Pour le souvenir de l'ovni et ses Aliens de Emilcin, en Pologne...
Christian Macé en parle sur son Blog, pour ceux et celles qui ne connaissent pas l'histoire:
Les petits hommes verts de Lubin (Pologne) le 10 Mai 1978.
(Scanne Mikerynos)Touraine - Insolite
J'ai retrouvé cette histoire dans mes archives papiers, je fais un scanne pour ceux qui ne la connaisse pas, c'est un cas très peu connu et assez étrange, mais classique dans son déroulement. Le texte suivra, dès que j'aurais un peu de courage... Pour le moment, je vous propose cette histoire en BD, telle que je l'ai découverte.
Source perso.
1978, 10 mai, POLOGNE, Emilcin
Jan Wolsky, vieux paysan de 71 ans conduisait sa carriole attelée à une mule à travers une forêt proche d'Emilcin ( à 130 km au sud-est de Varsovie). "Soudain j'aperçus deux petits hommes se tenant au bord du chemin forestier. Lorsque ma carriole arriva à leur hauteur je me rendis compte qu'ils n'avaient rien de normal. Ce n'étaient pas des nains, comme je l'avais cru d'abord. Ce n'étaient même pas des hommes, mais des créatures de cauchemar. Comme je suis croyant je crus avoir une vision diabolique. Je me pinçai et me forçai à reprendre mes esprits, mais rien n'y fit, ce que j'avais sous les yeux était bien réel. Ces monstres avaient le visage de couleur verdâtre avec deux grands yeux en oblique. Ils portaient une combinaison d'une seule pièce et des manches sortaient des mains aux doigts palmés." Ces androïdes sautaient dans la carriole sans prendre d'élan et sans effort et lui intimèrent l'ordre de poursuivre sa route.
Quelques dizaines de mètres plus loin ils lui désignèrent un petit sentier perpendiculaire dans lequel il engagea sa mule. Parvenu dans une clairière Wolsky, qui n'en croyait pas ses yeux vit un objet étrange, de la taille d'un autobus, flottant dans l'air à quelques mètres de hauteur et animé d'un lent mouvement de tangage, comme une barque sur l'eau d'un lac à peine agité par le vent. "Les deux nains se saisirent de moi et m'emmenèrent au-dessous de l'engin. Une plate-forme en sortit et vint se poser à terre en sifflant. Nous y prîmes place tous les trois et nous fûmes aussitôt entraînés dans les flancs du vaisseau. La salle dans laquelle nous débouchâmes était sombre malgré de nombreux hublots.
Elle était absolument vide à l'exception d'une vingtaine d'oiseaux de la forêt apparemment vivants mais figés dans une immobilité complète. Je commençais à m'affoler quand deux créatures pénétrèrent dans la salle portant chacun à la main un appareil émettant un ronflement et des cliquetis. L'un d'eux me fit comprendre par geste que je devais me déshabiller. Quand ce fut fait ils promenaient leurs appareils sur tout mon corps. Puis, ils les rangèrent et je pus me rhabiller. Ensuite je ne sus plus quoi faire. Ils me regardaient en silence sans faire un geste.
Timidement je me suis dirigé vers le sas par où j'étais entré. L'un d'eux inclina légèrement la tête et fit comme un sourire. A peine avais-je mis les pieds sur la plate-forme qu'elle me descendit à terre avec le même sifflement. Je pris alors ma carriole et rentrai chez moi sans demander mon reste." (J.-L. B. - Nostra - 23.7.1980)
Source: http://users.skynet.be/sky84985/chron22.html
Christian Macé en parle sur son Blog, pour ceux et celles qui ne connaissent pas l'histoire:
Les petits hommes verts de Lubin (Pologne) le 10 Mai 1978.
(Scanne Mikerynos)Touraine - Insolite
J'ai retrouvé cette histoire dans mes archives papiers, je fais un scanne pour ceux qui ne la connaisse pas, c'est un cas très peu connu et assez étrange, mais classique dans son déroulement. Le texte suivra, dès que j'aurais un peu de courage... Pour le moment, je vous propose cette histoire en BD, telle que je l'ai découverte.
Source perso.
1978, 10 mai, POLOGNE, Emilcin
Jan Wolsky, vieux paysan de 71 ans conduisait sa carriole attelée à une mule à travers une forêt proche d'Emilcin ( à 130 km au sud-est de Varsovie). "Soudain j'aperçus deux petits hommes se tenant au bord du chemin forestier. Lorsque ma carriole arriva à leur hauteur je me rendis compte qu'ils n'avaient rien de normal. Ce n'étaient pas des nains, comme je l'avais cru d'abord. Ce n'étaient même pas des hommes, mais des créatures de cauchemar. Comme je suis croyant je crus avoir une vision diabolique. Je me pinçai et me forçai à reprendre mes esprits, mais rien n'y fit, ce que j'avais sous les yeux était bien réel. Ces monstres avaient le visage de couleur verdâtre avec deux grands yeux en oblique. Ils portaient une combinaison d'une seule pièce et des manches sortaient des mains aux doigts palmés." Ces androïdes sautaient dans la carriole sans prendre d'élan et sans effort et lui intimèrent l'ordre de poursuivre sa route.
Quelques dizaines de mètres plus loin ils lui désignèrent un petit sentier perpendiculaire dans lequel il engagea sa mule. Parvenu dans une clairière Wolsky, qui n'en croyait pas ses yeux vit un objet étrange, de la taille d'un autobus, flottant dans l'air à quelques mètres de hauteur et animé d'un lent mouvement de tangage, comme une barque sur l'eau d'un lac à peine agité par le vent. "Les deux nains se saisirent de moi et m'emmenèrent au-dessous de l'engin. Une plate-forme en sortit et vint se poser à terre en sifflant. Nous y prîmes place tous les trois et nous fûmes aussitôt entraînés dans les flancs du vaisseau. La salle dans laquelle nous débouchâmes était sombre malgré de nombreux hublots.
Elle était absolument vide à l'exception d'une vingtaine d'oiseaux de la forêt apparemment vivants mais figés dans une immobilité complète. Je commençais à m'affoler quand deux créatures pénétrèrent dans la salle portant chacun à la main un appareil émettant un ronflement et des cliquetis. L'un d'eux me fit comprendre par geste que je devais me déshabiller. Quand ce fut fait ils promenaient leurs appareils sur tout mon corps. Puis, ils les rangèrent et je pus me rhabiller. Ensuite je ne sus plus quoi faire. Ils me regardaient en silence sans faire un geste.
Timidement je me suis dirigé vers le sas par où j'étais entré. L'un d'eux inclina légèrement la tête et fit comme un sourire. A peine avais-je mis les pieds sur la plate-forme qu'elle me descendit à terre avec le même sifflement. Je pris alors ma carriole et rentrai chez moi sans demander mon reste." (J.-L. B. - Nostra - 23.7.1980)
Source: http://users.skynet.be/sky84985/chron22.html
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