Pour qui sait lire à travers les lignes et taquine un peu la langue des oiseaux « Rouletabille Chez Les Bohémiens », constitue un petit chef d'œuvre qui déroule un fil d'Ariane dans un récit construit comme un labyrinthe.
Alors que le 17 avril prochain nous commémorerons le 81ème anniversaire de la mort de Gaston Leroux, nous voulons à travers ce petit article lui un rendre un hommage respectueux. Rouletabille chez les Bohémiens a d'abord été un roman, avant de devenir un film produit par l'auteur.
Dans son roman, Leroux évoque un symbole que les passionnés de Rennes le Château connaissent bien : la pieuvre. Elle se présente sous les traits d'une jeune femme appartenant à une équipe de malfrats qui fait "chanter les portes", c'est-à-dire à des arsouilles, des cambrioleurs. L'auteur assure que cette dernière est désignée par la prophétie du Livre des Ancêtres, ouvrage qui fut dépouillé de son ancienne splendeur ? Arrêtons-nous un instant et réfléchissons. "Le Livre des Ancêtres" ne serai-il pas le Sepher ha Zohar, qui dissimule le secret des Saints Sages, écrit en Castille entre 1250 et 1305 ?
Si nous savons que l'écrivain niçois ordonne à son héroïne: "...tu es de la race, descends et prends!...C'est le Livre des Ancêtres...Cette phrase nous fera réfléchir !
Un étrange symbole
La pieuvre, entre autre, est la gardienne du lac de la nuit, une allégorie des esprits infernaux qui règnent dans les enfers, c'est-à-dire dans le monde d'en-dessous, donc des souterrains, des cavernes et des grottes.
C'est elle qui figurait sculptée sur la célèbre stèle funéraire de la tombe de Marie Nègre d'Ables d'Hautpoul, de Blanchefort. D'après certain, la singulière épitaphe cacherait l'anagramme de TEMEREPO : MORTEPEE, mentionnée dans l'excellent ouvrage de notre ami Franck Marie, Rennes-Le-Château Etude Critique (Vérités Anciennes 1978). Ce mot nous conduit dans un des hauts lieux secrets de Paris l'église Saint Sulpice où au XIXe siècle, le peintre E.M. Signol réalisa en 1872 "La Mort", et "L'Epée", ces deux tableaux figurent de part d'autre de la statue de Saint Pierre, gardien du paradis, porteur des deux clés, une d'argent et l'autre d'or figurant le monde sublunaire et le monde céleste. Curieusement la signature de l'artiste comporte la lettre N inversée.
Leroux qui à l'instar de Jules Verne jouait avec les mots baptisa l'héritière du livre sacré Odette, qu'il aurait pu écrire "Audette" ...---Rouletabille chez les Bohémiens chapitre IX---
L'action de ce livre se déroule dans le Languedoc et aux Saintes Maries de la Mer où tous les ans les Gitans se réunissent le 25 mai pour honorer Sara la Noire, image l'antique déesse que l'on honore et vénère dans la crypte miraculeuse. Notre ami Pierre-Guy Geneuil, le Narvalo, auteur d'un remarquable livre sur "La symbolique gitane", que nous saluons ici, connait tous les secrets du peuple du vent et bien d'autres que nous n'évoquerons pas ici...
A la manière d'Henri Boudet, l'auteur de la Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-Les-Bains, Gaston Leroux a inséré dans son livre nombreuses phrases en languedocien. Vous avez dit bizarre ? Vous avez raison !
« (...) Si les bohémiens, chassés de frontière en frontière, ne savaient, vivants, où reposer leurs têtes, on pouvait se demander également où reposaient leurs morts, car jamais on ne vit tombe de bohémiens. Si bien que la légende raconte qu'ils détournent le lit des ruisseaux pour y enfouir les corps qu'ils veulent sauver de la profanation des roumis (...) » (Rouletabille Chez Les Bohémiens, chapitre IX)
La Famille De Joyeuse
Dans son dixième chapitre, le terme « joyeux » revient très souvent. Nous trouvons également le personnage de Jean Des à la quête de quelques indications pour se jeter sur la trace d'Odette qui a été enlevée. Joyeux, dans ce contexte pourrait bien faire référence à la famille De Joyeuse, les seigneurs du château de Couiza, qui fut construit sur les bords de l'Aude à une petite distance de l'embouchure de la Salz. Jadis, celui-ci comptait un bâtiment carré, flanquée d'une tour ronde à chacun de ses angles. Quatre corps de logis relient entre elles les tours et servent d'encadrement, dans l'intérieur de l'édifice, à une cours d'honneur formant un quadrilatère régulier.
Bientôt la vieille basilique sort de la lagune, dresse ses tours noires au bord de la mer, découpe sur l'horizon ses mâchicoulis et son chemin de ronde, tel un château fort. Son abside est un véritable donjon qui, jadis, a pu repousser l'assaut des sarrasins...Maintenant, il couvre de son ombre la tourbe mouvante des bohémiens (...)» (Rouletabille Chez Les Bohémiens, chapitre X)
Nota: Il y une dizaine d'années, nous avons passés plusieurs jours dans cette antique demeure, qui n'était pas encore devenue un magnifique "Logis d'Exception"
Histoire oubliée
Or, par suite d'arrangements survenus probablement entre le Vicomte Jean de Joyeuse (alias Jean Des) et le chapitre de l'église cathédrale d'Alet que présidait son frère, l'Evêque Guillaume IV de Joyeuse, la suppression du prieuré de Cousan (Couiza) était facile, et le Vicomte devenait seigneur du lieu de Cousan au moyen de la fixation de la mense qui revenait à ce chapitre. Ce qui expliquerait pourquoi Gaston Leroux nous parle d'une basilique semblable à un château fort, qu'il nomme en languedocien le viei castou nou, le château neuf...
Dans ce curieux ouvrage, nous remarquerons le personnage de « Callista » qui nous renvoie à Callisto, de la mythologie grecque, la nymphe d'Arcadie aimée de Zeus. Elle fut changée en grande ours par Héra et tuée à la chasse par Artémis. Zeus fit d'elle une constellation, la Grande Ourse.
Les bergers d'Arcadie
Cette divinité féminine nous entraîne dans l'Arcadie mythique, dont certains s'accordent à dire que la légende s'est déroulée dans le Razès...
N'oublions pas que la célèbre toile de Nicolas Poussin, « Les Bergers d'Arcadie », fut recherchée par Louis XIV, qui la voulait suspendue dans sa chambre au château de Versailles : Cette toile représente trois bergers et une femme (Isis ?) auprès d'un tombeau accompagné d'une célèbre épitaphe : « et in Arcadia ego » Message initiatique ? Moi aussi j'ai suis allé en Arcadie est lourd de sens car encore aujourd'hui aucun chercheur n'à découvert le vrai sens de cette épitaphe...Et les traductions divergent selon certain la plus juste traduction serait : Vas, je recèle les secrets de Dieu mais il faut y aller sur la pointe des pieds...
Le plus surprenant dans cette toile est que ce n'est pas Poussin qui a pris modèle sur le tombeau des Pontils, situé entre Serres et Arques,(aujourd'hui détruit) car celui-ci n'existait pas au XVIIème siècle. Il fut réalisé en 1903 à la demande du petit-fils d'un industriel la famille Lawrence - qui avait acheté auparavant la propriété sur laquelle se trouvait le monument jusque dans les années 80 avant qu'il ne soit vandalisé par l'actuel propriétaire du terrain. La légende raconte que Monsieur Lawrence, ne fera rien de moins que d'embaumer le corps de sa grand-mère et ceux de ses nombreux chats, selon la volonté de la défunte, et il placera les dépouilles dans le tombeau.
Cependant, le mystère subsiste : pourquoi le paysage représenté dans le tableau de Poussin et celui, bien réel qui se trouve derrière le tombeau ?
De plus, il serait aussi extraordinaire que le peintre qui ne séjourna en France que pendant deux ans (du 17 décembre 1640 au 25 septembre 1642) ait pu quitter Paris pendant au mois trois mois pour aller peindre un paysage dans les Corbières
Une autre curiosité se rapporte à Nicolas Poussin. Celui-ci s'était choisi un sceau assez particulier : il représentait un homme tenant une nef ou une arche avec la devise tenet confidentiam : il détient le secret
Par ailleurs, « et in Arcadia ego » est une forme de phrase inconnue au XVIème siècle. On peut, curieusement la retrouver dans la crypte de l'observatoire de Paris, aux côtés d'une vierge noire... et également la retrouver sur la deuxième stèle de la tombe de Marie Nègre d'Ables d'Hautpoul, de Blanchefort, qui fut inhumée en 1781.
« (...) Callista vint se planter devant le jeune homme, éleva son bras nu à la hauteur de son visage et, lui montrant un cercle d'or où l'on avait tracé un signe mystérieux fait de la rencontre et du mélange de deux religions : la Croix et le Croissant le Tout en forme de poignard (...) » (Rouletabille chez les Bohémiens, Chapitre II)
NB : A l'adresse des curieux : N'oublions pas que la pieuvre dont nous avons abordé le symbolisme est un octopode : une image d'une étoile à huit branches dont chacune d'elles donne une direction dans un azimut. Pour plus de précision dans l'orientation de chaque rayon de cette dernière, il est nécessaire d'utiliser un rapporteur d'angle gradué en grades 400: 8 = 50 ou en millièmes 6400 : 8 = 80
Alors que le 17 avril prochain nous commémorerons le 81ème anniversaire de la mort de Gaston Leroux, nous voulons à travers ce petit article lui un rendre un hommage respectueux. Rouletabille chez les Bohémiens a d'abord été un roman, avant de devenir un film produit par l'auteur.
Dans son roman, Leroux évoque un symbole que les passionnés de Rennes le Château connaissent bien : la pieuvre. Elle se présente sous les traits d'une jeune femme appartenant à une équipe de malfrats qui fait "chanter les portes", c'est-à-dire à des arsouilles, des cambrioleurs. L'auteur assure que cette dernière est désignée par la prophétie du Livre des Ancêtres, ouvrage qui fut dépouillé de son ancienne splendeur ? Arrêtons-nous un instant et réfléchissons. "Le Livre des Ancêtres" ne serai-il pas le Sepher ha Zohar, qui dissimule le secret des Saints Sages, écrit en Castille entre 1250 et 1305 ?
Si nous savons que l'écrivain niçois ordonne à son héroïne: "...tu es de la race, descends et prends!...C'est le Livre des Ancêtres...Cette phrase nous fera réfléchir !
Un étrange symbole
La pieuvre, entre autre, est la gardienne du lac de la nuit, une allégorie des esprits infernaux qui règnent dans les enfers, c'est-à-dire dans le monde d'en-dessous, donc des souterrains, des cavernes et des grottes.
C'est elle qui figurait sculptée sur la célèbre stèle funéraire de la tombe de Marie Nègre d'Ables d'Hautpoul, de Blanchefort. D'après certain, la singulière épitaphe cacherait l'anagramme de TEMEREPO : MORTEPEE, mentionnée dans l'excellent ouvrage de notre ami Franck Marie, Rennes-Le-Château Etude Critique (Vérités Anciennes 1978). Ce mot nous conduit dans un des hauts lieux secrets de Paris l'église Saint Sulpice où au XIXe siècle, le peintre E.M. Signol réalisa en 1872 "La Mort", et "L'Epée", ces deux tableaux figurent de part d'autre de la statue de Saint Pierre, gardien du paradis, porteur des deux clés, une d'argent et l'autre d'or figurant le monde sublunaire et le monde céleste. Curieusement la signature de l'artiste comporte la lettre N inversée.
Leroux qui à l'instar de Jules Verne jouait avec les mots baptisa l'héritière du livre sacré Odette, qu'il aurait pu écrire "Audette" ...---Rouletabille chez les Bohémiens chapitre IX---
L'action de ce livre se déroule dans le Languedoc et aux Saintes Maries de la Mer où tous les ans les Gitans se réunissent le 25 mai pour honorer Sara la Noire, image l'antique déesse que l'on honore et vénère dans la crypte miraculeuse. Notre ami Pierre-Guy Geneuil, le Narvalo, auteur d'un remarquable livre sur "La symbolique gitane", que nous saluons ici, connait tous les secrets du peuple du vent et bien d'autres que nous n'évoquerons pas ici...
A la manière d'Henri Boudet, l'auteur de la Vraie Langue Celtique et le Cromleck de Rennes-Les-Bains, Gaston Leroux a inséré dans son livre nombreuses phrases en languedocien. Vous avez dit bizarre ? Vous avez raison !
« (...) Si les bohémiens, chassés de frontière en frontière, ne savaient, vivants, où reposer leurs têtes, on pouvait se demander également où reposaient leurs morts, car jamais on ne vit tombe de bohémiens. Si bien que la légende raconte qu'ils détournent le lit des ruisseaux pour y enfouir les corps qu'ils veulent sauver de la profanation des roumis (...) » (Rouletabille Chez Les Bohémiens, chapitre IX)
La Famille De Joyeuse
Dans son dixième chapitre, le terme « joyeux » revient très souvent. Nous trouvons également le personnage de Jean Des à la quête de quelques indications pour se jeter sur la trace d'Odette qui a été enlevée. Joyeux, dans ce contexte pourrait bien faire référence à la famille De Joyeuse, les seigneurs du château de Couiza, qui fut construit sur les bords de l'Aude à une petite distance de l'embouchure de la Salz. Jadis, celui-ci comptait un bâtiment carré, flanquée d'une tour ronde à chacun de ses angles. Quatre corps de logis relient entre elles les tours et servent d'encadrement, dans l'intérieur de l'édifice, à une cours d'honneur formant un quadrilatère régulier.
Bientôt la vieille basilique sort de la lagune, dresse ses tours noires au bord de la mer, découpe sur l'horizon ses mâchicoulis et son chemin de ronde, tel un château fort. Son abside est un véritable donjon qui, jadis, a pu repousser l'assaut des sarrasins...Maintenant, il couvre de son ombre la tourbe mouvante des bohémiens (...)» (Rouletabille Chez Les Bohémiens, chapitre X)
Nota: Il y une dizaine d'années, nous avons passés plusieurs jours dans cette antique demeure, qui n'était pas encore devenue un magnifique "Logis d'Exception"
Histoire oubliée
Or, par suite d'arrangements survenus probablement entre le Vicomte Jean de Joyeuse (alias Jean Des) et le chapitre de l'église cathédrale d'Alet que présidait son frère, l'Evêque Guillaume IV de Joyeuse, la suppression du prieuré de Cousan (Couiza) était facile, et le Vicomte devenait seigneur du lieu de Cousan au moyen de la fixation de la mense qui revenait à ce chapitre. Ce qui expliquerait pourquoi Gaston Leroux nous parle d'une basilique semblable à un château fort, qu'il nomme en languedocien le viei castou nou, le château neuf...
Dans ce curieux ouvrage, nous remarquerons le personnage de « Callista » qui nous renvoie à Callisto, de la mythologie grecque, la nymphe d'Arcadie aimée de Zeus. Elle fut changée en grande ours par Héra et tuée à la chasse par Artémis. Zeus fit d'elle une constellation, la Grande Ourse.
Les bergers d'Arcadie
Cette divinité féminine nous entraîne dans l'Arcadie mythique, dont certains s'accordent à dire que la légende s'est déroulée dans le Razès...
N'oublions pas que la célèbre toile de Nicolas Poussin, « Les Bergers d'Arcadie », fut recherchée par Louis XIV, qui la voulait suspendue dans sa chambre au château de Versailles : Cette toile représente trois bergers et une femme (Isis ?) auprès d'un tombeau accompagné d'une célèbre épitaphe : « et in Arcadia ego » Message initiatique ? Moi aussi j'ai suis allé en Arcadie est lourd de sens car encore aujourd'hui aucun chercheur n'à découvert le vrai sens de cette épitaphe...Et les traductions divergent selon certain la plus juste traduction serait : Vas, je recèle les secrets de Dieu mais il faut y aller sur la pointe des pieds...
Le plus surprenant dans cette toile est que ce n'est pas Poussin qui a pris modèle sur le tombeau des Pontils, situé entre Serres et Arques,(aujourd'hui détruit) car celui-ci n'existait pas au XVIIème siècle. Il fut réalisé en 1903 à la demande du petit-fils d'un industriel la famille Lawrence - qui avait acheté auparavant la propriété sur laquelle se trouvait le monument jusque dans les années 80 avant qu'il ne soit vandalisé par l'actuel propriétaire du terrain. La légende raconte que Monsieur Lawrence, ne fera rien de moins que d'embaumer le corps de sa grand-mère et ceux de ses nombreux chats, selon la volonté de la défunte, et il placera les dépouilles dans le tombeau.
Cependant, le mystère subsiste : pourquoi le paysage représenté dans le tableau de Poussin et celui, bien réel qui se trouve derrière le tombeau ?
De plus, il serait aussi extraordinaire que le peintre qui ne séjourna en France que pendant deux ans (du 17 décembre 1640 au 25 septembre 1642) ait pu quitter Paris pendant au mois trois mois pour aller peindre un paysage dans les Corbières
Une autre curiosité se rapporte à Nicolas Poussin. Celui-ci s'était choisi un sceau assez particulier : il représentait un homme tenant une nef ou une arche avec la devise tenet confidentiam : il détient le secret
Par ailleurs, « et in Arcadia ego » est une forme de phrase inconnue au XVIème siècle. On peut, curieusement la retrouver dans la crypte de l'observatoire de Paris, aux côtés d'une vierge noire... et également la retrouver sur la deuxième stèle de la tombe de Marie Nègre d'Ables d'Hautpoul, de Blanchefort, qui fut inhumée en 1781.
« (...) Callista vint se planter devant le jeune homme, éleva son bras nu à la hauteur de son visage et, lui montrant un cercle d'or où l'on avait tracé un signe mystérieux fait de la rencontre et du mélange de deux religions : la Croix et le Croissant le Tout en forme de poignard (...) » (Rouletabille chez les Bohémiens, Chapitre II)
NB : A l'adresse des curieux : N'oublions pas que la pieuvre dont nous avons abordé le symbolisme est un octopode : une image d'une étoile à huit branches dont chacune d'elles donne une direction dans un azimut. Pour plus de précision dans l'orientation de chaque rayon de cette dernière, il est nécessaire d'utiliser un rapporteur d'angle gradué en grades 400: 8 = 50 ou en millièmes 6400 : 8 = 80
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