Le "psy" et le "psi"
Il est évident qu'on ne peut pas dissocier le phénomène paranormal et la psychologie chez une personne. Ces deux éléments sont indissociables, l'un fabriquant l'autre. L'un étant nécessaire à l'autre. C'est en quelque sorte un ré-équilibrage "inconscient" d'une situation qui ne l'est pas et qui ne peut pas être gérer sur le moment.
"Tension" est le mot juste dans certaines situations. Il décrit parfaitement les états de conflits intérieurs et extérieurs qui interagissent chez une personne qui pourra dès lors effectivement fabriquer des réactions "psi". Autant certaines personnes pourront extérioriser cette tension, autant d'autres ne pourront pas réagir et seront submerger par le conflit lui-même au point de le rendre totalement étranger à elles-mêmes.
On pourrait tout à fait comparer ces réactions à d'autres plus connues parce que justement extériorisées. Les TDS chez des pré-ados ou des adolescents par exemple, si je prends cette tranche d'âge. Les crises d'anorexie ou de boulimie qui se succèdent chez les uns, la violence, verbale ou physique chez les autres, mais aussi ce besoin de s'identifier à un groupe d'individus, une nouvelle "tribu" ou "famille" qu'ils estiment leur. Il s'agit bien d'une recherche de la personnalité chez ces pré-ados et ados, personnalités parcellées entre «l’imaginaire » qu’il relie à leur état d’enfant qu’ils ont du mal à quitter, et le « réel » qui leur renvoie à leur propre image qu’ils n’acceptent pas. L’imaginaire est en effet plus facile à gérer. Il permet toutes les possibilités que la réalité ne permet pas.
Pour les réactions « psi » je pourrais dire que l’enjeu est le même, le moyen est simplement « autre ». Il s’agit plus d’une recherche « spirituelle » si je puis dire, mais le terme ne me convient pas réellement, plutôt d’une recherche plus « instinctive » « ancienne » « archaïque », qui ne peut pas se décrire avec des mots mais plutôt se lire au travers de cette « mémoire collective ancienne ». On se rappelle « de » et l’on s’identifie « à ». Ce « de » et ce « à » sont complètement « subjectifs », mais ils sont ce que la personne veut être, ce personnage mystique, sacré, autre, qui se différencie des proches et qui lui ouvre des portes qu’elle ne pourrait pas voir dans « sa réalité ». Et lorsque, effectivement, ce nouvel équilibre entre cet imaginaire et ce réel est amorcé, la réaction psi peut se déclencher sous différentes formes.
"Tension" est le mot juste dans certaines situations. Il décrit parfaitement les états de conflits intérieurs et extérieurs qui interagissent chez une personne qui pourra dès lors effectivement fabriquer des réactions "psi". Autant certaines personnes pourront extérioriser cette tension, autant d'autres ne pourront pas réagir et seront submerger par le conflit lui-même au point de le rendre totalement étranger à elles-mêmes.
On pourrait tout à fait comparer ces réactions à d'autres plus connues parce que justement extériorisées. Les TDS chez des pré-ados ou des adolescents par exemple, si je prends cette tranche d'âge. Les crises d'anorexie ou de boulimie qui se succèdent chez les uns, la violence, verbale ou physique chez les autres, mais aussi ce besoin de s'identifier à un groupe d'individus, une nouvelle "tribu" ou "famille" qu'ils estiment leur. Il s'agit bien d'une recherche de la personnalité chez ces pré-ados et ados, personnalités parcellées entre «l’imaginaire » qu’il relie à leur état d’enfant qu’ils ont du mal à quitter, et le « réel » qui leur renvoie à leur propre image qu’ils n’acceptent pas. L’imaginaire est en effet plus facile à gérer. Il permet toutes les possibilités que la réalité ne permet pas.
Pour les réactions « psi » je pourrais dire que l’enjeu est le même, le moyen est simplement « autre ». Il s’agit plus d’une recherche « spirituelle » si je puis dire, mais le terme ne me convient pas réellement, plutôt d’une recherche plus « instinctive » « ancienne » « archaïque », qui ne peut pas se décrire avec des mots mais plutôt se lire au travers de cette « mémoire collective ancienne ». On se rappelle « de » et l’on s’identifie « à ». Ce « de » et ce « à » sont complètement « subjectifs », mais ils sont ce que la personne veut être, ce personnage mystique, sacré, autre, qui se différencie des proches et qui lui ouvre des portes qu’elle ne pourrait pas voir dans « sa réalité ». Et lorsque, effectivement, ce nouvel équilibre entre cet imaginaire et ce réel est amorcé, la réaction psi peut se déclencher sous différentes formes.
Dernière édition par Macha le Dim 1 Sep - 21:59, édité 2 fois
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