nuit du 6 au 7 décembre 1978 ITALIE, Torriglia (Gênes)Affaire Fortunato Zanfretta, 26 ans, agent de gardiennage à bord de la Fiat 126 de la compagnie, muni d'un appareil radio en contact avec la centrale de Gênes, fait le tour des villas à surveiller. Devant l'une d'elles, il remarque des lumières blanches disposées en triangle et croyant avoir affaire à des voleurs, il s'arrête, éteint le moteur et décide d'avertir la centrale. C'est alors qu'ils constate que la radio ne fonctionne pas, tandis que les phares s'éteignent ainsi que les lumières du tableau de bord. Il se munit d'une lampe torche pour aller inspecter la villa. Il ne voit personne, rien que ces trois lumières, et le silence est absolu. Il éclaire le portail qui est ouvert, ainsi que la porte d'entrée de la villa. Il éteint sa lumière et dégaine le revolver. Tout à coup les lumières s'approchent de lui, passent devant, disparaissent derrière l'angle de la maison. Voulant prendre les voleurs par derrière il se dirige vers l'autre coin, et sent alors à l'improviste une forte poussée provoquée par une main. Il bascule et tombe sur la pelouse. En tombant la torche s'est allumée, il s'en empare et éclaire à hauteur d'homme, mais ne voit que de gros tuyaux horizontaux, posés l'un sur l'autre... à 3 m de hauteur il trouve la tête, vert foncé, de 60 cm de largeur, yeux triangulaires jaunes énormes et lumineux, inclinés vers le haut. Sur le front quelque chose d'indéfini lumineux jaune avec de grosses rides irrégulières, sur le côté des espèces d'arêtes d'algues et devant quelque chose comme des oreilles ou cornes droites, pointues, tournées vers le haut. A peine cette inspection rapide finie, l'effrayant personnage disparaît et le gardien de nuit s'enfuit essayant de rejoindre la voiture. Alors qu'il court il entend un sifflement modulé, très fort, insupportable et une forte onde de chaleur. Il se retourne comme pour conjurer le cauchemar qu'il vit, mais ce qu'il voit le terrorise encore plus. Sur le fond du ciel se détache un large triangle aplati dont la base est cachée par un immense clarté, tellement aveuglante qu'il doit se protéger le visage des bras. Cette lumière part en zigzag vers le ciel. Zanfretta atteint le véhicule et il s'évanouit, pour 50 minutes ne se réveillant qu'à l'arrivée de collègues qui le trouvent à 80 m de l'auto, le corps et les vêtements brûlants. Traces au sol. Sous hypnose Zanfretta livre l'autre partie de son contact avec ces êtres horribles.....
RR4 : Le cas Zanfretta 6 Décembre 1978 à Torreglia (Italie) Tard dans la soirée du Mercredi 6 Décembre 1978 le vigile Fortunato Zanfretta était en service dans sa voiture dans la zone de Torreglia, un petit village dans les hauteurs de l'arrière pays Genois . Il faisait trés froid et la neige qui était tombée durant la journèe c'était transformée en une dangereuse plaque glaçé qui recouvrait une bonne partie de la chaussée. Zanfretta qui roulait doucement, cherchait tant que possible d'éviter les coins eclairés qui pouvait réveler sa présence. Pour le reste, cet homme etait habitué au climat rude des montagnes et des zones qu'il avait appris à connaitre depuis ces deux dernières années. Pourtant cette nuit-là ne fut pas comme les autres.
Il était 23 heures 30 quand Zanfretta prit la déviation, qui de la route 45 conduisait à Marzano, le vigile parcouru la petite route qui l'emmena au centre du village ; et en continuant, se dirigea vers la villa " casa nostra " appartenant à un dentiste Genois : Ettore Righi. La nuit était sombre et sans lune mais le ciel étoilé rendait moins obscure l'aride paysage de l'appenin Ligure. Aprés une centaine de mètres le vigile laissa dérrière lui la dernière habitation et ce retrouva en pleine campagne.
Il était presque arrivé quand, avant le dernier virage, le moteur et les phares de la Fiat 126 s'éteignirent ; " mais qu'est ce qui arrive" murmura t-il, surpris. C'est quand il mit pieds à terre qu'il vit dans le jardin de la villa quatre lumières qui bougeaient ; alors, oubliant la panne qu'il venait juste d'avoir et qui l'avait immobilisé. Il prit le micro de sa radio pour communiquer à la centrale opérative de "l'Institut de vigilance", ce qu'il était prêt à faire. "kangourou 68 , kangourou 68", appella t-il," je vais à l'intérieur de la villa voir si il y a des voleurs ".
Mais la centrale ne répondit pas. Même la radio était en panne. Il empoigna son "Smith & Wisson calibre 38 special" et sa torche électrique éteinte dans sa main gauche il s'approcha avec précaution de la villa ; le portillon du jardin etait ouvert, ainsi que la porte d'entrée. Zanfretta entra et se plaqua contre le mur périphèrique et doucement il s'avança de l'angle ; il voulait surprendre les voleurs, mais sa stupeur fut grande quand il se sentit toucher sur les épaules. Rapidement il se tourna avec la torche allumée et son revolver prêt à faire feu s'il en était nécessaire ; cela n'aurai pas été la première fois, mais le faisceau électrique n'illumina pas un voleur...
Interrogé le matin suivant, Par le brigadier des carabiniers Antonio Nucchi, commandant du poste de Torriglia ; Zanfretta, tremblant, raconta avoir vu un être énorme, haut d'environ 3 métres avec la peau ondulèe comme si cela était de la graisse ou bien alors une combinaison ; mais de toute façon de couleur grise... Il avait des yeux triangulaires jaunes, sur sa tête apparaissait des veines rouges, et ses oreilles étaient de forme pointues, ses mains avaient des doigts dont les ongles étaient arrondies. Zanfretta térrorisé laissa tomber sa torche,il la ramassa et couru à toutes jambes vers sa voiture, et là il empoigna le micro. "Le premier appel, dit Carlo Toccalino qui faisait son tour de garde à la centrale, je l'ai reçu vers minuit et quart, Zanfretta hurlait en disant continuellement "maman, maman qu'est ce qu'il est affreux", je lui est alors demandé si il était en train de se faire agresser,il me répondit : "non, ce ne sont pas des hommes, ce ne sont pas des hommes " et à ce moment la communication s'intérrompa."
Pendant que Zanfretta hurlait à la radio, tout d'un coup une grande lueur triangulaire s'éleva de dérrière la maison ; il l'a décrivit plus tard comme étant un disque lumineux plus large que la villa ; la lumière l'aveugla à tel point qu'il dû se cacher les yeux avec ses bras, puis dans un grand sifflement et une accélèration fantastique l'appareil se perdit dans le ciel. Sur le terrain où l'"ovni" se serrait posé, les carabiniers ont decouverts une grande trace semi circulaire qu'ils définirent comme une empreinte laissée par un hélicoptère ou bien par quelque chose d'important qui se serait posé dans le prè avoisinant la villa. Zanfretta s'était evanoui. Quand ses collegues l'eurent trouvés aprés une heure de recherche, il était prés de la villa, en état de choc. Pendant qu'ils l'emmenaient lui continuait à dire "je les ais vu, je les ais vu " et vraisemblablement il n'était pas le seul. Les carabiniers, durant leurs enquète, trouvèrent 52 témoins qui confirmérent qu'à cette heure-là et dans cette zone ils ont observés un gros objet volant de forme applatis et triangulaire diffusant une intense lumière variant du blanc au rouge .
Vendredi 8 Décembre : le quotidien "il secolo XIV" est paru avec un titre et six colonnes " rencontre raprochée à Torriglia " et c'est comme ça que le monde entier a pris connaissance du cas du vigile qui avait vu un ovni...
Rino Di Stefano, journaliste, en parle : "A cette époque j'étais chroniqueur au quotidien Génois du soir "Corriere Mercantile" et je me souviens du climat de curiosité et d'amusement septique que la nouvelle avait provoquée ; non seulement auprès du public mais aussi dans la rédaction des journaux, évidemment ce n'était pas facile de prendre au sérieux l'histoire de " l'extraterrestre haut de 3 métres".
Toutefois si on aurait voulu archiver l'épisode, il aurait fallu trouver une explication logique à au moins trois questions : l'état de choc du vigile,l'énorme empreinte trouvée près de la villa, et les 52 témoins.
Il me semblai logique avant de traiter de fou cet homme ou de le définir comme mythomane ou bien pire, qu'il fallait démonter les résultats de l'enquête faite par les carabiniers. Pourquoi ne pas enquêter sur Pier Fortunato Zanfretta et sur les faits survenues cette nuit-là ? Avec surprise je me suis apperçu que les autres collègues journalistes se gardaient bien de le faire, j'ai eu l'impression que la mentalité courante se résumait à ces phrases " du momment qu'il dit avoir vu une soucoupe volante et un monstrueux exraterrestre, il doit être vraiment fou ". Pour ce qui était des carabiniers, certainement quelques uns devaient penser qu'ils perdaient leurs temps ; c'est sûrement cette dernière conviction qui m'a donné envie de m'occuper du cas Zanfretta.
Aussi parce que tout le monde comptait sur l'aspect ufologique de la question, laissant de côté le drame humain que vivait cet homme. Je me demandai :" est ce possible qu'un vigile connu comme étant une personne honnête et correcte, père de deux enfants, s'invente de toutes pièces une histoire de ce genre, risquant de perdre son emploi. Et les témoignages de ces 52 personnes qui validaient son récit, est-ce que son état de choc était une simulation ?" ; je voulais en savoir plus. Les responsables de l'Institut de vigilance "Val Bisagno" se disent prêt à collaborer avec moi. Le directeur Gianfranco Tutti me raconta que son associé Luigi Cerda avait déjà prévu de porter plainte contre X pour l'histoire qui venait de ce passer, "nous voulons que toute la lumière soit faite sur cette histoire" ; ils avaient peur de la publicité négative que cette affaire pouvait leur apporter. La première chose que je leur demanda c'était de parler avec Zanfretta ; et cela ce fit. Le vigile, aux premiers abords, me paru timide et embarassé.
Je m'apperçu que toute la rumeur faite autour de lui le gênait énormément : " des personnes inconnues télèphonent à la maison pour se moquer de moi ", se plaignit-il, " je ne sais pas ce que c'était ce que j'ai vu mais je l'ai bien vu, je ne suis pas un menteur ". Aprés avoir publié mon premier article sur Zanfretta je fus contacté par divers ufologues ; j'ai coupé court avec eux mais j'ai accepté une suggestion : demander à Zanfretta de se soumettre à une hypnose. L'hypnose, c'est vrai, est une méthode utilisait pour faire revivre des expériences passées en dissociant le côté conscient de l'individu, pourquoi ne pas essayer ?
Zanfretta consenti de suite ; et le soir du 23 Décembre il se trouva allongé, hypnotisé sur le petit lit du docteur Mauro Moretti. Le résultat de cette séance, enregistrée sur bande audio fût déconcertante. A un moment donné Zanfretta commença à revivre les instants où il était entré dans le jardin de la villa...
Zanfretta: "Qu'est ce qu'il y a ? Qu'est ce qu'y arrive ? Maman "
Moretti: "Que ce passe t-il ? Racontez moi, je suis avec vous. Il ne peut rien vous arrivez, dites-moi ce que vous voyez "
Zanfretta: "Madonna, pourquoi je devrai venir avec vous ? Que voulez vous me faire ? Que sont toutes çes lumières, vous n'êtes pas des humains, allez vous-en ....que me mettez-vous sur la tête ? allez vous-en .....je ne veux pas ...laissez moi tranquille "
Il était clair que le vigile parlai de détails qui lui était inconnu au stade conscient.
Il disait, en gros, qu'il avait été enlevé et emmené dans un lieu où on l'a interrogé et fait subir des examens. Zanfretta: " je ne veux pas que vous retourniez, je ne peut rien dire ? enlevez-moi cette chose de ma tête...j'attendrai que vous reveniez...quelle chaleur ..enlevez-moi ce truc de la tête...allez-vous en..vous êtes des monstres...je veux retourné chez moi...ma torche ".
Zanfretta donc, racontait qu'il avait été enlevé, même si ma curiosité avait été partiellement payée, je n'ai pas voulu écrire d'article sur cette séance d'hypnose ; les révélations involontaire de ce vigile me semblai trops iréelles pour être prises en considération. Puis dans la nuit du 27 au 28 Décembre : " je suis entouré d'un brouillard épais et je ne vois rien", criait le vigile à la radio ; il était 23 heures 46. Quatre minutes après, Zanfretta appella de nouveau mais cette fois-ci sa voix était plus calme, presque obeissante. " ma voiture s'arrête, dit-il, je vois une grande lumière ; maintenant je sors ".
Les recherches furent gênées par le brouillard et la pluie qui, à ce moment-là, tombaient dans la région. La "Fiat" dans laquelle voyageai Zanfretta fut retrouvée après une heure de recherche dans un renfoncement de la route de montagne qui méne à la villa des Rossi. Le premier à voir Zanfretta fut le brigadier Travenzoli ; il tremblait et pleurait " ils disent qu'ils veulent m'emmener, que vont devenir mes enfants, je ne veux pas, je ne veux pas ".
Etrangement, malgré la pluie et le froid, le vigile avait le visage et les habits secs, le brigadier remarqua que tout ce qui était au dessus de son nez était trés chaud, ces oreilles étaient rouge sang ; étonnament, le toit de sa voiture était brûlant comme s'il avait été exposé à une forte chaleur. Prés de l'auto des empreintes gigantesques de semelles concaves, longues de plus de 50 centimétres, étaient présentes. Tout ces élèments firent ensuite partie du rapport informatif de " l'observation de l'ovni et des humanoides de la part de Zenfretta Fortunato ", que le brigadier Nuchi envoya à la préfecture de Gênes le 3 Janvier 1979 pour que soit prises des décisions.
Le rapport a fini sur le bureau du substitut qui le passa pour compètence au juge instructeur Gian Rodolfo Sciaccaluga ; ensuite il parvint au juge Russo, seulement le 11 Janvier 1980. Au bout d'une annèe il le fit archiver avec le numéro 203 pour " manque extrêmes de faits ", du reste le même commandant des carabiniers avait déjà pris la précaution d'informer le ministère de l'intérieur et les hauts commandants militaires avec 2 telex, un le 18 Décembre et l'autre le 28 Décembre 1978. Dans les messages le degré de fiabilité des évenements décrits était défini "bon". Aprés la seconde rencontre raprochée, quelqu'un commença à penser que malgré les interrogations qui emergé de ces évenements nocturnes ( empreintes géantes, tôle de voiture chaude ...) il serait bon de vérifier si Zanfretta était sain d'esprit ? et c'est pour cela que l'Institut de vigilance l'envoya plusieurs fois chez le professeur Giorno Gianotti (spécialiste en neurologie, maladies nerveuses et mentales, vice-principal de l'hôpital de Gênes, ST Martino).
Le 31 Janvier 1979, le professeur Gianotti a établi le certificat suivant : " à la demande de la direction de l'Institut de vigilance dont dépend le vigile ; j'ai visité en date du 28 et 30 Décembre 1978, Monsieur Zanfretta Fortunato, âgé de 26 ans, de profession vigile assermenté, à une visite neuropsychiatrique comme dans les 2 examens précédents. J'ai trouvé M. Zanfretta en parfaite condition psychique et neurologique,le patient ne présente aucune altération psychosensorielle et sa capacité de vouloir et de critique est normale. Je retiens que M.Zanfretta est apte à exercer son travail de manière inconditionnel, il n'a besoin d'aucune période d'observation ni même de conseils thérapeutiques."
L'opinion du professeur Gianotti a eu beaucoup d'effet auprés du public et des forces de l'ordre. Le cas sortit des limites Gênoise ; Enzo Tortora présentateur célèbre du programme télévisé " porto bello "( programme de forte audience ) invita par deux fois Zanfretta sur l'antenne de la RAI 3 ; en mettant dans l'embarras ( à cause de lui ) Cesare Musatti, père de la psychanalyse Italienne... Musatti, aprés avoir assister à une séance d'hypnose en direct devant les caméras, dit que pour lui Zanfretta était quelqu'un de bonne foi ; même s'il était difficile de distinguer la réalité objective de celle sujective . En même temps la presse étrangère s'interessa au vigile. Le populaire journal des Etats-unis " National Enquirer " ( tiré à 5 millions d'exemplaires ) lui dédia trois articles en première page ; et c'est dans ce climat que le soir du 30 Juillet 1979, le vigile fut victime d'une troisième abduction, cette fois-ci il était sur son scooter dans la zone du Quarto (Gênes) car sur les montagnes, vue les précédents événements, on ne l'envoya plus.
De toute façon cela ne l'a pas empêché de disparaître à nouveau ; et ils le retrouvèrent aprés deux heures de recherche au sommet du Mont "Fasce" situé aux "épaules" de Gênes. On se demande comment il a put arrivé là haut alors que l'unique voie d'accés était patrouillée, et que par ce chemin Zanfretta n'était pas passé, la réponse fut cherchée dans l'hypnose. Cette fois-ci la séance c'était déroulée auprés du Centre National d'Hypnose Médicale et Psychologique de Milan où le professeur Marco Marchesan, à la demande de Zanfretta, le fit soumettre au "pental" ( c'est à dire au serum de vérité ) en réponse aux polémiques aux sujet de la fiabilitè de l'hypnose.
Zanfretta, non seulement confirma tout ce qu'il avait dit mais il raconta que dernièrementil avait été soulevè par une lumière de couleur verte qui le tansporta dans un vaisseau alien. Ses aventures malheureusement n'étaient pas encore finies ; vers 22heures 30 le 2 Décembre 1979 il disparu à nouveau alors qu'il se trouvait à bord d'une "Austin mini", toujours dans la périphérie de Gênes. A cette occasion quatres autres vigiles virent distinctivement l'OVNI ; en effet dans un nuage immobile surgirent à l'improviste deux "phares" qui éclairerent les hommes à la recherche de leur collègue.
L'épisode se déroula sur les monts prés de Torriglia. Le lieutenant Giovanni Cassiba, chef de service, vida son chargeur sur ses phares.
Dans la séance d'hypnose suivante, Zanfretta raconta avoir été enlevé avec son auto et tansporté à l'intérieur du vaisseau ; et parlant avec ces mystérieux interlocuteurs, à un certain moment il dit " ou êtes vous allés ? et quoi faire en Espagne ? pourquoi ? mais tous ensemble ? bien, mais vous terrorisez les gens ". Le lendemain, Mardi 4 Décembre 1979, le service international de l'ANSA transmis à toute la presse Italienne le flash suivant : " Guadalajara ( Espagne ) - un véterinaire espagnol a affirmé avoir été suivi par un objet volant non identifiè pendant qu'il se trouvait au volant de sa voiture sur une route prés de Guadalajara à une cinquantaine de kilométres de Madrid. D'aprés son témoignage, Alfredo Sanchez Costa a vu dans la nuit du samedi au dimanche dernier un OVNI qui l'a suivi ; ensuite il l'a doublé pour se positionner au dessus de sa voiture. Aveuglé par la forte lumière jaune provenant de l'appareil, Sanchez a perdu le contrôle de son véhicule et il est sorti de la route. Aux dires du véterinaire l'objet s'éloignait du chemin de sa voiture quand celle-ci traversait des lieux habités. "
Confirmation ou bien coincidence ? Le doute persiste encore. Zanfretta disparu encore une fois le 14 février 1980, cette fois-ci sa voiture était surveillée et il fut retrouvé tout de suite. Il fut retrouvé au bord d'un ravin à moitié gelé et fortement commotionné ; un paysan résidant dans le voisinage dit qu'il a vu ce soir-la une grosse masse lumineuse semblable à un ballon de rugby...
La dernière disparition " officielle " de zanfretta remonte au
13 février 1980 mais pareillement, il était tellement gardé à vue qu'il ne réussi pas à rencontrer ces "interlocuteurs".
Lors des séances d'hypnose du docteur Moretti, Zanfretta répondai de cette façon " demande avec réponse négative, tixel " et tout les efforts pour aller plus loin était inutile, le vigile était désormais absolument en dehors de tout contrôle hypnotique. Le procureur de Gênes, suite à ses aventures, suspendit sans raison officielle le port d'armes de Zanfretta ; pour qu'il puisse le reprendre à nouveau il aurai fallu qu'il engage un avocat, mais Zanfretta était de toute façon fatigué,ses cheveux étaient devenus gris au bout de ces quelques mois. Le
10 Décembre 1982 Fortunato Zanfretta abandonna l'Institut de Vigilance pour un paisible travail de magasinier ; cependant aprés queques temps, la nostalgie pour son ancien travail lui fit remettre son ancien uniforme de vigile dans le même institut.
Encore aujourd'hui son histoire reste inexpliqué. L'aventure du vigile Fortunato Zanfretta survenue à Torriglia a donnée naissance à un film de science-fiction en Italie en Octobre 2004. Ce film se base sur les faits encore inexliqués du " cas Zanfretta " classé par le gouvernement américain dans les " X.files". Dans ce film, Zanfretta lui même jouera son propre rôle et aura à ses côtés un autre acteur "spécial" en la personne de l'astronaute italien Franco Malerba qui a participé à la mission STS 46 à bord de "Space Shutle Atlantis" le 31 Juillet 1992. Il aura le rôle d'un commandant et à charge la direction scientifique de ce film.
Source : http://benzemas.zeblog.com/28428-le-cas-zanfretta-italie/
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