La grippe, c'est le contraire du nuage de Tchernobyl. Voici qu'elle ne veut pas quitter la France !!! Les voisins vont être jaloux... faut dire qu'elle a été si bien accueillie au pays de Roselyne qu'elle fait un peu de rab. On a comprend !
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18 participants
La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°41
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
dranozir- Modérateur
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- Message n°42
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
je trouve ça énorme les cartes avec du rouge partout ...
ils se foutent bien de la gueule des gens ...
ils se foutent bien de la gueule des gens ...
Mikerynos- VIP
- Nombre de messages : 9912
- Message n°43
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
La grippe, c'est le contraire du nuage de Tchernobyl. Voici qu'elle ne veut pas quitter la France !!! Les voisins vont être jaloux... faut dire qu'elle a été si bien accueillie au pays de Roselyne qu'elle fait un peu de rab. On a comprend !
Alors... On fait quoi des stocks de vaccins ?
Alors... On fait quoi des stocks de vaccins ?
dranozir- Modérateur
- Nombre de messages : 2455
- Message n°44
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
ba tu sais pas ?
le vaccin sert aussi pour soigner les grippes qui aurai muté !
donc ça servira pour la saison d'après ...
le vaccin sert aussi pour soigner les grippes qui aurai muté !
donc ça servira pour la saison d'après ...
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
- Message n°45
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Les stocks de vaccin, on les fout au crématoire. C'est là qu'ils seront le mieux !
Mirmi- VIP
- Nombre de messages : 1957
- Message n°46
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Faudra bien que quelqu'un rende des compte à propos de se fiasco (organisé ou non) !?
Schattenjäger- Webmaster
- Nombre de messages : 44284
- Message n°47
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Vaccination H1N1 : cascade de témoignages d’effets indésirables violents
(Source : Alterinfo)
C’est bien connu : les effets indésirables des vaccins contre la grippe A/H1N1 sont dérisoires, une petite démangeaison locale, quand il y en a. D’ailleurs le gouvernement en est tellement persuadé qu’il vous fera signer une décharge avant la piqûre. Tellement persuadé, que les laboratoires bénéficient d’une immunité juridique. Avez-vous entendu parler d’effets indésirables violents suite aux vaccinations, au sacro-saint journal de 20h ? Moi pas. Et ne pas aborder le sujet, c’est laisser entendre qu’il n’y a pas matière à disserter.
ourtant, la réalité du terrain est bien différente. Si la plupart des vaccinations se passent, pour l’instant, correctement, les couacs commencent à se multiplier et certains d’entre eux sont peu rassurants. Pour l’instant, car le squalène, utilisé dans la guerre du golfe, qui a provoqué une hécatombe dans les rangs américains plusieurs années après avoir été administré, pourrait refaire parler de lui (0) . Mais, même en se focalisant sur l’instant, la vérité commence à prendre forme.
Car, outre le doute sur le vaccin lui-même, vient s’ajouter la véritable débandade dans l’organisation de la campagne. En regard des personnels de santé non formés et réquisitionnés manu-militari, ce sont les conditions de vaccination qui commencent à être mises en causes, des « étudiants qui vaccinent sans autorisation », parfois sans médecin qui supervise, et à la chaîne – jusqu’à 600 vaccinations par jour et par étudiant : « De plus en plus de cas d’accidents, de patients qui reçoivent des surdoses, remontent à mes oreilles. Car ce ne sont pas les mêmes étudiants qui préparent le vaccin (mélange d’une base et d’un adjuvant) et ceux qui l’administrent. Or le vaccin n’est pas le même pour tous ! », rappelle Thierry Amouroux, secrétaire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI). (1)
Un vaccin douteux, des novices réquisitionnés, acculés dans les centres à coup de chantage administratif, qui manient la seringue à la manière des « temps modernes » de Charlie Chaplin, que peut-il sortir de bon de cette foire du trône médicale ? Qu’on en juge :
« je me suis faite vaccinée par pandemrix le 1er décembre, dans les deux jours qui ont suivis, rien si ce n’est la douleur dans le bras, le 3e jour reveil 3/4 h après m’être endormie par des tremblements et l’insensibilité de mes pieds jusqu’aux genoux. En totale panique j’ai appelé le 15 qui m’a dit d’attendre et de rappeler si cela persistait, dans la foulée j’ai eu la diarrhée et depuis ça va de mal en pis, je ne dors plus j’ai une douleur dans la poitrine. J’ai consulté et attend mes résultats sanguins ce soir, je pense que suivant cela je me rendrais aux urgences car je ne me sens vraiment pas bien. » (2)
« Je suis médecin hospitalier, à ce titre j’ai fait parti de la 1ère vague de vaccinations. Et bingo, 3 jours aprés l’injection, je me suis trouvé être l’un des 4 premiers patients à avoir un effet indésirable grave. "homme de 34 ans, avec paresthésies..." d’aprés l’Afssaps. Je vous épargnerai les détails, mais bilan des courses : 1ère poussée de sclérose en plaque, et déjà un mois d’arrêt de travail. » (3)
« Samedi 21 novembre , j’ai commencé à sentir des sensations anormales dans ma main gauche : picotement, engourdissement, froid. Ensuite se fut le tour de tout mon bras gauche puis le droit, ce qui m’a conduit lundi 23 novembre, à me rendre chez mon médecin traitant avec 2 bras complétement engourdis et des fasciculations sur tout le corps (myokimies m’a précisé le médecin). Mon médecin traitant m’a dirigée, en suspectant un syndrome de Guillain Barré sur le service de médecine interne de l’hôpital le plus proche pour rencontrer le médecin chef de service. Lorsque je me suis présentée dans le service, celui-ci a pris moins de 2 minutes dans les couloirs pour me dire de revenir vendredi 27.... » (4)
« je suis très inquiète, ma soeur s’est faite vacciné dimanche dernier avec pandemrix, une heure après elle a ressenti comme un enorme mal de tete et dès le lendemain des fourmillements sont apparus dans les bras et les cuisses, les pieds, le visage... 3 jours apres ayant toujours des fourmillements, le centre de vaccination lui conseille de se rendre aux urgences lui informant que son état n’etait pas normal. Aujourd’hui vendredi nous en sommes là : toujours des fourmillements et quelques maux de tête ..... mais surtout une inflammation au cerveau (lésion) datant de moins de 2 mois, nbre de ???? élevé à 4 après ponction lombaire donc il y a une inflammation et on doit lui faire un irm de la moelle epinière au cours du week end..... Le médecin ne nie pas le lien avec le vaccin, une déclaration va être faite mais aucun résultat ne peut le prouver. Elle a 32 ans et n’avait jamais eu ce type de symptome precedement. » (5)
« Bonsoir, alors voilà vaccin fait pour moi et mon fils hier soir à 17h44 lol pour être précise avec le vaccin Celtura, hier aucun problème, aucune douleur ni pour mon fils, ni pour moi. Ce matin 5h30 mon fils se réveille m’appelle je vais le voir il venait de vomir dans son lit et me disait avoir très mal, je le touche il était plus que brûlant ! Je lui change son lit, lui apporte une poche de glace enroulée dans un linge, je lui donne du frais à boire, j’essaye de lui faire prendre de l’algifor en sirop mais il a refusé, impossible de lui faire avaler, je prends sa température 39,9 c° alors qu’il allait parfaitement bien en allant se coucher. Bref nuit catastrophique, il dort à moitié tous en gémissant par moment et en parlant mais genre hallucination il me disait qu’on était chez le médecin alors qu’on était à la maison, bref il n’allait vraiment pas bien, j’ai été cherché mon duvet, mon oreiller et je suis restée près de lui toute la nuit à dormir parterre au pied de son lit (enfin dormir quelques minutes, se réveiller, et ainsi de suite.) Ce matin 8h40 il se réveille vraiment, mais il n’arrive pas se lever comme les jambes en coton, à peine il voulait se lever il retombait, j’ai appellé la hotline d’urgence pédiatrique (urgence je sais qu’ils sont débordés mais quand même, plus d’1h pour pouvoir les atteindres...) car toujours 39c° de fièvre et justement il restait couché en plutôt plié en deux en me disant qu’il arrivait pas se lever et qu’il avait sommeil. » (6) « Durant la nuit de lundi à mardi, j’ai eu beaucoup de fièvre. Je me suis réveillée avec mon bras gonflé. Je ne pouvais plus le bouger ». Résultat, une semaine d’arrêt pour la jeune fille et des regrets : « Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner. Les patients ne sont pas prévenus que de tels effets peuvent arriver ». Avertie par plusieurs de ses patients, la doctoresse de l’étudiante décide de ne plus les envoyer se faire vacciner. (7)
« J’ ai été vacciné y a 15 jours et j’ ai eu très mal au bas du dos pendant 8 jours ( sacrum déplacé car parti plus faible de mon corps ).Ma femme est vacciné depuis hier et se retrouve au lit avec le dos deglingué » (8)
[…]
Ces témoignages français peuvent être multipliés à volonté, il suffit de parcourir les très nombreux forums qui en parlent, et on peut faire la même chose pour tous les pays. Aux Etats-Unis, par exemple, c’est le triste témoignage de la CheerLeader (9), qui a perdu l’essentiel de ses capacités motrices après la vaccination, qui défraye la chronique. En Hollande, un vaccin a été retiré après la mort de 3 bébés (10)
En lisant les témoignages, on s’aperçoit qu’il n’existe aucune procédure de déclaration d’effets secondaires. Comment donc l’Afssaps peut-elle prétendre établir des statistiques, si seule une fraction de cas flagrants lui parvient ? Les patients sont livrés à eux-mêmes, et l’administration médicale traîne la savate à reconnaître un lien entre les effets indésirables et la vaccination récente. Comme les effets secondaires neurologiques (11), cette femme enceinte qui a perdu son bébé (12), ou cet enfant de 9 ans, décédé 4 jours après s’être fait vacciné (13). On comprend mieux le doute qu’avait évoqué le Dr Girard sur la validité de la pharmaco-vigilance.
Compte tenu de cette inertie administrative à reconnaître et répertorier les effets indésirables, les multiples signalements de décès à travers le monde, 55 reconnus officiellement à ce jour (14), ainsi que les effets indésirables graves, sont probablement très en dessous de la réalité. Quand on voit que le CDC admet qu’il y a deux fois plus d’effets indésirables que pour la grippe saisonnière, et que le taux d’effets pour le H1N1 est de 82 pour un million (15), ça laisse sans voix. En effet, l’Afssaps, qui ne bénéficie d’aucune ressource de suivi de terrain, parle déjà de 0,5 effet indésirable sur mille (16), cad 500 pour un million.
En clair, les Etats-Unis ont … 6 fois moins d’effets indésirables que la France. De deux choses l’une, soit la France a acquis de la daube auprès des laboratoires, soit les autorités médicales américaines sont encore plus complaisantes que les nôtres en matière de rapport statistique. A qualité égale de vaccin, et à honnêteté statistique égale, c’est 6 fois plus d’effets indésirables américains qui aurait dus figurer dans la presse internationale, ce qui aurait (ramené au chiffre de la population américaine) dissuadé la plupart des gens à aller se faire vacciner. Tout cela pour un taux de mortalité qui aura eu le record du grotesque dans l’histoire de la médecine : 0,03 pour mille, 30x moins que la grippe saisonnière.
John Lloyds
(0) http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/22/un-neurochirurgien-repute-met-en-garde.html
(1) http://www.20minutes.fr/article/369136/France-Grippe-A-H1N1-Les-etudiants-requisitionnes-denoncent-le-capharnaum.php
(2) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=5
(3) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=2
(4) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=2
(5) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=6
(6) http://www.bebe.ch/drupal/node/176204
(7) http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/12/735806-Vaccin-contre-la-grippe-A-gare-aux-effets-secondaires.html
(8) http://www.i-med.fr/spip.php ?article357
(9) http://www.mooveon.net/article_512602580827
(10) http://www.dutchnews.nl/news/archives/2009/11/vaccine_use_halted_after_baby.php
(11) http://www.i-med.fr/spip.php ?article360
(12) http://www.babyfrance.com/actus-bebe/grippe-a-une-femme-perd-son-bebe.html
(13) http://www.webchercheurs.com/60/1829-fr-enfant-mort-du-vaccin-grippe-a-h1n1.html
(14) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-vaccination-h1n1-signalements-de-décès-partout-dans-le-monde_2336.htm
(15) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-vaccination-h1n1-2-fois-plus-deffets-indésirables-que-la-vaccination-contre-la-grippe-saisonnière_2310.htm
(16) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-effets-indésirables-du-vaccin-h1n1-0,5-pour-1.000-doses-administrées_2283.htm
(Source : Alterinfo)
C’est bien connu : les effets indésirables des vaccins contre la grippe A/H1N1 sont dérisoires, une petite démangeaison locale, quand il y en a. D’ailleurs le gouvernement en est tellement persuadé qu’il vous fera signer une décharge avant la piqûre. Tellement persuadé, que les laboratoires bénéficient d’une immunité juridique. Avez-vous entendu parler d’effets indésirables violents suite aux vaccinations, au sacro-saint journal de 20h ? Moi pas. Et ne pas aborder le sujet, c’est laisser entendre qu’il n’y a pas matière à disserter.
ourtant, la réalité du terrain est bien différente. Si la plupart des vaccinations se passent, pour l’instant, correctement, les couacs commencent à se multiplier et certains d’entre eux sont peu rassurants. Pour l’instant, car le squalène, utilisé dans la guerre du golfe, qui a provoqué une hécatombe dans les rangs américains plusieurs années après avoir été administré, pourrait refaire parler de lui (0) . Mais, même en se focalisant sur l’instant, la vérité commence à prendre forme.
Car, outre le doute sur le vaccin lui-même, vient s’ajouter la véritable débandade dans l’organisation de la campagne. En regard des personnels de santé non formés et réquisitionnés manu-militari, ce sont les conditions de vaccination qui commencent à être mises en causes, des « étudiants qui vaccinent sans autorisation », parfois sans médecin qui supervise, et à la chaîne – jusqu’à 600 vaccinations par jour et par étudiant : « De plus en plus de cas d’accidents, de patients qui reçoivent des surdoses, remontent à mes oreilles. Car ce ne sont pas les mêmes étudiants qui préparent le vaccin (mélange d’une base et d’un adjuvant) et ceux qui l’administrent. Or le vaccin n’est pas le même pour tous ! », rappelle Thierry Amouroux, secrétaire du Syndicat national des professionnels infirmiers (SNPI). (1)
Un vaccin douteux, des novices réquisitionnés, acculés dans les centres à coup de chantage administratif, qui manient la seringue à la manière des « temps modernes » de Charlie Chaplin, que peut-il sortir de bon de cette foire du trône médicale ? Qu’on en juge :
« je me suis faite vaccinée par pandemrix le 1er décembre, dans les deux jours qui ont suivis, rien si ce n’est la douleur dans le bras, le 3e jour reveil 3/4 h après m’être endormie par des tremblements et l’insensibilité de mes pieds jusqu’aux genoux. En totale panique j’ai appelé le 15 qui m’a dit d’attendre et de rappeler si cela persistait, dans la foulée j’ai eu la diarrhée et depuis ça va de mal en pis, je ne dors plus j’ai une douleur dans la poitrine. J’ai consulté et attend mes résultats sanguins ce soir, je pense que suivant cela je me rendrais aux urgences car je ne me sens vraiment pas bien. » (2)
« Je suis médecin hospitalier, à ce titre j’ai fait parti de la 1ère vague de vaccinations. Et bingo, 3 jours aprés l’injection, je me suis trouvé être l’un des 4 premiers patients à avoir un effet indésirable grave. "homme de 34 ans, avec paresthésies..." d’aprés l’Afssaps. Je vous épargnerai les détails, mais bilan des courses : 1ère poussée de sclérose en plaque, et déjà un mois d’arrêt de travail. » (3)
« Samedi 21 novembre , j’ai commencé à sentir des sensations anormales dans ma main gauche : picotement, engourdissement, froid. Ensuite se fut le tour de tout mon bras gauche puis le droit, ce qui m’a conduit lundi 23 novembre, à me rendre chez mon médecin traitant avec 2 bras complétement engourdis et des fasciculations sur tout le corps (myokimies m’a précisé le médecin). Mon médecin traitant m’a dirigée, en suspectant un syndrome de Guillain Barré sur le service de médecine interne de l’hôpital le plus proche pour rencontrer le médecin chef de service. Lorsque je me suis présentée dans le service, celui-ci a pris moins de 2 minutes dans les couloirs pour me dire de revenir vendredi 27.... » (4)
« je suis très inquiète, ma soeur s’est faite vacciné dimanche dernier avec pandemrix, une heure après elle a ressenti comme un enorme mal de tete et dès le lendemain des fourmillements sont apparus dans les bras et les cuisses, les pieds, le visage... 3 jours apres ayant toujours des fourmillements, le centre de vaccination lui conseille de se rendre aux urgences lui informant que son état n’etait pas normal. Aujourd’hui vendredi nous en sommes là : toujours des fourmillements et quelques maux de tête ..... mais surtout une inflammation au cerveau (lésion) datant de moins de 2 mois, nbre de ???? élevé à 4 après ponction lombaire donc il y a une inflammation et on doit lui faire un irm de la moelle epinière au cours du week end..... Le médecin ne nie pas le lien avec le vaccin, une déclaration va être faite mais aucun résultat ne peut le prouver. Elle a 32 ans et n’avait jamais eu ce type de symptome precedement. » (5)
« Bonsoir, alors voilà vaccin fait pour moi et mon fils hier soir à 17h44 lol pour être précise avec le vaccin Celtura, hier aucun problème, aucune douleur ni pour mon fils, ni pour moi. Ce matin 5h30 mon fils se réveille m’appelle je vais le voir il venait de vomir dans son lit et me disait avoir très mal, je le touche il était plus que brûlant ! Je lui change son lit, lui apporte une poche de glace enroulée dans un linge, je lui donne du frais à boire, j’essaye de lui faire prendre de l’algifor en sirop mais il a refusé, impossible de lui faire avaler, je prends sa température 39,9 c° alors qu’il allait parfaitement bien en allant se coucher. Bref nuit catastrophique, il dort à moitié tous en gémissant par moment et en parlant mais genre hallucination il me disait qu’on était chez le médecin alors qu’on était à la maison, bref il n’allait vraiment pas bien, j’ai été cherché mon duvet, mon oreiller et je suis restée près de lui toute la nuit à dormir parterre au pied de son lit (enfin dormir quelques minutes, se réveiller, et ainsi de suite.) Ce matin 8h40 il se réveille vraiment, mais il n’arrive pas se lever comme les jambes en coton, à peine il voulait se lever il retombait, j’ai appellé la hotline d’urgence pédiatrique (urgence je sais qu’ils sont débordés mais quand même, plus d’1h pour pouvoir les atteindres...) car toujours 39c° de fièvre et justement il restait couché en plutôt plié en deux en me disant qu’il arrivait pas se lever et qu’il avait sommeil. » (6) « Durant la nuit de lundi à mardi, j’ai eu beaucoup de fièvre. Je me suis réveillée avec mon bras gonflé. Je ne pouvais plus le bouger ». Résultat, une semaine d’arrêt pour la jeune fille et des regrets : « Si j’avais su, je ne me serais jamais fait vacciner. Les patients ne sont pas prévenus que de tels effets peuvent arriver ». Avertie par plusieurs de ses patients, la doctoresse de l’étudiante décide de ne plus les envoyer se faire vacciner. (7)
« J’ ai été vacciné y a 15 jours et j’ ai eu très mal au bas du dos pendant 8 jours ( sacrum déplacé car parti plus faible de mon corps ).Ma femme est vacciné depuis hier et se retrouve au lit avec le dos deglingué » (8)
[…]
Ces témoignages français peuvent être multipliés à volonté, il suffit de parcourir les très nombreux forums qui en parlent, et on peut faire la même chose pour tous les pays. Aux Etats-Unis, par exemple, c’est le triste témoignage de la CheerLeader (9), qui a perdu l’essentiel de ses capacités motrices après la vaccination, qui défraye la chronique. En Hollande, un vaccin a été retiré après la mort de 3 bébés (10)
En lisant les témoignages, on s’aperçoit qu’il n’existe aucune procédure de déclaration d’effets secondaires. Comment donc l’Afssaps peut-elle prétendre établir des statistiques, si seule une fraction de cas flagrants lui parvient ? Les patients sont livrés à eux-mêmes, et l’administration médicale traîne la savate à reconnaître un lien entre les effets indésirables et la vaccination récente. Comme les effets secondaires neurologiques (11), cette femme enceinte qui a perdu son bébé (12), ou cet enfant de 9 ans, décédé 4 jours après s’être fait vacciné (13). On comprend mieux le doute qu’avait évoqué le Dr Girard sur la validité de la pharmaco-vigilance.
Compte tenu de cette inertie administrative à reconnaître et répertorier les effets indésirables, les multiples signalements de décès à travers le monde, 55 reconnus officiellement à ce jour (14), ainsi que les effets indésirables graves, sont probablement très en dessous de la réalité. Quand on voit que le CDC admet qu’il y a deux fois plus d’effets indésirables que pour la grippe saisonnière, et que le taux d’effets pour le H1N1 est de 82 pour un million (15), ça laisse sans voix. En effet, l’Afssaps, qui ne bénéficie d’aucune ressource de suivi de terrain, parle déjà de 0,5 effet indésirable sur mille (16), cad 500 pour un million.
En clair, les Etats-Unis ont … 6 fois moins d’effets indésirables que la France. De deux choses l’une, soit la France a acquis de la daube auprès des laboratoires, soit les autorités médicales américaines sont encore plus complaisantes que les nôtres en matière de rapport statistique. A qualité égale de vaccin, et à honnêteté statistique égale, c’est 6 fois plus d’effets indésirables américains qui aurait dus figurer dans la presse internationale, ce qui aurait (ramené au chiffre de la population américaine) dissuadé la plupart des gens à aller se faire vacciner. Tout cela pour un taux de mortalité qui aura eu le record du grotesque dans l’histoire de la médecine : 0,03 pour mille, 30x moins que la grippe saisonnière.
John Lloyds
(0) http://www.dossiers-sos-justice.com/archive/2009/11/22/un-neurochirurgien-repute-met-en-garde.html
(1) http://www.20minutes.fr/article/369136/France-Grippe-A-H1N1-Les-etudiants-requisitionnes-denoncent-le-capharnaum.php
(2) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=5
(3) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=2
(4) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=2
(5) http://www.atoute.org/n/forum/showthread.php ?t=112250&page=6
(6) http://www.bebe.ch/drupal/node/176204
(7) http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/12/735806-Vaccin-contre-la-grippe-A-gare-aux-effets-secondaires.html
(8) http://www.i-med.fr/spip.php ?article357
(9) http://www.mooveon.net/article_512602580827
(10) http://www.dutchnews.nl/news/archives/2009/11/vaccine_use_halted_after_baby.php
(11) http://www.i-med.fr/spip.php ?article360
(12) http://www.babyfrance.com/actus-bebe/grippe-a-une-femme-perd-son-bebe.html
(13) http://www.webchercheurs.com/60/1829-fr-enfant-mort-du-vaccin-grippe-a-h1n1.html
(14) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-vaccination-h1n1-signalements-de-décès-partout-dans-le-monde_2336.htm
(15) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-vaccination-h1n1-2-fois-plus-deffets-indésirables-que-la-vaccination-contre-la-grippe-saisonnière_2310.htm
(16) http://www.santelog.com/modules/connaissances/actualite-sante-effets-indésirables-du-vaccin-h1n1-0,5-pour-1.000-doses-administrées_2283.htm
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
- Message n°48
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
La médecine est bien dirigée :
"L'oseltamivir n'a jamais démontré aucun effet sur la diminution de la
mortalité ni le taux d'hospitalisation des personnes atteintes d'un
syndrome grippal à l'exception d'une méta-analyse entièrement contrôlée
par le laboratoire Roche commercialisant le Tamiflu" note le Dr
Philippe FOUCRAS, Président du Formindep.
http://news.doctissimo.fr/grippe-a-des-medecins-critiquent-l-usage-systematique-du-tamiflu-_article6280.html
Ayez confiance !!!!!
"L'oseltamivir n'a jamais démontré aucun effet sur la diminution de la
mortalité ni le taux d'hospitalisation des personnes atteintes d'un
syndrome grippal à l'exception d'une méta-analyse entièrement contrôlée
par le laboratoire Roche commercialisant le Tamiflu" note le Dr
Philippe FOUCRAS, Président du Formindep.
http://news.doctissimo.fr/grippe-a-des-medecins-critiquent-l-usage-systematique-du-tamiflu-_article6280.html
Ayez confiance !!!!!
dranozir- Modérateur
- Nombre de messages : 2455
- Message n°49
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
y a pas de détail sur l'affaire des singes piqué avec le vaccin H1N1 et qui sont mort 4 mois après ?
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
- Message n°50
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
la voici la vérité :
Sanofi veut vendre plus de vaccins
Sanofi-Aventis a annoncé jeudi
viser un chiffre d'affaires net de quatre milliards d'euros dans les
vaccins en 2010, en y intégrant les ventes de son vaccin contre la
grippe H1N1.
Dans une présentation aux investisseurs sur les vaccins, disponible sur
son site internet, le groupe pharmaceutique explique s'attendre à un
marché mondial du vaccin de 23 milliards d'euros d'ici 2013.
D'ici 2013, Sanofi Aventis s'est fixé pour objectif de doubler ses
ventes nettes de vaccins par rapport aux 2,861 milliards d'euros
réalisés en 2008.
Mercredi en fin de journée, le groupe a officialisé la cooptation comme
administrateur de Serge Weiberg, l'ancien patron de PPR et d'Accor, et
sa nomination comme futur président non exécutif de Sanofi Aventis en
remplacement de Jean-François Dehecq, arrivé à l'âge de la retraite.
Vers 16h00, l'action Sanofi Aventis abandonnait 1,12% à 53,63 euros. Au même moment, l'indice CAC 40 se repliait de 1,19%.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/17/01011-20091217FILWWW00652-sanofi-veut-doubler-ses-ventes-de-vaccins-en-3-ans.php
Sanofi veut vendre plus de vaccins
Sanofi-Aventis a annoncé jeudi
viser un chiffre d'affaires net de quatre milliards d'euros dans les
vaccins en 2010, en y intégrant les ventes de son vaccin contre la
grippe H1N1.
Dans une présentation aux investisseurs sur les vaccins, disponible sur
son site internet, le groupe pharmaceutique explique s'attendre à un
marché mondial du vaccin de 23 milliards d'euros d'ici 2013.
D'ici 2013, Sanofi Aventis s'est fixé pour objectif de doubler ses
ventes nettes de vaccins par rapport aux 2,861 milliards d'euros
réalisés en 2008.
Mercredi en fin de journée, le groupe a officialisé la cooptation comme
administrateur de Serge Weiberg, l'ancien patron de PPR et d'Accor, et
sa nomination comme futur président non exécutif de Sanofi Aventis en
remplacement de Jean-François Dehecq, arrivé à l'âge de la retraite.
Vers 16h00, l'action Sanofi Aventis abandonnait 1,12% à 53,63 euros. Au même moment, l'indice CAC 40 se repliait de 1,19%.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/17/01011-20091217FILWWW00652-sanofi-veut-doubler-ses-ventes-de-vaccins-en-3-ans.php
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Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Le Tamiflu est une grossière supercherie
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(Source : Mondialisation.ca)
Les études de Roche sont basées sur une fraude scientifique
par Mike Adams
Pour vendre des produits chimiques qui prétendent traiter la grippe H1N1, l’industrie pharmaceutique n’a que deux options : les vaccins et les anti-viraux. Le Tamiflu est l’antiviral de loin le plus populaire. C’est en fait un médicament dérivé d’une plante médicinale chinoise traditionnelle, appelée étoile d’anis.
Mais le Tamiflu n’est pas une plante. C’est une concentration potentiellement mortelle de composants chimiques qui ont essentiellement été bio-piratés à partir de la médecine chinoise. Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques de ces plantes, vous perdez la valeur (et la sécurité) de la phytothérapie de spectre complet.
Cela n’a pas empêché Roche, le fabricant du Tamiflu, d’essayer de développer un marché de plusieurs milliards de dollars pour son médicament. Cependant pour conquérir ce marché, Roche a du rassembler les preuves que le Tamiflu était à la fois sûr et efficace.
Roche s’engage dans une fraude scientifique
Roche prétend qu’il existe dix études prouvant que le Tamiflu est sûr et efficace. Selon la société, le Tamiflu présente toutes sortes d’avantages, y compris une réduction de 61% des hospitalisations des personnes grippées soignées au Tamiflu.
Le problème de ces assertions est qu’elles ne sont pas vraies. Elles ont simplement été inventées de toute pièce par Roche.
Un article dévastateur récemment publié par le British Medical Journal accuse Roche de tromper les gouvernements et les médecins sur les avantages du Tamiflu. Sur les dix études citées par Roche, il s’avère que seules deux d’entre elles ont été publiées dans des journaux scientifiques. Et que sont devenues les données originales de ces deux études ? Perdues.
Les données ont disparu. Des dossiers ont été jetés. Le chercheur d’une étude dit qu’il n’a même jamais vu les données. Roche a pris soin de tout cela, explique-il. Ainsi la Collaboration Cochrane, chargée d’examiner les données sur le Tamiflu, a décidé de mener l’enquête. Les demandes répétées à Roche pour obtenir les données originales des études sont restées lettre morte. Le seul ensemble de données complet qu’elle ait reçu était une étude non publiée de 1.447 adultes qui a prouvé que le Tamiflu n’était pas meilleur que le placebo. Les données des études montrant l’efficacité du Tamiflu ont apparemment été perdues pour toujours.
Comme l’indique le magazine The Atlantic, c’est à ce moment-là que d’anciens employés de Adis International (essentiellement une société de relations publiques de Big Pharma) ont choqué le monde médical en annonçant qu’ils avaient été mandatés pour écrire anonymement les études pour Roche.
Mais le meilleur reste à venir : Roche a dit à ces chercheurs ce qu’ils devaient écrire !
Comme l’a indiqué un de ces rédacteurs fantômes au British Medical Journal :
« Les dossiers du Tamiflu proposaient une liste de messages clé que vous deviez inclure. Cela avait été préparé par le département marketing [de Roche] et votre mandat était de suivre ces lignes directrices. Dans l’introduction… je devais dire à quel point la grippe était un problème majeur. Je devais également arriver à la conclusion que le Tamiflu en constituait la réponse."
En d’autres termes, le département marketing de Roche a conçu la science et a indiqué à des chercheurs quelles conclusions tirer des tests cliniques. Des chercheurs engagés pour conduire une recherche scientifique ont été contrôlés par des commerciaux tireurs de ficelles. Quelles que soient leurs découvertes scientifiques, les chercheurs avaient déjà été contraints d’aboutir à la conclusion que « le Tamiflu constituait la réponse. »
Alors, je ne sais ce qu’il en est pour vous, mais chez moi on appelle ça de la « fraude scientifique ». Et comme l’ont montré de nombreuses investigations sur NaturalNews, c’est plutôt la règle que l’exception dans l’industrie pharmaceutique.
[Personnellement, je] ne peux pratiquement faire confiance à aucune « étude scientifique » conduite par les entreprises pharmaceutiques parce que ce n’est pas réellement de la science. [Pour moi] c’est essentiellement de la propagande prenant les habits de la science pour y ressembler.
Tristement, même le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a été dupé par cette escroquerie de test clinique.
Comme l’indique l’auteur Shannon Brownlee dans le magazine The Atlantic : « … le centre pour le contrôle et la prévention des maladies semble fonctionner dans une sorte d’univers alternatif, où la science de qualité n’importe plus pour les affaires publiques. Les recommandations pour la grippe se confondent avec les arguments avancés par Roche que le médicament peut sauver des vies – en dépit des résultats de la FDA et du manque d’études pour prouver une telle assertion. Qui plus est, ni la CDC ni la FDA n’ont exigé les études scientifiques qui pourraient déterminer de façon univoque que les assertions de la société sont valides, à savoir que le Tamiflu réduit le risque de complications sérieuses et permet de sauve des vies. Nancy Cox, qui dirige le programme grippe du CDC, nous a dit il y a quelques mois qu’elle s’oppose à une étude avec contrôle placebo (dans laquelle la moitié des patients recevrait le Tamiflu et l’autre moitié un placebo), parce que les avantages du médicament avaient déjà été prouvés. »
Avez-vous bien compris cette dernière phrase ? Le CDC n’est pas intéressé par une étude sur le Tamiflu parce que « les avantages du médicament sont déjà prouvés ». Sauf qu’ils ne le sont pas. Mais c’est la façon dont fonctionne l’industrie pharmaceutique :
Étape 1) Fabriquer des preuves que votre médicament fonctionne. Etape 2) Utiliser des preuves frauduleuses pour faire approuver votre médicament. Etape 3) Utiliser la peur pour créer une demande des consommateurs pour votre médicament (et encourager les gouvernements à faire des stocks. Etape 4) Eviter tout essai scientifique réel en affirmant qu’il a déjà été prouvé que le médicament fonctionne (et citer vos études frauduleuses originales en guise de preuve).
C’est la recette que la CDC suit pour le moment avec le Tamiflu. C’est bien sûr une recette de stupidité scientifique et de la logique circulaire, mais cela semble de nos jours être étrangement commun au sein de la communauté médicale.
Même la FDA dit que le Tamiflu de marche pas. De façon assez remarquable, la FDA n’est pas complètement tombée dans la supercherie du Tamiflu. Ils ont exigé de Roche que le démenti suivant soit imprimé sur les notices de Tamiflu – un démenti qui admet ouvertement qu’il n’a jamais été prouvé que le médicament fonctionne.
« Il n’a pas été démontré que le Tamiflu avait un impact positif sur les conséquences potentielles (telles que hospitalisations, mortalité, ou impact économique) sur la grippe saisonnière, aviaire ou pandémique. »
Mieux encore. Un porte-parole de la FDA a dit au British Medical Journal, « Les tests cliniques… n’ont démontré aucune différence significative dans les taux d’hospitalisation, de complications ou de mortalité chez les patients recevant du Tamiflu ou un placebo. »
C’est toujours le même sempiternel message, comme un disque rayé : le Tamiflu ne marche pas. Et la "science" qui affirme que le Tamiflu fonctionne a apparemment été fabriquée depuis le départ.
Le scandale du stockage du Tamiflu
De la science pourrie, mais suffisamment bonne pour le gouvernement états-unien. Sur base de preuves en grande partie fabriquées et de la propagande de Big Pharma, le gouvernement des États-Unis a dépensé $1.5 milliards pour stocker du Tamiflu. Cela s’est avéré être une bonne opération pour Roche, mais un piètre investissement pour les citoyens des États-Unis qui ont donc consenti une dépense énorme pour un médicament qui ne marche pas.
Comme énoncé dans le magazine The Atlantic :
« Pour recommander et stocker le Tamiflu, les gouvernements, les agences de santé publique, et les agences internationales telles que l’Organisation mondiale de la santé, ont tous basé leurs décisions sur les études qui avaient semblé indépendantes, mais qui en fait avaient été financées par la société [Roche] et avaient été écrites presque entièrement par des employés de Roche ou des consultants universitaires rétribués.
(...)
Le résultat du tout ceci, c’est que les gouvernements de par le monde dépensent des milliards de dollars en stockant un médicament qui essentiellement ne fonctionne pas – un médicament promu par de la propagande et par de la fraude scientifique.
Ce n’est bien sûr pas la première fois que votre gouvernement gaspille l’argent du contribuable, mais cet exemple est particulièrement préoccupant étant donné que tout ceci a été fait avec l’excuse que les remèdes normaux sont inutiles et que seuls les vaccins et le Tamiflu peuvent vous protéger contre une pandémie virale.
Mais il s’avère que les vaccins et le Tamiflu sont inutiles et que seuls les remèdes normaux fonctionnent vraiment. C’est la raison pour laquelle tant de personnes informées dans monde avaient stocké de la vitamine D, de l’ail, des teintures antivirales et des compléments alimentaires pour se protéger contre une pandémie potentielle que la plupart des gouvernements du monde n’ont aucune manière d’enrayer.
Je trouve fascinant que les gouvernements du monde stockent des médicaments qui ne marchent pas, alors que les personnes informées en matière de santé naturelle stockent des remèdes normaux qui fonctionnent. Si une véritable pandémie frappe jamais notre monde, il n’y a aucun doute sur ceux qui seront les survivants (NB : ce ne seront pas les gens naïfs qui stockent des pilules de Tamiflu…).
Quels sont les remèdes qui fonctionnent vraiment pour amplifier la fonction immunitaire et pour protéger le corps contre la maladie infectieuse ? J’ai publié un rapport révélant mes cinq meilleurs remèdes recommandés. Je recommande également la vitamine D3 à haute dose (...)
A propos, je n’ai aucun lien financier avec les sociétés dont les produits sont cités. À la différence de l’industrie pharmaceutique, je ne fonctionne pas purement pour le profit. Mon travail consiste à transmettre de l’information valable aux gens – de l’information qui peut aider à sauver des vies et à réduire la souffrance. C’est le travail que la FDA et la CDC devraient faire mais qu’ils ont abandonné depuis longtemps en trahissant le peuple états-unien.
Article original, Natural News, publié le 14 décembre 2009.
Traduction Jean-Luc Guilmot, http://www.asanat.org/, le 17 décembre 2009
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(Source : Mondialisation.ca)
Les études de Roche sont basées sur une fraude scientifique
par Mike Adams
Pour vendre des produits chimiques qui prétendent traiter la grippe H1N1, l’industrie pharmaceutique n’a que deux options : les vaccins et les anti-viraux. Le Tamiflu est l’antiviral de loin le plus populaire. C’est en fait un médicament dérivé d’une plante médicinale chinoise traditionnelle, appelée étoile d’anis.
Mais le Tamiflu n’est pas une plante. C’est une concentration potentiellement mortelle de composants chimiques qui ont essentiellement été bio-piratés à partir de la médecine chinoise. Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques de ces plantes, vous perdez la valeur (et la sécurité) de la phytothérapie de spectre complet.
Cela n’a pas empêché Roche, le fabricant du Tamiflu, d’essayer de développer un marché de plusieurs milliards de dollars pour son médicament. Cependant pour conquérir ce marché, Roche a du rassembler les preuves que le Tamiflu était à la fois sûr et efficace.
Roche s’engage dans une fraude scientifique
Roche prétend qu’il existe dix études prouvant que le Tamiflu est sûr et efficace. Selon la société, le Tamiflu présente toutes sortes d’avantages, y compris une réduction de 61% des hospitalisations des personnes grippées soignées au Tamiflu.
Le problème de ces assertions est qu’elles ne sont pas vraies. Elles ont simplement été inventées de toute pièce par Roche.
Un article dévastateur récemment publié par le British Medical Journal accuse Roche de tromper les gouvernements et les médecins sur les avantages du Tamiflu. Sur les dix études citées par Roche, il s’avère que seules deux d’entre elles ont été publiées dans des journaux scientifiques. Et que sont devenues les données originales de ces deux études ? Perdues.
Les données ont disparu. Des dossiers ont été jetés. Le chercheur d’une étude dit qu’il n’a même jamais vu les données. Roche a pris soin de tout cela, explique-il. Ainsi la Collaboration Cochrane, chargée d’examiner les données sur le Tamiflu, a décidé de mener l’enquête. Les demandes répétées à Roche pour obtenir les données originales des études sont restées lettre morte. Le seul ensemble de données complet qu’elle ait reçu était une étude non publiée de 1.447 adultes qui a prouvé que le Tamiflu n’était pas meilleur que le placebo. Les données des études montrant l’efficacité du Tamiflu ont apparemment été perdues pour toujours.
Comme l’indique le magazine The Atlantic, c’est à ce moment-là que d’anciens employés de Adis International (essentiellement une société de relations publiques de Big Pharma) ont choqué le monde médical en annonçant qu’ils avaient été mandatés pour écrire anonymement les études pour Roche.
Mais le meilleur reste à venir : Roche a dit à ces chercheurs ce qu’ils devaient écrire !
Comme l’a indiqué un de ces rédacteurs fantômes au British Medical Journal :
« Les dossiers du Tamiflu proposaient une liste de messages clé que vous deviez inclure. Cela avait été préparé par le département marketing [de Roche] et votre mandat était de suivre ces lignes directrices. Dans l’introduction… je devais dire à quel point la grippe était un problème majeur. Je devais également arriver à la conclusion que le Tamiflu en constituait la réponse."
En d’autres termes, le département marketing de Roche a conçu la science et a indiqué à des chercheurs quelles conclusions tirer des tests cliniques. Des chercheurs engagés pour conduire une recherche scientifique ont été contrôlés par des commerciaux tireurs de ficelles. Quelles que soient leurs découvertes scientifiques, les chercheurs avaient déjà été contraints d’aboutir à la conclusion que « le Tamiflu constituait la réponse. »
Alors, je ne sais ce qu’il en est pour vous, mais chez moi on appelle ça de la « fraude scientifique ». Et comme l’ont montré de nombreuses investigations sur NaturalNews, c’est plutôt la règle que l’exception dans l’industrie pharmaceutique.
[Personnellement, je] ne peux pratiquement faire confiance à aucune « étude scientifique » conduite par les entreprises pharmaceutiques parce que ce n’est pas réellement de la science. [Pour moi] c’est essentiellement de la propagande prenant les habits de la science pour y ressembler.
Tristement, même le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) a été dupé par cette escroquerie de test clinique.
Comme l’indique l’auteur Shannon Brownlee dans le magazine The Atlantic : « … le centre pour le contrôle et la prévention des maladies semble fonctionner dans une sorte d’univers alternatif, où la science de qualité n’importe plus pour les affaires publiques. Les recommandations pour la grippe se confondent avec les arguments avancés par Roche que le médicament peut sauver des vies – en dépit des résultats de la FDA et du manque d’études pour prouver une telle assertion. Qui plus est, ni la CDC ni la FDA n’ont exigé les études scientifiques qui pourraient déterminer de façon univoque que les assertions de la société sont valides, à savoir que le Tamiflu réduit le risque de complications sérieuses et permet de sauve des vies. Nancy Cox, qui dirige le programme grippe du CDC, nous a dit il y a quelques mois qu’elle s’oppose à une étude avec contrôle placebo (dans laquelle la moitié des patients recevrait le Tamiflu et l’autre moitié un placebo), parce que les avantages du médicament avaient déjà été prouvés. »
Avez-vous bien compris cette dernière phrase ? Le CDC n’est pas intéressé par une étude sur le Tamiflu parce que « les avantages du médicament sont déjà prouvés ». Sauf qu’ils ne le sont pas. Mais c’est la façon dont fonctionne l’industrie pharmaceutique :
Étape 1) Fabriquer des preuves que votre médicament fonctionne. Etape 2) Utiliser des preuves frauduleuses pour faire approuver votre médicament. Etape 3) Utiliser la peur pour créer une demande des consommateurs pour votre médicament (et encourager les gouvernements à faire des stocks. Etape 4) Eviter tout essai scientifique réel en affirmant qu’il a déjà été prouvé que le médicament fonctionne (et citer vos études frauduleuses originales en guise de preuve).
C’est la recette que la CDC suit pour le moment avec le Tamiflu. C’est bien sûr une recette de stupidité scientifique et de la logique circulaire, mais cela semble de nos jours être étrangement commun au sein de la communauté médicale.
Même la FDA dit que le Tamiflu de marche pas. De façon assez remarquable, la FDA n’est pas complètement tombée dans la supercherie du Tamiflu. Ils ont exigé de Roche que le démenti suivant soit imprimé sur les notices de Tamiflu – un démenti qui admet ouvertement qu’il n’a jamais été prouvé que le médicament fonctionne.
« Il n’a pas été démontré que le Tamiflu avait un impact positif sur les conséquences potentielles (telles que hospitalisations, mortalité, ou impact économique) sur la grippe saisonnière, aviaire ou pandémique. »
Mieux encore. Un porte-parole de la FDA a dit au British Medical Journal, « Les tests cliniques… n’ont démontré aucune différence significative dans les taux d’hospitalisation, de complications ou de mortalité chez les patients recevant du Tamiflu ou un placebo. »
C’est toujours le même sempiternel message, comme un disque rayé : le Tamiflu ne marche pas. Et la "science" qui affirme que le Tamiflu fonctionne a apparemment été fabriquée depuis le départ.
Le scandale du stockage du Tamiflu
De la science pourrie, mais suffisamment bonne pour le gouvernement états-unien. Sur base de preuves en grande partie fabriquées et de la propagande de Big Pharma, le gouvernement des États-Unis a dépensé $1.5 milliards pour stocker du Tamiflu. Cela s’est avéré être une bonne opération pour Roche, mais un piètre investissement pour les citoyens des États-Unis qui ont donc consenti une dépense énorme pour un médicament qui ne marche pas.
Comme énoncé dans le magazine The Atlantic :
« Pour recommander et stocker le Tamiflu, les gouvernements, les agences de santé publique, et les agences internationales telles que l’Organisation mondiale de la santé, ont tous basé leurs décisions sur les études qui avaient semblé indépendantes, mais qui en fait avaient été financées par la société [Roche] et avaient été écrites presque entièrement par des employés de Roche ou des consultants universitaires rétribués.
(...)
Le résultat du tout ceci, c’est que les gouvernements de par le monde dépensent des milliards de dollars en stockant un médicament qui essentiellement ne fonctionne pas – un médicament promu par de la propagande et par de la fraude scientifique.
Ce n’est bien sûr pas la première fois que votre gouvernement gaspille l’argent du contribuable, mais cet exemple est particulièrement préoccupant étant donné que tout ceci a été fait avec l’excuse que les remèdes normaux sont inutiles et que seuls les vaccins et le Tamiflu peuvent vous protéger contre une pandémie virale.
Mais il s’avère que les vaccins et le Tamiflu sont inutiles et que seuls les remèdes normaux fonctionnent vraiment. C’est la raison pour laquelle tant de personnes informées dans monde avaient stocké de la vitamine D, de l’ail, des teintures antivirales et des compléments alimentaires pour se protéger contre une pandémie potentielle que la plupart des gouvernements du monde n’ont aucune manière d’enrayer.
Je trouve fascinant que les gouvernements du monde stockent des médicaments qui ne marchent pas, alors que les personnes informées en matière de santé naturelle stockent des remèdes normaux qui fonctionnent. Si une véritable pandémie frappe jamais notre monde, il n’y a aucun doute sur ceux qui seront les survivants (NB : ce ne seront pas les gens naïfs qui stockent des pilules de Tamiflu…).
Quels sont les remèdes qui fonctionnent vraiment pour amplifier la fonction immunitaire et pour protéger le corps contre la maladie infectieuse ? J’ai publié un rapport révélant mes cinq meilleurs remèdes recommandés. Je recommande également la vitamine D3 à haute dose (...)
A propos, je n’ai aucun lien financier avec les sociétés dont les produits sont cités. À la différence de l’industrie pharmaceutique, je ne fonctionne pas purement pour le profit. Mon travail consiste à transmettre de l’information valable aux gens – de l’information qui peut aider à sauver des vies et à réduire la souffrance. C’est le travail que la FDA et la CDC devraient faire mais qu’ils ont abandonné depuis longtemps en trahissant le peuple états-unien.
Article original, Natural News, publié le 14 décembre 2009.
Traduction Jean-Luc Guilmot, http://www.asanat.org/, le 17 décembre 2009
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Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
OMS : le « pape de la grippe A » accusé de corruption
On le surnomme « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1. Depuis plusieurs années, il prédit l’imminence d’une pandémie globale et ce qui se passe aujourd’hui semble lui donner raison. Cependant, le scandale qui a éclaté aux Pays-Bas et fait l’objet d’un débat au Parlement a mis en évidence ses liens personnels avec les laboratoires fabriquant les vaccins qu’il fait prescrire par l’OMS. F. William Engdhal relate comment un expert peu scrupuleux a pu manipuler l’opinion publique internationale, surévaluer l’impact de la grippe H1N1, et faire la fortune des laboratoires qui l’emploient.
(Source : Réseau Voltaire)
Dans le courant de cette année, le Parlement néerlandais nourrissait des soupçons à l’encontre du fameux Dr Osterhaus et avait ouvert une enquête pour conflit d’intérêts et malversations. Hors des Pays-Bas et des médias néerlandais, seules quelques lignes dans la très respectée revue britannique Science firent mention de l’enquête sensationnelle sur les affaires d’Osterhaus.
Ni les références, ni l’expertise d’Osterhaus dans son domaine n’étaient remises en question. Ce qui est mis en cause, comme nous l’apprend la revue Science dans une simple dépêche, c’est l’indépendance de son jugement personnel en matière de pandémie de grippe A. Science publiait ces quelques lignes à propos d’Osterhaus dans son édition du 16 octobre 2009 :
« Aux Pays-Bas, ces six derniers mois, il était difficile d’allumer sa télévision sans voir apparaître le célèbre chasseur de virus Albert Osterhaus et l’entendre parler de la pandémie de grippe A. Du moins, c’est ce que l’on croyait. Monsieur Grippe, c’était Osterhaus, le directeur d’un laboratoire de réputation internationale au sein du Centre médical de l’Université Érasme de Rotterdam. Mais, la semaine dernière, sa réputation est descendue en flamme après que des soupçons ont été émis sur sa velléité d’attiser les craintes d’une pandémie dans le but de servir les intérêts de son propre laboratoire dans la mise au point de nouveaux vaccins. Au moment où Science mettait sous presse, la Deuxième Chambre du Parlement néerlandais annonçait même que la question serait débattue en urgence. »
Le 3 novembre 2009, sans pour autant en sortir indemne, Osterhaus avait su éviter les dégâts. Sur le site de Science, on pouvait lire dans l’un des blogs : « La Deuxième Chambre du Parlement néerlandais a aujourd’hui rejeté une motion exigeant que le gouvernement rompe tout lien avec le virologiste Albert Osterhaus du Centre médical de l’Université Erasmus de Rotterdam, qui fait l’objet d’une mise en accusation pour conflit d’intérêts en tant que conseiller gouvernemental. De son côté, le Ministre de la Santé Ab Klink annonçait dans le même temps une loi pour la transparence du financement de la recherche, contraignant les scientifiques à révéler les liens financiers qu’ils entretiennent avec des entreprises privées. »
Dans un communiqué sur le site Internet du Ministère de la Santé, M. Klink, dont on sait qu’il compte parmi les amis personnels d’Osterhaus , affirmait par la suite que ce dernier n’était qu’un conseiller du Ministère parmi de nombreux autres sur les questions des vaccins contre la grippe A H1N1. Il s’est aussi dit « au courant » des intérêts financiers d’Osterhaus : ils ne cachent rien d’extraordinaire, simplement le progrès de la science et de la santé publique. Du moins, c’est ce qu’on croyait.
Un examen plus poussé du dossier Osterhaus laisse entrevoir que ce virologiste néerlandais à la renommée internationale pourrait se trouver au centre d’une arnaque mettant en jeu plusieurs milliards d’euros autour de l’idée d’une pandémie. Un système frauduleux dans lequel des vaccins non-testés sont injectés à des humains, au risque —cela c’est déjà produit— de provoquer de sévères séquelles, de graves paralysies, voire des décès. La supercherie des fèces d’oiseau
Albert Osterhaus n’est pas du menu fretin. Il a joué un rôle dans toutes les grandes paniques suscitées par l’apparition de virus, depuis les mystérieux décès imputés au SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère) à Hong-Kong, là où l’actuelle Directrice générale de l’OMS Margaret Chan avait lancé sa carrière de responsable de la Santé Publique au niveau local. D’après sa biographie officielle à la Commission Européenne, en avril 2003, au paroxysme de la panique provoquée par le SRAS, Osterhaus fut engagé pour participer aux enquêtes sur les cas d’infections respiratoires qui se multipliaient alors à Hong Kong. On peut lire ces mots dans le rapport de l’Union Européenne : « il démontra à nouveau son talent à réagir rapidement à de graves situations. En trois semaines, il a prouvé que cette maladie est provoquée par un coronavirus récemment découvert qui contamine les civettes, les chauves-souris et d’autres animaux carnivores. »
Par la suite, quand les cas de SRAS ne firent plus parler d’eux, Osterhaus passa à autre chose, œuvrant cette fois pour la médiatisation des dangers de ce qu’il nommait la grippe aviaire H5N1. En 1997 il avait déjà sonné l’alarme après la mort, à Hong Kong, d’un enfant de trois ans qu’Osterhaus savait avoir été en contact avec des oiseaux. Osterhaus développa son lobbying à travers les Pays-Bas et l’Europe, affirmant qu’une nouvelle mutation létale de la grippe aviaire s’était transmise aux humains et que des mesures drastiques devaient être prises. Il revendiquait être le premier scientifique au monde à avoir montré que le virus H5N1 pouvait contaminer des humains.
Evoquant la dangerosité de la grippe aviaire dans une interview diffusée sur la BBC en octobre 2005, Osterhaus déclarait : « si le virus réussissait effectivement à muter de telle sorte qu’il se transmette ensuite entre humains, alors nous serions dans une situation complètement différente : nous pourrions nous trouver devant un début de pandémie. » .Il ajoutait : « il y a un vrai risque que le virus soit disséminé par les oiseaux dans toute l’Europe. C’est un risque réel que personne n’a pourtant pu évaluer jusqu’à présent, parce que nous n’avons pas mené les expérimentations. » Le virus n’a jamais réussi sa mutation, mais Osterhaus était prêt à « mener des expérimentations » que l’on peut imaginer largement rétribuées.
Pour appuyer son alarmant scénario de pandémie en tentant de lui donner une légitimité scientifique, Osterhaus et ses assistants en poste à Rotterdam commencèrent à collecter et congeler des échantillons de fèces d’oiseaux. Il affirma que, selon les périodes de l’année, jusqu’à 30 % de tous les oiseaux d’Europe s’avéraient transporter le virus mortel de la grippe aviaire H5N1. Il affirma également que les éleveurs en contact avec des poules et des poulets se trouvaient alors exposés au dit virus. Osterhaus briefa les journalistes qui prirent bonne note de son message alarmiste. La classe politique fut mise en alerte. Dans la presse, il émit l’hypothèse selon laquelle le virus, qu’il étiquetait H5N1, après avoir provoqué plusieurs décès aux antipodes asiatiques, allait se propager en Europe, vraisemblablement transporté sur les plumes ou dans les entrailles d’oiseaux mortellement infectés. Il soutenait la thèse d’oiseaux migrateurs capables d’apporter le nouveau virus mortel vers l’ouest aussi loin qu’en Ukraine et sur l’île de Rügen . Il lui suffit pour cela de feindre d’ignorer que les oiseaux ne migrent pas d’est en ouest mais bien du nord vers le sud.
La campagne alarmiste d’Osterhaus autour de la grippe aviaire décolla réellement en 2003, lorsqu’un vétérinaire néerlandais trouva la mort après avoir été malade. Osterhaus annonça que sa mort résultait d’une contamination par le virus H5N1. Il convainquit le Parlement néerlandais d’exiger l’abattage de millions de poulets. Pourtant, aucune autre personne ne succomba à une infection similaire à celle attribuée au H5N1. Pour Osterhaus, cela démontrait l’efficacité de la campagne d’abattage préventif.
Pour Osterhaus, les déjections aviaires propageaient le virus en retombant sur les populations et les autres oiseaux au sol. Il était ferme dans sa conviction que ces déjections constituaient le vecteur de propagation de la nouvelle poussée mortelle du virus H5N1 depuis l’Asie.
Un problème se posait cependant avec le stock grandissant d’échantillons congelés des déjections aviaires que lui et ses associés avaient rassemblés et conservés dans son institut. La présence du virus H5N1 ne put être confirmée dans un seul de ces échantillons. En 2006, à l’occasion du congrès de l’OIE (Office international des épizooties, désormais appelé Organisation mondiale de la santé animale), Osterhaus et ses collègues à l’Université Érasme furent forcés d’admettre qu’en testant les 100 000 échantillons de matières fécales rassemblés avec tant de précaution, ils n’avaient découvert aucune trace du virus H5N1.
En 2008, à Vérone, lors de la conférence de l’OMS intitulée « La grippe aviaire à l’interface Homme-Animal », Osterhaus prenait la parole devant ses collègues scientifiques, sans doute moins échauffés que le public non-scientifique par ses incitations à l’émotivité. Il admettait que : « dans l’état actuel des connaissances, rien ne permet[tait] de formuler une mise en garde contre le virus H5N1, ni d’affirmer qu’il puisse provoquer une pandémie. » Mais, à ce moment-là, son regard se portait déjà fixement sur d’autres gâchettes à actionner pour faire converger son travail sur les vaccins avec de nouvelles possibilités de crise pandémique.
Grippe A et corruption à l’OMS
Constatant que la grippe aviaire n’avait fait surgir aucune vague meurtrière de grande ampleur —et après que Roche, qui produit le Tamiflu, et GlaxoSmithKline, qui produit le Relenza, eurent encaissé des milliards de dollars de profits quand les gouvernement ont décidé de stocker des vaccins antiviraux contestés—, Osterhaus et les autres conseillers pour l’OMS se tournèrent vers de plus verts pâturages.
En avril 2009, leurs recherches semblaient couronnées de succès lorsqu’à La Gloria, un petit village mexicain de l’État du Veracruz, un enfant malade fut diagnostiqué comme porteur de la grippe alors dite « porcine » ou H1N1. Avec un empressement déplacé, l’appareil propagandiste de l’Organisation mondiale de la Santé à Genève fut lancé sur les chapeaux de roues avec les déclarations de son Directeur Général, le Docteur Margaret Chan, concernant l’éventuelle menace d’une pandémie mondiale.
Mme Chan évoqua « l’urgence de santé publique d’envergure internationale » [14] Par la suite, d’autres cas déclarés à La Gloria furent présentés sur un site Internet médical comme : une « étrange » poussée d’infections pulmonaires et respiratoires aiguës, qui évoluent en broncho-pneumonie dans certains cas rencontrés chez des enfants. Un habitant du village en décrivait les symptômes : « fièvres, toux sévères et sécrétions nasales très importantes »
Ces symptômes prennent par contre tout leur sens dans le contexte environnemental de La Gloria, une des zones au monde qui concentrent le plus grand nombre de porcs en élevage intensif, dont les exploitations sont principalement détenues par l’américain Smithfield. Depuis des mois, la population locale manifestait devant le siège mexicain du groupe Smithfield, se plaignant de graves affections respiratoires dues aux lisiers de porc. Cette cause plausible pour les diverses maladies diagnostiquées à La Gloria ne sembla intéresser ni Osterhaus ni les autres conseillers de l’OMS. Enfin se profilait la pandémie tant attendue, celle qu’il avait prédite dès 2003, lors de sa participation aux recherches sur le SRAS dans la province de Guandgong en Chine.
Le 11 juin 2009, Margaret Chan annonçait que la propagation du virus de la grippe H1N1 avait atteint le niveau 6 de l’« urgence pandémique ». Curieusement, elle précisait lors de cette annonce que « selon les informations disponibles à ce jour, une majorité écrasante de patients ressentent des symptômes bénins ; leur rétablissement est rapide et complet, le plus souvent en ne recourant à aucun traitement médical. » Avant d’ajouter : « Au niveau mondial, le nombre de décès est peu important, nous ne nous attendons pas à voir une poussée soudaine et spectaculaire du nombre des infections graves ou mortelles. »
On apprenait plus tard que Chan avait agi à la suite de débats fiévreux à l’OMS, sur les conseils du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS (SAGE, Strategic Advisory Group of Experts). L’un des membres du SAGE, à l’époque et encore aujourd’hui, est notre « Monsieur Grippe », le docteur Albert Osterhaus.
Osterhaus occupait non seulement une position stratégique pour recommander à l’OMS de déclarer l’« urgence pandémique » et inciter à la panique, mais il était aussi le président d’une organisation en première ligne sur le sujet, le Groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI, European Scientific Working group on Influenza), qui se définit comme un « groupe multidisciplinaire de leaders d’opinion sur la grippe, dont le but est de lutter contre les répercussions d’une épidémie ou d’une pandémie grippales » Comme ses membres l’expliquent eux-mêmes, l’ESWI mené par Osterhaus est le pivot central « entre l’OMS à Genève, l’Institut Robert Koch à Berlin et l’Université du Connecticut aux États-Unis. »
Le plus significatif au sujet de l’ESWI est que son travail est entièrement financé par les mêmes laboratoires pharmaceutiques qui gagnent des milliards grâce à l’urgence pandémique, tandis que les annonces faites par l’OMS obligent les gouvernements du monde entier à acheter et stocker des vaccins. L’ESWI reçoit des financements des fabricants et des distributeurs de vaccins contre le H1N1, tels que Baxter Vaccins, MedImmune, GlaxoSmithKline, Sanofi Pasteur et d’autres, dont Novartis, qui produit le vaccin et le distributeur du Tamiflu, Hofmann-La Roche.
Pour garder l’avantage, Albert Osterhaus, le plus grand virologiste mondial, conseiller officiel sur le virus H1N1 des gouvernements britannique et néerlandais et chef du Département de Virologie du Centre médical de l’Université Érasme, siégeait à la fois parmi l’élite de l’OMS réunie dans le groupe SAGE et présidait l’ESWI, parrainé par l’industrie pharmaceutique. À son tour, l’ESWI recommanda des mesures extraordinaires pour vacciner le monde entier, considérant comme élevé le risque d’une nouvelle pandémie qui, disait-on avec insistance, pourrait être comparable à l’effrayante pandémie de grippe espagnole de 1918.
La banque JP Morgan, présente à Wall Street, estimait que, principalement grâce à l’alerte pandémique lancée par l’OMS, les grands industriels pharmaceutiques, qui financent également le travail de l’ESWI d’Osterhaus, étaient prêts à engranger 7,5 à 10 milliards de dollars de bénéfices.
Le docteur Frederick Hayden est à la fois membre du SAGE à l’OMS et du Wellcome Trust à Londres ; il compte notamment parmi les proches amis d’Osterhaus. Au titre de services « consultatifs », Hayden reçoit par ailleurs des fonds de la part de Roche et de GlaxoSmithKline parmi d’autres géants pharmaceutiques engagés dans la production de produits liés à la crise du H1N1.
Un autre scientifique britannique, le professeur David Salisbury, qui dépend du ministère britannique de la Santé, est à la tête du SAGE à l’OMS. Il dirige également le Groupe consultatif sur le H1N1 à l’OMS. Salisbury est un fervent défenseur de l’industrie pharmaceutique. Au Royaume-Uni, le groupe de défense de la santé One Click l’a accusé de dissimuler la corrélation avérée entre les vaccins et la montée en flèche de l’autisme chez l’enfant, ainsi que celle existant entre le vaccin Gardasil et des cas de paralysie et même de décès.
Le 28 septembre 2009, le même Salisbury déclarait : « la communauté scientifique s’accorde sur l’absence totale de risque concernant l’inoculation du Thimérosal (ou Thiomersal). » Ce vaccin, utilisé contre le H1N1 en Grande-Bretagne, est principalement produit par GlaxoSmithKlilne. Il contient du Thimérosal, un conservateur à base de mercure. En 1999, de plus en plus de preuves faisant état que le Thimérosal présent dans les vaccins pourrait être la cause de cas d’autisme chez l’enfant aux États-Unis, l’American Academy of Pediatrics (Académie américaine de pédiatrie) et le Public Health Service (Bureau de la santé publique) avaient exigé son retrait de la composition des vaccins.
On trouve encore un autre membre de l’OMS partageant d’étroits liens financiers avec les fabricants de vaccins qui profitent des recommandations du SAGE, en la personne du docteur Arnold Monto, un consultant rémunéré par les fabricants de vaccins MedImmune, Glaxo et ViroPharma.
Pire encore, participent aux réunions de scientifiques « indépendants » du SAGE, des « observateurs » comprenant, et oui, les mêmes producteurs de vaccins GlaxoSmithKline, Novartis, Baxter et consort. On peut se demander, si les meilleurs experts de la grippe au monde sont censés composer le SAGE, pourquoi invitent-ils les fabricants de vaccins à y participer ?
Au cours de la dernière décennie, l’OMS mettait en place ce que l’on nomme des « partenariats public/privé », dans le but d’accroître les fonds à sa disposition. Mais, plutôt que de recevoir des fonds provenant uniquement des gouvernements des pays membres de l’ONU, comme cela était prévu à l’origine, l’OMS reçoit à l’heure actuelle de la part des entreprises privées près du double du budget habituellement alloué par l’ONU sous forme de bourses et d’aides financières. De quelles entreprises privées ? Des mêmes fabricants de vaccins et de médicaments qui profitent des décisions officielles telles que celle prise en juin 2009 à propos de l’urgence pandémique de la grippe H1N1. Tout comme les bienfaiteurs de l’OMS, les grands laboratoires ont tout naturellement leurs entrées à Genève, et ont droit à un traitement fait de « portes ouvertes et de tapis rouges » .
Dans une interview donnée au magazine allemand Der Spiegel, un membre de la Cochrane Collaboration, une organisation de scientifiques indépendants qui évaluent toutes les études menées sur la grippe, l’épidémiologiste Tom Jefferson montrait les conséquences de la privatisation de l’OMS et la marchandisation de la santé.
« T. Jefferson : […] l’une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie. Der Spiegel : De qui parlez-vous ? De l’OMS ?
T. J : L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques. Ils ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffit qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle. »
Lorsqu’on lui a demandé si l’OMS avait délibérément déclaré l’urgence pandémique dans le but de créer un immense marché pour les vaccins et les médicaments contre le H1N1, Jefferson a répondu :
« Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies. »
Très judicieusement, l’OMS publiait en avril 2009 la nouvelle définition de la pandémie, juste à temps pour permettre à l’OMS, sur les conseils émanant, entre autres, du SAGE, de « Monsieur Grippe », alias Albert Osterhaus, et de David Salisbury, de qualifier d’urgence pandémique des cas bénins de grippe, rebaptisée grippe A H1N1.
Le 8 décembre 2009, dans la note en bas de page pertinente d’un article sur la gravité ou la bénignité de la « pandémie mondiale » du H1N1, le Washington Post mentionnait que : « la deuxième vague d’infection du H1N1 étant parvenue à son apogée aux États-Unis, les principaux épidémiologistes prévoient que la pandémie pourrait compter parmi les plus bénignes depuis que la médecine moderne documente les épidémies de grippe. »
Igor Barinov, parlementaire russe et président du Comité pour la Santé à la Douma, a exigé des représentants russes à l’OMS en poste à Genève qu’ils diligentent une enquête officielle sur les indices multiples de la corruption massive acceptée par l’OMS et menée par l’industrie pharmaceutique. « De graves accusations de corruption sont prononcées à l’encontre de l’OMS », affirmait Barinov. « Une commission internationale d’enquête doit s’organiser au plus vite. »
F. William Engdahl - Journaliste états-unien, il a publié de nombreux ouvrages consacrés aux questions énergétiques et géopolitiques. Derniers livres parus en français : Pétrole, une guerre d’un siècle : L’ordre mondial anglo-américain (Jean-Cyrille Godefroy éd., 2007) et OGM : semences de destruction : L’arme de la faim (Jean-Cyrille Godefroy éd., 2008).
On le surnomme « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1. Depuis plusieurs années, il prédit l’imminence d’une pandémie globale et ce qui se passe aujourd’hui semble lui donner raison. Cependant, le scandale qui a éclaté aux Pays-Bas et fait l’objet d’un débat au Parlement a mis en évidence ses liens personnels avec les laboratoires fabriquant les vaccins qu’il fait prescrire par l’OMS. F. William Engdhal relate comment un expert peu scrupuleux a pu manipuler l’opinion publique internationale, surévaluer l’impact de la grippe H1N1, et faire la fortune des laboratoires qui l’emploient.
(Source : Réseau Voltaire)
Dans le courant de cette année, le Parlement néerlandais nourrissait des soupçons à l’encontre du fameux Dr Osterhaus et avait ouvert une enquête pour conflit d’intérêts et malversations. Hors des Pays-Bas et des médias néerlandais, seules quelques lignes dans la très respectée revue britannique Science firent mention de l’enquête sensationnelle sur les affaires d’Osterhaus.
Ni les références, ni l’expertise d’Osterhaus dans son domaine n’étaient remises en question. Ce qui est mis en cause, comme nous l’apprend la revue Science dans une simple dépêche, c’est l’indépendance de son jugement personnel en matière de pandémie de grippe A. Science publiait ces quelques lignes à propos d’Osterhaus dans son édition du 16 octobre 2009 :
« Aux Pays-Bas, ces six derniers mois, il était difficile d’allumer sa télévision sans voir apparaître le célèbre chasseur de virus Albert Osterhaus et l’entendre parler de la pandémie de grippe A. Du moins, c’est ce que l’on croyait. Monsieur Grippe, c’était Osterhaus, le directeur d’un laboratoire de réputation internationale au sein du Centre médical de l’Université Érasme de Rotterdam. Mais, la semaine dernière, sa réputation est descendue en flamme après que des soupçons ont été émis sur sa velléité d’attiser les craintes d’une pandémie dans le but de servir les intérêts de son propre laboratoire dans la mise au point de nouveaux vaccins. Au moment où Science mettait sous presse, la Deuxième Chambre du Parlement néerlandais annonçait même que la question serait débattue en urgence. »
Le 3 novembre 2009, sans pour autant en sortir indemne, Osterhaus avait su éviter les dégâts. Sur le site de Science, on pouvait lire dans l’un des blogs : « La Deuxième Chambre du Parlement néerlandais a aujourd’hui rejeté une motion exigeant que le gouvernement rompe tout lien avec le virologiste Albert Osterhaus du Centre médical de l’Université Erasmus de Rotterdam, qui fait l’objet d’une mise en accusation pour conflit d’intérêts en tant que conseiller gouvernemental. De son côté, le Ministre de la Santé Ab Klink annonçait dans le même temps une loi pour la transparence du financement de la recherche, contraignant les scientifiques à révéler les liens financiers qu’ils entretiennent avec des entreprises privées. »
Dans un communiqué sur le site Internet du Ministère de la Santé, M. Klink, dont on sait qu’il compte parmi les amis personnels d’Osterhaus , affirmait par la suite que ce dernier n’était qu’un conseiller du Ministère parmi de nombreux autres sur les questions des vaccins contre la grippe A H1N1. Il s’est aussi dit « au courant » des intérêts financiers d’Osterhaus : ils ne cachent rien d’extraordinaire, simplement le progrès de la science et de la santé publique. Du moins, c’est ce qu’on croyait.
Un examen plus poussé du dossier Osterhaus laisse entrevoir que ce virologiste néerlandais à la renommée internationale pourrait se trouver au centre d’une arnaque mettant en jeu plusieurs milliards d’euros autour de l’idée d’une pandémie. Un système frauduleux dans lequel des vaccins non-testés sont injectés à des humains, au risque —cela c’est déjà produit— de provoquer de sévères séquelles, de graves paralysies, voire des décès. La supercherie des fèces d’oiseau
Albert Osterhaus n’est pas du menu fretin. Il a joué un rôle dans toutes les grandes paniques suscitées par l’apparition de virus, depuis les mystérieux décès imputés au SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère) à Hong-Kong, là où l’actuelle Directrice générale de l’OMS Margaret Chan avait lancé sa carrière de responsable de la Santé Publique au niveau local. D’après sa biographie officielle à la Commission Européenne, en avril 2003, au paroxysme de la panique provoquée par le SRAS, Osterhaus fut engagé pour participer aux enquêtes sur les cas d’infections respiratoires qui se multipliaient alors à Hong Kong. On peut lire ces mots dans le rapport de l’Union Européenne : « il démontra à nouveau son talent à réagir rapidement à de graves situations. En trois semaines, il a prouvé que cette maladie est provoquée par un coronavirus récemment découvert qui contamine les civettes, les chauves-souris et d’autres animaux carnivores. »
Par la suite, quand les cas de SRAS ne firent plus parler d’eux, Osterhaus passa à autre chose, œuvrant cette fois pour la médiatisation des dangers de ce qu’il nommait la grippe aviaire H5N1. En 1997 il avait déjà sonné l’alarme après la mort, à Hong Kong, d’un enfant de trois ans qu’Osterhaus savait avoir été en contact avec des oiseaux. Osterhaus développa son lobbying à travers les Pays-Bas et l’Europe, affirmant qu’une nouvelle mutation létale de la grippe aviaire s’était transmise aux humains et que des mesures drastiques devaient être prises. Il revendiquait être le premier scientifique au monde à avoir montré que le virus H5N1 pouvait contaminer des humains.
Evoquant la dangerosité de la grippe aviaire dans une interview diffusée sur la BBC en octobre 2005, Osterhaus déclarait : « si le virus réussissait effectivement à muter de telle sorte qu’il se transmette ensuite entre humains, alors nous serions dans une situation complètement différente : nous pourrions nous trouver devant un début de pandémie. » .Il ajoutait : « il y a un vrai risque que le virus soit disséminé par les oiseaux dans toute l’Europe. C’est un risque réel que personne n’a pourtant pu évaluer jusqu’à présent, parce que nous n’avons pas mené les expérimentations. » Le virus n’a jamais réussi sa mutation, mais Osterhaus était prêt à « mener des expérimentations » que l’on peut imaginer largement rétribuées.
Pour appuyer son alarmant scénario de pandémie en tentant de lui donner une légitimité scientifique, Osterhaus et ses assistants en poste à Rotterdam commencèrent à collecter et congeler des échantillons de fèces d’oiseaux. Il affirma que, selon les périodes de l’année, jusqu’à 30 % de tous les oiseaux d’Europe s’avéraient transporter le virus mortel de la grippe aviaire H5N1. Il affirma également que les éleveurs en contact avec des poules et des poulets se trouvaient alors exposés au dit virus. Osterhaus briefa les journalistes qui prirent bonne note de son message alarmiste. La classe politique fut mise en alerte. Dans la presse, il émit l’hypothèse selon laquelle le virus, qu’il étiquetait H5N1, après avoir provoqué plusieurs décès aux antipodes asiatiques, allait se propager en Europe, vraisemblablement transporté sur les plumes ou dans les entrailles d’oiseaux mortellement infectés. Il soutenait la thèse d’oiseaux migrateurs capables d’apporter le nouveau virus mortel vers l’ouest aussi loin qu’en Ukraine et sur l’île de Rügen . Il lui suffit pour cela de feindre d’ignorer que les oiseaux ne migrent pas d’est en ouest mais bien du nord vers le sud.
La campagne alarmiste d’Osterhaus autour de la grippe aviaire décolla réellement en 2003, lorsqu’un vétérinaire néerlandais trouva la mort après avoir été malade. Osterhaus annonça que sa mort résultait d’une contamination par le virus H5N1. Il convainquit le Parlement néerlandais d’exiger l’abattage de millions de poulets. Pourtant, aucune autre personne ne succomba à une infection similaire à celle attribuée au H5N1. Pour Osterhaus, cela démontrait l’efficacité de la campagne d’abattage préventif.
Pour Osterhaus, les déjections aviaires propageaient le virus en retombant sur les populations et les autres oiseaux au sol. Il était ferme dans sa conviction que ces déjections constituaient le vecteur de propagation de la nouvelle poussée mortelle du virus H5N1 depuis l’Asie.
Un problème se posait cependant avec le stock grandissant d’échantillons congelés des déjections aviaires que lui et ses associés avaient rassemblés et conservés dans son institut. La présence du virus H5N1 ne put être confirmée dans un seul de ces échantillons. En 2006, à l’occasion du congrès de l’OIE (Office international des épizooties, désormais appelé Organisation mondiale de la santé animale), Osterhaus et ses collègues à l’Université Érasme furent forcés d’admettre qu’en testant les 100 000 échantillons de matières fécales rassemblés avec tant de précaution, ils n’avaient découvert aucune trace du virus H5N1.
En 2008, à Vérone, lors de la conférence de l’OMS intitulée « La grippe aviaire à l’interface Homme-Animal », Osterhaus prenait la parole devant ses collègues scientifiques, sans doute moins échauffés que le public non-scientifique par ses incitations à l’émotivité. Il admettait que : « dans l’état actuel des connaissances, rien ne permet[tait] de formuler une mise en garde contre le virus H5N1, ni d’affirmer qu’il puisse provoquer une pandémie. » Mais, à ce moment-là, son regard se portait déjà fixement sur d’autres gâchettes à actionner pour faire converger son travail sur les vaccins avec de nouvelles possibilités de crise pandémique.
Grippe A et corruption à l’OMS
Constatant que la grippe aviaire n’avait fait surgir aucune vague meurtrière de grande ampleur —et après que Roche, qui produit le Tamiflu, et GlaxoSmithKline, qui produit le Relenza, eurent encaissé des milliards de dollars de profits quand les gouvernement ont décidé de stocker des vaccins antiviraux contestés—, Osterhaus et les autres conseillers pour l’OMS se tournèrent vers de plus verts pâturages.
En avril 2009, leurs recherches semblaient couronnées de succès lorsqu’à La Gloria, un petit village mexicain de l’État du Veracruz, un enfant malade fut diagnostiqué comme porteur de la grippe alors dite « porcine » ou H1N1. Avec un empressement déplacé, l’appareil propagandiste de l’Organisation mondiale de la Santé à Genève fut lancé sur les chapeaux de roues avec les déclarations de son Directeur Général, le Docteur Margaret Chan, concernant l’éventuelle menace d’une pandémie mondiale.
Mme Chan évoqua « l’urgence de santé publique d’envergure internationale » [14] Par la suite, d’autres cas déclarés à La Gloria furent présentés sur un site Internet médical comme : une « étrange » poussée d’infections pulmonaires et respiratoires aiguës, qui évoluent en broncho-pneumonie dans certains cas rencontrés chez des enfants. Un habitant du village en décrivait les symptômes : « fièvres, toux sévères et sécrétions nasales très importantes »
Ces symptômes prennent par contre tout leur sens dans le contexte environnemental de La Gloria, une des zones au monde qui concentrent le plus grand nombre de porcs en élevage intensif, dont les exploitations sont principalement détenues par l’américain Smithfield. Depuis des mois, la population locale manifestait devant le siège mexicain du groupe Smithfield, se plaignant de graves affections respiratoires dues aux lisiers de porc. Cette cause plausible pour les diverses maladies diagnostiquées à La Gloria ne sembla intéresser ni Osterhaus ni les autres conseillers de l’OMS. Enfin se profilait la pandémie tant attendue, celle qu’il avait prédite dès 2003, lors de sa participation aux recherches sur le SRAS dans la province de Guandgong en Chine.
Le 11 juin 2009, Margaret Chan annonçait que la propagation du virus de la grippe H1N1 avait atteint le niveau 6 de l’« urgence pandémique ». Curieusement, elle précisait lors de cette annonce que « selon les informations disponibles à ce jour, une majorité écrasante de patients ressentent des symptômes bénins ; leur rétablissement est rapide et complet, le plus souvent en ne recourant à aucun traitement médical. » Avant d’ajouter : « Au niveau mondial, le nombre de décès est peu important, nous ne nous attendons pas à voir une poussée soudaine et spectaculaire du nombre des infections graves ou mortelles. »
On apprenait plus tard que Chan avait agi à la suite de débats fiévreux à l’OMS, sur les conseils du Groupe stratégique consultatif d’experts de l’OMS (SAGE, Strategic Advisory Group of Experts). L’un des membres du SAGE, à l’époque et encore aujourd’hui, est notre « Monsieur Grippe », le docteur Albert Osterhaus.
Osterhaus occupait non seulement une position stratégique pour recommander à l’OMS de déclarer l’« urgence pandémique » et inciter à la panique, mais il était aussi le président d’une organisation en première ligne sur le sujet, le Groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI, European Scientific Working group on Influenza), qui se définit comme un « groupe multidisciplinaire de leaders d’opinion sur la grippe, dont le but est de lutter contre les répercussions d’une épidémie ou d’une pandémie grippales » Comme ses membres l’expliquent eux-mêmes, l’ESWI mené par Osterhaus est le pivot central « entre l’OMS à Genève, l’Institut Robert Koch à Berlin et l’Université du Connecticut aux États-Unis. »
Le plus significatif au sujet de l’ESWI est que son travail est entièrement financé par les mêmes laboratoires pharmaceutiques qui gagnent des milliards grâce à l’urgence pandémique, tandis que les annonces faites par l’OMS obligent les gouvernements du monde entier à acheter et stocker des vaccins. L’ESWI reçoit des financements des fabricants et des distributeurs de vaccins contre le H1N1, tels que Baxter Vaccins, MedImmune, GlaxoSmithKline, Sanofi Pasteur et d’autres, dont Novartis, qui produit le vaccin et le distributeur du Tamiflu, Hofmann-La Roche.
Pour garder l’avantage, Albert Osterhaus, le plus grand virologiste mondial, conseiller officiel sur le virus H1N1 des gouvernements britannique et néerlandais et chef du Département de Virologie du Centre médical de l’Université Érasme, siégeait à la fois parmi l’élite de l’OMS réunie dans le groupe SAGE et présidait l’ESWI, parrainé par l’industrie pharmaceutique. À son tour, l’ESWI recommanda des mesures extraordinaires pour vacciner le monde entier, considérant comme élevé le risque d’une nouvelle pandémie qui, disait-on avec insistance, pourrait être comparable à l’effrayante pandémie de grippe espagnole de 1918.
La banque JP Morgan, présente à Wall Street, estimait que, principalement grâce à l’alerte pandémique lancée par l’OMS, les grands industriels pharmaceutiques, qui financent également le travail de l’ESWI d’Osterhaus, étaient prêts à engranger 7,5 à 10 milliards de dollars de bénéfices.
Le docteur Frederick Hayden est à la fois membre du SAGE à l’OMS et du Wellcome Trust à Londres ; il compte notamment parmi les proches amis d’Osterhaus. Au titre de services « consultatifs », Hayden reçoit par ailleurs des fonds de la part de Roche et de GlaxoSmithKline parmi d’autres géants pharmaceutiques engagés dans la production de produits liés à la crise du H1N1.
Un autre scientifique britannique, le professeur David Salisbury, qui dépend du ministère britannique de la Santé, est à la tête du SAGE à l’OMS. Il dirige également le Groupe consultatif sur le H1N1 à l’OMS. Salisbury est un fervent défenseur de l’industrie pharmaceutique. Au Royaume-Uni, le groupe de défense de la santé One Click l’a accusé de dissimuler la corrélation avérée entre les vaccins et la montée en flèche de l’autisme chez l’enfant, ainsi que celle existant entre le vaccin Gardasil et des cas de paralysie et même de décès.
Le 28 septembre 2009, le même Salisbury déclarait : « la communauté scientifique s’accorde sur l’absence totale de risque concernant l’inoculation du Thimérosal (ou Thiomersal). » Ce vaccin, utilisé contre le H1N1 en Grande-Bretagne, est principalement produit par GlaxoSmithKlilne. Il contient du Thimérosal, un conservateur à base de mercure. En 1999, de plus en plus de preuves faisant état que le Thimérosal présent dans les vaccins pourrait être la cause de cas d’autisme chez l’enfant aux États-Unis, l’American Academy of Pediatrics (Académie américaine de pédiatrie) et le Public Health Service (Bureau de la santé publique) avaient exigé son retrait de la composition des vaccins.
On trouve encore un autre membre de l’OMS partageant d’étroits liens financiers avec les fabricants de vaccins qui profitent des recommandations du SAGE, en la personne du docteur Arnold Monto, un consultant rémunéré par les fabricants de vaccins MedImmune, Glaxo et ViroPharma.
Pire encore, participent aux réunions de scientifiques « indépendants » du SAGE, des « observateurs » comprenant, et oui, les mêmes producteurs de vaccins GlaxoSmithKline, Novartis, Baxter et consort. On peut se demander, si les meilleurs experts de la grippe au monde sont censés composer le SAGE, pourquoi invitent-ils les fabricants de vaccins à y participer ?
Au cours de la dernière décennie, l’OMS mettait en place ce que l’on nomme des « partenariats public/privé », dans le but d’accroître les fonds à sa disposition. Mais, plutôt que de recevoir des fonds provenant uniquement des gouvernements des pays membres de l’ONU, comme cela était prévu à l’origine, l’OMS reçoit à l’heure actuelle de la part des entreprises privées près du double du budget habituellement alloué par l’ONU sous forme de bourses et d’aides financières. De quelles entreprises privées ? Des mêmes fabricants de vaccins et de médicaments qui profitent des décisions officielles telles que celle prise en juin 2009 à propos de l’urgence pandémique de la grippe H1N1. Tout comme les bienfaiteurs de l’OMS, les grands laboratoires ont tout naturellement leurs entrées à Genève, et ont droit à un traitement fait de « portes ouvertes et de tapis rouges » .
Dans une interview donnée au magazine allemand Der Spiegel, un membre de la Cochrane Collaboration, une organisation de scientifiques indépendants qui évaluent toutes les études menées sur la grippe, l’épidémiologiste Tom Jefferson montrait les conséquences de la privatisation de l’OMS et la marchandisation de la santé.
« T. Jefferson : […] l’une des caractéristiques les plus ahurissantes de cette grippe, et de tout le roman-feuilleton qui en a découlé, est que, année après année, des gens émettent des prévisions de plus en plus pessimistes. Jusqu’à présent, aucune ne s’est jamais réalisée et ces personnes sont toujours là à répéter leurs prédictions. Par exemple, qu’est-il arrivé avec la grippe aviaire qui était censée tous nous tuer ? Rien. Mais, ce n’est pas cela qui arrête ces gens de faire leurs prédictions. Parfois, on a le sentiment que c’est toute une industrie qui se prête à espérer une pandémie. Der Spiegel : De qui parlez-vous ? De l’OMS ?
T. J : L’OMS et les responsables de la santé publique, les virologistes et les laboratoires pharmaceutiques. Ils ont construit tout un système autour de l’imminence de la pandémie. Beaucoup d’argent est en jeu, ainsi que des réseaux d’influence, des carrières et des institutions tout entières ! Et il a suffit qu’un des virus de la grippe mute pour voir toute la machine se mettre en branle. »
Lorsqu’on lui a demandé si l’OMS avait délibérément déclaré l’urgence pandémique dans le but de créer un immense marché pour les vaccins et les médicaments contre le H1N1, Jefferson a répondu :
« Ne trouvez-vous pas frappant que l’OMS ait modifié sa définition de la pandémie ? L’ancienne définition parlait d’un virus nouveau, à propagation rapide, pour lequel l’immunité n’existe pas, et qui entraîne un taux élevé de malades et de décès. Aujourd’hui, ces deux derniers points sur les taux d’infection ont été supprimés, et c’est ainsi que la grippe A est entrée dans la catégorie des pandémies. »
Très judicieusement, l’OMS publiait en avril 2009 la nouvelle définition de la pandémie, juste à temps pour permettre à l’OMS, sur les conseils émanant, entre autres, du SAGE, de « Monsieur Grippe », alias Albert Osterhaus, et de David Salisbury, de qualifier d’urgence pandémique des cas bénins de grippe, rebaptisée grippe A H1N1.
Le 8 décembre 2009, dans la note en bas de page pertinente d’un article sur la gravité ou la bénignité de la « pandémie mondiale » du H1N1, le Washington Post mentionnait que : « la deuxième vague d’infection du H1N1 étant parvenue à son apogée aux États-Unis, les principaux épidémiologistes prévoient que la pandémie pourrait compter parmi les plus bénignes depuis que la médecine moderne documente les épidémies de grippe. »
Igor Barinov, parlementaire russe et président du Comité pour la Santé à la Douma, a exigé des représentants russes à l’OMS en poste à Genève qu’ils diligentent une enquête officielle sur les indices multiples de la corruption massive acceptée par l’OMS et menée par l’industrie pharmaceutique. « De graves accusations de corruption sont prononcées à l’encontre de l’OMS », affirmait Barinov. « Une commission internationale d’enquête doit s’organiser au plus vite. »
F. William Engdahl - Journaliste états-unien, il a publié de nombreux ouvrages consacrés aux questions énergétiques et géopolitiques. Derniers livres parus en français : Pétrole, une guerre d’un siècle : L’ordre mondial anglo-américain (Jean-Cyrille Godefroy éd., 2007) et OGM : semences de destruction : L’arme de la faim (Jean-Cyrille Godefroy éd., 2008).
Macha- Administrateur
- Nombre de messages : 7174
- Message n°53
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Film intéressant à regarder sur les méfaits des vaccins en général.
Voici le lien :
http://films.onf.ca/silence-on-vaccine/
Voici le lien :
http://films.onf.ca/silence-on-vaccine/
casseron- Ufologue de Terrain
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- Message n°54
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
La grippette s'en va et mes prévisions étaient meilleures que celles de Roselyne. On nous a fait peur avec l'Ukraine, couac. On nous a affolés avec le virus qui mutait, couac. mais le pire est peut-être à venir.
Souvenons-nous de la grippe espagnole. La première vague fut bénigne, la deuxième meurtrière touchant essentiellement les vaccinés et ceux qui furent malheureusement traités avec de l'aspirine mortelle.
Et voilà qu'on voudrait traiter tout le monde au tamiflu. Bizarre. ...si on empoisonne les gens, nul doute que l'on va crier "on vous l'avait bien dit, cette grippe revient terriblement dangereuse". Et on fourguera le reste des vaccins.
Mais il y a internet, et déjà l'on sait que de nombreux médecins s'opposent à cette folie. Puissent-ils être entendus.
Attendons-nous au pire.
Entre le tamiflu et le pousse-café, mon choix est fait !
Souvenons-nous de la grippe espagnole. La première vague fut bénigne, la deuxième meurtrière touchant essentiellement les vaccinés et ceux qui furent malheureusement traités avec de l'aspirine mortelle.
Et voilà qu'on voudrait traiter tout le monde au tamiflu. Bizarre. ...si on empoisonne les gens, nul doute que l'on va crier "on vous l'avait bien dit, cette grippe revient terriblement dangereuse". Et on fourguera le reste des vaccins.
Mais il y a internet, et déjà l'on sait que de nombreux médecins s'opposent à cette folie. Puissent-ils être entendus.
Attendons-nous au pire.
Entre le tamiflu et le pousse-café, mon choix est fait !
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°55
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Tamiflu gratos … et bientôt inopérant
(Source : Agoravox)
Tamiflu, parce que vous le valez bien. Que nous vaut cette nouvelle attention de bienveillance du gouvernement, qui avait annoncé que le Tamiflu deviendrait gratuit « en cas d’expansion de la pandémie » (1) alors qu’il lance la grande braderie au moment où il affirme que ladite pandémie « marque un palier » ? (2) Voici donc le nouvel épisode de la VOSTF grippe A H1N1, où, fort du stock de 24 millions de traitements par Tamiflu et 9 millions de Relenza (3), l’état français renouvelle les grandes manœuvres en déposant aux pieds des français le précieux antiviral, grand élixir de la médecine industrielle, réputé pour combattre la meurtrière pandémie.
Mais en ces temps difficiles, toute forme de bienveillance traduite par une gratuité, et spécialement venant de ce gouvernement, ne peut qu’éveiller les plus profondes suspicions. Encore une fois, c’est l’actualité internationale qui nous renseigne. Il suffit de suivre l’évolution de la pandémie dans le monde pour comprendre cette générosité des pouvoirs publics : la mutation H274Y, la souche résistante au Tamiflu, commence à se propager à travers le monde, et, comme d’habitude, silence absolu des journalistes officiels.
C’est le Dr Niman qui vient de remonter cette information (4), après les analyses faites au travers de la base du GISAID et des publications de Mill Hill. Contrairement à ce qu’annonce Roche, qui parle de multiples cas isolés « spontanés », Niman indique qu’il s’agit bien d’une circulation du mutant, qui apparaît dans de nombreux pays : Allemagne, Japon, Corée du Sud, Vietnam, Etats-Unis (Texas, Delaware, Pennsylvanie), Hollande, Pays de Galle (5).
C’est donc parce que le gouvernement français est informé de la propagation de la souche résistante au Tamiflu qu’il commence à s’inquiéter de son encombrant stock, qu’il s’agit d’écouler avant d’affronter le ridicule quand il faudra annoncer son inefficacité. Personne n’aura le mauvais esprit de penser que c’est pour accélérer, par la diffusion massive de l’antiviral, le développement de la souche résistante. Ayons la bonhomie de croire que cette grande distribution ne répond qu’à des soucis commerciaux, plutôt qu’à des desseins conspirationistes.
Problème : le Tamiflu, qui jusqu’à présent n’était prescrit que dans des cas graves, devient accessible avec grande facilité, par le biais d’une ordonnance, même pour un simple symptôme grippal, H1N1 ou saisonnier, d’autant que les dépistages pour discerner les 2 affections ne sont pas faits. Pourtant ce médicament est réputé pour ses effets secondaires désastreux, allant de vomissements, céphalées, déshydratations (6) pour les plus bénins, jusqu’à des hallucinations, ou comportements irrationnels (indiqués sur la notice) : « C’est au Japon que l’on recense le plus grand nombre de morts chez des patients traités par Tamiflu : selon le ministère de la Santé, au 31 octobre 2006, on compte 16 enfants de moins de 16 ans décédés accidentellement à la suite de comportements anormaux. » (7)
D’ailleurs, selon une étude publiée par le British Medical Journal « Les effets indésirables du médicament anti-grippe A, le Tamiflu, seraient plus importants que les bénéfices qu’il présenterait pour la santé des enfants ». (
Non seulement c’est une belle saloperie, mais en plus le rapport Bénéfice/Risque va se retrouver, pour le même risque, avec un bénéfice nul quand la souche résistante sera prépondérante, accélérée par la diffusion massive de l’antiviral. Le souci, c’est que pour éviter d’engorger les poubelles de demain avec le stock astronomique devenu inopérant, on gave les patients d’aujourd’hui par prescription massive, initialement programmée en prescription ciblée sur cas graves.
Reste la question essentielle : outre ce nouveau scandale médical qui se dessine, antiviral à volonté comme le buffet du club Med, le Tamiflu devenu inefficace, comment feront les états devant une autre grippe, qu’elle soit saisonnière ou H1N1, surtout une grippe plus sérieuse que l’actuelle grippette ?
(1) http://www.lesindiscrets.com/article-7393-tamiflu-gratuit-sur-ordonnance.html
(2) http://www.maxisciences.com/grippe-a/grippe-a-le-premier-pic-epidemique-passe-l-039-epidemie-se-stabilise_art4953.html
(3) http://www.lefigaro.fr/sante/2009/12/04/01004-20091204ARTFIG00024-bientot-le-tamiflu-gratuit-dans-les-pharmacies-.php
(4) http://www.recombinomics.com/News/12220902/H274Y_Pandemic_Evolve.html
(5) http://www.recombinomics.com/whats_new.html
(6) http://www.20minutes.fr/article/341485/France-Trop-d-effets-secondaires-pour-le-Tamiflu.php
(7) http://www.informationhospitaliere.com/actualite-8091-debat-effets-secondaires-tamiflu-relance.html
( http://www.francesoir.fr/societe/2009/08/12/grippe-a.html
(Source : Agoravox)
Tamiflu, parce que vous le valez bien. Que nous vaut cette nouvelle attention de bienveillance du gouvernement, qui avait annoncé que le Tamiflu deviendrait gratuit « en cas d’expansion de la pandémie » (1) alors qu’il lance la grande braderie au moment où il affirme que ladite pandémie « marque un palier » ? (2) Voici donc le nouvel épisode de la VOSTF grippe A H1N1, où, fort du stock de 24 millions de traitements par Tamiflu et 9 millions de Relenza (3), l’état français renouvelle les grandes manœuvres en déposant aux pieds des français le précieux antiviral, grand élixir de la médecine industrielle, réputé pour combattre la meurtrière pandémie.
Mais en ces temps difficiles, toute forme de bienveillance traduite par une gratuité, et spécialement venant de ce gouvernement, ne peut qu’éveiller les plus profondes suspicions. Encore une fois, c’est l’actualité internationale qui nous renseigne. Il suffit de suivre l’évolution de la pandémie dans le monde pour comprendre cette générosité des pouvoirs publics : la mutation H274Y, la souche résistante au Tamiflu, commence à se propager à travers le monde, et, comme d’habitude, silence absolu des journalistes officiels.
C’est le Dr Niman qui vient de remonter cette information (4), après les analyses faites au travers de la base du GISAID et des publications de Mill Hill. Contrairement à ce qu’annonce Roche, qui parle de multiples cas isolés « spontanés », Niman indique qu’il s’agit bien d’une circulation du mutant, qui apparaît dans de nombreux pays : Allemagne, Japon, Corée du Sud, Vietnam, Etats-Unis (Texas, Delaware, Pennsylvanie), Hollande, Pays de Galle (5).
C’est donc parce que le gouvernement français est informé de la propagation de la souche résistante au Tamiflu qu’il commence à s’inquiéter de son encombrant stock, qu’il s’agit d’écouler avant d’affronter le ridicule quand il faudra annoncer son inefficacité. Personne n’aura le mauvais esprit de penser que c’est pour accélérer, par la diffusion massive de l’antiviral, le développement de la souche résistante. Ayons la bonhomie de croire que cette grande distribution ne répond qu’à des soucis commerciaux, plutôt qu’à des desseins conspirationistes.
Problème : le Tamiflu, qui jusqu’à présent n’était prescrit que dans des cas graves, devient accessible avec grande facilité, par le biais d’une ordonnance, même pour un simple symptôme grippal, H1N1 ou saisonnier, d’autant que les dépistages pour discerner les 2 affections ne sont pas faits. Pourtant ce médicament est réputé pour ses effets secondaires désastreux, allant de vomissements, céphalées, déshydratations (6) pour les plus bénins, jusqu’à des hallucinations, ou comportements irrationnels (indiqués sur la notice) : « C’est au Japon que l’on recense le plus grand nombre de morts chez des patients traités par Tamiflu : selon le ministère de la Santé, au 31 octobre 2006, on compte 16 enfants de moins de 16 ans décédés accidentellement à la suite de comportements anormaux. » (7)
D’ailleurs, selon une étude publiée par le British Medical Journal « Les effets indésirables du médicament anti-grippe A, le Tamiflu, seraient plus importants que les bénéfices qu’il présenterait pour la santé des enfants ». (
Non seulement c’est une belle saloperie, mais en plus le rapport Bénéfice/Risque va se retrouver, pour le même risque, avec un bénéfice nul quand la souche résistante sera prépondérante, accélérée par la diffusion massive de l’antiviral. Le souci, c’est que pour éviter d’engorger les poubelles de demain avec le stock astronomique devenu inopérant, on gave les patients d’aujourd’hui par prescription massive, initialement programmée en prescription ciblée sur cas graves.
Reste la question essentielle : outre ce nouveau scandale médical qui se dessine, antiviral à volonté comme le buffet du club Med, le Tamiflu devenu inefficace, comment feront les états devant une autre grippe, qu’elle soit saisonnière ou H1N1, surtout une grippe plus sérieuse que l’actuelle grippette ?
(1) http://www.lesindiscrets.com/article-7393-tamiflu-gratuit-sur-ordonnance.html
(2) http://www.maxisciences.com/grippe-a/grippe-a-le-premier-pic-epidemique-passe-l-039-epidemie-se-stabilise_art4953.html
(3) http://www.lefigaro.fr/sante/2009/12/04/01004-20091204ARTFIG00024-bientot-le-tamiflu-gratuit-dans-les-pharmacies-.php
(4) http://www.recombinomics.com/News/12220902/H274Y_Pandemic_Evolve.html
(5) http://www.recombinomics.com/whats_new.html
(6) http://www.20minutes.fr/article/341485/France-Trop-d-effets-secondaires-pour-le-Tamiflu.php
(7) http://www.informationhospitaliere.com/actualite-8091-debat-effets-secondaires-tamiflu-relance.html
( http://www.francesoir.fr/societe/2009/08/12/grippe-a.html
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°56
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Tamiflu et dépression
( Source : Atoute )
Un confrère me signale le cas suivant. L’imputabilité du trouble au Tamiflu paraît forte.
Syndrome depressif et TAMIFLU
" Déclaration au centre de pharmacovigilance de Marseille : je suis appelé en garde pour une jeune femme cloitrée chez elle qui a un comportement bizarre. Je demande à son mari de l’amener au cabinet (procédure locale). Cette jeune femme n’a aucun ATCD psychiatrique et est plutôt bonne vivante. Elle a présenté un syndrome grippal traité par son médecin par TAMIFLU 2x/j pendant 5 jours (la patiente a arrêté le traitement prescrit 7 jours). 48H après l’arrêt est apparu en moins de 24H un Sd dépressif caractérisé isolé avec idées suicidaires et élaboration pour y parvenir : prise de médicaments. La patiente est terrorisé et pense être devenu folle (dixit). Laissée au domicile avec entourage fiable (pas de traitement). 48H après disparition quasi complète des signes.
Le centre de pharmaco a rappelé la patiente.
Cordialement. Jean Pierre LARRUMBE ".
( Source : Atoute )
Un confrère me signale le cas suivant. L’imputabilité du trouble au Tamiflu paraît forte.
Syndrome depressif et TAMIFLU
" Déclaration au centre de pharmacovigilance de Marseille : je suis appelé en garde pour une jeune femme cloitrée chez elle qui a un comportement bizarre. Je demande à son mari de l’amener au cabinet (procédure locale). Cette jeune femme n’a aucun ATCD psychiatrique et est plutôt bonne vivante. Elle a présenté un syndrome grippal traité par son médecin par TAMIFLU 2x/j pendant 5 jours (la patiente a arrêté le traitement prescrit 7 jours). 48H après l’arrêt est apparu en moins de 24H un Sd dépressif caractérisé isolé avec idées suicidaires et élaboration pour y parvenir : prise de médicaments. La patiente est terrorisé et pense être devenu folle (dixit). Laissée au domicile avec entourage fiable (pas de traitement). 48H après disparition quasi complète des signes.
Le centre de pharmaco a rappelé la patiente.
Cordialement. Jean Pierre LARRUMBE ".
Invité- Invité
- Message n°57
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Je vais revenir une fois de plus sur ce foutu virus suite à un titre d'article que mon regard à croisé.
Le titre est le suivant : "Sur 5 millions de vaccins contre la grippe H1 N1, 2.600 effets indésirables" içi : http://www.20minutes.fr/article/373148/France-Sur-5-millions-de-vaccins-contre-la-grippe-H1-N1-2-600-effets-indesirables.php
N'allez pas lire ce torchon, il n'a aucun intérêt
Mon tout petit cerveau c'est alors posé une question..... " hum hum !!! il continue à faire de la pub pour leurs vaccin en démontrant qu'il est inoffensif.... mais .....combien de personne ce même vaccin à t'il sauvé ???? (en estimant qu'il est efficace bien sûr) "
J'ai donc pris mon petit tableau excel et j'ai commencé mes calculs alors :
65 millions d'habitants au 1 janvier 2009
Nombre de mort en France de la grippe A avec pathologie à risque : 198 (33 qui n'avait aucune pathologie)
SOIT : 198/ 65 million = 3,04 mort pour 1 million d'habitants
Maintenant prenons le nombre de vacciné : 5 millions
Faisons un calcul des personnes sauvés, c'est trés simple 5 X 3.04 = 15, 2 personnes qui ne mourront pas en France grâce à leur vaccin
Encore plus fort :
Combien sont décédé sans aucune pathologie déjà ????? ha oui 33
Refaisons le calcul :
33/65 million = 0,5 mort sur 1 millions
Donc 0,5 X 5 = 2,5 personnes de sauvé en France qui n'ont aucune pathologie grâce au vaccin
Bravo l'état et sa campagne de PUB et bravo les 94 millions de vaccin mis à la poubelle (heu !!!! 89 millions)
Aprés la maladie de Croswell Jacob, le bug de l'an 2000, la grippe aviaire et la grippe porcine, nous aurons quoi par la suite pour faire frémir le peuple ????
Cécé l'ET
Le titre est le suivant : "Sur 5 millions de vaccins contre la grippe H1 N1, 2.600 effets indésirables" içi : http://www.20minutes.fr/article/373148/France-Sur-5-millions-de-vaccins-contre-la-grippe-H1-N1-2-600-effets-indesirables.php
N'allez pas lire ce torchon, il n'a aucun intérêt
Mon tout petit cerveau c'est alors posé une question..... " hum hum !!! il continue à faire de la pub pour leurs vaccin en démontrant qu'il est inoffensif.... mais .....combien de personne ce même vaccin à t'il sauvé ???? (en estimant qu'il est efficace bien sûr) "
J'ai donc pris mon petit tableau excel et j'ai commencé mes calculs alors :
65 millions d'habitants au 1 janvier 2009
Nombre de mort en France de la grippe A avec pathologie à risque : 198 (33 qui n'avait aucune pathologie)
SOIT : 198/ 65 million = 3,04 mort pour 1 million d'habitants
Maintenant prenons le nombre de vacciné : 5 millions
Faisons un calcul des personnes sauvés, c'est trés simple 5 X 3.04 = 15, 2 personnes qui ne mourront pas en France grâce à leur vaccin
Encore plus fort :
Combien sont décédé sans aucune pathologie déjà ????? ha oui 33
Refaisons le calcul :
33/65 million = 0,5 mort sur 1 millions
Donc 0,5 X 5 = 2,5 personnes de sauvé en France qui n'ont aucune pathologie grâce au vaccin
Bravo l'état et sa campagne de PUB et bravo les 94 millions de vaccin mis à la poubelle (heu !!!! 89 millions)
Aprés la maladie de Croswell Jacob, le bug de l'an 2000, la grippe aviaire et la grippe porcine, nous aurons quoi par la suite pour faire frémir le peuple ????
Cécé l'ET
Invité- Invité
- Message n°58
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Une petite remarque encore ..... c'est vrai que 2600 effets indésirable c'est plus tape à l'oeil que 2, 5 personnes sauvés grâce au vaccin
Mikerynos- VIP
- Nombre de messages : 9912
- Message n°59
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
Que va devenir tous ces millions de vaccins inutiles ?
rilci- Membre VIP bronze
- Nombre de messages : 740
- Message n°60
Re: La Grippe Aviaire, Pandémie et autres virus.
il parait que certaine personne on attrapé le virus sans développer la maladie...
une étude faite sur des femme enceinte.
entendue à la radio...
une étude faite sur des femme enceinte.
entendue à la radio...
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