Dans l'histoire du phénomène OVNI, il existe des faits majeurs dont on parle peu. Pourtant il est indispensable de toujours les avoir en tête lorsque l'on étudie le phénomène dans le temps.
L'histoire des satellites inconnus dans les années 50 fait partie de ces faits incontournables que semblent avoir évacué les ufologues.
Remémorons-nous les écrits du Major Donald E. Keyhoe (Directeur de l'Information de la Branche Aéronautique du Département du Commerce américain ) de Frank Edwards (journaliste)
Donald E. Keyhoe dans son livre ; « Les étrangers de l'espace » ;
"Depuis 1953, l’État-Major savait que des vaisseaux géants opéraient au voisinage de notre planète. Neuf fois au moins, ils avaient été vus ou repérés en orbite. Ils étaient parfois descendus plus près de la Terre pour de brefs moments. Chacune de ces descentes avait été une épreuve pour les censeurs, contraints « d’expliquer » les rapports qu’ils ne pouvaient escamoter. Au cours de l année 1953, les Forces Aériennes avaient procédé à des expériences avec un nouveau matériel radar à longue portée.
Dés les premiers essais, les opérateurs eurent la surprise de repérer un objet gigantesque suivant une orbite voisine de l’équateur. Sa vitesse était proche de 28.000 km à l’heure. Des vérifications successives confirmèrent les premières données. Un objet inconnu faisait le tour de la Terre à mille kilomètres d’altitude.
Peu de temps après, un second objet, aussi énorme, approchait de la Terre. Les experts radaristes de l’USAF le suivaient. Il se mit en orbite à l’altitude de 600 km. Alertés, les chefs du Département de la Défense lancèrent en urgence un projet pour la détection des satellites à White Sands, au Nouveau Mexique.
L’expert scientifique chargé de cette recherche secrète était le docteur Clyde Tombaugh, le savant qui avait découvert la planète Pluton, le seul astronome connu qui ait reconnu avoir vu un UFO. Le groupe d’études était « Interarmes » sous contrôle du Service de Recherche de l Armée. En février 1954, des plans pour la recherche des satellites avaient été exposés dans un article de la Société Astronomique du Pacifique. Citant le Dr Tombaugh, le rédacteur annonçait le recours à un équipement télescopique nouveau. Écrivant bien avant le lancement du programme du ministère de la Défense, il n avait fait aucune mention de vaisseaux géants de l’espace.
L’opération était présentée comme devant être une recherche d'objets naturels. Mais les journalistes subodoraient un mystère. À White Sands, les hauts fonctionnaires de l' Armée étaient harcelés de questions : y avait-il actuellement des satellites inconnus ? D’où venaient-ils ? Combien étaient-ils ? Était-ce la première fois que l’on constatait leur présence ? Les censeurs voulurent au début étouffer l' affaire, mais le docteur Tombaugh parvint à les convaincre de l’inopportunité de la démarche.
Le 3 mars, une explication officielle était, avec l’approbation du Pentagone, présentée à White Sands : il s’agissait de chercher des objets naturels venus de l’espace, sorte de « petites lunes », « mini-lunes » qui s’étaient placées en orbite autour de la Terre. On avait pu jusqu'à ce jour ni les observer, ni les détecter par radar, ajoutait le porte-parole officiel, parce qu'elles suivaient des orbites voisines de l’équateur, zone où l’on disposait de peu d’observatoires.
Il aurait aussi fallu des caméras pointées automatiquement selon la vitesse angulaire des satellites. D’autre part, les caméras ordinaires ne pouvaient révéler ces objets dont l éclairage était très faible. Le but des Forces Armées était de localiser des mini-lunes utilisables comme bases spatiales lance-missiles pour la défense du pays. Aucune mention n’était faite de la possibilité d’un contrôle intelligent exercé sur ces satellites inconnus. Ils étaient présentés implicitement comme des astéroïdes. Sans plus.
L’explication était absurde. Que des astéroïdes venus de l’espace en nombre, puissent tous, sans aucun contrôle, prendre le cap précis les plaçant en orbite terrestre, est impensable.
Quelques jours passèrent où le Pentagone redouta un camouflet dans la presse. Il sentait sa position d autant plus inconfortable que si la version des mini-lunes ne prenait pas, il aurait de lui-même ouvert la porte à la seule explication plausible : la présence de vaisseaux spatiaux. Et le moindre article à sensation relancerait la crainte d’une migration spatiale, vers notre Terre."
Toujours Keyhoe ;
"En 1955, le fameux journaliste Stewart Alsop attaquait vigoureusement les censeurs.Très introduit dans les milieux gouvernementaux, et en particulier au NSC (National Security Council), Conseil National de Sécurité, Alsop avait eu connaissance du véritable mobile du programme d urgence de détection des satellites.
Un nouveau groupe d étude à Mount Wilson doublait depuis peu celui de White Sands. Sur toute la chaîne de presse dont il disposait, Alsop révéla l’intense activité de recherche de satellites artificiels. Ce dégonflage de mini-lunes déchaîna les fureurs du Pentagone et du NSC. Alsop récidivait bientôt, dépeignant la colère du secrétaire du NSC, une colère telle que ses meilleurs amis au sein de l’organisme n’osaient plus se montrer avec lui.
La censure du ciel fut renforcée, les rapports sur les colosses spatiaux mis au frigidaire. Vaines précautions. Entre les mailles du filet protecteur filait en 1960 une affaire caractéristique.
Le 25 août de cette année-là, un mystérieux satellite était détecté, puis suivi au radar pendant plusieurs jours. La Grumman Aircraft Corporation, industrie aéronautique américaine bien connue, put le photographier, et toute tentative pour nier l’authenticité des photographies fut vaine. Le 18 mai 1961, nouvelle découverte d un objet mystérieux sur orbite terrestre.
L’annonce surprend d' autant plus qu'elle provient du Smithsonian Observatory, l’observatoire de Cambridge dans le Massachusetts, lequel participe activement au réseau mondial de détection des Forces Aériennes. Le Smithsonian précisait à la presse : le satellite a été vu d abord à Jupiter, en Floride… jusqu'ici imprévu et insoupçonné. Il est très brillant et peut, dans certaines conditions, être vu à l’œil nu…
Les diverses stations d’observation sur toute la Terre ont été priées de nous aider à le suivre. L observatoire alertait également tout son dispositif de caméras télescopiques."
Frank Edwards dans son livre « Du nouveau sur les soucoupes volantes »
"L’équipement de repérage des météores et satellites ainsi que les radars, ont tous détecté des anomalies qui ne purent être identifiées, dit le Dr Hynek.
On doit évoquer ici des cas tels que celui de l’étrange photographie du « satellite en marche arrière » prise en 1958, et l’embarrassant rapport soumis par plusieurs équipes de Moonwatch au cours du programme de l’Année Géophysique Internationale. Par « satellite en marche arrière », il désignait un objet accomplissant le tour de la terre d’Est en Ouest, ce que ne fait aucun objet construit sur notre planète.
En outre, le Dr Hynek dit qu’il avait vu des photographies prises par des appareils de repérage des satellites, montrant des traînées inexpliquées, lesquelles, convient-il, ne furent jamais identifiées."
Toujours Edwards dans son livre « Soucoupes volantes, affaire sérieuse »
" Au cours de sa première orbite, (Edwards parle de Gemini 1) celle-ci fut rejointe par quatre objets d’origine inconnue commandés de façon intelligente ! "
L'histoire des satellites inconnus dans les années 50 fait partie de ces faits incontournables que semblent avoir évacué les ufologues.
Remémorons-nous les écrits du Major Donald E. Keyhoe (Directeur de l'Information de la Branche Aéronautique du Département du Commerce américain ) de Frank Edwards (journaliste)
Donald E. Keyhoe dans son livre ; « Les étrangers de l'espace » ;
"Depuis 1953, l’État-Major savait que des vaisseaux géants opéraient au voisinage de notre planète. Neuf fois au moins, ils avaient été vus ou repérés en orbite. Ils étaient parfois descendus plus près de la Terre pour de brefs moments. Chacune de ces descentes avait été une épreuve pour les censeurs, contraints « d’expliquer » les rapports qu’ils ne pouvaient escamoter. Au cours de l année 1953, les Forces Aériennes avaient procédé à des expériences avec un nouveau matériel radar à longue portée.
Dés les premiers essais, les opérateurs eurent la surprise de repérer un objet gigantesque suivant une orbite voisine de l’équateur. Sa vitesse était proche de 28.000 km à l’heure. Des vérifications successives confirmèrent les premières données. Un objet inconnu faisait le tour de la Terre à mille kilomètres d’altitude.
Peu de temps après, un second objet, aussi énorme, approchait de la Terre. Les experts radaristes de l’USAF le suivaient. Il se mit en orbite à l’altitude de 600 km. Alertés, les chefs du Département de la Défense lancèrent en urgence un projet pour la détection des satellites à White Sands, au Nouveau Mexique.
L’expert scientifique chargé de cette recherche secrète était le docteur Clyde Tombaugh, le savant qui avait découvert la planète Pluton, le seul astronome connu qui ait reconnu avoir vu un UFO. Le groupe d’études était « Interarmes » sous contrôle du Service de Recherche de l Armée. En février 1954, des plans pour la recherche des satellites avaient été exposés dans un article de la Société Astronomique du Pacifique. Citant le Dr Tombaugh, le rédacteur annonçait le recours à un équipement télescopique nouveau. Écrivant bien avant le lancement du programme du ministère de la Défense, il n avait fait aucune mention de vaisseaux géants de l’espace.
L’opération était présentée comme devant être une recherche d'objets naturels. Mais les journalistes subodoraient un mystère. À White Sands, les hauts fonctionnaires de l' Armée étaient harcelés de questions : y avait-il actuellement des satellites inconnus ? D’où venaient-ils ? Combien étaient-ils ? Était-ce la première fois que l’on constatait leur présence ? Les censeurs voulurent au début étouffer l' affaire, mais le docteur Tombaugh parvint à les convaincre de l’inopportunité de la démarche.
Le 3 mars, une explication officielle était, avec l’approbation du Pentagone, présentée à White Sands : il s’agissait de chercher des objets naturels venus de l’espace, sorte de « petites lunes », « mini-lunes » qui s’étaient placées en orbite autour de la Terre. On avait pu jusqu'à ce jour ni les observer, ni les détecter par radar, ajoutait le porte-parole officiel, parce qu'elles suivaient des orbites voisines de l’équateur, zone où l’on disposait de peu d’observatoires.
Il aurait aussi fallu des caméras pointées automatiquement selon la vitesse angulaire des satellites. D’autre part, les caméras ordinaires ne pouvaient révéler ces objets dont l éclairage était très faible. Le but des Forces Armées était de localiser des mini-lunes utilisables comme bases spatiales lance-missiles pour la défense du pays. Aucune mention n’était faite de la possibilité d’un contrôle intelligent exercé sur ces satellites inconnus. Ils étaient présentés implicitement comme des astéroïdes. Sans plus.
L’explication était absurde. Que des astéroïdes venus de l’espace en nombre, puissent tous, sans aucun contrôle, prendre le cap précis les plaçant en orbite terrestre, est impensable.
Quelques jours passèrent où le Pentagone redouta un camouflet dans la presse. Il sentait sa position d autant plus inconfortable que si la version des mini-lunes ne prenait pas, il aurait de lui-même ouvert la porte à la seule explication plausible : la présence de vaisseaux spatiaux. Et le moindre article à sensation relancerait la crainte d’une migration spatiale, vers notre Terre."
Toujours Keyhoe ;
"En 1955, le fameux journaliste Stewart Alsop attaquait vigoureusement les censeurs.Très introduit dans les milieux gouvernementaux, et en particulier au NSC (National Security Council), Conseil National de Sécurité, Alsop avait eu connaissance du véritable mobile du programme d urgence de détection des satellites.
Un nouveau groupe d étude à Mount Wilson doublait depuis peu celui de White Sands. Sur toute la chaîne de presse dont il disposait, Alsop révéla l’intense activité de recherche de satellites artificiels. Ce dégonflage de mini-lunes déchaîna les fureurs du Pentagone et du NSC. Alsop récidivait bientôt, dépeignant la colère du secrétaire du NSC, une colère telle que ses meilleurs amis au sein de l’organisme n’osaient plus se montrer avec lui.
La censure du ciel fut renforcée, les rapports sur les colosses spatiaux mis au frigidaire. Vaines précautions. Entre les mailles du filet protecteur filait en 1960 une affaire caractéristique.
Le 25 août de cette année-là, un mystérieux satellite était détecté, puis suivi au radar pendant plusieurs jours. La Grumman Aircraft Corporation, industrie aéronautique américaine bien connue, put le photographier, et toute tentative pour nier l’authenticité des photographies fut vaine. Le 18 mai 1961, nouvelle découverte d un objet mystérieux sur orbite terrestre.
L’annonce surprend d' autant plus qu'elle provient du Smithsonian Observatory, l’observatoire de Cambridge dans le Massachusetts, lequel participe activement au réseau mondial de détection des Forces Aériennes. Le Smithsonian précisait à la presse : le satellite a été vu d abord à Jupiter, en Floride… jusqu'ici imprévu et insoupçonné. Il est très brillant et peut, dans certaines conditions, être vu à l’œil nu…
Les diverses stations d’observation sur toute la Terre ont été priées de nous aider à le suivre. L observatoire alertait également tout son dispositif de caméras télescopiques."
Frank Edwards dans son livre « Du nouveau sur les soucoupes volantes »
"L’équipement de repérage des météores et satellites ainsi que les radars, ont tous détecté des anomalies qui ne purent être identifiées, dit le Dr Hynek.
On doit évoquer ici des cas tels que celui de l’étrange photographie du « satellite en marche arrière » prise en 1958, et l’embarrassant rapport soumis par plusieurs équipes de Moonwatch au cours du programme de l’Année Géophysique Internationale. Par « satellite en marche arrière », il désignait un objet accomplissant le tour de la terre d’Est en Ouest, ce que ne fait aucun objet construit sur notre planète.
En outre, le Dr Hynek dit qu’il avait vu des photographies prises par des appareils de repérage des satellites, montrant des traînées inexpliquées, lesquelles, convient-il, ne furent jamais identifiées."
Toujours Edwards dans son livre « Soucoupes volantes, affaire sérieuse »
" Au cours de sa première orbite, (Edwards parle de Gemini 1) celle-ci fut rejointe par quatre objets d’origine inconnue commandés de façon intelligente ! "
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