerc.
Ainsi, parce qu’il est indéniable que la (fausse) religion enseignée au Vatican est un protestantisme ayant juste l’apparence du catholicisme, et parce qu’il est très vraisemblable que, depuis Jean XXIII, les derniers chefs de Rome furent tous maçons ou étroitement liés à la franc-maçonnerie (hormis Jean Paul 1er, d’où son assassinat), nous sommes en droit d’approuver cette évidence, affirmée par monseigneur Lefebvre dans les années 1970 :
Oui, une loge maçonnique dirige bel et bien l’Église officielle romaine. Telle une chape de plomb au-dessus des fidèles. Et ce, pour le grand égarement des âmes depuis 50 ans. Puisse les Catholiques de cette Église humaine et non divine regarder honnêtement cette réalité en face. D’autant que l’Église conciliaire n’est assurément plus l’Église catholique, puisqu’elle enseigne une autre religion et qu’elle ne contient ni une même foi, ni une même hiérarchie, ni les mêmes sacrements d’origine. Les francs-maçons et modernistes à la tête de cette institution sont les premiers responsables de cette situation désastreuse, car ce sont eux qui, depuis 50 ans, sont à l’origine du scandale.
Johan Livernette, le 10 décembre 2013
[1] Dans Au nom de Dieu, de l’anglais David Yallop.
[2] Dans L’Espresso en décembre 1987.
[3] Le 29 juillet 1976 dans Quelques réflexions à propos de la suspens a divinis.
[4] http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-23851474.html
[5] http://www.resistance-catholique.org/documents/2008/RC_2008-02-29_Les-liens-occultes-entre-Ratzinger-et-les-pires-ennemis-de-lEglise.pdf
[6] http://www.blogcatholique.fr/2010/10/preuves-que-benoit-xvi-ratzinger-est.html
[7] http://johanlivernette.files.wordpress.com/2013/04/bergoglio-rotary.jpg
[8] L’intégralité de l’entretien audio de monseigneur Lefebvre :https://www.youtube.com/watch?v=XSuBwJ4xuns
Source : Livernette
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