Une mystérieuse installation,
Il y a quelques années, une formation dans deux pays européen sur du matériel qui doit être livrer pour un projet d’une installation industrielle .Nous étions cinq spécialistes pour cette formation de quelques mois.
Première escale à Paris et le lendemain nous avons pris l’avion à partir d’Orly pour le premier pays.
Bien accueilli, un interprète de la langue de ce pays est mis à notre disposition nous avons reçu nos fiches d’emploi du temps de formation, le matin c’est le cours sur le matériels l’après midi visite à l’usine et explications pratique et des tests sur le matériel.
L’usine est immense prés de huit grands hangars alignés séparé les uns des autres de quelques dizaines de mètres , sûrement d’autres plus loin caché par des arbres ,pour la visite à l’usine ,nous étions le groupe de cinq techniciens stagiaires plus quatre autres personnes ,celui qui nous donnait la formation théorique le matin ,deux autres de la pratique à l’atelier ,le troisième l’interprète ,j’ai remarqué chaque fois l’après midi après notre descente des voitures pour regagner à pieds l’usine , une autre personne qui se tenait à l’écart ,bien habillé ,lunette ,légère calvité est toujours là j’étais curieux de son rôle ,il nous suivait toujours derrière à quelques mètres ,quelques fois je laissais mes camarades avec le formateur et l’interprète et les autres passaient devant et je restais légèrement en retrait ,je restais volontairement pour voir si cette curieuse personne qui fermait notre marche s’il me dépassait et s’il passerait devant ,non , il restait volontairement derrière nous et il le faisait et là ma « satané » intuition et curiosité reprend le dessus et à chaque visite il est là ,je savais que cette homme nous surveille ,je me posais la question ont-ils quelques choses de caché eux aussi ? Et sûrement il ne nous surveille pas pour le matériel pour laquelle nous sommes là en formation ? Cela commençait à me raviver des souvenirs, mais je me disais si c’est une affaire d’ET cette immense usine serait sûrement surprotégée, pour l’accès à cette usine ils nous prennent toujours en voitures directement de notre hôtel.
Une autre fois c’est une visite d’une usine à quelques 30 Km de là, l’homme est toujours là dans sa place, il fermait la marche pour la première fois il s’adresse à l’interprète, il lui donnait des instructions, l’interprète nous traduisait l’instruction – nous devons laisser toutes nos appareils photos dans une salle même nos blocs notes avant de pénétrer dans le lieu, aucun écrit ou croquis à faire. je me dit ça ne fait rien je regarde de mes yeux au moins ,je remarquais que cette homme a senti ce que je pense de lui ,chaque fois ou je levais les yeux vers lui je le trouve qu’il me regardait déjà ,ça y’est c’est chien et chat je me disais , nous pénétrons dans ce vaste intérieur ,des blocs d’appareils posés sur des tables ,inconnu pour nous , nous ne savons rien de leur rôle ,de leur utilisation ,structures avec des composants électroniques à volonté même l’interprète est complément hors jeu son explication est incohérente ,je me disais c’est du tape à l’œil pour nous impressionner de leur haute technologie .
J’ai essayé de nouer un dialogue avec ce cet homme pour dissiper cette forme de méfiance, il ne comprend rien du français sa réponse un sourire de circonstance, j’ai laissé tomber, je me disais qu’il faut que je perce ce secret moi-même.
Revenant aux hangars que j’ai déjà décrit au début de mon écrit, le cinquième c’était « notre hangar » ou notre matériel est là , en passant prés des autres ,il y avait une activité ,je voulais tenter un test ,je restais un peu plus en arrière des autres et à un certain moment je prenais la direction de l’un de ces hangars ,l’ange gardien s’élança vers moi m’arrêta poliment et fermement me montra que c’est interdit ,je faisais l’incompris et c’est réglé pour le moment .
La deuxième fois nous montâmes le coup avec l’un de mes camarades, en effet j’ai remarqué quelques fois l’une des petites portes d’un hangar est quelques fois légèrement entrouverte, ce jour là on passait prés de cet hangar mon ami prenait le premier une direction opposé il sera suivi par notre homme et je prenais l’autre direction vers la petite porte du hangar ,j’ouvris la porte est je suis à l’intérieur ,c’est des appareils non civils alignés ,des spécialistes s’affaisser tout autour de ces engins s’arrêtèrent et me regarder étonnés ,sûrement ils se disaient d’où il est tombé ce type ? Il n’y a pas de Gris à l’intérieur, ils voulaient gardait leur affaires loin des yeux des curieux, quant à notre gardien je le savais qui se disait vous m’avait eu, une réunion s’est suivi sur l’interdiction d’aller des cotés des installations non prévus sur notre formation.
Se sont des installations qui sont à l’abri de personnes étrangères et surtout à l’abri des regards de " curieux ".
Il y a quelques années, une formation dans deux pays européen sur du matériel qui doit être livrer pour un projet d’une installation industrielle .Nous étions cinq spécialistes pour cette formation de quelques mois.
Première escale à Paris et le lendemain nous avons pris l’avion à partir d’Orly pour le premier pays.
Bien accueilli, un interprète de la langue de ce pays est mis à notre disposition nous avons reçu nos fiches d’emploi du temps de formation, le matin c’est le cours sur le matériels l’après midi visite à l’usine et explications pratique et des tests sur le matériel.
L’usine est immense prés de huit grands hangars alignés séparé les uns des autres de quelques dizaines de mètres , sûrement d’autres plus loin caché par des arbres ,pour la visite à l’usine ,nous étions le groupe de cinq techniciens stagiaires plus quatre autres personnes ,celui qui nous donnait la formation théorique le matin ,deux autres de la pratique à l’atelier ,le troisième l’interprète ,j’ai remarqué chaque fois l’après midi après notre descente des voitures pour regagner à pieds l’usine , une autre personne qui se tenait à l’écart ,bien habillé ,lunette ,légère calvité est toujours là j’étais curieux de son rôle ,il nous suivait toujours derrière à quelques mètres ,quelques fois je laissais mes camarades avec le formateur et l’interprète et les autres passaient devant et je restais légèrement en retrait ,je restais volontairement pour voir si cette curieuse personne qui fermait notre marche s’il me dépassait et s’il passerait devant ,non , il restait volontairement derrière nous et il le faisait et là ma « satané » intuition et curiosité reprend le dessus et à chaque visite il est là ,je savais que cette homme nous surveille ,je me posais la question ont-ils quelques choses de caché eux aussi ? Et sûrement il ne nous surveille pas pour le matériel pour laquelle nous sommes là en formation ? Cela commençait à me raviver des souvenirs, mais je me disais si c’est une affaire d’ET cette immense usine serait sûrement surprotégée, pour l’accès à cette usine ils nous prennent toujours en voitures directement de notre hôtel.
Une autre fois c’est une visite d’une usine à quelques 30 Km de là, l’homme est toujours là dans sa place, il fermait la marche pour la première fois il s’adresse à l’interprète, il lui donnait des instructions, l’interprète nous traduisait l’instruction – nous devons laisser toutes nos appareils photos dans une salle même nos blocs notes avant de pénétrer dans le lieu, aucun écrit ou croquis à faire. je me dit ça ne fait rien je regarde de mes yeux au moins ,je remarquais que cette homme a senti ce que je pense de lui ,chaque fois ou je levais les yeux vers lui je le trouve qu’il me regardait déjà ,ça y’est c’est chien et chat je me disais , nous pénétrons dans ce vaste intérieur ,des blocs d’appareils posés sur des tables ,inconnu pour nous , nous ne savons rien de leur rôle ,de leur utilisation ,structures avec des composants électroniques à volonté même l’interprète est complément hors jeu son explication est incohérente ,je me disais c’est du tape à l’œil pour nous impressionner de leur haute technologie .
J’ai essayé de nouer un dialogue avec ce cet homme pour dissiper cette forme de méfiance, il ne comprend rien du français sa réponse un sourire de circonstance, j’ai laissé tomber, je me disais qu’il faut que je perce ce secret moi-même.
Revenant aux hangars que j’ai déjà décrit au début de mon écrit, le cinquième c’était « notre hangar » ou notre matériel est là , en passant prés des autres ,il y avait une activité ,je voulais tenter un test ,je restais un peu plus en arrière des autres et à un certain moment je prenais la direction de l’un de ces hangars ,l’ange gardien s’élança vers moi m’arrêta poliment et fermement me montra que c’est interdit ,je faisais l’incompris et c’est réglé pour le moment .
La deuxième fois nous montâmes le coup avec l’un de mes camarades, en effet j’ai remarqué quelques fois l’une des petites portes d’un hangar est quelques fois légèrement entrouverte, ce jour là on passait prés de cet hangar mon ami prenait le premier une direction opposé il sera suivi par notre homme et je prenais l’autre direction vers la petite porte du hangar ,j’ouvris la porte est je suis à l’intérieur ,c’est des appareils non civils alignés ,des spécialistes s’affaisser tout autour de ces engins s’arrêtèrent et me regarder étonnés ,sûrement ils se disaient d’où il est tombé ce type ? Il n’y a pas de Gris à l’intérieur, ils voulaient gardait leur affaires loin des yeux des curieux, quant à notre gardien je le savais qui se disait vous m’avait eu, une réunion s’est suivi sur l’interdiction d’aller des cotés des installations non prévus sur notre formation.
Se sont des installations qui sont à l’abri de personnes étrangères et surtout à l’abri des regards de " curieux ".
Ils protègent donc effectivement leur technologie. 
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