A ce jour, 99% de l'humanité est ignorante de la réalité du phénomène OVNI. Ses effets concrets dans la vie de tous les jours restent imperceptibles.
La méconnaissance du dossier due au manque d'informations est responsable de son rejet par la majorité.
Les croyants ne sont pas ceux à qui on pense, les ufologues,mais bien au contraire les gens qui ont la certitude que les OVNIS n'existent pas, conséquence directe de leur ignorance, et de leur formatage dans un système de croyances préétablies.
En effet, il est clair que ce sont ceux qui nient le phénomène qui sont les croyants, puisqu'il s'agit d'opinions non scientifiquement étayées, voire souvent même pas documentées…
Le monde scientifique quant à lui, trop spécialisé et trop cloisonné, ne veut pas de ces faits, et c'est son absence dans la gestion du dossier qui laisse la place libre à une frange marginale d'individus plus ou moins délirants, et qui donc laisse table ouverte aux charlatans.
Et s'il n'est pas interdit de croire que cette sorte de désinformation amplifiante soit la meilleure façon que les officiels ont trouvé pour se débarrasser de l'eau du bain en plus du bébé, il est permis de douter que ce soit la plus pertinente…
De ce fait, l'ufologie demeure une recherche très confidentielle et confinée dans un cercle d'initiés, mais polluée par un certain nombre de personnages plus ou moins “exotiques”, car elle est inadaptée au mode de pensée humain et aufonctionnement de sa société, dont la représentation du réel et l'univers conceptuel reposent essentiellement sur la science et les médias.
L'intérêt du grand public ne pourrait s'éveiller que si le sujet est focalisé par des journalistes d'investigation pouvant assurer une diffusion massive puisque la respectabilité d'un sujet dans l'opinion publique ne se gagne qu'à force de matraquage médiatique, lui-même légitimé concernant les médias les plus sérieux par la caution de la science officielle.
MARCHE DE DUPES…
La civilisation humaine dans son ensemble, et ce, quels que soient les modèles politiques, économiques, et religieux en vigueur, repose sur un certain nombre d'institutions. A la tête de ces nombreux organismes gouvernementaux, administrations, sociétés ou associations, se trouvent une multitude de décideurs ( politiques, financiers, militaires, scientifiques, religieux, etc…) qui ont tous un interêt en commun, le maintien du status quo !
“Plus les gens ont à perdre, et moins ils sont ouverts au changement, ce qui est le cas de tous les hommes de pouvoir…” J-P PETIT (ancien Directeur de recherches au CNRS et spécialiste de la MHD).
Il leur faut donc au maximum éviter tout choc culturel qui soit susceptible d'induire un changement de paradigmes, puisqu'il est nécessaire que l'organisation mondiale perdure pour que leur situation personnelle soit maintenue le plus longtemps possible.
Et que peut-on imaginer de plus déstabilisant pour l'Humanité que d'apprendre que des E.T, dont nous ignorons tout mais dont nous pouvons supposer qu'ils nous surpassent en intelligence, sciences, technologies, seraient ici sur Terre ?
Dans notre société dominée par des médias tout-puissants, l'opinion de la majorité se fonde sur ce qui lui est rapporté par les journalistes, et prend position sur des dossiers qu'elle ne maîtrise pas, sans même prendre la peine de vérifier les sources de ce qu'on lui rapporte… Et de ce fait l'ufologie ne peut que rester enfermée dans son ghetto. Comment pourrait-il en être autrement alors que le phénomène refuse de se dévoiler au grand-jour d'une part, et que de l'autre les canaux d'information de notre société cachent, censurent, ou ridiculisent le sujet ?
Autrement dit, la société nie un phénomène qui, déjà, se camoufle lui-même…
Cela donne fortement l'impression que de chaque côté, on semble être d'accord pour s'éviter et empêcher tout contact !
Devinez qui peut bien être le bénéficiaire de ce marché de dupes…
Et comment dans ces conditions, les ufologues, prétendant avoir découvert “l'inquiétante vérité”, pourraient-ils être pris au sérieux et pour autre chose que “des originaux” ?
Ce ne sont pourtant pas les bonnes raisons qui manquent de prendre le phénomène au sérieux.
UN DOSSIER NEANMOINS CONSISTANT…
Pourquoi serait-on contraint de prouver scientifiquement l'existence de l'OVNI pour donner du crédit au dossier ?
Il serait temps de réaliser qu'une pensée supérieure peut rester inaccessible à l'inférieure si elle le décide. L'existence ou non-existence de Dieu est improuvable scientifiquement : cela est hors-sujet.
De même, la preuve scientifique et matérielle de la présence d'E.T sur Terre leur appartient et nous est inaccessible, à moins qu'ils ne décident de se dévoiler ouvertement. Une preuve scientifique est censée s'appliquer à une théorie, qui prévoit des conséquences et peut être reproductible, ce qui ne correspond pas du tout àla matière 1ère de notre dossier, constituée de témoignages, résultant d'observations imprévisibles et de traces souvent improbables.
Personnellement, je met au défi quiconque de démontrer scientifiquement que je suis amoureux et que j'ai mangé du boudin blanc lors de mondernier anniversaire ! Par contre, il m'est possible de prouver mon appartenance à lanationalité française ainsi que ma qualité de célibataire. Est-ce pour autant démontrable scientifiquement ?
S'il est nécessaire d'être conscient de la fragilité du témoignage humain, c'est le sérieux de l'enquête, la vérification des sources et des recoupements qui donneront tout leur poids à chaque témoignage. D'ailleurs la science sait bien reconnaître la validité du témoignage lorsque cela l'arrange, comme en astronomie par exemple.
Il faut donc retenir que c'est le degré de confiance accordé à une information et à sa source qui confère un certain niveau de réalité à un fait. En fonction de cela, on parlera soit d'indice ou de soupçon, soit plutôt de présomption ou de faisceau de présomptions, soit enfin de preuve testimoniale.
Une observation ne pourra jamais bénéficier de preuves autres que testimoniales, et elle n'est tout simplement pas concernée par la preuve scientifique. Néanmoins, si un témoignage ne peut être expérimenté scientifiquement, il est possible de le valider dans certains cas soit par le biais de recoupements concordants, soit par l'intermédiaire d'instruments scientifiques comme les radars.
Et si l'ufologie existe, c'est que le dossier n'est pas constitué de quelques témoignages de fumistes affabulateurs, d'illuminés paranoĩaques, ou autres alcooliques et drogués.
Ce sont bien au contraire des dizaines de milliers de cas qui sont répertoriés, rapportés par des témoins crédibles dans tous les pays du monde, dans toutes les cultures, et qui émanent de toutes les couches de la société.
Trop de gens ont vu trop de choses depuis trop longtemps, certes invraisemblables sur la forme, mais suffisamment cohérentes sur le fond, pour ne pas nous laisser envisager que nous serions visités.
Et de ce fait, cela devient donc non seulement un phénomène digne d'intérêt, mais peut-être même crucial pour l'Humanité s'il s'avère que son origine est exogène à la planète.
La probabilité d'apparition de la vie dans l'Univers, puis de son évolution vers l'intelligence ne peut être nulle, notre propre existence le prouve. Et si elle est “non-nulle”, sa prolifération, conséquence directe de l'immensité du temps et de l'espace, devient certaine car même dans le cas d'une probabilité “homéopathique”, l'occurrence se produira avec une certitude mathématiquement démontrable !
L'âge de l'Univers ayant laissé le temps à de nombreuses civilisations de développer “la technologie nécessaire aux voyages interstellaires”, ils devraient donc être ici en ce moment…
Et même en imaginant que la plupart ne soient pas concernées par l'exploration de l'Univers ( ce qui dénoterait un manque de visibilité certain sur l'avenir de leur civilisation vu la durée de vie limitée des planètes…), une seule suffirait à essaimer la galaxie en un temps très bref à l'échelle cosmique.
L'ufologie demande donc avant tout ouverture d'esprit puisqu'il va falloir prendre en considération des éléments qui heurtent de front notre logique et contredisent nos connaissances les mieux établies. Autrement dit, il va falloir accepter de perturber son confort intellectuel, l'assise sur laquelle repose notre savoir, oser selaisser déstabiliser en avançant sur des sables mouvants, en se laissant entraîner sur des versants de la réalité inexplorés jusqu'ici…
Certains hésitent encore souvent à appeler un chat, un chat. Et pourtant soyez sûrs que c'est bien la nature potentielle de l'intelligence derrière le phénomène qui suscite tant de passion autour de l'ufologie. Ne doutons d'ailleurs pas que c'est ce qui rend le sujet si dérangeant pour nos congénères et que c'est la raison pour laquelle il est purement “ghéttoÏsé” par la société.
Notre science nous a permis de nous construire un modèle de réalité cohérent, et assez confortable intellectuellement, mais très dogmatique. La contrepartie est qu'à force de rejeter systématiquement tout phénomène qui refuse de s'intégrer dans notre “normalité”, son attitude est devenue deplus en plus intolérante, ce qui risque de la mener à plus ou moins brève échéance à l'obscurantisme…
Elle s'est en effet structurée de manière à ce que les scientifiques seposent presque uniquement des problèmes qu'ils espèrent pouvoir résoudre, et cela sans risquer de heurter certains dogmes considérés comme intangibles, ce qui nuirait inévitablement à l'octroi de certaines bourses nécessaires à la poursuite de leurs travaux, à leur avancement, donc à leur carrière en général.
Or, il n'y a qu'une infime probabilité pour que l'objet de notre étude s'insère dans ce cadre, ce qui est une excellente raison pour elle de l'éluder, voiresimplement de nier son existence.
Un tel phénomène, qui n'est ni prévisible, ni intelligible, nireproductible, mais au contraire aussi inattendu, incompréhensible et absurde dans ses manifestations ne peut que détourner la communauté scientifique de son étude.
Les scientifiques préfèrent alors se comporter comme des croyantsargumentant que ce que rapportent les témoins est incroyable et que de toutes façons,une visite E.T est impossible !
“Les scientifiques…éprouvent une réelle aversion, consciente ouinconsciente, pour ce sujet. La base de cette attitude,est de nature psycho-socioimmunologique.
La prise en compte d'une éventuelle réalité de visites d' E.T représenterait pour ces gens une déstabilisation trop dommageable de leur personnalitéorganisée autour de ce qu'ils croient être un savoir. La science ne fonctionne pasCOMME une religion, C'EST une religion…” J-P PETIT.
De fait, il semble de plus en plus avéré que nous soyons confrontésà une réalité qui dépasse nos facultés intellectuelles, une réalité si subtile qu'elle sembleinsaisissable, et impossible pour nous à mettre de façon indiscutable en évidence.
Autrement dit, personne ne comprend réellement ce qui se produit, et donc encore moins comment et pourquoi…
Dans ce cas, à quoi peuvent bien servir des diplômes, _ qui officialisent l'acquisition de connaissances dans telle ou telle discipline_, lorsqu'il s'agitde faire face à quelque chose de totalement neuf et déconcertant, à tel point qu'on ne sait même pas par quoi commencer ?
Notre science a donc choisi de nous laisser le champ libre, puisqu'en ce début de 21ème siècle, elle ne se caractérise pas particulièrement par son ouverture d'esprit, en refusant purement et simplement d'étudier des faits, sous prétexte qu'ils ne se manifestent pas de la façon dont elle a décidé qu'ils devraient se manifester.(?.!.?.)
Et pourtant, si le contact ne se produit pas de la façon dont nous l'aurions imaginé, cela montre simplement que nous devrions nous poser des questions sur la validité de notre imagination et de nos théories !
Il est urgent de nous demander s'il n'est pas temps de réviser notre logique, qui n'est très probablement pas universelle, mais certainement bien plus modestement, simplement humaine.
Notre société semble malade de ses dogmes, atteinte d'une sorte d'obsession de la raison, avec ses porte-drapeaux ultra-rationalistes. Et comme la thématique OVNI expose à l'évidence une autre science,générant une autre physique, maîtrisant une énergie que nous ne comprenons pas, elleest l'objet d'une sorte de “réaction immunitaire” de tous ceux qui préfèrent détourner le regard de ce qui agresse de manière trop brutale leurs certitudes.
Et alors que la méthode scientifique devrait se caractériser par lacuriosité, l'examen des faits, et l'humilité, elle s'est transformée en une sorte defondamentalisme scientiste, qui refuse d'ouvrir les yeux au-delà de sa vérité dogmatique.
” Il est une forme de fraude insidieuse, celle qui consiste, pour les milieux autorisés, à occulter délibérément les faits susceptibles de mettre en cause les”vérités établies” et à s'opposer à leur publication. La science ne peut en effetprogresser que si les faits qui contredisent les théories considérées comme établies nesont pas délibérément occultés (…) Un fanatisme dogmatique et intolérant n'a cessé des'opposer aux progrès de la science et à la révision des axiomes sur lesquels reposentles théories admises, lorsque de nouveaux faits viennent les invalider (…) L'opinion dite”scientifique” ne cesse d'être aveuglée par la répétition incessante de toutes parts depseudo-vérités et des préjugés erronés (…) Le pire ennemi de la science, c'est ledogmatisme, l'imperturbable assurance de ceux qui sont convaincus de détenir unevérité absolue et définitive. Ceux-là, en réalité ne sont que des fossoyeurs de lascience…”
Maurice ALLAIS - Prix Nobel d'économie.
Ou comment mettre des oeillères pour éviter de voir ce qui dérange et pourrait ébranler ses certitudes si durement acquises, et essayer de nous faire croireque ce qu'elle est incapable d'expliquer n'existe pas…
Serait-elle en train de devenir la religion du troisième millénaire ?
“Le système scientifique occidental a acquis une rigidité comparable à celle de la théologie, et ce système de pensée, ou même de croyance, est maintenu en place par les structures, les catégories et les polarités même du langage, comme par exemple réel /irréel, existe /n'existe pas, objectif /subjectif, psychique /monde externe, se produit /ne se produit pas.”
Pr John E. MACK.
Comment justifier en effet un jugement qui se veut définitif sur un sujet qu'on ne peut maîtriser puisque pas sérieusement étudié ? Il est plus simple d'affirmer péremptoirement, après survol rapide du dossier, que les témoins ne sont que primates ignorants et stupides abusés par des phénomènes naturels, ou bien des psychopathes, ou encore des consommateurs de substances illicites, quand ce ne sont pas tout simplement affabulateurs.
Cela évite certes de réfléchir, rassure, et maintient douillettement son petit confort intellectuel.
L'arme préférée pour se débarrasser du problème reste d'ailleurs l'humour et l'ironie. Normal puisque dès qu'il est dérangé par quelque chose qu'il ne comprend pas ou qui l'effraye, l'humain le traite par la dérision.
On dit en effet que le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'est pas entièrement vrai, mais c'est aussi et surtout une arme qu'il utilise pour se protéger.
VOUS AVEZ DIT SECRET…
Comme me l'a un jour fait remarquer Jöel MESNARD, on attend des journalistes qu'ils informent. Or dans notre domaine, ils semblent incapables de s'informer eux-mêmes ! Et cela ne les empêche pas malgré tout de pontifier comme s'ils maîtrisaient le dossier…
Qu'est-ce qui peut donc pousser tous ces gens à dénigrer un dossier qu'ils n'ont pas étudié ?
Pourquoi un tel niveau de secret encore aujourd'hui à l'encontre d'un phénomène sur lequel une masse considérable d'informations est disponible, sur internet entre autres ?
Il est légitime d'envisager que certains, au plus haut niveau de certains états ou organismes, puissent détenir des éléments essentiels, suffisants pour permettre de déterminer avec certitude l'origine des manifestations.
Vous savez que le système de classification aux USA est gradué proportionnellement aux dommages supposés à la sécurité nationale en cas de divulgation.
La classification ''top secret'' contient des documents susceptibles de créer des dommages exceptionnellement graves et comme le dossier OVNI est à un niveau encore supérieur (''above''), cela peut faire froid dans le dos.
Les détenteurs du secret penseraient-ils que sa divulgation serait susceptible d'entraîner un véritable séïsme planétaire, voire même mettre en péril notre civilisation entière ?..
Il est d'autre part envisageable que certains milieux dirigeants sensibilisés au problème n'y comprennent pas grand chose de plus que nous. N'ayant pas de réponse à apporter, ils ne sauraient alors pas comment aborder et gérer le problème, le plus simple dans ce cas étant de nier purement et simplement l'existence même du phénomène. Ainsi, si pas de phénomène, pas de problème à résoudre, donc pas de remous, donc le status quo maintenu…
Une autre des raisons du secret pourrait bien être l'impossibilité d'assumer la situation en cas de divulgation, les détenteurs du secret ayant compris que confrontés à une intelligence au-delà de l'humain, la situation est tout simplement ingérable. Ne reste donc que la politique de l'autruche, en espérant là encore le status quo dans l'immédiat, ce qui leur permet de garder le pouvoir…
Certains états, voire organismes para-gouvernementaux de grandes puissances, détiennent probablement des informations inédites, mais peut-être pas assez décisives pour avoir une idée claire de la situation.
Des E.T sont vraisemblablement très éloignés de nous dans l'espace et dans le temps, dont l'échelle dans l'Univers est disproportionnée par rapport à l'histoire humaine.
Et si nous sommes trop éloignés d'Eux, soit par nature, soit par le degré d'évolution atteint, il est envisageable que toute communication soit interdite, et sans intérêt pour la communauté dominante. Est-il par exemple raisonnable d'envisager une possibilité et un quelconque intérêt pour l'Homme d'entamer un dialogue avec des colonies de fourmis..?
Dans ce cas, on peut imaginer que l'image de la réalité qui semble se dessiner est sans doute encore beaucoup trop floue pour être livrée telle quelle au grand public…
Il est vrai que dans une société qui se dit démocratique, nous serions en droit d'exiger de gouvernants élus par nous, qu'ils nous livrent ce qu'ils savent, ce qu'ils croient savoir, ce qu'ils pensent ignorer, ce qu'ils nous ont caché, et pourquoi… Mais il est envisageable que cela ne puisse se faire s'ils ont en main les preuves ( Roswell ?) ou une accumulation d'indices concordants accréditant sans aucun doute une présence extraterrestre, la chose leur semblant trop énorme pour être divulguée telle quelle…
Et on ne peut qu'être conforté dans cette idée quand on constate les tentatives quasi-désespérées de certains pour arriver à réduire coûte que coûte les cas solides, et cela même au prix de grand-écarts intellectuels qui frisent le ridicule…
Imaginons un instant la population suffisamment informée pour réaliser quelle est notre situation. Elle prend alors conscience de l'écart existant entre Aliens et Humains et donc de l'incapacité de nos gouvernants à se projeter dans l'avenir ainsi que de pouvoir assurer ne serait-ce que la sécurité de la population vis à vis de nos “visiteurs”. Cela pourrait bien aboutir à la perte de repères stables et générerinquiétude et chaos…
La prise de conscience d'une présence E.T. et donc d'êtres plus évolués aboutit nécessairement à la remise en cause de la totalité des connaissances acquises et de l'organisation de la société humaine : scientifiques et techniques bien sûr, mais aussi philosophiques et théologiques et historiques, économiques et industrielles, militaires et politiques…
(…)
NDLR : La revue Lumières dans la Nuit traite du phénomène ovni depuis les années soixante. Elle poursuit essentiellement deux buts :
1°) faire connaître ces choses difficilement communicables que sont les « expériences de type ovni », et avant tout, les cas les plus probants, ceux qui montrent que le problème est réel ;
2°) examiner les données disponibles, lorsqu'elles paraissent fiables, afin de mieux cerner les caractéristiques – et si possible, la signification – de ces manifestations
http://www.ldln.net/index.php?lien=articles
voir http://www.ldln.net/index.php?lien=articles Par Robert ZIROLO (Revue Lumières Dans La Nuit)
tiré de l'article “sortir l'ufologie de son ghetto”
La méconnaissance du dossier due au manque d'informations est responsable de son rejet par la majorité.
Les croyants ne sont pas ceux à qui on pense, les ufologues,mais bien au contraire les gens qui ont la certitude que les OVNIS n'existent pas, conséquence directe de leur ignorance, et de leur formatage dans un système de croyances préétablies.
En effet, il est clair que ce sont ceux qui nient le phénomène qui sont les croyants, puisqu'il s'agit d'opinions non scientifiquement étayées, voire souvent même pas documentées…
Le monde scientifique quant à lui, trop spécialisé et trop cloisonné, ne veut pas de ces faits, et c'est son absence dans la gestion du dossier qui laisse la place libre à une frange marginale d'individus plus ou moins délirants, et qui donc laisse table ouverte aux charlatans.
Et s'il n'est pas interdit de croire que cette sorte de désinformation amplifiante soit la meilleure façon que les officiels ont trouvé pour se débarrasser de l'eau du bain en plus du bébé, il est permis de douter que ce soit la plus pertinente…
De ce fait, l'ufologie demeure une recherche très confidentielle et confinée dans un cercle d'initiés, mais polluée par un certain nombre de personnages plus ou moins “exotiques”, car elle est inadaptée au mode de pensée humain et aufonctionnement de sa société, dont la représentation du réel et l'univers conceptuel reposent essentiellement sur la science et les médias.
L'intérêt du grand public ne pourrait s'éveiller que si le sujet est focalisé par des journalistes d'investigation pouvant assurer une diffusion massive puisque la respectabilité d'un sujet dans l'opinion publique ne se gagne qu'à force de matraquage médiatique, lui-même légitimé concernant les médias les plus sérieux par la caution de la science officielle.
MARCHE DE DUPES…
La civilisation humaine dans son ensemble, et ce, quels que soient les modèles politiques, économiques, et religieux en vigueur, repose sur un certain nombre d'institutions. A la tête de ces nombreux organismes gouvernementaux, administrations, sociétés ou associations, se trouvent une multitude de décideurs ( politiques, financiers, militaires, scientifiques, religieux, etc…) qui ont tous un interêt en commun, le maintien du status quo !
“Plus les gens ont à perdre, et moins ils sont ouverts au changement, ce qui est le cas de tous les hommes de pouvoir…” J-P PETIT (ancien Directeur de recherches au CNRS et spécialiste de la MHD).
Il leur faut donc au maximum éviter tout choc culturel qui soit susceptible d'induire un changement de paradigmes, puisqu'il est nécessaire que l'organisation mondiale perdure pour que leur situation personnelle soit maintenue le plus longtemps possible.
Et que peut-on imaginer de plus déstabilisant pour l'Humanité que d'apprendre que des E.T, dont nous ignorons tout mais dont nous pouvons supposer qu'ils nous surpassent en intelligence, sciences, technologies, seraient ici sur Terre ?
Dans notre société dominée par des médias tout-puissants, l'opinion de la majorité se fonde sur ce qui lui est rapporté par les journalistes, et prend position sur des dossiers qu'elle ne maîtrise pas, sans même prendre la peine de vérifier les sources de ce qu'on lui rapporte… Et de ce fait l'ufologie ne peut que rester enfermée dans son ghetto. Comment pourrait-il en être autrement alors que le phénomène refuse de se dévoiler au grand-jour d'une part, et que de l'autre les canaux d'information de notre société cachent, censurent, ou ridiculisent le sujet ?
Autrement dit, la société nie un phénomène qui, déjà, se camoufle lui-même…
Cela donne fortement l'impression que de chaque côté, on semble être d'accord pour s'éviter et empêcher tout contact !
Devinez qui peut bien être le bénéficiaire de ce marché de dupes…
Et comment dans ces conditions, les ufologues, prétendant avoir découvert “l'inquiétante vérité”, pourraient-ils être pris au sérieux et pour autre chose que “des originaux” ?
Ce ne sont pourtant pas les bonnes raisons qui manquent de prendre le phénomène au sérieux.
UN DOSSIER NEANMOINS CONSISTANT…
Pourquoi serait-on contraint de prouver scientifiquement l'existence de l'OVNI pour donner du crédit au dossier ?
Il serait temps de réaliser qu'une pensée supérieure peut rester inaccessible à l'inférieure si elle le décide. L'existence ou non-existence de Dieu est improuvable scientifiquement : cela est hors-sujet.
De même, la preuve scientifique et matérielle de la présence d'E.T sur Terre leur appartient et nous est inaccessible, à moins qu'ils ne décident de se dévoiler ouvertement. Une preuve scientifique est censée s'appliquer à une théorie, qui prévoit des conséquences et peut être reproductible, ce qui ne correspond pas du tout àla matière 1ère de notre dossier, constituée de témoignages, résultant d'observations imprévisibles et de traces souvent improbables.
Personnellement, je met au défi quiconque de démontrer scientifiquement que je suis amoureux et que j'ai mangé du boudin blanc lors de mondernier anniversaire ! Par contre, il m'est possible de prouver mon appartenance à lanationalité française ainsi que ma qualité de célibataire. Est-ce pour autant démontrable scientifiquement ?
S'il est nécessaire d'être conscient de la fragilité du témoignage humain, c'est le sérieux de l'enquête, la vérification des sources et des recoupements qui donneront tout leur poids à chaque témoignage. D'ailleurs la science sait bien reconnaître la validité du témoignage lorsque cela l'arrange, comme en astronomie par exemple.
Il faut donc retenir que c'est le degré de confiance accordé à une information et à sa source qui confère un certain niveau de réalité à un fait. En fonction de cela, on parlera soit d'indice ou de soupçon, soit plutôt de présomption ou de faisceau de présomptions, soit enfin de preuve testimoniale.
Une observation ne pourra jamais bénéficier de preuves autres que testimoniales, et elle n'est tout simplement pas concernée par la preuve scientifique. Néanmoins, si un témoignage ne peut être expérimenté scientifiquement, il est possible de le valider dans certains cas soit par le biais de recoupements concordants, soit par l'intermédiaire d'instruments scientifiques comme les radars.
Et si l'ufologie existe, c'est que le dossier n'est pas constitué de quelques témoignages de fumistes affabulateurs, d'illuminés paranoĩaques, ou autres alcooliques et drogués.
Ce sont bien au contraire des dizaines de milliers de cas qui sont répertoriés, rapportés par des témoins crédibles dans tous les pays du monde, dans toutes les cultures, et qui émanent de toutes les couches de la société.
Trop de gens ont vu trop de choses depuis trop longtemps, certes invraisemblables sur la forme, mais suffisamment cohérentes sur le fond, pour ne pas nous laisser envisager que nous serions visités.
Et de ce fait, cela devient donc non seulement un phénomène digne d'intérêt, mais peut-être même crucial pour l'Humanité s'il s'avère que son origine est exogène à la planète.
La probabilité d'apparition de la vie dans l'Univers, puis de son évolution vers l'intelligence ne peut être nulle, notre propre existence le prouve. Et si elle est “non-nulle”, sa prolifération, conséquence directe de l'immensité du temps et de l'espace, devient certaine car même dans le cas d'une probabilité “homéopathique”, l'occurrence se produira avec une certitude mathématiquement démontrable !
L'âge de l'Univers ayant laissé le temps à de nombreuses civilisations de développer “la technologie nécessaire aux voyages interstellaires”, ils devraient donc être ici en ce moment…
Et même en imaginant que la plupart ne soient pas concernées par l'exploration de l'Univers ( ce qui dénoterait un manque de visibilité certain sur l'avenir de leur civilisation vu la durée de vie limitée des planètes…), une seule suffirait à essaimer la galaxie en un temps très bref à l'échelle cosmique.
L'ufologie demande donc avant tout ouverture d'esprit puisqu'il va falloir prendre en considération des éléments qui heurtent de front notre logique et contredisent nos connaissances les mieux établies. Autrement dit, il va falloir accepter de perturber son confort intellectuel, l'assise sur laquelle repose notre savoir, oser selaisser déstabiliser en avançant sur des sables mouvants, en se laissant entraîner sur des versants de la réalité inexplorés jusqu'ici…
Certains hésitent encore souvent à appeler un chat, un chat. Et pourtant soyez sûrs que c'est bien la nature potentielle de l'intelligence derrière le phénomène qui suscite tant de passion autour de l'ufologie. Ne doutons d'ailleurs pas que c'est ce qui rend le sujet si dérangeant pour nos congénères et que c'est la raison pour laquelle il est purement “ghéttoÏsé” par la société.
Notre science nous a permis de nous construire un modèle de réalité cohérent, et assez confortable intellectuellement, mais très dogmatique. La contrepartie est qu'à force de rejeter systématiquement tout phénomène qui refuse de s'intégrer dans notre “normalité”, son attitude est devenue deplus en plus intolérante, ce qui risque de la mener à plus ou moins brève échéance à l'obscurantisme…
Elle s'est en effet structurée de manière à ce que les scientifiques seposent presque uniquement des problèmes qu'ils espèrent pouvoir résoudre, et cela sans risquer de heurter certains dogmes considérés comme intangibles, ce qui nuirait inévitablement à l'octroi de certaines bourses nécessaires à la poursuite de leurs travaux, à leur avancement, donc à leur carrière en général.
Or, il n'y a qu'une infime probabilité pour que l'objet de notre étude s'insère dans ce cadre, ce qui est une excellente raison pour elle de l'éluder, voiresimplement de nier son existence.
Un tel phénomène, qui n'est ni prévisible, ni intelligible, nireproductible, mais au contraire aussi inattendu, incompréhensible et absurde dans ses manifestations ne peut que détourner la communauté scientifique de son étude.
Les scientifiques préfèrent alors se comporter comme des croyantsargumentant que ce que rapportent les témoins est incroyable et que de toutes façons,une visite E.T est impossible !
“Les scientifiques…éprouvent une réelle aversion, consciente ouinconsciente, pour ce sujet. La base de cette attitude,est de nature psycho-socioimmunologique.
La prise en compte d'une éventuelle réalité de visites d' E.T représenterait pour ces gens une déstabilisation trop dommageable de leur personnalitéorganisée autour de ce qu'ils croient être un savoir. La science ne fonctionne pasCOMME une religion, C'EST une religion…” J-P PETIT.
De fait, il semble de plus en plus avéré que nous soyons confrontésà une réalité qui dépasse nos facultés intellectuelles, une réalité si subtile qu'elle sembleinsaisissable, et impossible pour nous à mettre de façon indiscutable en évidence.
Autrement dit, personne ne comprend réellement ce qui se produit, et donc encore moins comment et pourquoi…
Dans ce cas, à quoi peuvent bien servir des diplômes, _ qui officialisent l'acquisition de connaissances dans telle ou telle discipline_, lorsqu'il s'agitde faire face à quelque chose de totalement neuf et déconcertant, à tel point qu'on ne sait même pas par quoi commencer ?
Notre science a donc choisi de nous laisser le champ libre, puisqu'en ce début de 21ème siècle, elle ne se caractérise pas particulièrement par son ouverture d'esprit, en refusant purement et simplement d'étudier des faits, sous prétexte qu'ils ne se manifestent pas de la façon dont elle a décidé qu'ils devraient se manifester.(?.!.?.)
Et pourtant, si le contact ne se produit pas de la façon dont nous l'aurions imaginé, cela montre simplement que nous devrions nous poser des questions sur la validité de notre imagination et de nos théories !
Il est urgent de nous demander s'il n'est pas temps de réviser notre logique, qui n'est très probablement pas universelle, mais certainement bien plus modestement, simplement humaine.
Notre société semble malade de ses dogmes, atteinte d'une sorte d'obsession de la raison, avec ses porte-drapeaux ultra-rationalistes. Et comme la thématique OVNI expose à l'évidence une autre science,générant une autre physique, maîtrisant une énergie que nous ne comprenons pas, elleest l'objet d'une sorte de “réaction immunitaire” de tous ceux qui préfèrent détourner le regard de ce qui agresse de manière trop brutale leurs certitudes.
Et alors que la méthode scientifique devrait se caractériser par lacuriosité, l'examen des faits, et l'humilité, elle s'est transformée en une sorte defondamentalisme scientiste, qui refuse d'ouvrir les yeux au-delà de sa vérité dogmatique.
” Il est une forme de fraude insidieuse, celle qui consiste, pour les milieux autorisés, à occulter délibérément les faits susceptibles de mettre en cause les”vérités établies” et à s'opposer à leur publication. La science ne peut en effetprogresser que si les faits qui contredisent les théories considérées comme établies nesont pas délibérément occultés (…) Un fanatisme dogmatique et intolérant n'a cessé des'opposer aux progrès de la science et à la révision des axiomes sur lesquels reposentles théories admises, lorsque de nouveaux faits viennent les invalider (…) L'opinion dite”scientifique” ne cesse d'être aveuglée par la répétition incessante de toutes parts depseudo-vérités et des préjugés erronés (…) Le pire ennemi de la science, c'est ledogmatisme, l'imperturbable assurance de ceux qui sont convaincus de détenir unevérité absolue et définitive. Ceux-là, en réalité ne sont que des fossoyeurs de lascience…”
Maurice ALLAIS - Prix Nobel d'économie.
Ou comment mettre des oeillères pour éviter de voir ce qui dérange et pourrait ébranler ses certitudes si durement acquises, et essayer de nous faire croireque ce qu'elle est incapable d'expliquer n'existe pas…
Serait-elle en train de devenir la religion du troisième millénaire ?
“Le système scientifique occidental a acquis une rigidité comparable à celle de la théologie, et ce système de pensée, ou même de croyance, est maintenu en place par les structures, les catégories et les polarités même du langage, comme par exemple réel /irréel, existe /n'existe pas, objectif /subjectif, psychique /monde externe, se produit /ne se produit pas.”
Pr John E. MACK.
Comment justifier en effet un jugement qui se veut définitif sur un sujet qu'on ne peut maîtriser puisque pas sérieusement étudié ? Il est plus simple d'affirmer péremptoirement, après survol rapide du dossier, que les témoins ne sont que primates ignorants et stupides abusés par des phénomènes naturels, ou bien des psychopathes, ou encore des consommateurs de substances illicites, quand ce ne sont pas tout simplement affabulateurs.
Cela évite certes de réfléchir, rassure, et maintient douillettement son petit confort intellectuel.
L'arme préférée pour se débarrasser du problème reste d'ailleurs l'humour et l'ironie. Normal puisque dès qu'il est dérangé par quelque chose qu'il ne comprend pas ou qui l'effraye, l'humain le traite par la dérision.
On dit en effet que le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'est pas entièrement vrai, mais c'est aussi et surtout une arme qu'il utilise pour se protéger.
VOUS AVEZ DIT SECRET…
Comme me l'a un jour fait remarquer Jöel MESNARD, on attend des journalistes qu'ils informent. Or dans notre domaine, ils semblent incapables de s'informer eux-mêmes ! Et cela ne les empêche pas malgré tout de pontifier comme s'ils maîtrisaient le dossier…
Qu'est-ce qui peut donc pousser tous ces gens à dénigrer un dossier qu'ils n'ont pas étudié ?
Pourquoi un tel niveau de secret encore aujourd'hui à l'encontre d'un phénomène sur lequel une masse considérable d'informations est disponible, sur internet entre autres ?
Il est légitime d'envisager que certains, au plus haut niveau de certains états ou organismes, puissent détenir des éléments essentiels, suffisants pour permettre de déterminer avec certitude l'origine des manifestations.
Vous savez que le système de classification aux USA est gradué proportionnellement aux dommages supposés à la sécurité nationale en cas de divulgation.
La classification ''top secret'' contient des documents susceptibles de créer des dommages exceptionnellement graves et comme le dossier OVNI est à un niveau encore supérieur (''above''), cela peut faire froid dans le dos.
Les détenteurs du secret penseraient-ils que sa divulgation serait susceptible d'entraîner un véritable séïsme planétaire, voire même mettre en péril notre civilisation entière ?..
Il est d'autre part envisageable que certains milieux dirigeants sensibilisés au problème n'y comprennent pas grand chose de plus que nous. N'ayant pas de réponse à apporter, ils ne sauraient alors pas comment aborder et gérer le problème, le plus simple dans ce cas étant de nier purement et simplement l'existence même du phénomène. Ainsi, si pas de phénomène, pas de problème à résoudre, donc pas de remous, donc le status quo maintenu…
Une autre des raisons du secret pourrait bien être l'impossibilité d'assumer la situation en cas de divulgation, les détenteurs du secret ayant compris que confrontés à une intelligence au-delà de l'humain, la situation est tout simplement ingérable. Ne reste donc que la politique de l'autruche, en espérant là encore le status quo dans l'immédiat, ce qui leur permet de garder le pouvoir…
Certains états, voire organismes para-gouvernementaux de grandes puissances, détiennent probablement des informations inédites, mais peut-être pas assez décisives pour avoir une idée claire de la situation.
Des E.T sont vraisemblablement très éloignés de nous dans l'espace et dans le temps, dont l'échelle dans l'Univers est disproportionnée par rapport à l'histoire humaine.
Et si nous sommes trop éloignés d'Eux, soit par nature, soit par le degré d'évolution atteint, il est envisageable que toute communication soit interdite, et sans intérêt pour la communauté dominante. Est-il par exemple raisonnable d'envisager une possibilité et un quelconque intérêt pour l'Homme d'entamer un dialogue avec des colonies de fourmis..?
Dans ce cas, on peut imaginer que l'image de la réalité qui semble se dessiner est sans doute encore beaucoup trop floue pour être livrée telle quelle au grand public…
Il est vrai que dans une société qui se dit démocratique, nous serions en droit d'exiger de gouvernants élus par nous, qu'ils nous livrent ce qu'ils savent, ce qu'ils croient savoir, ce qu'ils pensent ignorer, ce qu'ils nous ont caché, et pourquoi… Mais il est envisageable que cela ne puisse se faire s'ils ont en main les preuves ( Roswell ?) ou une accumulation d'indices concordants accréditant sans aucun doute une présence extraterrestre, la chose leur semblant trop énorme pour être divulguée telle quelle…
Et on ne peut qu'être conforté dans cette idée quand on constate les tentatives quasi-désespérées de certains pour arriver à réduire coûte que coûte les cas solides, et cela même au prix de grand-écarts intellectuels qui frisent le ridicule…
Imaginons un instant la population suffisamment informée pour réaliser quelle est notre situation. Elle prend alors conscience de l'écart existant entre Aliens et Humains et donc de l'incapacité de nos gouvernants à se projeter dans l'avenir ainsi que de pouvoir assurer ne serait-ce que la sécurité de la population vis à vis de nos “visiteurs”. Cela pourrait bien aboutir à la perte de repères stables et générerinquiétude et chaos…
La prise de conscience d'une présence E.T. et donc d'êtres plus évolués aboutit nécessairement à la remise en cause de la totalité des connaissances acquises et de l'organisation de la société humaine : scientifiques et techniques bien sûr, mais aussi philosophiques et théologiques et historiques, économiques et industrielles, militaires et politiques…
(…)
NDLR : La revue Lumières dans la Nuit traite du phénomène ovni depuis les années soixante. Elle poursuit essentiellement deux buts :
1°) faire connaître ces choses difficilement communicables que sont les « expériences de type ovni », et avant tout, les cas les plus probants, ceux qui montrent que le problème est réel ;
2°) examiner les données disponibles, lorsqu'elles paraissent fiables, afin de mieux cerner les caractéristiques – et si possible, la signification – de ces manifestations
http://www.ldln.net/index.php?lien=articles
voir http://www.ldln.net/index.php?lien=articles Par Robert ZIROLO (Revue Lumières Dans La Nuit)
tiré de l'article “sortir l'ufologie de son ghetto”
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