Via : http://www.ufofu.org/blog/2010/02/06/interview-de-joel-duquesnoy/#more-6340
A l’occasion de la réouverture du site internet du G.E.R.U, j’ai pu procéder à une petite interview du président de cette association ufologique : Monsieur Joël Duquesnoy. Ce groupement « nordiste » n’est pas née de la dernière pluie (si j’ose dire) étant donné sa date de création : Juin 1972. C’est donc peu dire que leurs membres ont connu les époques « fastes » des années 70.
M. Duquesnoy, pouvez-vous nous expliquer en quelles circonstances vous êtes-vous intéressé au phénomène OVNI? Pouvez-vous également retracer brièvement les débuts de l’association que vous présidez aujourd’hui ?
Très jeune je me suis intéressé à l’astronomie et d’ailleurs un de mes premiers livres offert par mes parents à l’occasion de la St Nicolas ( fête des enfants très célébrée dans Nord de la France notamment ) m’ouvrit si je puis dire « la route des étoiles ». Plusieurs années plus tard en 1960, je pense, un article attira mon attention sur un journal celui d’une observation dans le Pas-de-Calais, et je commençais alors à me poser des questions sur le phénomène, et de plus en plus je recherchais des articles sur ce sujet, délaissant petit à petit l’astronomie pour m’enthousiasmé pour cette recherche. De 1967 à 1969 de retour de l’armée je participe individuellement à des enquêtes sur le terrain dans ma région et en Belgique, je lis quelques ouvrages ( il n’y en avait pas beaucoup à cette époque surtout en langue française ), je constitue quelques fiches tapées à la machine à écrire etc. Puis je rejoints le G.N.E.O.V.N.I à Lille en 1970.
Historique du G.E.R.U.
Tout a commencé le 30 juin 1972, lorsque habitant Roubaix et membre du G.N.E.O.V.N.I. à LILLE, lassé de me rendre à Lille pour les réunions, je décide alors de fonder une association ufologique dans ma ville. Je lance alors un appel dans la presse locale et je reçois rapidement de nombreuses réponses. La première de contacts a lieu à mon domicile, rue Pierre-de-Roubaix.
Une autre suit afin de procéder à la constitution et la composition du bureau, ainsi que pour l’élaboration des pièces à fournir et à remplir pour l’inscription à la préfecture du Nord. Bien vite mon domicile devient trop petit pour recevoir les adhérents. Les réunions mensuelles au public se tiennent d’abord dans une salle du café « Les Tuileries » à Roubaix. Plus d’une vingtaine de personnes sont alors présentes.
Avec la vague d’O.V.N.I. sur la France en 1973-1974, le groupement double même ses effectifs. A l’époque le sujet est très en vogue avec, notamment, Jean-Claude Bourret, auteur d’ouvrages, qui sur France Inter, interviewe le ministre des Armées, Robert Galley, qui témoigne de son intérêt pour les OVNI. De plus en plus de personnes du coup, adhèrent au G.E.R.U.
De toute la France, du courrier est échangé en vue de créations d’annexes. C’est à Orange ( Vaucluse) que Jean-Pierre Troadec (maintenant journaliste) devient le premier président du G.E.R.U. ORANGE. Un réseau de correspondants avec des chercheurs indépendants français et internationaux est également créé et des échanges sont noués avec d’autres associations, en France et en Europe.
Dans la foulée une bibliothèque ufologique est constituée, une nuit d’observation annuelle organisée, des réunions de travail se tiennent. Un bulletin interne est conçu pour les membres uniquement. A l’époque le GERU organise des conférences, Auchel (Pas-de-Calais) accueille ainsi le GERU exactement le 8 juin 1975 pour une conférence projection. La notoriété du GERU Roubaix ne fait que grandir.
Jean-Claude Bourret, lui-même, se rend alors à Roubaix et de nouveaux contacts sont pris avec d’éminents astrophysiciens et chercheurs. A partir de 1976, les adhésions diminuent ainsi que les infos sur les OVNIS. L’intérêt retombe et il ne reste plus qu’un noyau de fidèles. Grâce à une location de salle à la Maison des Associations à partir de 1989, le GERU connaît toutefois un sursaut et le nombre des adhérents augmente et se stabilise.
Un fichier de plus de 2200 observations a été créé. Des sections de travail actives. Des réunions publiques chaque troisième samedi du mois ont lieu à Roubaix.
La parution du bulletin du G.E.R.U. : UFOVNI de 52 pages chaque trimestre pour les membres. Et bien entendu le site internet du G.E .R.U. qui devrait cette année 2010 faire peau neuve. Sans oublier notre participation avec un stand aux premières rencontres ufologiques européennes de Chalons en champagne du 14 au 16 octobre 2005.
Voilà en gros notre historique.
Sur le site du G.E.R.U. il est indiqué que le but de votre association est « de cerner avec pragmatisme les ovnis en tant qu’objets visuels non identifiés, sans a priori, d’origine extraterrestre ou autres par des enquêtes. »
Pouvez-vous nous expliquer les aspects pratiques d’une telle démarche ?
De part ces statuts et par conséquent sur un bénévolat le plus absolu, ses activités multiples autour des enquêtes sur les témoignages et la diffusion sans parti pris des informations recueillies. Cette transmission des rapports ou de cette documentation s’effectue par l’intermédiaire du bulletin UFOVNI, de même que par ses réunions mensuelles et conférences sans oublier bien entendu son site internet. Sur le terrain, des enquêtes sérieuses sont réalisées à l’aide d’un guide de l’enquêteur, manuel systématique, reflétant parfaitement la démarche scientifique de l’annotation qui permet d’uniformiser la méthode d’enquête et, sous la houlette de Jean-Pierre D’Hondt responsable des enquêteurs avec notamment pour La région Nord le talentueux Jean-Marie Bigorne (également enquêteur pour LDLN ).
Toujours sur le site du G.E.R.U, il est également précisé que « Le G.E.R.U s’efforce de mener avec rigueur ses investigations sur le phénomène O.V.N.I. »
De fait, pouvez-vous expliquer les moyens mis en œuvre par les enquêteurs de votre association ?
C’est de la diversité des méthodes d’investigations que dépend la fiabilité des enquêtes. Avec de faibles moyens financiers certes, mais je le répète, des enquêteurs sérieux sur le terrain muni d’un guide d’enquête remarquable avec des mises à jour régulières.
L’effervescence des années 70 vous paraît-elle, avec le recul, justifiée en termes factuels ufologiques ? N’existait-il pas une sorte « d’ufomania » plus ou moins liée aux émissions radiophoniques, télévisées et autres livres de J-C Bourret ?
Oui, car il y avait le phénomène vague notamment en France ( 1973-1974 ).
Non car au contraire l’ironie était plus que jamais de rigueur et c’est surtout Roger Galley alors ministre de la Défense qui en a été le moteur avec les émissions de France Inter et plusieurs ouvrages parus ces années là.
Rétrospectivement comment avez-vous vécu le désintérêt du public envers l’ufologie depuis les années 80, mais aussi son rebond apparent depuis l’émergence d’Internet ?
Il est vrai que les années 80 nous ont beaucoup déçu avec l’arrivée des sceptiques et aussi le livre d’anciens enquêteurs de LDLN (ayant changé de camp) que tout le monde connaît.
Malgré la baisse de nos adhérents nous avions tenu le coup si j’ose dire. Justement en se remettant en cause avec des contre-enquêtes par exemple.
Personnellement je n’ai pas attendu le rebond avec l’arrivée d’Internet, déjà plusieurs signes avant coureur l’avaient précédé. Une augmentation des observations françaises et mondiales et par conséquent l’intérêt du public se traduiront par une remontée de nos adhérents.
A l’heure actuelle, force est de constater que l’HET est largement considérée comme la solution la plus évidente, par une majorité de personnes acquises à une explication non-conventionnelle. Quels sont les réflexions que cet état de fait vous inspire ?
Pour ces personnes adeptes de l’H.E.T. la conquête spatiale, les films de cinéma ou de télévision de science-fiction en séries à outrance sur le sujet depuis ces dernières années exhortent vers cette solution « basique ».
Je n’ai jamais jusqu’à présent privilégié une explication à une autre. Malgré un coup de cœur pour une solution « d’espace et de temps » pour faire simple.
Comment appréciez-vous l’évolution de l’ufologie anglo-saxonne depuis les années 90 jusqu’à nos jours ?
Avec des hauts et des bas, un pas en avant, un pas en arrière selon « l’ambiance » et une donnée nouvelle celle du phénomène Internet qui nous apporte le bon comme le mauvais et donc une donnée supplémentaire de complications ( notamment en ce qui concerne les photos et vidéos plus facilement truquée ).
Selon vous, quelle importance peut-on accorder à la diffusion d’informations ufologiques vis à vis des médias classiques ? Et comment jugez-vous, globalement, l’approche qu’en font ces mêmes médias vis à vis d’un public peu renseigné ?
J’ai souvent été « réservé » sur le contenu des infos ou articles provenant des médias. Le désir du sensationnel donc financier pour les médias « papier » par exemple.
Quant aux radios très peu de communiqués surtout succincts et non confirmés par la suite ou avec « plaisir », démentis naturellement afin d’être soulagé.
Ne parlons pas de la télévision toute entière acquise aux zététiques et « comiques » de tous poils, l’essentiel étant l’audimat. La dérision par des présentateurs habitués à cartonner avec les petits hommes verts. Petit bémol cependant, l’année dernière avec l’arrivée d’une émission intéressante sur une chaîne nommée Direct 8 ( désolé pour la pub, mais c’est la vérité ) qui a osé en parler sérieusement et je dirais même par moment scientifiquement.
L’approche se fait dans un premier temps par l’annonce du « fait » avec bien entendu plusieurs solutions offertes aux lecteurs ou aux auditeurs spectateurs. Bien vite confirmé par une « solution » plus convenable (avion, phénomènes météo ou astronomiques etc ). Sinon : « surtout n’en parlons plus on verra ».
A titre purement personnel (c’est à dire sans engager les membres de votre association), avez-vous une préférence quand aux modèles présentés par différents chercheurs du monde ufologique ?
Hélas non, comme je l’ai déjà dit plus haut toutes les pistes me semblent bonnes, l’essentiel c’est de participer ( pour les chercheurs du monde ufologique ) en espérant trouver ( personnellement le vite possible maintenant car j’approche du grand rendez-vous avec le Monsieur à la faux ).
—
Au nom de tous les lecteurs habitués d’Ufofu je vous remercie de vous être prêté de bonne grâce à toutes mes questions. Je souhaite une bonne continuation à votre association, ainsi que de fructueuses enquêtes.
Le site du GERU : http://www.geru.fr/
A l’occasion de la réouverture du site internet du G.E.R.U, j’ai pu procéder à une petite interview du président de cette association ufologique : Monsieur Joël Duquesnoy. Ce groupement « nordiste » n’est pas née de la dernière pluie (si j’ose dire) étant donné sa date de création : Juin 1972. C’est donc peu dire que leurs membres ont connu les époques « fastes » des années 70.
M. Duquesnoy, pouvez-vous nous expliquer en quelles circonstances vous êtes-vous intéressé au phénomène OVNI? Pouvez-vous également retracer brièvement les débuts de l’association que vous présidez aujourd’hui ?
Très jeune je me suis intéressé à l’astronomie et d’ailleurs un de mes premiers livres offert par mes parents à l’occasion de la St Nicolas ( fête des enfants très célébrée dans Nord de la France notamment ) m’ouvrit si je puis dire « la route des étoiles ». Plusieurs années plus tard en 1960, je pense, un article attira mon attention sur un journal celui d’une observation dans le Pas-de-Calais, et je commençais alors à me poser des questions sur le phénomène, et de plus en plus je recherchais des articles sur ce sujet, délaissant petit à petit l’astronomie pour m’enthousiasmé pour cette recherche. De 1967 à 1969 de retour de l’armée je participe individuellement à des enquêtes sur le terrain dans ma région et en Belgique, je lis quelques ouvrages ( il n’y en avait pas beaucoup à cette époque surtout en langue française ), je constitue quelques fiches tapées à la machine à écrire etc. Puis je rejoints le G.N.E.O.V.N.I à Lille en 1970.
Historique du G.E.R.U.
Tout a commencé le 30 juin 1972, lorsque habitant Roubaix et membre du G.N.E.O.V.N.I. à LILLE, lassé de me rendre à Lille pour les réunions, je décide alors de fonder une association ufologique dans ma ville. Je lance alors un appel dans la presse locale et je reçois rapidement de nombreuses réponses. La première de contacts a lieu à mon domicile, rue Pierre-de-Roubaix.
Une autre suit afin de procéder à la constitution et la composition du bureau, ainsi que pour l’élaboration des pièces à fournir et à remplir pour l’inscription à la préfecture du Nord. Bien vite mon domicile devient trop petit pour recevoir les adhérents. Les réunions mensuelles au public se tiennent d’abord dans une salle du café « Les Tuileries » à Roubaix. Plus d’une vingtaine de personnes sont alors présentes.
Avec la vague d’O.V.N.I. sur la France en 1973-1974, le groupement double même ses effectifs. A l’époque le sujet est très en vogue avec, notamment, Jean-Claude Bourret, auteur d’ouvrages, qui sur France Inter, interviewe le ministre des Armées, Robert Galley, qui témoigne de son intérêt pour les OVNI. De plus en plus de personnes du coup, adhèrent au G.E.R.U.
De toute la France, du courrier est échangé en vue de créations d’annexes. C’est à Orange ( Vaucluse) que Jean-Pierre Troadec (maintenant journaliste) devient le premier président du G.E.R.U. ORANGE. Un réseau de correspondants avec des chercheurs indépendants français et internationaux est également créé et des échanges sont noués avec d’autres associations, en France et en Europe.
Dans la foulée une bibliothèque ufologique est constituée, une nuit d’observation annuelle organisée, des réunions de travail se tiennent. Un bulletin interne est conçu pour les membres uniquement. A l’époque le GERU organise des conférences, Auchel (Pas-de-Calais) accueille ainsi le GERU exactement le 8 juin 1975 pour une conférence projection. La notoriété du GERU Roubaix ne fait que grandir.
Jean-Claude Bourret, lui-même, se rend alors à Roubaix et de nouveaux contacts sont pris avec d’éminents astrophysiciens et chercheurs. A partir de 1976, les adhésions diminuent ainsi que les infos sur les OVNIS. L’intérêt retombe et il ne reste plus qu’un noyau de fidèles. Grâce à une location de salle à la Maison des Associations à partir de 1989, le GERU connaît toutefois un sursaut et le nombre des adhérents augmente et se stabilise.
Un fichier de plus de 2200 observations a été créé. Des sections de travail actives. Des réunions publiques chaque troisième samedi du mois ont lieu à Roubaix.
La parution du bulletin du G.E.R.U. : UFOVNI de 52 pages chaque trimestre pour les membres. Et bien entendu le site internet du G.E .R.U. qui devrait cette année 2010 faire peau neuve. Sans oublier notre participation avec un stand aux premières rencontres ufologiques européennes de Chalons en champagne du 14 au 16 octobre 2005.
Voilà en gros notre historique.
Sur le site du G.E.R.U. il est indiqué que le but de votre association est « de cerner avec pragmatisme les ovnis en tant qu’objets visuels non identifiés, sans a priori, d’origine extraterrestre ou autres par des enquêtes. »
Pouvez-vous nous expliquer les aspects pratiques d’une telle démarche ?
De part ces statuts et par conséquent sur un bénévolat le plus absolu, ses activités multiples autour des enquêtes sur les témoignages et la diffusion sans parti pris des informations recueillies. Cette transmission des rapports ou de cette documentation s’effectue par l’intermédiaire du bulletin UFOVNI, de même que par ses réunions mensuelles et conférences sans oublier bien entendu son site internet. Sur le terrain, des enquêtes sérieuses sont réalisées à l’aide d’un guide de l’enquêteur, manuel systématique, reflétant parfaitement la démarche scientifique de l’annotation qui permet d’uniformiser la méthode d’enquête et, sous la houlette de Jean-Pierre D’Hondt responsable des enquêteurs avec notamment pour La région Nord le talentueux Jean-Marie Bigorne (également enquêteur pour LDLN ).
Toujours sur le site du G.E.R.U, il est également précisé que « Le G.E.R.U s’efforce de mener avec rigueur ses investigations sur le phénomène O.V.N.I. »
De fait, pouvez-vous expliquer les moyens mis en œuvre par les enquêteurs de votre association ?
C’est de la diversité des méthodes d’investigations que dépend la fiabilité des enquêtes. Avec de faibles moyens financiers certes, mais je le répète, des enquêteurs sérieux sur le terrain muni d’un guide d’enquête remarquable avec des mises à jour régulières.
L’effervescence des années 70 vous paraît-elle, avec le recul, justifiée en termes factuels ufologiques ? N’existait-il pas une sorte « d’ufomania » plus ou moins liée aux émissions radiophoniques, télévisées et autres livres de J-C Bourret ?
Oui, car il y avait le phénomène vague notamment en France ( 1973-1974 ).
Non car au contraire l’ironie était plus que jamais de rigueur et c’est surtout Roger Galley alors ministre de la Défense qui en a été le moteur avec les émissions de France Inter et plusieurs ouvrages parus ces années là.
Rétrospectivement comment avez-vous vécu le désintérêt du public envers l’ufologie depuis les années 80, mais aussi son rebond apparent depuis l’émergence d’Internet ?
Il est vrai que les années 80 nous ont beaucoup déçu avec l’arrivée des sceptiques et aussi le livre d’anciens enquêteurs de LDLN (ayant changé de camp) que tout le monde connaît.
Malgré la baisse de nos adhérents nous avions tenu le coup si j’ose dire. Justement en se remettant en cause avec des contre-enquêtes par exemple.
Personnellement je n’ai pas attendu le rebond avec l’arrivée d’Internet, déjà plusieurs signes avant coureur l’avaient précédé. Une augmentation des observations françaises et mondiales et par conséquent l’intérêt du public se traduiront par une remontée de nos adhérents.
A l’heure actuelle, force est de constater que l’HET est largement considérée comme la solution la plus évidente, par une majorité de personnes acquises à une explication non-conventionnelle. Quels sont les réflexions que cet état de fait vous inspire ?
Pour ces personnes adeptes de l’H.E.T. la conquête spatiale, les films de cinéma ou de télévision de science-fiction en séries à outrance sur le sujet depuis ces dernières années exhortent vers cette solution « basique ».
Je n’ai jamais jusqu’à présent privilégié une explication à une autre. Malgré un coup de cœur pour une solution « d’espace et de temps » pour faire simple.
Comment appréciez-vous l’évolution de l’ufologie anglo-saxonne depuis les années 90 jusqu’à nos jours ?
Avec des hauts et des bas, un pas en avant, un pas en arrière selon « l’ambiance » et une donnée nouvelle celle du phénomène Internet qui nous apporte le bon comme le mauvais et donc une donnée supplémentaire de complications ( notamment en ce qui concerne les photos et vidéos plus facilement truquée ).
Selon vous, quelle importance peut-on accorder à la diffusion d’informations ufologiques vis à vis des médias classiques ? Et comment jugez-vous, globalement, l’approche qu’en font ces mêmes médias vis à vis d’un public peu renseigné ?
J’ai souvent été « réservé » sur le contenu des infos ou articles provenant des médias. Le désir du sensationnel donc financier pour les médias « papier » par exemple.
Quant aux radios très peu de communiqués surtout succincts et non confirmés par la suite ou avec « plaisir », démentis naturellement afin d’être soulagé.
Ne parlons pas de la télévision toute entière acquise aux zététiques et « comiques » de tous poils, l’essentiel étant l’audimat. La dérision par des présentateurs habitués à cartonner avec les petits hommes verts. Petit bémol cependant, l’année dernière avec l’arrivée d’une émission intéressante sur une chaîne nommée Direct 8 ( désolé pour la pub, mais c’est la vérité ) qui a osé en parler sérieusement et je dirais même par moment scientifiquement.
L’approche se fait dans un premier temps par l’annonce du « fait » avec bien entendu plusieurs solutions offertes aux lecteurs ou aux auditeurs spectateurs. Bien vite confirmé par une « solution » plus convenable (avion, phénomènes météo ou astronomiques etc ). Sinon : « surtout n’en parlons plus on verra ».
A titre purement personnel (c’est à dire sans engager les membres de votre association), avez-vous une préférence quand aux modèles présentés par différents chercheurs du monde ufologique ?
Hélas non, comme je l’ai déjà dit plus haut toutes les pistes me semblent bonnes, l’essentiel c’est de participer ( pour les chercheurs du monde ufologique ) en espérant trouver ( personnellement le vite possible maintenant car j’approche du grand rendez-vous avec le Monsieur à la faux ).
—
Au nom de tous les lecteurs habitués d’Ufofu je vous remercie de vous être prêté de bonne grâce à toutes mes questions. Je souhaite une bonne continuation à votre association, ainsi que de fructueuses enquêtes.
Le site du GERU : http://www.geru.fr/
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