(Source : neogec.net - merci MTT pour l’information)[
UN CITOYEN DEBOUT ET CONSCIENT
Jean-Hugues Matelly
En France, en 2010, il vaut mieux être TRUAND ESCROC ou VOLEUR EN COL BLANC que chercheur intelligent du CNRS ou gendarme honnête !
Le sommet de l’état vient d’orchestrer le lynchage d’un chercheur du CNRS qui avait le malheur d’être également gendarme...
Citoyens de tous pays, rendez-vous compte de l’état déplorable des libertés dans ce pays qu’est la France, voyez avec quel acharnement on essaye au plus niveau de l’état français de détruire toute velléité d’utiliser cette liberté que l’on nous présente comme fondamentale dans notre Constitution :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme"
IL NE VEUT PAS SE TAIRE ?
IL REFUSE D’ÊTRE UN LARBIN SERVILE ?
IL EST HONNÊTE ?
IL EST INTELLIGENT ?
ALORS :
METTEZ LE À LA PORTE !
SUPPRIMEZ-LUI SON SALAIRE !
DÉTRUISEZ SA VIE PROFESSIONNELLE !
Mais... Rendez-vous compte par vous-même...
Copie d’écran du site Capital.fr :
J’ai HONTE pour mon pays !
QUELLE BELLE LEÇON
POUR NOS ENFANTS !
La radiation du chef d’escadron Jean-Hugues Matelly continue de faire des vagues. Ce militaire vient d’être sanctionné pour avoir participé, en tant que chercheur associé au CNRS, à la publication, fin 2008, d’un texte critiquant le rapprochement police-gendarmerie prôné par le gouvernement. Deux sénateurs socialistes ont demandé, hier, au nom de leur groupe, que les ministres de l’Intérieur et de la Défense, Brice Hortefeux et Hervé Morin, soient auditionnés pour s’expliquer sur cette « inhabituelle sanction ». Le principal intéressé, Jean-Hugues Matelly, s’explique.
Avez-vous été surpris par cette sanction ?
Jean-Hugues Matelly. J’ai été étonné au départ parce que l’article incriminé, que nous avions publié avec deux confrères du CNRS, était écrit très clairement en qualité de chercheur associé. J’ai cette qualité, parfaitement bien séparée de mes fonctions d’officier de gendarmerie. J’ai été surpris aussi par le niveau de la sanction, qui est une première dans la République pour ce type de fait, à savoir la liberté d’expression.
Quel est le sens du référé que vous avez déposé devant le Conseil d’État ?
Jean-Hugues Matelly. C’est une mesure d’extrême urgence. Il s’agit juste de demander au Conseil d’État de prononcer une suspension du décret du président de la République. Parce que la radiation des cadres n’est pas une petite sanction : je n’ai plus de revenus, plus de logement… Ce référé devra, quel que soit le résultat, être suivi d’un recours sur le fond qui, lui, mettra des mois, voire des années à aboutir.
Quelle est votre conception de la liberté d’expression dans l’armée ?
Jean-Hugues Matelly. Il y a forcément une limite à cette liberté d’expression. Mais si l’on regarde les grandes armées occidentales, toutes laissent aux militaires une liberté beaucoup plus grande qu’en France. Notre situation est paradoxale : nous avons réinventé, à l’instar de la Grèce antique, le concept de citoyen-soldat. Or, pour qu’il y ait ce fameux lien entre l’armée et la nation, c’est important qu’il y ait un dialogue permanent et que des critiques puissent être émises.
Vous avez participé à la création, il y a quelque temps, d’un forum gendarmes et citoyens sur Internet. Y a-t-il une demande d’expression dans la gendarmerie ?
Jean-Hugues Matelly. Ce forum remporte un grand succès puisqu’il compte près de 16 000 inscrits et pas loin de cinq millions de connexions sur son portail. C’est effectivement quelque chose de considérable. Son titre est clair, il s’adresse à tous. Il fait le lien entre armée et citoyens.
Étiez-vous en conflit avec votre hiérarchie ?
Jean-Hugues Matelly. Absolument pas. En juin 2009, alors même que la procédure de radiation était lancée, j’ai même reçu les « félicitations » de mon supérieur hiérarchique direct pour mon action en général au sein de l’état-major de la gendarmerie…
Entretien réalisé par L.M et D.S.
L’article en question publié sur rue89 :
La gendarmerie enterrée, à tort, dans l’indifférence générale
Un projet de loi « portant dispositions relatives à la gendarmerie » a été voté en première lecture par le Sénat le 17 décembre 2008. Il sera soumis à l’Assemblée nationale début 2009 et, le gouvernement utilisant une fois encore la procédure d’urgence, il n’y aura qu’une seule lecture par assemblée.
Légalement, la Gendarmerie ne sera pas encore rattachée à l’Intérieur au 1er janvier. Pourtant, le budget 2009 de la gendarmerie a été voté dans la loi de finance en prenant acte de ce rattachement. De fait, le ministère de la Défense ne s’estime plus concerné, il n’était d’ailleurs même pas représenté lors de l’examen par le Sénat de ce projet de loi.
C’est donc sans tambours ni trompettes, ni sonnerie aux morts, que vont en réalité se dérouler les obsèques de la plus vieille institution publique chargée de missions de police générale : la maréchaussée, rebaptisée Gendarmerie nationale en 1791, qui veille à la sûreté de nos concitoyens en dehors du centre des agglomérations, c’est-à-dire sur 95 % du territoire national !
Bien qu’ayant traversé jusqu’ici de multiples régimes politiques, elle ne survivra pas à la révolution gestionnaire qui a frappé nos administrations depuis quelques années.
Sous prétexte d’une recherche de la rentabilité à court terme, et pour que les gendarmes s’inscrivent mieux dans le modèle actuellement prôné de la police d’autorité –par opposition à une police de dialogue–, la Gendarmerie va donc fusionner (sans le dire) avec la Police nationale.
Un désengagement de l’Etat qui passe inaperçu
Mal informés en raison des restrictions statutaires de la liberté d’expression individuelle et collective des gendarmes et malgré la résistance d’une partie des élus (y compris à l’UMP, avec Jean-Pierre Raffarin par exemple), il est manifeste que nos concitoyens ne se rendent pas compte de ce qu’ils sont en train de perdre. Au fond, il s’agit d’un énième épisode du désengagement de l’Etat et du recul du service public national.
En effet, loin de la caricature du gendarme militaire borné, chasseur de nudistes à Saint-Tropez, loin aussi de l’image d’élite du GIGN avec des hommes cagoulés et surarmés, les gendarmes départementaux avaient su développer un modèle de rapport au public qui privilégiait le service au citoyen plutôt que l’application bornée d’innombrables textes de lois.
Ils avaient élaboré un modèle de police qui assumait le rôle social dévolu à tout individu chargé du maintien de l’ordre et de la sécurité. Par leur rôle au sein des zones non seulement rurales mais aussi périurbaines, ainsi que dans certaines de nos banlieues difficiles, les gendarmes ont pendant longtemps participé à la construction de ce lien social après lequel les politiques de la ville courent depuis trente ans.
En réalité, de par ses missions, son maillage territorial dense et sa conception d’une « surveillance générale » privilégiant un contact régulier avec la population associé à une posture de prévention-dissuasion, la Gendarmerie constituait, avant l’heure, le modèle de « police de proximité » que le gouvernement Jospin voudra développer, à partir de 1997, pour la Police nationale.
Le biais électoral
Mal accompagnée et dans un contexte de contestations internes des policiers comme des gendarmes, cette réforme battait de l’aile quand survint la campagne électorale 2001-2002 et son obsession pour « l’insécurité ».
La nouvelle majorité issue des élections de 2002 en profita pour enterrer aussitôt cette police de proximité et entamer le démantèlement de la présence gendarmique, via la création de « communautés de brigades » permettant la fermeture périodique des « brigades de proximité ».
Il faut croire que ce modèle de proximité convient mal à une époque qui privilégie les rapports de force, la gestion statistique déréalisée et les démonstrations médiatiques, même si c’est aux dépens de l’efficacité concrète et quotidienne.
Car, suprême paradoxe historique, ce modèle gendarmique de proximité fut jadis, et avec raison, considéré comme l’avenir ! En 1976, la commission Peyrefitte (que l’on ne saurait soupçonner de « gauchisme ») demandait dans sa recommandation n°81 d’« instituer dans les villes de petits postes de quartiers et recourir à la méthode dite de l’îlotage », en s’inspirant explicitement des « résultats satisfaisants qui sont obtenus dans les zones rurales par l’implantation très décentralisée des brigades territoriales de gendarmerie ».
La recommandation n°83 précisait ensuite qu’il s’agissait d’« améliorer les relations entre la police et les citoyens »… Trente ans plus tard, non seulement la Police nationale n’a pas réalisé cette évolution vers le modèle gendarmique, mais c’est même l’inverse qui s’est produit. Ainsi, c’est véritablement une régression historique qui s’achève sous nos yeux, dont on mesurera les effets délétères dans les années et les décennies à venir.
Jean-Hugues Matelly, Christian Mouhanna et Laurent Mucchielli (CNRS, CESDIP)
UN CITOYEN DEBOUT ET CONSCIENT
Jean-Hugues Matelly
En France, en 2010, il vaut mieux être TRUAND ESCROC ou VOLEUR EN COL BLANC que chercheur intelligent du CNRS ou gendarme honnête !
Le sommet de l’état vient d’orchestrer le lynchage d’un chercheur du CNRS qui avait le malheur d’être également gendarme...
Citoyens de tous pays, rendez-vous compte de l’état déplorable des libertés dans ce pays qu’est la France, voyez avec quel acharnement on essaye au plus niveau de l’état français de détruire toute velléité d’utiliser cette liberté que l’on nous présente comme fondamentale dans notre Constitution :
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme"
IL NE VEUT PAS SE TAIRE ?
IL REFUSE D’ÊTRE UN LARBIN SERVILE ?
IL EST HONNÊTE ?
IL EST INTELLIGENT ?
ALORS :
METTEZ LE À LA PORTE !
SUPPRIMEZ-LUI SON SALAIRE !
DÉTRUISEZ SA VIE PROFESSIONNELLE !
Mais... Rendez-vous compte par vous-même...
Copie d’écran du site Capital.fr :
J’ai HONTE pour mon pays !
QUELLE BELLE LEÇON
POUR NOS ENFANTS !
La radiation du chef d’escadron Jean-Hugues Matelly continue de faire des vagues. Ce militaire vient d’être sanctionné pour avoir participé, en tant que chercheur associé au CNRS, à la publication, fin 2008, d’un texte critiquant le rapprochement police-gendarmerie prôné par le gouvernement. Deux sénateurs socialistes ont demandé, hier, au nom de leur groupe, que les ministres de l’Intérieur et de la Défense, Brice Hortefeux et Hervé Morin, soient auditionnés pour s’expliquer sur cette « inhabituelle sanction ». Le principal intéressé, Jean-Hugues Matelly, s’explique.
Avez-vous été surpris par cette sanction ?
Jean-Hugues Matelly. J’ai été étonné au départ parce que l’article incriminé, que nous avions publié avec deux confrères du CNRS, était écrit très clairement en qualité de chercheur associé. J’ai cette qualité, parfaitement bien séparée de mes fonctions d’officier de gendarmerie. J’ai été surpris aussi par le niveau de la sanction, qui est une première dans la République pour ce type de fait, à savoir la liberté d’expression.
Quel est le sens du référé que vous avez déposé devant le Conseil d’État ?
Jean-Hugues Matelly. C’est une mesure d’extrême urgence. Il s’agit juste de demander au Conseil d’État de prononcer une suspension du décret du président de la République. Parce que la radiation des cadres n’est pas une petite sanction : je n’ai plus de revenus, plus de logement… Ce référé devra, quel que soit le résultat, être suivi d’un recours sur le fond qui, lui, mettra des mois, voire des années à aboutir.
Quelle est votre conception de la liberté d’expression dans l’armée ?
Jean-Hugues Matelly. Il y a forcément une limite à cette liberté d’expression. Mais si l’on regarde les grandes armées occidentales, toutes laissent aux militaires une liberté beaucoup plus grande qu’en France. Notre situation est paradoxale : nous avons réinventé, à l’instar de la Grèce antique, le concept de citoyen-soldat. Or, pour qu’il y ait ce fameux lien entre l’armée et la nation, c’est important qu’il y ait un dialogue permanent et que des critiques puissent être émises.
Vous avez participé à la création, il y a quelque temps, d’un forum gendarmes et citoyens sur Internet. Y a-t-il une demande d’expression dans la gendarmerie ?
Jean-Hugues Matelly. Ce forum remporte un grand succès puisqu’il compte près de 16 000 inscrits et pas loin de cinq millions de connexions sur son portail. C’est effectivement quelque chose de considérable. Son titre est clair, il s’adresse à tous. Il fait le lien entre armée et citoyens.
Étiez-vous en conflit avec votre hiérarchie ?
Jean-Hugues Matelly. Absolument pas. En juin 2009, alors même que la procédure de radiation était lancée, j’ai même reçu les « félicitations » de mon supérieur hiérarchique direct pour mon action en général au sein de l’état-major de la gendarmerie…
Entretien réalisé par L.M et D.S.
L’article en question publié sur rue89 :
La gendarmerie enterrée, à tort, dans l’indifférence générale
Un projet de loi « portant dispositions relatives à la gendarmerie » a été voté en première lecture par le Sénat le 17 décembre 2008. Il sera soumis à l’Assemblée nationale début 2009 et, le gouvernement utilisant une fois encore la procédure d’urgence, il n’y aura qu’une seule lecture par assemblée.
Légalement, la Gendarmerie ne sera pas encore rattachée à l’Intérieur au 1er janvier. Pourtant, le budget 2009 de la gendarmerie a été voté dans la loi de finance en prenant acte de ce rattachement. De fait, le ministère de la Défense ne s’estime plus concerné, il n’était d’ailleurs même pas représenté lors de l’examen par le Sénat de ce projet de loi.
C’est donc sans tambours ni trompettes, ni sonnerie aux morts, que vont en réalité se dérouler les obsèques de la plus vieille institution publique chargée de missions de police générale : la maréchaussée, rebaptisée Gendarmerie nationale en 1791, qui veille à la sûreté de nos concitoyens en dehors du centre des agglomérations, c’est-à-dire sur 95 % du territoire national !
Bien qu’ayant traversé jusqu’ici de multiples régimes politiques, elle ne survivra pas à la révolution gestionnaire qui a frappé nos administrations depuis quelques années.
Sous prétexte d’une recherche de la rentabilité à court terme, et pour que les gendarmes s’inscrivent mieux dans le modèle actuellement prôné de la police d’autorité –par opposition à une police de dialogue–, la Gendarmerie va donc fusionner (sans le dire) avec la Police nationale.
Un désengagement de l’Etat qui passe inaperçu
Mal informés en raison des restrictions statutaires de la liberté d’expression individuelle et collective des gendarmes et malgré la résistance d’une partie des élus (y compris à l’UMP, avec Jean-Pierre Raffarin par exemple), il est manifeste que nos concitoyens ne se rendent pas compte de ce qu’ils sont en train de perdre. Au fond, il s’agit d’un énième épisode du désengagement de l’Etat et du recul du service public national.
En effet, loin de la caricature du gendarme militaire borné, chasseur de nudistes à Saint-Tropez, loin aussi de l’image d’élite du GIGN avec des hommes cagoulés et surarmés, les gendarmes départementaux avaient su développer un modèle de rapport au public qui privilégiait le service au citoyen plutôt que l’application bornée d’innombrables textes de lois.
Ils avaient élaboré un modèle de police qui assumait le rôle social dévolu à tout individu chargé du maintien de l’ordre et de la sécurité. Par leur rôle au sein des zones non seulement rurales mais aussi périurbaines, ainsi que dans certaines de nos banlieues difficiles, les gendarmes ont pendant longtemps participé à la construction de ce lien social après lequel les politiques de la ville courent depuis trente ans.
En réalité, de par ses missions, son maillage territorial dense et sa conception d’une « surveillance générale » privilégiant un contact régulier avec la population associé à une posture de prévention-dissuasion, la Gendarmerie constituait, avant l’heure, le modèle de « police de proximité » que le gouvernement Jospin voudra développer, à partir de 1997, pour la Police nationale.
Le biais électoral
Mal accompagnée et dans un contexte de contestations internes des policiers comme des gendarmes, cette réforme battait de l’aile quand survint la campagne électorale 2001-2002 et son obsession pour « l’insécurité ».
La nouvelle majorité issue des élections de 2002 en profita pour enterrer aussitôt cette police de proximité et entamer le démantèlement de la présence gendarmique, via la création de « communautés de brigades » permettant la fermeture périodique des « brigades de proximité ».
Il faut croire que ce modèle de proximité convient mal à une époque qui privilégie les rapports de force, la gestion statistique déréalisée et les démonstrations médiatiques, même si c’est aux dépens de l’efficacité concrète et quotidienne.
Car, suprême paradoxe historique, ce modèle gendarmique de proximité fut jadis, et avec raison, considéré comme l’avenir ! En 1976, la commission Peyrefitte (que l’on ne saurait soupçonner de « gauchisme ») demandait dans sa recommandation n°81 d’« instituer dans les villes de petits postes de quartiers et recourir à la méthode dite de l’îlotage », en s’inspirant explicitement des « résultats satisfaisants qui sont obtenus dans les zones rurales par l’implantation très décentralisée des brigades territoriales de gendarmerie ».
La recommandation n°83 précisait ensuite qu’il s’agissait d’« améliorer les relations entre la police et les citoyens »… Trente ans plus tard, non seulement la Police nationale n’a pas réalisé cette évolution vers le modèle gendarmique, mais c’est même l’inverse qui s’est produit. Ainsi, c’est véritablement une régression historique qui s’achève sous nos yeux, dont on mesurera les effets délétères dans les années et les décennies à venir.
Jean-Hugues Matelly, Christian Mouhanna et Laurent Mucchielli (CNRS, CESDIP)
Hier à 22:38 par Schattenjäger
» GILDAS BOURDAIS
Hier à 16:04 par Invité
» Une grotte mystérieuse...En réalité pas grand chose!
Jeu 14 Nov - 12:37 par Satanas
» La France en 2024
Mer 13 Nov - 22:16 par Satanas
» L'HISTOIRE QUI A TERRIFIÉ L'EST DE LA FRANCE
Lun 11 Nov - 19:29 par Schattenjäger
» Le cas Paul Bernardo
Lun 11 Nov - 18:09 par Satanas
» 11 Km de Profondeur Sous l’Océan : Ce Que Cachent les Abysses
Mer 6 Nov - 21:50 par Schattenjäger
» 5 THÉORIES SUR BOUDDHA
Mer 6 Nov - 15:11 par Satanas
» Lieux hantés d'Écosse : châteaux, légendes et malédictions.
Ven 1 Nov - 18:45 par Schattenjäger
» Roswell 75 ans /documentaire chaine W9
Jeu 31 Oct - 20:27 par Mulder26
» Les Incidents les plus Sombres de la TV (ft.@Feldup)
Jeu 31 Oct - 12:41 par Satanas
» L'étrange disparition de l'homme qui aurait construit une machine à voyager dans le temps
Mer 30 Oct - 22:16 par Schattenjäger
» SECRETS CACHÉS SOUS TERRE - "The Oldest View"
Mer 30 Oct - 20:56 par Schattenjäger
» L'Iceberg des Red Rooms : La plus grande enquête sur ce mystère d'internet
Mar 29 Oct - 23:14 par Schattenjäger
» 1/2 tonne: la quête mortelle des géants de la force
Jeu 24 Oct - 18:09 par Mulder26