Bonjour;
En lisant diverse histoires sur la zone 51 je suis tombé sur un cas assez exceptionnel le cas Bob Lazar une histoire hallucinante là voici:
Lazar déclare avoir travaillé de 1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos, au labo de Physique des Mesons avec un niveau de sécurité Q. En 1985, alors qu'il était en vacances au Nevada, il se décida à acheter maison de prostitution légale ; l'investissement se révéla si profitable qu'il n'eut pas besoin de retrouver un travail à temps plein pour un moment. Il partit dans le Nevada en 1986. En 1988, alors qu'il désirait retravailler dans le milieu scientifique, il fut engagé, d'après ses dires, pour travailler sur le projet top-secret Galileo. Lazar passa un test de détection de mensonge en 1989, préparé par Georges Knapp, alors présentateur à KLAS-TV, la filiale de CBS au Nevada, pour une série locale spéciale, "OVNI : La Meilleure Preuve".
L'Histoire :
En 1988, je décidais de regagner la communauté scientifique en envoyais des curriculum vitae à diverses personnes. Finalement, j'obtins un entretien avec une firme de placement afin de travailler pour le Département des Renseignements Navals en tant que civil, et je fus engagé au pied levé fin 1988 afin de travailler sur un projet intégrant des systèmes de propulsion avancés. C'était, à ce moment, tout ce que je savais. Peu de temps après, je fus convoyé par air avec diverses autres personnes sur la zone 51 (area 51) sur l'Espace Aérien de Nellis. Là, nous fûmes placés dans un bus aux vitres assombries et conduits à environ 25 km plus au sud près du lac Papoose, entouré des montagnes de Papoose, où se situait une installation nommée "S-4"
Je fus présenté à mon superviseur ainsi qu'à un collaborateur puis reçu tout un ensemble de briefings à propos de divers projets, dont le projet Galileo, dont le but était l'étude de neufs appareils extra-terrestres de forme discoïdale, récupérés en quelque circonstance par le gouvernement Américain.
Je fus affecté à des taches d'ingénierie sur le réacteur et sur le système de propulsion gravitationnelle d'un de ces disques - essentiellement dans le but de déterminer comment il fonctionnait. Je ne sais pas s'il s'agissait d'une récupération suite à un crash, bien qu'en doutant, parce que le disque n'apparaissait endommagé en aucune façon. Dans les rapports de briefing figuraient des photographies de divers disques accompagnées de certaines des informations qu'ils avaient déjà obtenues d'autres ingénieurs de recherche. J'étais à la fois stupéfait et exalté. Mais partout se trouvaient des gardes très bien armés, et ce lieu n'était pas, à proprement parler, le type d'environnement où vous pouviez poser toutes les questions qui vous venaient à l'esprit. La sécurité, en fait, se révélait oppressante.
Nous étions escortés partout, même aux toilettes. Et si par malheur votre badge d'identification n'était pas exactement à sa place, vous pouviez d'être appréhendé par un garde qui vous tenait en respect, son arme pointée sur votre tête, jusqu'à ce que votre superviseur arrive. Et les gardes, eux, ne vivaient que pour cela. L'ensemble semblait à certains moments tout simplement surréaliste. Il y avait des posters du disque sur lequel je travaillais, que j'avais surnommé le Modèle Sport, affichés sur des murs, où l'on pouvait lire : "Ils sont là". Je ne m'occupais que des sources de puissance et des systèmes de propulsion sur un des disques, et eu l'occasion de pénétrer dans ce disque en diverses occasions. Il faisait approximativement 4,50 m de haut et 16 m de diamètre. Il avait une texture d'acier inoxydable gratté ou d'aluminium gratté. Je n'en fis pas d'analyse et ne sais donc pas s'il s'agissait de métal, mais je pus le toucher et il était froid comme le métal, et avait l'apparence du métal. Il n'avait aucune jointure physique, aucune soudure, boulons ou rivets, et semblait comme moulé par injection. A l'intérieur se trouvaient de tout petits sièges, bien trop petits pour permettre à un homme moyen de s'y asseoir confortablement. Je me cogna la tête à l'extrémité de l'appareil, ce qui me permis de conclure que le plafond s'incurvait à l'intérieur jusqu'à une hauteur inférieure à 1,80 m. Il n'y avait d'angle droit nulle part dans l'appareil. Tout était agencé en courbes douces. Le réacteur, qui produisait de l'antimatière et réagissait avec la matière dans une réaction d'annihilation, ne faisait que 45 cm de diamètre, 30 cm de hauteur, et était situé au centre du disque. ( ... ). La façon dont il accélérait les protons en son sein, dont la chaleur était convertie en électricité, était totalement harmonieuse sans aucune perte de chaleur ni énergie latente.
C'était phénoménal, approchant une efficacité dynamique de 100 %. Cela semble aujourd'hui impossible lorsque vous regardez les lois de la thermodynamique. Tout ce que je puis dire est que cette technologie se situe bien au-delà de tout ce que nous pouvons savoir en ce vingtième siècle. Le réacteur était alimenté avec un élément non trouvé sur la Terre. Une partie de ma contribution à ce programme fut de trouver où cet élément se trouvait dans la classification périodique des éléments. En fait, je ne pu le situer nulle part, aussi nous le plaçames au numéro atomique 115. Une théorie stipula à une époque que les éléments autour de 113, 114 et 115 pourrait devenir stables et non-radioactifs, et c'était apparemment ce à quoi nous étions confrontés. L'élément 115 est un élément stable, mais avec certaines propriétés intéressantes. Il peut être utilisé dans le réacteur en tant que carburant, mais également en tant que source de champ d'énergie accédée et amplifiée par les amplificateurs gravitationnels de l'appareil. En d'autres mots, l'appareil était à la fois alimenté en carburant et propulsé par les vertus de l'élément 115. Il y avait une réserve de disques d'élément 115 de la taille d'un dollar argent dont des parts triangulaires étaient coupées et mise dans le réacteur.
Il était d'une teinte orange-cuivre et extrêmement lourd. Bien qu'étant non radioactif, nous le supposions composé d'un matériau toxique et le manipulions en conséquence. Dans tous les disques situés à S4 se trouvaient trois amplificateurs gravitationnels positionnés en triade à la base de l'appareil. Ils constituaient le dispositif de propulsion. Ce qu'ils faisaient étaient essentiellement d'amplifier les ondes gravitationnelles en déphasage avec celles de la terre.
L'appareil fonctionnait en deux modes - omicron et delta, indiquant combien d'amplificateurs gravitationnels étaient utilisés. Dans la configuration omicron, seul un amplificateur était utilisé ; les deux autres étaient basculés et rentrés à l'intérieur du disque. En mode omicron, les appareils pouvaient s'élever et effectuer un vol stationnaire mais pas grand chose d'autre. Pour quitter l'atmosphère, par contre, les trois amplificateurs gravitationnels devaient être activés et dirigés dans la direction voulue. En fait, les appareils ne voyagent pas selon un mode linéaire. Nous déterminions que les disques produisaient plutôt leurs propres champs gravitationnels afin de distordre l'espace-temps et d'attirer en fait leurs destination vers eux. Un après-midi, mes collègues et moi nous rendîmes à l'extérieur, sur le lac. Le disque sur lequel je travaillais, le Modèle Sport, avait déjà été sorti du hangar et commençait à s'élever. A part un léger sifflement, il ne faisait aucun bruit. Il s'éleva jusqu'à une hauteur de 10 m environ. Le sifflement cessa et il se mit à flotter simplement dans les airs, se déplaçant à gauche, à droite. C'était absolument incroyable.
L'information est compartimentée de telle manière que ce fut là toute l'information et l'expérience auxquelles que je fus autorisé à accéder, bien que nous eûmes, à certains moments précis et courts, l'occasion de lire des rapports de briefing détaillant d'autres aspect de ce projet. Les rapports que je lus concernant les systèmes de puissance et de propulsion étaient précis, ce dont je me rendis compte en travaillant moi-même sur le système. Je pus mettre en relation ce que je savais être vrai et ce que je pu lire dans les autres rapports de briefing. Sachant tout cela, je lus des rapports sur l'origine de ces disques. D'après l'un des rapports, il provenait du système stellaire Zeta Reticuli. N'étant évidemment pas allé à ce système dans un appareil, je ne saurais dire s'il venait vraiment de là.
Je ne parla à aucun extra-terrestre ni n'en vis aucun, et ne sais donc pas non plus s'ils existent ou non. Le rapport indiquait également qu'un contact avait été effectué à une certaine date ; cependant, toutes les dates étaient codées. De plus, toujours d'après ce rapport, ces êtres avaient indiqué à nos représentants officiels qu'ils venaient ici depuis 10000 ans, que les humains étaient le produit d'une évolution externe contrôlée, et qu'ils étaient entièrement responsable de l'évolution accélérée de l'homme. Ma tolérance à la sécurité intensive diminua rapidement. Parce qu'ils surveillaient mes communications téléphoniques 24h/24, ils apprirent que j'avais des problèmes de couple et me dirent que cette situation faisaient de moi un candidat à "l'instabilité émotionnelle". Ils me confisquèrent alors ma carte d'accès et me dirent que je pourrais en bénéficier à nouveau dans six mois. Je connaissais alors le planning des tests, et ne pu résister à montrer à des amis, une nuit et à distance, ce sur quoi j'avais travaillé. Nous traversames le désert et observèrent un vol de test. Cela nous marqua à tel point que nous ne pûmes résister à revenir, encore et encore. Cependant, la troisième fois, nous fûmes arrêtés par les gardes de la Sécurité de Wackenut et fûmes emmenés au Bureau de Gestion du Territoire entourant la zone.
Inutile de dire que les officiers de Nellis étaient plutôt mécontents. Je fus débrieffé. J'eus peur et sentis qu'il était temps pour moi d'arrêter tout cela tant que j'en avais encore la possibilité. Je croyais non seulement que cette technologie devait être communiquée à la plus haute communauté scientifique, mais aussi que ma seule protection était de dévoiler cette histoire. Un ami me convint de parler à George Knapp de KLAS-TV. Je me dis que s'ils me tuaient, cela ne pourrait que prouver que ce que je disais était vrai. Beaucoup de scientifiques considèrent qu'il ne peut exister aucun disque extra-terrestre ici et que les extra-terrestres n'auraient aucune chance de venir ici en particulier, en raison de la trop grande distance à parcourir, de l'énergie nécessaire, et qu'il n'existe aucun chemin assez rapide même à la vitesse de la lumière. Ce que j'ai décris est ce que j'ai vécu, bien qu'à certains égards je regrette de l'avoir rendu public. Si c'était à refaire, j'adopterai sans doute une attitude plus disciplinée.
Critique :
Nous avons tout à fait établit que Lazar a travaillé à Los Alamos, mais sans savoir ce qu'il y fit exactement indique Mark Rodeghier. En ce qui concerne l'élément 115, les physiciens admettent que l'existence d'un tel élément est théoriquement possible, mais que nous ne savons ni le fabriquer ni simplement le trouver. Que Lazar déclare avoir travaillé avec cet élément n'est donc pas forcément insensé, mais reste complètement invérifiable. Enfin, il semble en savoir assez pour avoir réellement travaillé dans la zone 51 ou Dreamland où des appareils secrets sont testés, mais cette histoire reste un mystère ténébreux. En résumé : C'est impossible à vérifier. Nous n'avons pu, malgré nos investigations, trouver personne pouvant corroborer les dires de Lazar.
Conclusion
La zone 51, en se soustrayant au monde (la zone est invisible sur les cartes !) n'a fait qu'alimenter la thèse conspirationniste. Bob Lazar quant à lui confirme cette thère. L'impossibilité totale de trouver des infos concernant Bob Lazar que ce soit de son travail à Los Alamos ou à S4, l'impossibilité de se procurer son acte de naissance (!) ne fait que renforcer cette thèse déjà bien riche. Donc, oui je pense que la zone 51 renferme bien des secrets, mais je ne pense pas qu'ils sont forcement étrangers à notre planète. Par contre, l'inspiration elle...
source:http://www.secret-realite.net/
En lisant diverse histoires sur la zone 51 je suis tombé sur un cas assez exceptionnel le cas Bob Lazar une histoire hallucinante là voici:
Lazar déclare avoir travaillé de 1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos, au labo de Physique des Mesons avec un niveau de sécurité Q. En 1985, alors qu'il était en vacances au Nevada, il se décida à acheter maison de prostitution légale ; l'investissement se révéla si profitable qu'il n'eut pas besoin de retrouver un travail à temps plein pour un moment. Il partit dans le Nevada en 1986. En 1988, alors qu'il désirait retravailler dans le milieu scientifique, il fut engagé, d'après ses dires, pour travailler sur le projet top-secret Galileo. Lazar passa un test de détection de mensonge en 1989, préparé par Georges Knapp, alors présentateur à KLAS-TV, la filiale de CBS au Nevada, pour une série locale spéciale, "OVNI : La Meilleure Preuve".
L'Histoire :
En 1988, je décidais de regagner la communauté scientifique en envoyais des curriculum vitae à diverses personnes. Finalement, j'obtins un entretien avec une firme de placement afin de travailler pour le Département des Renseignements Navals en tant que civil, et je fus engagé au pied levé fin 1988 afin de travailler sur un projet intégrant des systèmes de propulsion avancés. C'était, à ce moment, tout ce que je savais. Peu de temps après, je fus convoyé par air avec diverses autres personnes sur la zone 51 (area 51) sur l'Espace Aérien de Nellis. Là, nous fûmes placés dans un bus aux vitres assombries et conduits à environ 25 km plus au sud près du lac Papoose, entouré des montagnes de Papoose, où se situait une installation nommée "S-4"
Je fus présenté à mon superviseur ainsi qu'à un collaborateur puis reçu tout un ensemble de briefings à propos de divers projets, dont le projet Galileo, dont le but était l'étude de neufs appareils extra-terrestres de forme discoïdale, récupérés en quelque circonstance par le gouvernement Américain.
Je fus affecté à des taches d'ingénierie sur le réacteur et sur le système de propulsion gravitationnelle d'un de ces disques - essentiellement dans le but de déterminer comment il fonctionnait. Je ne sais pas s'il s'agissait d'une récupération suite à un crash, bien qu'en doutant, parce que le disque n'apparaissait endommagé en aucune façon. Dans les rapports de briefing figuraient des photographies de divers disques accompagnées de certaines des informations qu'ils avaient déjà obtenues d'autres ingénieurs de recherche. J'étais à la fois stupéfait et exalté. Mais partout se trouvaient des gardes très bien armés, et ce lieu n'était pas, à proprement parler, le type d'environnement où vous pouviez poser toutes les questions qui vous venaient à l'esprit. La sécurité, en fait, se révélait oppressante.
Nous étions escortés partout, même aux toilettes. Et si par malheur votre badge d'identification n'était pas exactement à sa place, vous pouviez d'être appréhendé par un garde qui vous tenait en respect, son arme pointée sur votre tête, jusqu'à ce que votre superviseur arrive. Et les gardes, eux, ne vivaient que pour cela. L'ensemble semblait à certains moments tout simplement surréaliste. Il y avait des posters du disque sur lequel je travaillais, que j'avais surnommé le Modèle Sport, affichés sur des murs, où l'on pouvait lire : "Ils sont là". Je ne m'occupais que des sources de puissance et des systèmes de propulsion sur un des disques, et eu l'occasion de pénétrer dans ce disque en diverses occasions. Il faisait approximativement 4,50 m de haut et 16 m de diamètre. Il avait une texture d'acier inoxydable gratté ou d'aluminium gratté. Je n'en fis pas d'analyse et ne sais donc pas s'il s'agissait de métal, mais je pus le toucher et il était froid comme le métal, et avait l'apparence du métal. Il n'avait aucune jointure physique, aucune soudure, boulons ou rivets, et semblait comme moulé par injection. A l'intérieur se trouvaient de tout petits sièges, bien trop petits pour permettre à un homme moyen de s'y asseoir confortablement. Je me cogna la tête à l'extrémité de l'appareil, ce qui me permis de conclure que le plafond s'incurvait à l'intérieur jusqu'à une hauteur inférieure à 1,80 m. Il n'y avait d'angle droit nulle part dans l'appareil. Tout était agencé en courbes douces. Le réacteur, qui produisait de l'antimatière et réagissait avec la matière dans une réaction d'annihilation, ne faisait que 45 cm de diamètre, 30 cm de hauteur, et était situé au centre du disque. ( ... ). La façon dont il accélérait les protons en son sein, dont la chaleur était convertie en électricité, était totalement harmonieuse sans aucune perte de chaleur ni énergie latente.
C'était phénoménal, approchant une efficacité dynamique de 100 %. Cela semble aujourd'hui impossible lorsque vous regardez les lois de la thermodynamique. Tout ce que je puis dire est que cette technologie se situe bien au-delà de tout ce que nous pouvons savoir en ce vingtième siècle. Le réacteur était alimenté avec un élément non trouvé sur la Terre. Une partie de ma contribution à ce programme fut de trouver où cet élément se trouvait dans la classification périodique des éléments. En fait, je ne pu le situer nulle part, aussi nous le plaçames au numéro atomique 115. Une théorie stipula à une époque que les éléments autour de 113, 114 et 115 pourrait devenir stables et non-radioactifs, et c'était apparemment ce à quoi nous étions confrontés. L'élément 115 est un élément stable, mais avec certaines propriétés intéressantes. Il peut être utilisé dans le réacteur en tant que carburant, mais également en tant que source de champ d'énergie accédée et amplifiée par les amplificateurs gravitationnels de l'appareil. En d'autres mots, l'appareil était à la fois alimenté en carburant et propulsé par les vertus de l'élément 115. Il y avait une réserve de disques d'élément 115 de la taille d'un dollar argent dont des parts triangulaires étaient coupées et mise dans le réacteur.
Il était d'une teinte orange-cuivre et extrêmement lourd. Bien qu'étant non radioactif, nous le supposions composé d'un matériau toxique et le manipulions en conséquence. Dans tous les disques situés à S4 se trouvaient trois amplificateurs gravitationnels positionnés en triade à la base de l'appareil. Ils constituaient le dispositif de propulsion. Ce qu'ils faisaient étaient essentiellement d'amplifier les ondes gravitationnelles en déphasage avec celles de la terre.
L'appareil fonctionnait en deux modes - omicron et delta, indiquant combien d'amplificateurs gravitationnels étaient utilisés. Dans la configuration omicron, seul un amplificateur était utilisé ; les deux autres étaient basculés et rentrés à l'intérieur du disque. En mode omicron, les appareils pouvaient s'élever et effectuer un vol stationnaire mais pas grand chose d'autre. Pour quitter l'atmosphère, par contre, les trois amplificateurs gravitationnels devaient être activés et dirigés dans la direction voulue. En fait, les appareils ne voyagent pas selon un mode linéaire. Nous déterminions que les disques produisaient plutôt leurs propres champs gravitationnels afin de distordre l'espace-temps et d'attirer en fait leurs destination vers eux. Un après-midi, mes collègues et moi nous rendîmes à l'extérieur, sur le lac. Le disque sur lequel je travaillais, le Modèle Sport, avait déjà été sorti du hangar et commençait à s'élever. A part un léger sifflement, il ne faisait aucun bruit. Il s'éleva jusqu'à une hauteur de 10 m environ. Le sifflement cessa et il se mit à flotter simplement dans les airs, se déplaçant à gauche, à droite. C'était absolument incroyable.
L'information est compartimentée de telle manière que ce fut là toute l'information et l'expérience auxquelles que je fus autorisé à accéder, bien que nous eûmes, à certains moments précis et courts, l'occasion de lire des rapports de briefing détaillant d'autres aspect de ce projet. Les rapports que je lus concernant les systèmes de puissance et de propulsion étaient précis, ce dont je me rendis compte en travaillant moi-même sur le système. Je pus mettre en relation ce que je savais être vrai et ce que je pu lire dans les autres rapports de briefing. Sachant tout cela, je lus des rapports sur l'origine de ces disques. D'après l'un des rapports, il provenait du système stellaire Zeta Reticuli. N'étant évidemment pas allé à ce système dans un appareil, je ne saurais dire s'il venait vraiment de là.
Je ne parla à aucun extra-terrestre ni n'en vis aucun, et ne sais donc pas non plus s'ils existent ou non. Le rapport indiquait également qu'un contact avait été effectué à une certaine date ; cependant, toutes les dates étaient codées. De plus, toujours d'après ce rapport, ces êtres avaient indiqué à nos représentants officiels qu'ils venaient ici depuis 10000 ans, que les humains étaient le produit d'une évolution externe contrôlée, et qu'ils étaient entièrement responsable de l'évolution accélérée de l'homme. Ma tolérance à la sécurité intensive diminua rapidement. Parce qu'ils surveillaient mes communications téléphoniques 24h/24, ils apprirent que j'avais des problèmes de couple et me dirent que cette situation faisaient de moi un candidat à "l'instabilité émotionnelle". Ils me confisquèrent alors ma carte d'accès et me dirent que je pourrais en bénéficier à nouveau dans six mois. Je connaissais alors le planning des tests, et ne pu résister à montrer à des amis, une nuit et à distance, ce sur quoi j'avais travaillé. Nous traversames le désert et observèrent un vol de test. Cela nous marqua à tel point que nous ne pûmes résister à revenir, encore et encore. Cependant, la troisième fois, nous fûmes arrêtés par les gardes de la Sécurité de Wackenut et fûmes emmenés au Bureau de Gestion du Territoire entourant la zone.
Inutile de dire que les officiers de Nellis étaient plutôt mécontents. Je fus débrieffé. J'eus peur et sentis qu'il était temps pour moi d'arrêter tout cela tant que j'en avais encore la possibilité. Je croyais non seulement que cette technologie devait être communiquée à la plus haute communauté scientifique, mais aussi que ma seule protection était de dévoiler cette histoire. Un ami me convint de parler à George Knapp de KLAS-TV. Je me dis que s'ils me tuaient, cela ne pourrait que prouver que ce que je disais était vrai. Beaucoup de scientifiques considèrent qu'il ne peut exister aucun disque extra-terrestre ici et que les extra-terrestres n'auraient aucune chance de venir ici en particulier, en raison de la trop grande distance à parcourir, de l'énergie nécessaire, et qu'il n'existe aucun chemin assez rapide même à la vitesse de la lumière. Ce que j'ai décris est ce que j'ai vécu, bien qu'à certains égards je regrette de l'avoir rendu public. Si c'était à refaire, j'adopterai sans doute une attitude plus disciplinée.
Critique :
Nous avons tout à fait établit que Lazar a travaillé à Los Alamos, mais sans savoir ce qu'il y fit exactement indique Mark Rodeghier. En ce qui concerne l'élément 115, les physiciens admettent que l'existence d'un tel élément est théoriquement possible, mais que nous ne savons ni le fabriquer ni simplement le trouver. Que Lazar déclare avoir travaillé avec cet élément n'est donc pas forcément insensé, mais reste complètement invérifiable. Enfin, il semble en savoir assez pour avoir réellement travaillé dans la zone 51 ou Dreamland où des appareils secrets sont testés, mais cette histoire reste un mystère ténébreux. En résumé : C'est impossible à vérifier. Nous n'avons pu, malgré nos investigations, trouver personne pouvant corroborer les dires de Lazar.
Conclusion
La zone 51, en se soustrayant au monde (la zone est invisible sur les cartes !) n'a fait qu'alimenter la thèse conspirationniste. Bob Lazar quant à lui confirme cette thère. L'impossibilité totale de trouver des infos concernant Bob Lazar que ce soit de son travail à Los Alamos ou à S4, l'impossibilité de se procurer son acte de naissance (!) ne fait que renforcer cette thèse déjà bien riche. Donc, oui je pense que la zone 51 renferme bien des secrets, mais je ne pense pas qu'ils sont forcement étrangers à notre planète. Par contre, l'inspiration elle...
source:http://www.secret-realite.net/
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