Un airbus a disparu o_O

je pense qu'avec les moyens et le fait que quelques heures après les bateaux etc. aient été envoyé... bref pas mal de moyens, donc ... possible de trouver des corps

-6 corps repêchés-

Plus aucunes incertitudes de ce côté. Dur pour les familles...

Pour aller dans le sens de SergentGarcia, je vais rapporter une chose que j'ai vue quand j'étais gamin et qui montre la puissance de la foudre.
Par un matin d'orage, je regardais par la fenêtre. Soudain je vis foncer sur un tilleul situé à 30 m un morceau de nuage.Vous avez bien lu, ce n'était ni un éclair, ni de la foudre globulaire, mais véritablement un petit morceau de nuage. Dans un grand fracas, une très grosse branche de l'arbre fut cisaillée.
Imaginez la même chose sur une aile d'avion....

aujourd'hui j'ai discuté avec une amie suisse de cette histoire et oh surprise nous n'avons absolument pas eut les mêmes informations nationales "officielles" ...
pour les suisses l'hypothèse principale serait expliquée dans ce lien là
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g_8xARLLzYiGbGbS67Edu0yuEM7g

c'est sur que ça foutrait un sacré "coup de pub" pour airfrance...

le problème c'est que le risque 0 n'existe pas

il y aura toujours des situations, des scénarios où les instruments de vol/mesure etc. seront défaillants...

maintenant vu le nombres de vols dans les mêmes situations qui se sont déroulés dans de bonnes conditions... bref ... en tout cas cela reste horrible pour les familles / proches des victimes

tadzia a écrit:aujourd'hui j'ai discuté avec une amie suisse de cette histoire et oh surprise nous n'avons absolument pas eut les mêmes informations nationales "officielles" ...
pour les suisses l'hypothèse principale serait expliquée dans ce lien là
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g_8xARLLzYiGbGbS67Edu0yuEM7g

c'est sur que ça foutrait un sacré "coup de pub" pour airfrance...

C'est une hypothèse à ne pas écarter, même si elle déplait au constructeur !
Les capteurs Pitot (ou tubes de Pitot, ce sont les quatres tiges situées au nez d'un F-117, alors que pour un Airbus ils sont intégrés dans le fuselage de l'appareil)

Le disfonctionnement de ces capteurs était déjà la cause du crash d'un B2 en février 2008
http://ufologie.forum-actif.net/l-histoire-de-l-aviation-f31/le-crash-du-b-2a-spirit-of-kansas-t2278.htm

Sur les tubes de Pitot
http://auditoires-physique.epfl.ch/uploads//109/109.pdf

Ce coup ci des gros morceaux de l'appareil viennent d'être retrouvés... Plus aucun doute sur la zone du crash. Une semaine déjà...

Air France ou Airbus ?

Ce n'est un secret pour personne, EuroCockpit a toujours dit haut et fort la relative méfiance qu'il éprouvait à l'égard de certaines communications du BEA. Tout ce que nous dit le BEA, nous vérifions. Tout ce qu'il écrit, nous vérifions deux fois.

Sainte Odile ? Habsheim ? Flash Airlines ? Concorde ? Douala ? Cayenne ? Toronto ? Autant d'occasions d'être un peu échaudés par la communication officielle, destinée principalement à la presse qui imprime la bonne parole sans imaginer un instant qu'il puisse y avoir d'autres versions que les versions estampillées "République Française".

Un constat s'impose : le retour d'expérience est mort, et avec lui probablement les 228 passagers et membres d'équipage du vol AF447. Pour bien comprendre pourquoi et comment on en est arrivés là, il faut reprendre la tragédie au début.

La suite sur:
http://www.eurocockpit.com/

Voici la liste des messages ACARS reçus par Air France et qui concernent les dernières minutes du vol AF447.

Destination......final

Elle meurt dans un accident après avoir échappé au crash de l'Airbus A330. Alors le destin existe?

http://fr.news.yahoo.com/63/20090611/tod-elle-meurt-dans-un-accident-aprs-avo-366b5ef.html

Au moins, son corps a été retrouvé...

Vol AF447 : disloqué en plein ciel ?
Crash de l'Airbus. Toujours pas d'explication de la part des enquêteurs.

L'enquête piétine. Malgré de puissants moyens mis à la disposition du BEA, les causes du crash sont encore inconnues.Dislocation en vol. Les débris repêchés et l'autopsie des corps retrouvés peuvent accréditer cette thèse.

Presque trois semaines après le crash du vol AF 447, le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) peine encore à avancer des explications au drame. Même s'il a assuré cette semaine qu'il se rapprochait du but, la disparition de l'Airbus des écrans radar le 1er juin reste pour l'heure encore un mystère.

La piste de la dislocation. Les autopsies des corps retrouvés dans l'Atlantique commencent à révéler quelques pistes. Selon un médecin brésilien spécialisé dans les analyses médico-légales, les nombreuses fractures des victimes, aux jambes, aux hanches et aux bras, laisseraient penser à une dislocation de l'appareil. En cas de crash direct dans l'eau, les corps auraient été plus sévèrement touchés. C'est ce qu'il s'était passé lors du crash de Charm el Cheikh en janvier 2004. Par ailleurs, l'absence de vêtements sur les corps renforce la théorie de la dislocation qui aurait provoqué une très puissante dépressurisation dans la cabine, déchirant les habits.



Silence sur les messages. Les messages de maintenance Accar que l'Airbus a émis (24 messages lors des quatre dernières minutes du vol) font l'objet d'analyses par les enquêteurs. Le BEA se refuse cependant a faire communication de conclusions dans ce domaine : c'est silence radio. Il est toutefois établi que les derniers messages de panne des systèmes sont liés à un dysfonctionnement des sondes de vitesse Pitot.

Des boîtes noires introuvables. Malgré les moyens titanesques sur place avec un sous-marin nucléaire d'attaque, les fonds marins restent muets. Les recherches s'étendent sur un périmètre très large : une zone de 80 km de rayon. Le mauvais temps et les grosses vagues compliquent le travail des sauveteurs. La profondeur des fonds dont le relief est comparable à celui de la cordillère des Andes, varie entre 1 000 et 4 600 mètres.

Jusqu'à quand les recherches seront-elles maintenues ? Sur ce sujet, les autorités brésiliennes ont fait marche arrière. Elles avaient d'abord évoqué un arrêt de recherches pour aujourd'hui. Finalement, les militaires ont assuré que les recherches se poursuivraient « aussi longtemps » qu'il existera une chance de récupérer de nouveaux corps. Ils ont toutefois fixé la date butoir au 25 juin et évaluent tous les deux jours s'il faut maintenir ou arrêter les recherches. Pour l'heure seuls 50 corps sur les 228 victimes ont été repêchés.

Gil Bousquet
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Autopsies : polémique franco-brésilienne

Alors que la procédure d'identification formelle des corps repêchés des victimes de la catastrophe devrait débuter ce dimanche au Brésil à Recife, à 3 000 km de Rio, d'où partent toutes les opérations de recherches, une violente polémique a éclaté avant-hier entre la France et le Brésil à propos des autopsies qui ont été entamées à l'Institut médico-légal (IML).

À Paris, Paul-Louis Arslanian, directeur du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), a fait part de son mécontentement sur le manque de coopération des Brésiliens. « Nous avions un médecin enquêteur, il n'a pas été autorisé à participer aux autopsies », a-t-il dit à la presse, ajoutant « Je ne suis pas content. » Un porte-parole du secrétariat à la Sécurité publique à Recife a répondu que les autorités locales n'avaient pas été informées de l'envoi par le BEA d'un expert, en plus des quatre médecins légistes déjà dépêchés par la justice française. Si le BEA envoie un autre spécialiste, « une fois que nous aurons reçu la documentation de l'ambassade, il aura un accès total à l'enquête. Mais les autorités locales n'ont pas été notifiées de ce cas », a-t-il ajouté. Le secrétariat à la Sécurité a souligné que la demande de participation « d'une quelconque autorité française aux travaux réalisés à la morgue doit être faite selon les voies diplomatiques ».

Hier, environ la moitié des 50 corps repêchés, a été autopsiée. Ces autopsies montrent que les corps présentent de multiples fractures aux jambes, aux hanches et aux bras. Selon le quotidien O Estado de S. Paulo, les corps ne présenteraient pas de traces de brûlures et les victimes auraient été retrouvées avec pas ou peu de vêtements sur elles. Des signes qui confirmeraient une dislocation en vol selon plusieurs experts.

Ph. R.

http://www.20minutes.fr/article/334465/Monde-Trois-victimes-du-Vol-AF-447-mortes-de-polytraumatismes.php

Trois victimes du Vol AF 447 mortes de polytraumatismes


ENQUETE - L'autopsie réalisée sur 11 victimes révèle que plusieurs sont décédées des lésions provoquées par un fort impact...

Le vol AF 447 ne se serait pas disloqué en vol



Les enquêteurs français ont exclu jeudi l’hypothèse d’une dislocation en vol de l’Airbus A330 d’Air France accidenté le 1^er juin entre Rio et Paris, sans pouvoir élucider les causes du crash. Celui-ci avait causé la mort des 228 occupants de l’appareil.

"L’avion n’a pas été détruit en vol", a déclaré Alain Bouillard, responsable de l’enquête du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA), lors d’une conférence de presse présentant un premier rapport.

Il a ainsi balayé l’hypothèse qui avait circulé dans de nombreux médias brésiliens et français d’une dislocation ou d’une explosion dans les airs de l’appareil entre Rio et Paris. Parmi les 640 débris de l’avion récupéré, le BEA n’a repéré aucune trace d’incendie, ni d’explosif.

Un violent amerrissage

"L’avion paraît avoir heurté la surface de l’eau en ligne de vol avec une forte accélération verticale", a ajouté Alain Bouillard. Un morceau de plancher retrouvé est déformé du bas vers le haut, ce qui signifie que l’appareil a touché la surface de l’eau avec "le dessous du fuselage".

Dans le galey - meuble où sont rangés les plateaux repas -, toutes les étagères sont descendues au fond, ce qui étaie l’hypothèse d’une accélération verticale qui pourrait être la conséquence de l’impact de l’appareil avec la surface de l’eau.

Le fait que la dérive soit toujours fixée à la structure de l’avion et qu’elle ait été retrouvée au milieu des autres débris confirmerait qu’elle n’a pas cassé en vol. "L’avion est arrivé entier au moment de l’impact", a dit Alain Bouillard.

Aucun gilet de sauvetage gonflé n’a été retrouvé. "Ce qui montre que visiblement les passagers n’étaient pas préparés à un amerrissage", a-t-il ajouté.

Autopsies toujours en cours

Le BEA a une nouvelle fois déploré ne pas disposer du résultat des autopsies pratiquées au Brésil sur les corps retrouvés (51 au total) et auxquelles sont associés des gendarmes français. "On a présenté des demandes pour les obtenir", a-t-il dit, estimant que l’absence des autopsies pouvait les ralentir dans leur travail.



Les autopsies des 51 corps retrouvés prennent du retard. [Keystone] Dans son rapport, le BEA a également relevé une défaillance de communication entre les centres de contrôle aériens brésilien et sénégalais en charge de l’avion, ce qui a retardé, selon eux, le déclenchement des recherches d’une heure ou deux. Les enquêteurs ont aussi indiqué qu’ils publieraient un second rapport intermédiaire, sans pouvoir donner de date.

Et si le vol AF 447 Rio-Paris, qui s'est abîmé en mer le 1er juin dernier, avait été victime d'un trou noir ?

Le quotidien «Le Figaro» relève dans son édition de jeudi des similitudes mystérieuses entre ce vol et un autre vol Air

France Rio-Paris le 29 novembre dernier, qui pourraient aider à comprendre la catastrophe du 1er juin 2009.

Le vol AF 445 a décollé de Rio de Janeiro le dimanche 29 novembre à 17 h 20 (temps universel) et a rencontré une zone de fortes perturbations quatre heures après le décollage,«exactement» là où le dernier vol 447 de juin a disparu.L'équipage a émis un "message radio d'urgence" ("mayday") pour indiquer qu'il changeait d'altitude de vol et descendre d'environ 600 mètres car il n'avait pu obtenir "une autorisation immédiate de la part du contrôle aérien" pour cette manœuvre, explique une porte-parole d'Air France.

Puis l'avion "serait passé du niveau 330 (33.000 pieds, soit 11.000 mètres) au niveau 280 (28.000 pieds, soit 8.500 mètres), soit une chute de 2.500 mètres", affirme pour sa part Le Figaro. "Or, en cas de turbulences, la procédure ne prévoit de descendre que de 300 pieds, c'est-à-dire 100 mètres", ajoute le journal.
Un passager sur ce vol (siège 4 K) explique d'ailleurs sur des blogs avoir eu le sentiment «que l'avion n'était plus contrôlé» et évoque la panique du personnel navigant commercial...

Voir l'article sur le Figaro