L'étrange cas d'hommes en noir en Touraine dans les années 90
L'aventure vécue par un grand-père et ses trois petits enfants, en Touraine, par un beau jour d'été, dans la seconde moitié des années 90.
Ce monsieur se trouvait dans sa maison, lorsque ses trois petits enfants, qui jouaient près de la haie jouxtant la porte d'entrée, vinrent l'alerter : quelqu'un, qu'ils ne connaissaient pas, dans la rue, les appelaient par leurs prénoms, et avaient même appelé le chien par son nom! Le grand-père constata que son berger allemand, habituellement paisible, était très nerveux. Ils sortit aussitôt, traversa la cour, ouvrit le portail et le referma derrière lui. Voici ce qu'il a raconté à Gérard Deforge (qui a rencontré toutes les personnes concernées par cette affaire, à la seule exception de l'enfant le plus jeune, chez qui il n'était pas souhaitable de raviver des souvenirs de nature à le perturber) :
"Je me suis trouvé face à deux hommes habillés tout en noir, avec un costume impeccable. Il me firent penser à des employés des Pompes funèbres, cherchant la maison et la famille d'une personne décédée. Ils étaient tous les deux d'aspect parfaitement identique, très grand : environ deux mètres. Je fus surpris par plusieurs choses : tout d'abord leur visage, d'un teint cadavérique, blanc avec des zones bleutées. Les cheveux étaient noirs, ainsi que les yeux, extrêmement perçants. Les sourcils étaient dessinés, ainsi que les lèvres rouges, mais le tout maladroitement.
Quand ils s'exprimèrent, il me sembla que la voix, une voix monocorde, une voix sans timbre, venait de la poitrine, et non pas de la gorge. Cette voix avait néanmoins des intonations douces, elle semblait vouloir me mettre en confiance...
Il m'appelèrent directement par mon nom et, après m'avoir salué (ils étaient d'une grand politesse), ils me rappelèrent tout de go que :
"Cela ne fait pas longtemps que vous habitez ici... vous n'avez rien remarqué d'anormal, dans votre maison, autours de vous?"
- "Non, tout va bien."
Alors qu'ils commençaient ainsi à me parler, je remarquai, en face de mon portail, une grosse berline d'aspect américain, noire, avec conduite à gauche. Les vitres étaient teintées. Néanmoins, par les vitres à demi baissées, je pus voir un troisième homme, assis à l'arrière, ainsi qu'un chauffeur, qui regardait dans ma direction.
Les questions continuèrent. Je leur demandai : "Qui êtes-vous?"
Réponse : "Ne vous inquiétez pas, on ne vous veut pas de mal. Êtes-vous en bonne santé? N'y a-t-il pas eu d'épidémies ici, pendant l'hiver?".
La présence de ces individus avec qui je n'avais rien à voir m'exaspéra, et je les congédiai assez rudement, sans autre commentaire, rentrant dans ma cour et refermant mon portail, je les entendis s'excuser, très poliment, du dérangement. J'eus aussi le temps d'observer qu'en repartant vers la voiture, leur démarche était d'une raideur extrême, inhabituelle. Au moment de refermer le portail, je notai une lueur très hostile dans le regard du conducteur.
Ils viennent toujours quand il fait très beau. En fait, depuis ce moment là, ils viennent une fois par an, à la même époque*. Ils sonnent. Je sors pour voir qui est là. La voiture est la même, à l'arrêt, même sens de circulation. Ils ne descendent pas. Dès qu'ils me voient, la voiture repart doucement, le bruit du moteur est quasiment inaudible. Moi, bien entendu, je referme immédiatement le portail."
Le 17 mai 2003, l'ainé des petits enfants de ce monsieur, alors agé de 17 ans, et son frère plus jeune de deux ans ont apporté quelques précisions qui viennent compléter utilement le portrait de ces MIB tourangeaux :
"Notre grand-père était dans la maison, nous jouions dehors, les long de la haie. Nous avons vu une limousine noire, arrêtée. Les vitres de la voiture étaient teintées. La glace du conducteur était baissée, et ils regardaient bizarrement dans notre direction, ils avaient tous un chapeau. Ils étaient contre la haie. Ils se sont adressés à nous. Les yeux étaient sans expressions. Leur visage était blanc. Ils avaient du rouge à lèvres. Ils me demandèrent si mes parents étaient là. L'un d'eux voulu me serrer la main, et cela me fit une impression très forte. Mais notre chien, Rex, vint immédiatement s'interposer entre moi et la haie, m'empêchant ainsi de serrer la main à cette personne que n'arrivais pas à quitter des yeux. On était au mois d'août, il faisait très chaud."
Quatre points sont à signaler :
1. Peu après avoir emménagé dans cette maison, le grand-père, regardant un jour par un vélux du premier étage, constata la présence, sur son terrain, d'une couronne de terre vierge de toute végétation. Elle pouvait avoir dix centimètres de large, et un diamètre de dix à douze mètres. Rien n'a poussé pendant cinq ans sur cette couronne de terre nue.
2. A une date impossible à préciser, mais avant la première visite des MIB, un soir, les enfants (cette fois là, au nombre de cinq) jouaient dans le grenier, quand leur regard fut attiré par des lumières tournantes dans le ciel, qu'ils voyaient au travers d'un lanterneau. Ces lumières faisaient comme des taches jaunes, avec un fort dégradé sur les contours. Elles tournaient ensembles, mais en plus, chacune était animée d'un mouvement de rotation sur elle-même. D'un seul coup, tout s'est éloigné et a disparu**.
3. Le grand-père a constaté des phénomènes difficilement explicables, depuis la manifestation des MIB. Il lui arrivait à diverses reprises d'être pris d'extraordinaires bouffées de chaleur, en pleine nuit. Cela le gène et gène son épouse. Il a un outre constaté un brunissement inexpliqué des lattes de son sommier, à sa place, ainsi qu'un brunissement localisé des ses pyjamas et de ses draps. A l'endroit de ces brunissements, le tissus est rapidement tombé en poussière.
4. Il s'est également découvert certains talents de guérisseur. Il estime aussi être devenu plus sociable.
Il est facile, et presque amusant, de noter les éléments qui, dans la description, rappellent d'autres témoignages sur les MIB. Ce cas nous incite donc à tracer un tableau à double entrée pour tenter de voir, de façon synoptique, la distribution des diverses caractéristiques signalées par le témoin, sur l'ensemble des cas connus. Ce travail ne résout évidemment pas le problème, mais fournis une assez bonne vue d'ensemble du phénomène.
* Dans son compte-rendu, Gérard Deforge nota que ces personnages ne s'étaient pas manifestés au cours de l'été 2003.
** Cette description fait évidemment penser à l'impact sur les nuages des faisceaux d'un "sky tracker". Un détail rend néanmoins cette hypothèse peu probable : lorsque ces engins étaient à la mode (dans les années 90 surtout), ceux qui les exploitaient, notamment pour signaler des discothèques, ou des centres commerciaux, évitaient en général d'utiliser des filtres colorés, qui atténuaient trop l'intensité. L'impact des faisceaux sur une couche nuageuse, ou les faisceaux eux-même se découpant sur le fond sombre du ciel, étaient généralement d'un blanc légèrement bleuté, jamais jaunes.
Source : http://www.ufofu.org/article/leurs-visages-etait-blanc-et-ils-avaient-du-rouge-a-levre/
L'aventure vécue par un grand-père et ses trois petits enfants, en Touraine, par un beau jour d'été, dans la seconde moitié des années 90.
Ce monsieur se trouvait dans sa maison, lorsque ses trois petits enfants, qui jouaient près de la haie jouxtant la porte d'entrée, vinrent l'alerter : quelqu'un, qu'ils ne connaissaient pas, dans la rue, les appelaient par leurs prénoms, et avaient même appelé le chien par son nom! Le grand-père constata que son berger allemand, habituellement paisible, était très nerveux. Ils sortit aussitôt, traversa la cour, ouvrit le portail et le referma derrière lui. Voici ce qu'il a raconté à Gérard Deforge (qui a rencontré toutes les personnes concernées par cette affaire, à la seule exception de l'enfant le plus jeune, chez qui il n'était pas souhaitable de raviver des souvenirs de nature à le perturber) :
"Je me suis trouvé face à deux hommes habillés tout en noir, avec un costume impeccable. Il me firent penser à des employés des Pompes funèbres, cherchant la maison et la famille d'une personne décédée. Ils étaient tous les deux d'aspect parfaitement identique, très grand : environ deux mètres. Je fus surpris par plusieurs choses : tout d'abord leur visage, d'un teint cadavérique, blanc avec des zones bleutées. Les cheveux étaient noirs, ainsi que les yeux, extrêmement perçants. Les sourcils étaient dessinés, ainsi que les lèvres rouges, mais le tout maladroitement.
Quand ils s'exprimèrent, il me sembla que la voix, une voix monocorde, une voix sans timbre, venait de la poitrine, et non pas de la gorge. Cette voix avait néanmoins des intonations douces, elle semblait vouloir me mettre en confiance...
Il m'appelèrent directement par mon nom et, après m'avoir salué (ils étaient d'une grand politesse), ils me rappelèrent tout de go que :
"Cela ne fait pas longtemps que vous habitez ici... vous n'avez rien remarqué d'anormal, dans votre maison, autours de vous?"
- "Non, tout va bien."
Alors qu'ils commençaient ainsi à me parler, je remarquai, en face de mon portail, une grosse berline d'aspect américain, noire, avec conduite à gauche. Les vitres étaient teintées. Néanmoins, par les vitres à demi baissées, je pus voir un troisième homme, assis à l'arrière, ainsi qu'un chauffeur, qui regardait dans ma direction.
Les questions continuèrent. Je leur demandai : "Qui êtes-vous?"
Réponse : "Ne vous inquiétez pas, on ne vous veut pas de mal. Êtes-vous en bonne santé? N'y a-t-il pas eu d'épidémies ici, pendant l'hiver?".
La présence de ces individus avec qui je n'avais rien à voir m'exaspéra, et je les congédiai assez rudement, sans autre commentaire, rentrant dans ma cour et refermant mon portail, je les entendis s'excuser, très poliment, du dérangement. J'eus aussi le temps d'observer qu'en repartant vers la voiture, leur démarche était d'une raideur extrême, inhabituelle. Au moment de refermer le portail, je notai une lueur très hostile dans le regard du conducteur.
Ils viennent toujours quand il fait très beau. En fait, depuis ce moment là, ils viennent une fois par an, à la même époque*. Ils sonnent. Je sors pour voir qui est là. La voiture est la même, à l'arrêt, même sens de circulation. Ils ne descendent pas. Dès qu'ils me voient, la voiture repart doucement, le bruit du moteur est quasiment inaudible. Moi, bien entendu, je referme immédiatement le portail."
Le 17 mai 2003, l'ainé des petits enfants de ce monsieur, alors agé de 17 ans, et son frère plus jeune de deux ans ont apporté quelques précisions qui viennent compléter utilement le portrait de ces MIB tourangeaux :
"Notre grand-père était dans la maison, nous jouions dehors, les long de la haie. Nous avons vu une limousine noire, arrêtée. Les vitres de la voiture étaient teintées. La glace du conducteur était baissée, et ils regardaient bizarrement dans notre direction, ils avaient tous un chapeau. Ils étaient contre la haie. Ils se sont adressés à nous. Les yeux étaient sans expressions. Leur visage était blanc. Ils avaient du rouge à lèvres. Ils me demandèrent si mes parents étaient là. L'un d'eux voulu me serrer la main, et cela me fit une impression très forte. Mais notre chien, Rex, vint immédiatement s'interposer entre moi et la haie, m'empêchant ainsi de serrer la main à cette personne que n'arrivais pas à quitter des yeux. On était au mois d'août, il faisait très chaud."
Quatre points sont à signaler :
1. Peu après avoir emménagé dans cette maison, le grand-père, regardant un jour par un vélux du premier étage, constata la présence, sur son terrain, d'une couronne de terre vierge de toute végétation. Elle pouvait avoir dix centimètres de large, et un diamètre de dix à douze mètres. Rien n'a poussé pendant cinq ans sur cette couronne de terre nue.
2. A une date impossible à préciser, mais avant la première visite des MIB, un soir, les enfants (cette fois là, au nombre de cinq) jouaient dans le grenier, quand leur regard fut attiré par des lumières tournantes dans le ciel, qu'ils voyaient au travers d'un lanterneau. Ces lumières faisaient comme des taches jaunes, avec un fort dégradé sur les contours. Elles tournaient ensembles, mais en plus, chacune était animée d'un mouvement de rotation sur elle-même. D'un seul coup, tout s'est éloigné et a disparu**.
3. Le grand-père a constaté des phénomènes difficilement explicables, depuis la manifestation des MIB. Il lui arrivait à diverses reprises d'être pris d'extraordinaires bouffées de chaleur, en pleine nuit. Cela le gène et gène son épouse. Il a un outre constaté un brunissement inexpliqué des lattes de son sommier, à sa place, ainsi qu'un brunissement localisé des ses pyjamas et de ses draps. A l'endroit de ces brunissements, le tissus est rapidement tombé en poussière.
4. Il s'est également découvert certains talents de guérisseur. Il estime aussi être devenu plus sociable.
Il est facile, et presque amusant, de noter les éléments qui, dans la description, rappellent d'autres témoignages sur les MIB. Ce cas nous incite donc à tracer un tableau à double entrée pour tenter de voir, de façon synoptique, la distribution des diverses caractéristiques signalées par le témoin, sur l'ensemble des cas connus. Ce travail ne résout évidemment pas le problème, mais fournis une assez bonne vue d'ensemble du phénomène.
* Dans son compte-rendu, Gérard Deforge nota que ces personnages ne s'étaient pas manifestés au cours de l'été 2003.
** Cette description fait évidemment penser à l'impact sur les nuages des faisceaux d'un "sky tracker". Un détail rend néanmoins cette hypothèse peu probable : lorsque ces engins étaient à la mode (dans les années 90 surtout), ceux qui les exploitaient, notamment pour signaler des discothèques, ou des centres commerciaux, évitaient en général d'utiliser des filtres colorés, qui atténuaient trop l'intensité. L'impact des faisceaux sur une couche nuageuse, ou les faisceaux eux-même se découpant sur le fond sombre du ciel, étaient généralement d'un blanc légèrement bleuté, jamais jaunes.
Source : http://www.ufofu.org/article/leurs-visages-etait-blanc-et-ils-avaient-du-rouge-a-levre/
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