(Source : Site de Jean-Jack Micalef)
L’idée d’un point de départ de l’histoire du cosmos est une pure hypothèse métaphysique : pourquoi date-il de 13 milliards d’années seulement ? Qu’est-ce qui autorise à dire que ce cosmos est daté et non pas éternel, qu’il y a eu Création en un temps t comme coupure sur la linéarité du temps éternel ? S’il y a début de l’Univers, rien ne dit qu’il n’y a pas eu auparavant une infinité d’univers créés.
Les fondements scientifiques de la théorie du big-bang reposent sur 3 mesures de phénomènes conjugués qui peuvent pour chacun d’eux être attribué à d’autres causes dans le cadre d’une nouvelle théorie :
1) Il n’est pas sûr que le décalage spectral cosmologique manifeste le mouvement de fuite des galaxies et l’expansion de l’univers.
2) Il n’est pas sûr que le rayonnement fossile puisse être attribué à l’explosion originelle.
3) Il n’est pas sûr que la proportion des éléments mesurée aujourd’hui aient été créés en totalité lors du big bang
La théorie du big-bang conduit à des impasses :
*Des galaxies de plus en plus lointaines vont être découvertes qui ne cesseront de faire reculer l’âge de l’Univers. Ces galaxies vont avoir des vitesses de fuite dépassant celle de la lumière.
*Des galaxies et amas de galaxies de plus en plus froides, noires, vont être découvertes qui ne cesseront de faire reculer l’âge de l’univers.
*L’expansion de l’espace/matière suppose nécessairement un bord, une limite, au delà de laquelle il ne se trouve plus d’espace. Les artifices mathématiques d’un univers sphérique (si on fait le tour de l’univers on revient à son point de départ) ne sauraient dissimuler ce vice rédhibitoire. Qu’en est-il de l’espace situé au delà de l’atome de matière le plus extrême ? (étant entendu qu’au-delà de la dernière des galaxies, il n’y plus ni espace, ni matière)
*L’idée d’une singularité initiale et de la concentration infinie de l’espace-temps-matière consécutive à l’application de la métrique relativiste est une simple construction de l’esprit qui ne peut trouver aucune traduction dans le réel : - l’espace en tant qu’être physique, doit avoir quelque réalité effective et des propriétés spécifiques pour pouvoir aussi bien se dilater que se contracter (il doit exister comme phénomène !) L’espace n’est pas comme le pense la relativité le simple lieu du positionnement et de la mesure de la distance entre les corps et qui ne peut être en l’absence de matière. - la matière/rayonnement doit se concentrer selon une densité infinie, ce qui est une impossibilité physique radicale.
Le recours à une construction- et à des fondements - essentiellement mathématiques permet de dissimuler les questionnements suivants :
* Comment l’espace peut-il créer lui-même son propre lieu ? (étant entendu que la théorie de l’espace-temps vide l’espace de toute réalité physique !)
*Un espace en expansion, sur quoi s’étend-t-il ? (étant entendu que l’espace relativiste s’arrète là ou cesse de se placer la matière !)
* Quelle est la procédure par laquelle la matière passe de l’inexistant à l’existant ? (pourquoi les matière/espace/temps infiniment concentrés depuis l’éternité d’avant le temps se décident-ils à exploser subitement et à s’étendre il y a 13 millairds d’années ?)
* De quel néant a surgit la boule de feu initiale : comment un objet physique ? peut-il surgir d’un non être ?
ex nihilo nihil fit
* Qu’est devenue l’anti-matière créée en même temps que la matière lors du big bang (les particules surgissent obligatoirement par paires)
* Comment une quantité infinie de matière peut-elle se trouver infiniment concentrée ce qui suppose à la suite un temps infini d’expansion ? Dans l’ hypothèse choisie par la théorie d’une quantité finie de matière à l’origine, qu’est-ce qui permet de supposer cette finitude de l’univers ?
* Pourquoi un seul atome lourd (carbone par exemple)n’a-t-il pu être créé lors du big-bang alors que les températures étaient suffisantes ?
* S’il y a début d’univers, il doit y avoir une fin : le big-bang suppose le big crunch et une nouvelle concentration de l’espace-temps-matière. Si l’on suppose un univers infini, cela implique un temps infini. Qu’est-ce qui autorise alors le choix implicite d’un univers fini dans la théorie du big-bang ?
Conclusion
La théorie du big-bang est un anthropomorphisme qui suppose une naissance, un point d’origine, dans un domaine – le statut de l’univers – qui échappe aux catégories humaines du cycle mort/renaissance. L’idée d’un univers incréé est insupportable pour des esprits structurés par la métaphysique judéo-chrétienne (on le préfère daté). L’idée d’un univers infini est insupportable pour des esprits structurés par les concepts de but, de finalité, de limite (on le préfère sphérique). Le recours à des artifices mathématiques est destiné à rassurer le conformisme de la pensée occidentale par la construction d’ un modèle d’univers acceptable par la raison scientifique, qui échapperait ainsi aux questions philosophiques ainsi exclues, par la théorie du big-bang, du domaine étroit et délimité de la science.
Une théorie mathématique aussi belle et cohérente soit-elle, ne peut forcer le réel à exister tel qu’elle le prévoit au risque de conduire, pour sauver sa logique interne, à des concepts physiques totalement inacceptables en raison car n’ayant aucune espèce de traduction possible en termes d’objets physiques concevables.
La théorie du big-bang plonge ses racines dans la tradition judéo-chrétienne de la création ex nihilo du monde et du temps : le temps n’existant pas avant la création. Cette conception Augustinienne du temps surgissant avec le créé est intégralement reprise dans la singularité mathématique relativiste.
LA GENESE DES ETOILES : UN MODELE COMPLEXE, PROBLÉMATIQUE ET CONTESTABLE.
La cosmogénèse contemporaine complique à l’extrême le procédé de création de la matière et des étoiles.
En multipliant les étapes en distinguant :
* Le temps de création de la matière initiale (hydrogène, hélium) lors du big-bang.
* Le temps de fragmentation puis de condensation des nuages interstellaires
*Le temps et les modes de fabrication des éléments lourds (internes, par explosions de nova et accumulation/récupération dans les nuages interstellaires).
En multipliant les procédés de développement selon la masse des étoiles :
Étoile naines qui ne peuvent fabriquer des éléments lourds
Super géantes qui subissent le flash de l’hélium et explosent
Naines brunes qui ne connaissent pas la fusion de l’hélium
Planètes qui se constituent par agglomération de planétésimaux
En obligeant certains types d’étoiles à parcourir plusieurs fois la séquence principale :
Nuage froid → réchauffement (démarrage de la fusion de l’hélium ou du deutérium) →refroidissement (géante rouge) →réchauffement (explosion et/ou naine blanche) → refroidissement (matière noire)
En oubliant certains principes de base de la physique et de la thermodynamique :
*Un nuage interstellaire très froid ne peut se condenser sans l’intervention d’une force de compression extérieure (d’où le recours à la création ad hoc des ondes de densités qui n’ont pu jouer lors de la création des premières étoiles) *La tendance d’un nuage interstellaire est à la dispersion sous l’effet des forces répulsives EM. *La tendance d’un gaz qui se réchauffe est à l’augmentation en volume sous les effets conjugués de l’agitation des atomes et de la répulsion électrostatique. *Une masse de gaz se comprimant tend à accroître sa vitesse de rotation et à disperser ses constituants.
En inventant des concepts fantaisistes :
*Une étoile à neutrons ne peut exister puisque un neutron est une particule éphémère en voie de décomposition rapide et ne saurait se condenser à l’instar des bosons pour atteindre les densités imaginées pour ce type d’étoiles (un neutron reste un fermion et ne saurait avoir les propriétés de bosons !) *Un trou noir ne saurait avoir les densités énormes exigées pour interdire l’émission de photons : il existe une limite à la densité de la matière à partir de laquelle il y a changement d’état. *L’agrégation des planétésimaux pour la constitution des planètes est impossible à démontrer dynamiquement, suppose une grande part laissé au hasard et revient à dire que la fabrication des planètes résulte d’un entassement de cailloux.
En n’expliquant pas :
*Pourquoi les étoiles sont alignées très tôt sur le plan équatorial alors que la condensation des nuages supposerait plutôt une dispersion hasardeuse et sphérique autour de l’étoile principale. *Pourquoi la grande majorité des étoiles se constituent par paires. *Pourquoi il existe autant de matière noire (90% de la matière observée), quelle est sa nature et s’il s’agit d’astres refroidis, il faut alors considérablement rallonger l’âge de l’Univers.
Conclusion
La théorie de l’effondrement gravitationnel est complémentaire de celle du big-bang : il faut au préalable que la matière première constitutive des étoiles existe avant leur constitution. La cosmologie contemporaine refuse d’envisager une auto-constitution des étoiles par la création et la fabrication de tous ses éléments comme autant de mini big bang (en tous temps, de toute éternité). Il n’y avait pas d’autre solution possible que de séparer le temps unique de création de toute la matière universelle de celui multiple des étoiles et d’imaginer une expansion de l’Univers pour donner un dynamisme au modèle. En choisissant cette unique voie, la cosmologie contemporaine se condamne :
à la complexité
à multiplier les solutions ad hoc
à inventer des objets improbables
à interpréter de façon erronée les faits d’observation
à ne pas comprendre la véritable genèse et le fonctionnement de l’Univers.
L’idée d’un point de départ de l’histoire du cosmos est une pure hypothèse métaphysique : pourquoi date-il de 13 milliards d’années seulement ? Qu’est-ce qui autorise à dire que ce cosmos est daté et non pas éternel, qu’il y a eu Création en un temps t comme coupure sur la linéarité du temps éternel ? S’il y a début de l’Univers, rien ne dit qu’il n’y a pas eu auparavant une infinité d’univers créés.
Les fondements scientifiques de la théorie du big-bang reposent sur 3 mesures de phénomènes conjugués qui peuvent pour chacun d’eux être attribué à d’autres causes dans le cadre d’une nouvelle théorie :
1) Il n’est pas sûr que le décalage spectral cosmologique manifeste le mouvement de fuite des galaxies et l’expansion de l’univers.
2) Il n’est pas sûr que le rayonnement fossile puisse être attribué à l’explosion originelle.
3) Il n’est pas sûr que la proportion des éléments mesurée aujourd’hui aient été créés en totalité lors du big bang
La théorie du big-bang conduit à des impasses :
*Des galaxies de plus en plus lointaines vont être découvertes qui ne cesseront de faire reculer l’âge de l’Univers. Ces galaxies vont avoir des vitesses de fuite dépassant celle de la lumière.
*Des galaxies et amas de galaxies de plus en plus froides, noires, vont être découvertes qui ne cesseront de faire reculer l’âge de l’univers.
*L’expansion de l’espace/matière suppose nécessairement un bord, une limite, au delà de laquelle il ne se trouve plus d’espace. Les artifices mathématiques d’un univers sphérique (si on fait le tour de l’univers on revient à son point de départ) ne sauraient dissimuler ce vice rédhibitoire. Qu’en est-il de l’espace situé au delà de l’atome de matière le plus extrême ? (étant entendu qu’au-delà de la dernière des galaxies, il n’y plus ni espace, ni matière)
*L’idée d’une singularité initiale et de la concentration infinie de l’espace-temps-matière consécutive à l’application de la métrique relativiste est une simple construction de l’esprit qui ne peut trouver aucune traduction dans le réel : - l’espace en tant qu’être physique, doit avoir quelque réalité effective et des propriétés spécifiques pour pouvoir aussi bien se dilater que se contracter (il doit exister comme phénomène !) L’espace n’est pas comme le pense la relativité le simple lieu du positionnement et de la mesure de la distance entre les corps et qui ne peut être en l’absence de matière. - la matière/rayonnement doit se concentrer selon une densité infinie, ce qui est une impossibilité physique radicale.
Le recours à une construction- et à des fondements - essentiellement mathématiques permet de dissimuler les questionnements suivants :
* Comment l’espace peut-il créer lui-même son propre lieu ? (étant entendu que la théorie de l’espace-temps vide l’espace de toute réalité physique !)
*Un espace en expansion, sur quoi s’étend-t-il ? (étant entendu que l’espace relativiste s’arrète là ou cesse de se placer la matière !)
* Quelle est la procédure par laquelle la matière passe de l’inexistant à l’existant ? (pourquoi les matière/espace/temps infiniment concentrés depuis l’éternité d’avant le temps se décident-ils à exploser subitement et à s’étendre il y a 13 millairds d’années ?)
* De quel néant a surgit la boule de feu initiale : comment un objet physique ? peut-il surgir d’un non être ?
ex nihilo nihil fit
* Qu’est devenue l’anti-matière créée en même temps que la matière lors du big bang (les particules surgissent obligatoirement par paires)
* Comment une quantité infinie de matière peut-elle se trouver infiniment concentrée ce qui suppose à la suite un temps infini d’expansion ? Dans l’ hypothèse choisie par la théorie d’une quantité finie de matière à l’origine, qu’est-ce qui permet de supposer cette finitude de l’univers ?
* Pourquoi un seul atome lourd (carbone par exemple)n’a-t-il pu être créé lors du big-bang alors que les températures étaient suffisantes ?
* S’il y a début d’univers, il doit y avoir une fin : le big-bang suppose le big crunch et une nouvelle concentration de l’espace-temps-matière. Si l’on suppose un univers infini, cela implique un temps infini. Qu’est-ce qui autorise alors le choix implicite d’un univers fini dans la théorie du big-bang ?
Conclusion
La théorie du big-bang est un anthropomorphisme qui suppose une naissance, un point d’origine, dans un domaine – le statut de l’univers – qui échappe aux catégories humaines du cycle mort/renaissance. L’idée d’un univers incréé est insupportable pour des esprits structurés par la métaphysique judéo-chrétienne (on le préfère daté). L’idée d’un univers infini est insupportable pour des esprits structurés par les concepts de but, de finalité, de limite (on le préfère sphérique). Le recours à des artifices mathématiques est destiné à rassurer le conformisme de la pensée occidentale par la construction d’ un modèle d’univers acceptable par la raison scientifique, qui échapperait ainsi aux questions philosophiques ainsi exclues, par la théorie du big-bang, du domaine étroit et délimité de la science.
Une théorie mathématique aussi belle et cohérente soit-elle, ne peut forcer le réel à exister tel qu’elle le prévoit au risque de conduire, pour sauver sa logique interne, à des concepts physiques totalement inacceptables en raison car n’ayant aucune espèce de traduction possible en termes d’objets physiques concevables.
La théorie du big-bang plonge ses racines dans la tradition judéo-chrétienne de la création ex nihilo du monde et du temps : le temps n’existant pas avant la création. Cette conception Augustinienne du temps surgissant avec le créé est intégralement reprise dans la singularité mathématique relativiste.
LA GENESE DES ETOILES : UN MODELE COMPLEXE, PROBLÉMATIQUE ET CONTESTABLE.
La cosmogénèse contemporaine complique à l’extrême le procédé de création de la matière et des étoiles.
En multipliant les étapes en distinguant :
* Le temps de création de la matière initiale (hydrogène, hélium) lors du big-bang.
* Le temps de fragmentation puis de condensation des nuages interstellaires
*Le temps et les modes de fabrication des éléments lourds (internes, par explosions de nova et accumulation/récupération dans les nuages interstellaires).
En multipliant les procédés de développement selon la masse des étoiles :
Étoile naines qui ne peuvent fabriquer des éléments lourds
Super géantes qui subissent le flash de l’hélium et explosent
Naines brunes qui ne connaissent pas la fusion de l’hélium
Planètes qui se constituent par agglomération de planétésimaux
En obligeant certains types d’étoiles à parcourir plusieurs fois la séquence principale :
Nuage froid → réchauffement (démarrage de la fusion de l’hélium ou du deutérium) →refroidissement (géante rouge) →réchauffement (explosion et/ou naine blanche) → refroidissement (matière noire)
En oubliant certains principes de base de la physique et de la thermodynamique :
*Un nuage interstellaire très froid ne peut se condenser sans l’intervention d’une force de compression extérieure (d’où le recours à la création ad hoc des ondes de densités qui n’ont pu jouer lors de la création des premières étoiles) *La tendance d’un nuage interstellaire est à la dispersion sous l’effet des forces répulsives EM. *La tendance d’un gaz qui se réchauffe est à l’augmentation en volume sous les effets conjugués de l’agitation des atomes et de la répulsion électrostatique. *Une masse de gaz se comprimant tend à accroître sa vitesse de rotation et à disperser ses constituants.
En inventant des concepts fantaisistes :
*Une étoile à neutrons ne peut exister puisque un neutron est une particule éphémère en voie de décomposition rapide et ne saurait se condenser à l’instar des bosons pour atteindre les densités imaginées pour ce type d’étoiles (un neutron reste un fermion et ne saurait avoir les propriétés de bosons !) *Un trou noir ne saurait avoir les densités énormes exigées pour interdire l’émission de photons : il existe une limite à la densité de la matière à partir de laquelle il y a changement d’état. *L’agrégation des planétésimaux pour la constitution des planètes est impossible à démontrer dynamiquement, suppose une grande part laissé au hasard et revient à dire que la fabrication des planètes résulte d’un entassement de cailloux.
En n’expliquant pas :
*Pourquoi les étoiles sont alignées très tôt sur le plan équatorial alors que la condensation des nuages supposerait plutôt une dispersion hasardeuse et sphérique autour de l’étoile principale. *Pourquoi la grande majorité des étoiles se constituent par paires. *Pourquoi il existe autant de matière noire (90% de la matière observée), quelle est sa nature et s’il s’agit d’astres refroidis, il faut alors considérablement rallonger l’âge de l’Univers.
Conclusion
La théorie de l’effondrement gravitationnel est complémentaire de celle du big-bang : il faut au préalable que la matière première constitutive des étoiles existe avant leur constitution. La cosmologie contemporaine refuse d’envisager une auto-constitution des étoiles par la création et la fabrication de tous ses éléments comme autant de mini big bang (en tous temps, de toute éternité). Il n’y avait pas d’autre solution possible que de séparer le temps unique de création de toute la matière universelle de celui multiple des étoiles et d’imaginer une expansion de l’Univers pour donner un dynamisme au modèle. En choisissant cette unique voie, la cosmologie contemporaine se condamne :
à la complexité
à multiplier les solutions ad hoc
à inventer des objets improbables
à interpréter de façon erronée les faits d’observation
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