L'ONU rejette la proposition du R-U de libérer Julian Assange
Le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies estime que Londres n'a pas présenté assez de nouveaux éléments pour justifier un réexamen du cas Assange. Celui-ci est considéré depuis le début de l'année comme détenu arbitrairement.
Toujours reclus dans une petite pièce de l’ambassade équatorienne à Londres, Julian Assange vient de remporter une victoire symbolique face au Royaume-Uni : le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a en effet balayé le recours du 10 Downing Street cherchant à renverser l’avis dans lequel l’instance considère que le fondateur de WikiLeaks subit une « détention arbitraire ».
Julian Assange est coincé depuis l’été 2012 dans l’enceinte diplomatique sans aucune possibilité d’en sortir, sous peine d’être arrêté par la police britannique. L’Australien de 45 ans y avait trouvé refuge pour échapper à un mandat d’arrêt européen qui doit le conduire en Suède dans une affaire d’agression sexuelle, puis éventuellement aux États-Unis où il fait l’objet d’une accusation pénale pour espionnage et divulgation de documents militaires et diplomatiques confidentiels.
Début février, le groupe de travail spécialisé de l’ONU a fait savoir que les conditions dans lesquelles se trouve Julian Assange constitue bien une « détention arbitraire ». L’analyse du WGAD (Working Group on Arbitrary Detention) souligne en particulier qu’en le retenant de fait dans un espace clos, Londres viole son droit à un procès équitable. Toutefois, l’avis que rend le WGAD est purement consultatif ; il ne s’impose pas aux États.
INTERROGÉ SUR PLACE
Dans l’analyse du recours de Londres, les cinq membres du groupe de travail ont jugé que le Royaume-Uni n’a pas présenté assez de nouveaux éléments justifiant un réexamen du cas Assange. Selon Voice of America, le WGAD, qui est dépend du Haut-commissariat de l’ONU, a pris sa décision lors d’une session ayant eu lieu fin novembre.
À défaut de pouvoir envoyer Julian Assange en Suède pour qu’il puisse être entendu dans l’affaire pour laquelle il est poursuivi, Quito et Stockholm ont finalement trouvé une voie médiane : un interrogatoire a pu avoir lieu dans l’ambassade équatorienne, mené par un procureur équatorien assisté d’une collège suédoise en charge du dossier.
Source - http://www.numerama.com/politique/213804-wikileaks-les-experts-de-lonu-ecartent-un-recours-de-londres-sur-julian-assange.html
Le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies estime que Londres n'a pas présenté assez de nouveaux éléments pour justifier un réexamen du cas Assange. Celui-ci est considéré depuis le début de l'année comme détenu arbitrairement.
Toujours reclus dans une petite pièce de l’ambassade équatorienne à Londres, Julian Assange vient de remporter une victoire symbolique face au Royaume-Uni : le groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies a en effet balayé le recours du 10 Downing Street cherchant à renverser l’avis dans lequel l’instance considère que le fondateur de WikiLeaks subit une « détention arbitraire ».
Julian Assange est coincé depuis l’été 2012 dans l’enceinte diplomatique sans aucune possibilité d’en sortir, sous peine d’être arrêté par la police britannique. L’Australien de 45 ans y avait trouvé refuge pour échapper à un mandat d’arrêt européen qui doit le conduire en Suède dans une affaire d’agression sexuelle, puis éventuellement aux États-Unis où il fait l’objet d’une accusation pénale pour espionnage et divulgation de documents militaires et diplomatiques confidentiels.
Début février, le groupe de travail spécialisé de l’ONU a fait savoir que les conditions dans lesquelles se trouve Julian Assange constitue bien une « détention arbitraire ». L’analyse du WGAD (Working Group on Arbitrary Detention) souligne en particulier qu’en le retenant de fait dans un espace clos, Londres viole son droit à un procès équitable. Toutefois, l’avis que rend le WGAD est purement consultatif ; il ne s’impose pas aux États.
INTERROGÉ SUR PLACE
Dans l’analyse du recours de Londres, les cinq membres du groupe de travail ont jugé que le Royaume-Uni n’a pas présenté assez de nouveaux éléments justifiant un réexamen du cas Assange. Selon Voice of America, le WGAD, qui est dépend du Haut-commissariat de l’ONU, a pris sa décision lors d’une session ayant eu lieu fin novembre.
À défaut de pouvoir envoyer Julian Assange en Suède pour qu’il puisse être entendu dans l’affaire pour laquelle il est poursuivi, Quito et Stockholm ont finalement trouvé une voie médiane : un interrogatoire a pu avoir lieu dans l’ambassade équatorienne, mené par un procureur équatorien assisté d’une collège suédoise en charge du dossier.
Source - http://www.numerama.com/politique/213804-wikileaks-les-experts-de-lonu-ecartent-un-recours-de-londres-sur-julian-assange.html
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