(Source : Alter info)
Un article de presse de mai 2007 indique que des discussions à haut niveau ont eu lieu, y compris un débat au Congrès, pour exiger de tous les employés d’aéroport d’être sujets à de plus grandes mesures de sécurité, notamment de sérieuses discussions sont en cours pour implanter des puces RFID sur le personnel ou de les soumettre aux systèmes d’identification biométriques.
De telles propositions ont déjà été présentées dans divers contextes à travers le monde, et leur acceptation prépare le terrain à un usage plus répandu de telles mesures. Comme l’a rapporté Steve Watson en 2007 :
Les fonctionnaires du gouvernement Mexicain sont forcés de porter la puce au risque de perdre leur travail. Le personnel de l’Avocat General de Mexico a dû s’équiper de la puce afin de pouvoir accéder aux zones sécurisées.
En février, une compagnie d’équipement de surveillance de Cincinnati est devenue la première entreprise aux États-Unis à faire usage de la puce RFID quand une poignée d’employés a volontairement accepté de se faire implanter la puce afin d’avoir accés aux salles sécurisées.
Des articles de presse de mai 2007 ont rapporté la possibilité que des conditions obligatoires, pour la biométrie et même pour obliger l’implant de puces RFID, pourraient être imposées aux employés des aéroports, y compris aux employés des restaurants et aux mécaniciens :
Le Congrès s’active pour mettre rapidement en oeuvre des mesures qui s’assureront que tous les employés d’aéroport soient soumis à des contrôles de sécurité plus stricts. Tous les employés, allant de l’employé de restaurant aux mécaniciens, pourraient bientôt être forcés de fournir un scan biométrique de leurs empreintes digitales, de leur iris et pourraient même se préparer à l’éventualité d’être implanté avec une puce RFID. Actuellement tous les employés d’aéroport doivent se soumettre à une enquête de police et du FBI pour vérifier leurs antécédents, toutefois ceci pourra bientôt être renforcé par des contrôles de leurs comptes bancaires, de vérifications de routine de leurs sacs et par l’utilisation de lecteurs biométriques avec la possibilité d’implant de puce RFID.
Les mesures sont toujours en discussion au Congrès.
Les discussions pour imposer de telles mesures de surveillance aux employés d’aéroport sont en cours. Une édition de juin 2008 sur l’ID, se concentre sur la question du contrôle et de la gestion des accès du grand nombre d’employés d’aéroport. Un directeur du programme d’ASIS admet qu’un de ses objectifs est de voir comment mettre en application le contrôle biométrique, un objectif identifié peu de temps après le 9/11, et de discuter la possibilité de la mise en place de programmes d’identification biométrique obligatoire. Ecoutez donc cet enregistrement audio de 7 minutes.
Faire confiance à ceux qui supervisent les écrans de surveillance de la TSA et aux opérateurs en charge des base de données contenant des données biométriques sensibles, comprenant potentiellement des scans de l’iris, des empreintes digitales et même porter des puces RFID implanté en sous-cutané, est un concept effrayant pas seulement en raison à première vue de l’invasion de l’intimité et à cause de l’abandon de la présomption d’innocence mais parce que le TSA s’est avéré être une agence de sécurité peu fiable. « L’Electronic Frontier Foundation » a totalement couvert les révélations sur le fait que le TSA a menti et caché des éléments lors de témoignages devant le Congrès concernant les données recueillis sur les passagers des lignes aériennes afin de les utiliser dans le cadre du programme CAPPS II de profilage des passagers.
De tels plans pour surveiller les employés d’aéroport, mais également les passagers remontent au moins à 2002 quand le Gouverneur de New York, George Pataki, et ensuite le Gouverneur du New Jersey, James McGreevey
Se sont prononcés en faveur de telles mesures.
De même, une prison de l’Arkansas a récemment annoncé son intention de tracer ses employés par puce RFID et par identification biométriques.
Clairement, l’utilisation potentielle d’implants RFID par les travailleurs de compagnies aériennes nous sera probablement vendue comme une solution « de traçage rapide » qui a le mérite de diminuer les temps d’attentes pour le voyageur de confiance et particulièrement pour les employés et membres d’équipage des compagnies aériennes.
VeriPax complète le système de gestion d’identité de l’ARINC (IdMS) en utilisant les informations biographiques et biométriques pour faciliter le transit des passagers préenregistrés, et éviter les contrôles inutiles sur les employés et membres d’équipage.
Déjà, des programmes ont été mis en place sur la base du volontariat pour permettre aux passagers de se déplacer à travers les différents points de contrôle des aéroports avec un statut de « voie rapide », étant équipé de puce RFID qui permet le traçage des passagers dans tout l’aéroport. L’aéroport de Logan à Boston a adopté ce programme pilote en mai 2006 pour tracer les bagages et les passagers tout au long de leur voyage. Air France a commencé un programme semblable en mars 2009 avec l’utilisation de cartes à puce contenant les numéros d’identification RFID, les empreintes digitales numériques, une photo et les informations de voyage.
Carrément plus choquant cette vidéo montrant des plans pour mettre en place des « bracelets Taser » sur tous les passagers au nom de la sécurité, qui pourrait délivrer une décharge électrique et immobiliserait tout passager considéré comme une menace, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de l’aéroport ou même en vol.
Bien que ces plans n’aient pas été mis en application de façon obligatoire, leur mise en oeuvre pour le moment à titre volontaire pousse encore plus loin ces mesures scandaleuses et risque de les accentuer.
TSA a maintenant mis en place un réseau de surveillance secondaire dans beaucoup d’aéroports afin de tracer les passagers et leurs affaires sur une base aléatoire et/ou sélective – passagers qui ont déjà été entièrement contrôlés dans les points de sécurité de la TSA aux niveaux des portes d’embarcation.
Un article de presse de mai 2007 indique que des discussions à haut niveau ont eu lieu, y compris un débat au Congrès, pour exiger de tous les employés d’aéroport d’être sujets à de plus grandes mesures de sécurité, notamment de sérieuses discussions sont en cours pour implanter des puces RFID sur le personnel ou de les soumettre aux systèmes d’identification biométriques.
De telles propositions ont déjà été présentées dans divers contextes à travers le monde, et leur acceptation prépare le terrain à un usage plus répandu de telles mesures. Comme l’a rapporté Steve Watson en 2007 :
Les fonctionnaires du gouvernement Mexicain sont forcés de porter la puce au risque de perdre leur travail. Le personnel de l’Avocat General de Mexico a dû s’équiper de la puce afin de pouvoir accéder aux zones sécurisées.
En février, une compagnie d’équipement de surveillance de Cincinnati est devenue la première entreprise aux États-Unis à faire usage de la puce RFID quand une poignée d’employés a volontairement accepté de se faire implanter la puce afin d’avoir accés aux salles sécurisées.
Des articles de presse de mai 2007 ont rapporté la possibilité que des conditions obligatoires, pour la biométrie et même pour obliger l’implant de puces RFID, pourraient être imposées aux employés des aéroports, y compris aux employés des restaurants et aux mécaniciens :
Le Congrès s’active pour mettre rapidement en oeuvre des mesures qui s’assureront que tous les employés d’aéroport soient soumis à des contrôles de sécurité plus stricts. Tous les employés, allant de l’employé de restaurant aux mécaniciens, pourraient bientôt être forcés de fournir un scan biométrique de leurs empreintes digitales, de leur iris et pourraient même se préparer à l’éventualité d’être implanté avec une puce RFID. Actuellement tous les employés d’aéroport doivent se soumettre à une enquête de police et du FBI pour vérifier leurs antécédents, toutefois ceci pourra bientôt être renforcé par des contrôles de leurs comptes bancaires, de vérifications de routine de leurs sacs et par l’utilisation de lecteurs biométriques avec la possibilité d’implant de puce RFID.
Les mesures sont toujours en discussion au Congrès.
Les discussions pour imposer de telles mesures de surveillance aux employés d’aéroport sont en cours. Une édition de juin 2008 sur l’ID, se concentre sur la question du contrôle et de la gestion des accès du grand nombre d’employés d’aéroport. Un directeur du programme d’ASIS admet qu’un de ses objectifs est de voir comment mettre en application le contrôle biométrique, un objectif identifié peu de temps après le 9/11, et de discuter la possibilité de la mise en place de programmes d’identification biométrique obligatoire. Ecoutez donc cet enregistrement audio de 7 minutes.
Faire confiance à ceux qui supervisent les écrans de surveillance de la TSA et aux opérateurs en charge des base de données contenant des données biométriques sensibles, comprenant potentiellement des scans de l’iris, des empreintes digitales et même porter des puces RFID implanté en sous-cutané, est un concept effrayant pas seulement en raison à première vue de l’invasion de l’intimité et à cause de l’abandon de la présomption d’innocence mais parce que le TSA s’est avéré être une agence de sécurité peu fiable. « L’Electronic Frontier Foundation » a totalement couvert les révélations sur le fait que le TSA a menti et caché des éléments lors de témoignages devant le Congrès concernant les données recueillis sur les passagers des lignes aériennes afin de les utiliser dans le cadre du programme CAPPS II de profilage des passagers.
De tels plans pour surveiller les employés d’aéroport, mais également les passagers remontent au moins à 2002 quand le Gouverneur de New York, George Pataki, et ensuite le Gouverneur du New Jersey, James McGreevey
Se sont prononcés en faveur de telles mesures.
De même, une prison de l’Arkansas a récemment annoncé son intention de tracer ses employés par puce RFID et par identification biométriques.
Clairement, l’utilisation potentielle d’implants RFID par les travailleurs de compagnies aériennes nous sera probablement vendue comme une solution « de traçage rapide » qui a le mérite de diminuer les temps d’attentes pour le voyageur de confiance et particulièrement pour les employés et membres d’équipage des compagnies aériennes.
VeriPax complète le système de gestion d’identité de l’ARINC (IdMS) en utilisant les informations biographiques et biométriques pour faciliter le transit des passagers préenregistrés, et éviter les contrôles inutiles sur les employés et membres d’équipage.
Déjà, des programmes ont été mis en place sur la base du volontariat pour permettre aux passagers de se déplacer à travers les différents points de contrôle des aéroports avec un statut de « voie rapide », étant équipé de puce RFID qui permet le traçage des passagers dans tout l’aéroport. L’aéroport de Logan à Boston a adopté ce programme pilote en mai 2006 pour tracer les bagages et les passagers tout au long de leur voyage. Air France a commencé un programme semblable en mars 2009 avec l’utilisation de cartes à puce contenant les numéros d’identification RFID, les empreintes digitales numériques, une photo et les informations de voyage.
Carrément plus choquant cette vidéo montrant des plans pour mettre en place des « bracelets Taser » sur tous les passagers au nom de la sécurité, qui pourrait délivrer une décharge électrique et immobiliserait tout passager considéré comme une menace, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de l’aéroport ou même en vol.
Bien que ces plans n’aient pas été mis en application de façon obligatoire, leur mise en oeuvre pour le moment à titre volontaire pousse encore plus loin ces mesures scandaleuses et risque de les accentuer.
TSA a maintenant mis en place un réseau de surveillance secondaire dans beaucoup d’aéroports afin de tracer les passagers et leurs affaires sur une base aléatoire et/ou sélective – passagers qui ont déjà été entièrement contrôlés dans les points de sécurité de la TSA aux niveaux des portes d’embarcation.
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