9 mai 1993 Pretare d'Arquata Italie Les rencontres du 3e type de Filiberto Caponi,
Ceci est le compte rendu de rencontres répétée entre un être humanoïde et un Italien de Pretare d'Arquata âgé de 23 ans, qui a réussit à prendre une série de 6 photographies Polaroid de l'être. RESUME: La série alléguée de rencontres commence à Pretare d'Arquata, un petit secteur dans la province d'Ascoli Piceno, au dessus du Monte Vettore, quelques kilomètres après que l'on laisse la route de Salaria.
"La dernière rencontre s'est produite juste là derrière. Avant, c'était peu plus à l'extérieur dans la campagne. Voici la dernière photo que j'ai libérée." Ces photos montrent, dans l'ordre, un être en diverses positions, assis, presque debout, dans des conditions physiques apparemment difficiles bien que ceci puisse n'être probablement qu'une impression anthropomorphique. L'être semble avoir de petites dimensions, plutôt vigoureuses, avec une "peau" qui dans quelques clichés semble lisse et sombre et dans la dernière photographie, complètement rouge, humide, ayant l'aspect d'une peau gravement blessée.
Les photos ont été publiées dans le magazine hebdomadaire "Visto" n. 43 le 28 Octobre 1993, puis montrées lors de l'émission TV "I Fatti Vostri" ("Your facts") animée par Giancarlo Magalli, le Vendredi 5 Novembre 1993.
"J'ai d'abord pensé que ce devait être un petit chat qui miaulait, prisonnier dans un sac en plastic." "C'était dans la soirée du 9 Mai 1993. Comme d'habitude, je revenais d'une promenade en moto et je refermais le garage, juste près de la campagne, quand j'ai entendu des plaintes, différentes de celles typiques des animaux habituels. J'ai pensé également que cela pourrait être un ivrogne descendant la même route en faisant des bruits. Puis, dans un angle d'une maison, j'ai vu une sorte de 'sac blanc' duquel il m'a semblé que les étranges gémissement sortaient. En souriant, parce que je pensais que j'avais trouvé un chat abandonné, enveloppé dans un sachet en plastique, j'ai tendu une main pour le toucher, mais à la réflexion je me suis arrêté parce qu'il m'est venu à l'esprit que je pourrais être griffé. Donc je me suis limité à tester l'élasticité du sac avec un coup de pied pour voir s'il sortirait de lui-même. Et j'ai été terrifié, parce que du 'vieux sachet en plastique' a jailli un être, montrant qu'il a avait une tête, des bras et des jambes. Il s'est levé du sol et est allé au mur que je vous ai montré avant. Quoi qu'il en soit, il était tout à fait rapide, il avait les jambes enveloppées et il portait quelque chose qui s'est déclenché, il semblait qu'il avait un sac qu'il portait sur le dos, mais ce n'était pas de la peau. J'ai seulement vu la peau de sa tête et de ses petits bras qu'il n'a pas utilisés et n'a pas déplacés." Un point intéressant concernant cette première rencontre, est que Caponi a souffert d'un noircissement cutané inexplicable sur le pied droit, le pied qu'il avait utilisé pour toucher l'entité. Ce noircissement a disparu après trois jours.
Caponi a pensé qu'il était la victime de quelque confusion, mais il a été très effrayé et il a donc décidé de rouvrir le garage et de reposer un petit moment sur sa motocyclette et de penser à cela, et de retrouver son calme en écoutant la radio.
"Je me suis dit que ce que j'ai vu ne peut pas avoir existé, que j'étais fatigué, que cela avait du être quelque animal..." Cependant, quand il fut rentré à la maison, sa mère a noté que quelque chose n'allait pas, car le garçon était très pâle. Elle est parvenue à obtenir que son lui raconte ce qui s'est produit, et, avec son père, il a décidé de retourner sur les lieux de la rencontre afin de trouver quelque trace de "l'animal." Sur le mur, derrière lequel l'être avait disparu, son père a trouvé une "gaze médicale" couverte de sang "mais il ne l'a pas ramenée à la maison parce qu'elle était répugnante, et à la place il l'a mise sous une vieille machine à laver dans la cour, prévoyant d'aller à Ascoli Piceno afin de la faire analyser."
Dans la nuit, Caponi a encore entendu l'étrange plainte, est à nouveau descendu vers la route, mais il n'a vu rien cette fois. "Rien, rien du tout, c'était impossible," a expliqué Caponi.
"...et mon père était là de sorte que j'aurais pu le lui montrer, et je lui ai dit 'je l'ai entendu, mais je ne sais pas où il est' et il m'a dit de remonter dans ma chambre parce que de là haut nous pourrions mieux voir. Nous sommes restés là en haut pendant près d'une heure, puis mon père était fatigué et est retourné se coucher. Juste à ce moment 'la chose' est réapparue... J'ai appelé mon père et donc il a du la voir aussi, pendant un moment, alors qu'elle s'éloignait sous cette voûte, en un clin d'oeil, et mon père m'a regardé comme si il avait voulu dire 'alors ce n'étais pas une blague!'... quoi qu'il en soit il m'a dit d'aller au lit, parce qu'il était tard (3 heures du matin)." Le matin suivant, la soeur de Filiberto est allé chercher la gaze, mais elle avait disparue. "Ce doit avoir été un chien qui a senti l'odeur du sang," a dit Filiberto.
"Cependant c'est à ce moment-là que j'ai décidé de me faire prêter un appareil photo par mon beau-frère. Je l'ai mis sur ma table de chevet. Une semaine alors j'ai attendu là (il indique l'endroit) pensant que peut-être l'être reviendrait et que je pourrais le photographier." 15 jours s'écoulèrent et rien de s'était passé, Caponi décida alors d'oublier toute l'histoire, quand un soir:
"Il était approximativement deux heures dans la nuit et j'ai de nouveau entendu le cri étrange. Je me suis levé, j'ai pris l'appareil photo (un Polaroid 660) et j'ai ouvert la porte, car j'avais l'impression que quelque chose marchait dans la ruelle. Je l'ai vu arriver, d'assez loin, pas très vite, presque en marchant. J'ai pris une première photo, le polaroïd l'éjecte, et je l'enlève, prêt à prendre une autre photo. A la lumière du flash il s'était arrêté, comme si il avait remarqué la lumière, peut-être mais il devait être sourd... parce que j'ai fait des bruits quand j'ai ouvert la porte, et il avait alors continué à venir dans ma direction. Il s'était arrêté et s'était tourné seulement quand j'ai pris la photo. J'ai pensé que j'allais faire la course avec lui, que je prendrai une photo et courrai après lui, que c'était une occasion unique et c'est ce que j'ai fait, je suis allé vers lui, avançant de quelques mètres, je l'ai photographié encore, et alors je me suis échappé en criant 'je l'ai photographié!', sans regarder où j'allais, et donc j'ai fini droit dans un mur. Mon père s'est réveillé et m'a demandé ce qui s'était passé. Les photos se sont développées sous les yeux de mes parents: sur le premier seulement une ombre était visible, mais sur le second lieu, la tête et les bras, enveloppés avec quelque chose, étaient visibles. Je l'ai regardé intensivement. J'ai expliqué que quand j'ai pris la deuxième photo il avait légèrement tourné sa tête vers moi, sans tourner son corps du tout. Mon père a vraiment senti que c'était une histoire à se faire dresser le cheveux sur la tête. Ma mère a dit 'mon dieu, qu'est ce que c'est?' Et alors je m'étais calmé et je leur ai dit 'on le voit bien sur ces photos, rangeons-les dans un endroit déterminé, ne les montrons pas à tout le monde,' et nous avons décidé de les mettre dans une boîte en bois, afin de les étudier dans le calme le jour suivant." Mais l'après-midi suivant:
"J'ai trouvé le couvercle de la boîte tordu, noirci au-dessous, couvert de fumée. Je me demande ce qui peut s'être passé, alors j'ai ouvert la boîte et j'ai senti une odeur de brûlé similaire à l'odeur du plastique brûlé. La photo a été brûlée autour et là où l'être était montré, elle était gonflée et ruinée... Je détache la deuxième photo et l'image était également gonflée, mais seulement à sa surface, elle n'était pas détruite." Plus tard, les enquêteurs du CUN ont essayé de déterminer si les photos ruinées avaient été explicitement attaquées, et ont considéré la possibilité que le film a pu avoir été pendant longtemps dans le Polaroïd et avait peut-être expiré. Mais l'hypothèse d'une détérioration normale due à l'expiration a été réfutée, parce que les photos suivantes ont été faites avec le même film et n'ont pas été ruinées du tout. La seule explication possible qui restait était celle d'une interaction chimique entre les photos et une vieille pile conservée dans la boîte en bois où les images ont été rangées, c'est l'explication que Caponi a également proposée. Le problème est que tout le matériel, y compris la boîte en bois, a été livré aux officiers de police du commissariat d'Arquata di Tronto, après leur première publication dans un magazine. Caponi avait en effet distribué les photos (reproduites en diapositives) parmi les journaux et les agences de presse Romaines.
La suite ici :
http://ufologie.net/htm/caponif.htm
Ceci est le compte rendu de rencontres répétée entre un être humanoïde et un Italien de Pretare d'Arquata âgé de 23 ans, qui a réussit à prendre une série de 6 photographies Polaroid de l'être. RESUME: La série alléguée de rencontres commence à Pretare d'Arquata, un petit secteur dans la province d'Ascoli Piceno, au dessus du Monte Vettore, quelques kilomètres après que l'on laisse la route de Salaria.
"La dernière rencontre s'est produite juste là derrière. Avant, c'était peu plus à l'extérieur dans la campagne. Voici la dernière photo que j'ai libérée." Ces photos montrent, dans l'ordre, un être en diverses positions, assis, presque debout, dans des conditions physiques apparemment difficiles bien que ceci puisse n'être probablement qu'une impression anthropomorphique. L'être semble avoir de petites dimensions, plutôt vigoureuses, avec une "peau" qui dans quelques clichés semble lisse et sombre et dans la dernière photographie, complètement rouge, humide, ayant l'aspect d'une peau gravement blessée.
Les photos ont été publiées dans le magazine hebdomadaire "Visto" n. 43 le 28 Octobre 1993, puis montrées lors de l'émission TV "I Fatti Vostri" ("Your facts") animée par Giancarlo Magalli, le Vendredi 5 Novembre 1993.
"J'ai d'abord pensé que ce devait être un petit chat qui miaulait, prisonnier dans un sac en plastic." "C'était dans la soirée du 9 Mai 1993. Comme d'habitude, je revenais d'une promenade en moto et je refermais le garage, juste près de la campagne, quand j'ai entendu des plaintes, différentes de celles typiques des animaux habituels. J'ai pensé également que cela pourrait être un ivrogne descendant la même route en faisant des bruits. Puis, dans un angle d'une maison, j'ai vu une sorte de 'sac blanc' duquel il m'a semblé que les étranges gémissement sortaient. En souriant, parce que je pensais que j'avais trouvé un chat abandonné, enveloppé dans un sachet en plastique, j'ai tendu une main pour le toucher, mais à la réflexion je me suis arrêté parce qu'il m'est venu à l'esprit que je pourrais être griffé. Donc je me suis limité à tester l'élasticité du sac avec un coup de pied pour voir s'il sortirait de lui-même. Et j'ai été terrifié, parce que du 'vieux sachet en plastique' a jailli un être, montrant qu'il a avait une tête, des bras et des jambes. Il s'est levé du sol et est allé au mur que je vous ai montré avant. Quoi qu'il en soit, il était tout à fait rapide, il avait les jambes enveloppées et il portait quelque chose qui s'est déclenché, il semblait qu'il avait un sac qu'il portait sur le dos, mais ce n'était pas de la peau. J'ai seulement vu la peau de sa tête et de ses petits bras qu'il n'a pas utilisés et n'a pas déplacés." Un point intéressant concernant cette première rencontre, est que Caponi a souffert d'un noircissement cutané inexplicable sur le pied droit, le pied qu'il avait utilisé pour toucher l'entité. Ce noircissement a disparu après trois jours.
Caponi a pensé qu'il était la victime de quelque confusion, mais il a été très effrayé et il a donc décidé de rouvrir le garage et de reposer un petit moment sur sa motocyclette et de penser à cela, et de retrouver son calme en écoutant la radio.
"Je me suis dit que ce que j'ai vu ne peut pas avoir existé, que j'étais fatigué, que cela avait du être quelque animal..." Cependant, quand il fut rentré à la maison, sa mère a noté que quelque chose n'allait pas, car le garçon était très pâle. Elle est parvenue à obtenir que son lui raconte ce qui s'est produit, et, avec son père, il a décidé de retourner sur les lieux de la rencontre afin de trouver quelque trace de "l'animal." Sur le mur, derrière lequel l'être avait disparu, son père a trouvé une "gaze médicale" couverte de sang "mais il ne l'a pas ramenée à la maison parce qu'elle était répugnante, et à la place il l'a mise sous une vieille machine à laver dans la cour, prévoyant d'aller à Ascoli Piceno afin de la faire analyser."
Dans la nuit, Caponi a encore entendu l'étrange plainte, est à nouveau descendu vers la route, mais il n'a vu rien cette fois. "Rien, rien du tout, c'était impossible," a expliqué Caponi.
"...et mon père était là de sorte que j'aurais pu le lui montrer, et je lui ai dit 'je l'ai entendu, mais je ne sais pas où il est' et il m'a dit de remonter dans ma chambre parce que de là haut nous pourrions mieux voir. Nous sommes restés là en haut pendant près d'une heure, puis mon père était fatigué et est retourné se coucher. Juste à ce moment 'la chose' est réapparue... J'ai appelé mon père et donc il a du la voir aussi, pendant un moment, alors qu'elle s'éloignait sous cette voûte, en un clin d'oeil, et mon père m'a regardé comme si il avait voulu dire 'alors ce n'étais pas une blague!'... quoi qu'il en soit il m'a dit d'aller au lit, parce qu'il était tard (3 heures du matin)." Le matin suivant, la soeur de Filiberto est allé chercher la gaze, mais elle avait disparue. "Ce doit avoir été un chien qui a senti l'odeur du sang," a dit Filiberto.
"Cependant c'est à ce moment-là que j'ai décidé de me faire prêter un appareil photo par mon beau-frère. Je l'ai mis sur ma table de chevet. Une semaine alors j'ai attendu là (il indique l'endroit) pensant que peut-être l'être reviendrait et que je pourrais le photographier." 15 jours s'écoulèrent et rien de s'était passé, Caponi décida alors d'oublier toute l'histoire, quand un soir:
"Il était approximativement deux heures dans la nuit et j'ai de nouveau entendu le cri étrange. Je me suis levé, j'ai pris l'appareil photo (un Polaroid 660) et j'ai ouvert la porte, car j'avais l'impression que quelque chose marchait dans la ruelle. Je l'ai vu arriver, d'assez loin, pas très vite, presque en marchant. J'ai pris une première photo, le polaroïd l'éjecte, et je l'enlève, prêt à prendre une autre photo. A la lumière du flash il s'était arrêté, comme si il avait remarqué la lumière, peut-être mais il devait être sourd... parce que j'ai fait des bruits quand j'ai ouvert la porte, et il avait alors continué à venir dans ma direction. Il s'était arrêté et s'était tourné seulement quand j'ai pris la photo. J'ai pensé que j'allais faire la course avec lui, que je prendrai une photo et courrai après lui, que c'était une occasion unique et c'est ce que j'ai fait, je suis allé vers lui, avançant de quelques mètres, je l'ai photographié encore, et alors je me suis échappé en criant 'je l'ai photographié!', sans regarder où j'allais, et donc j'ai fini droit dans un mur. Mon père s'est réveillé et m'a demandé ce qui s'était passé. Les photos se sont développées sous les yeux de mes parents: sur le premier seulement une ombre était visible, mais sur le second lieu, la tête et les bras, enveloppés avec quelque chose, étaient visibles. Je l'ai regardé intensivement. J'ai expliqué que quand j'ai pris la deuxième photo il avait légèrement tourné sa tête vers moi, sans tourner son corps du tout. Mon père a vraiment senti que c'était une histoire à se faire dresser le cheveux sur la tête. Ma mère a dit 'mon dieu, qu'est ce que c'est?' Et alors je m'étais calmé et je leur ai dit 'on le voit bien sur ces photos, rangeons-les dans un endroit déterminé, ne les montrons pas à tout le monde,' et nous avons décidé de les mettre dans une boîte en bois, afin de les étudier dans le calme le jour suivant." Mais l'après-midi suivant:
"J'ai trouvé le couvercle de la boîte tordu, noirci au-dessous, couvert de fumée. Je me demande ce qui peut s'être passé, alors j'ai ouvert la boîte et j'ai senti une odeur de brûlé similaire à l'odeur du plastique brûlé. La photo a été brûlée autour et là où l'être était montré, elle était gonflée et ruinée... Je détache la deuxième photo et l'image était également gonflée, mais seulement à sa surface, elle n'était pas détruite." Plus tard, les enquêteurs du CUN ont essayé de déterminer si les photos ruinées avaient été explicitement attaquées, et ont considéré la possibilité que le film a pu avoir été pendant longtemps dans le Polaroïd et avait peut-être expiré. Mais l'hypothèse d'une détérioration normale due à l'expiration a été réfutée, parce que les photos suivantes ont été faites avec le même film et n'ont pas été ruinées du tout. La seule explication possible qui restait était celle d'une interaction chimique entre les photos et une vieille pile conservée dans la boîte en bois où les images ont été rangées, c'est l'explication que Caponi a également proposée. Le problème est que tout le matériel, y compris la boîte en bois, a été livré aux officiers de police du commissariat d'Arquata di Tronto, après leur première publication dans un magazine. Caponi avait en effet distribué les photos (reproduites en diapositives) parmi les journaux et les agences de presse Romaines.
La suite ici :
http://ufologie.net/htm/caponif.htm
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