La physique synergétique est une théorie physique parue en 1971 dans un ouvrage intitulé L'énergie électromagnétique matérielle et gravitationnelle par René-Louis Vallée. Cette théorie a toujours fait l'objet de controverses, notamment parce qu'elle remet en cause la théorie de la relativité et la constance de la vitesse de la lumière. Elle postule, en particulier, que le vide est rempli d'ondes électromagnétiques et que la matière émerge localement de celles-ci lorsque la valeur du champ électromagnétique y dépasse une certaine valeur, ce qui expliciterait à la fois la gravitation et les forces nucléaires à partir de l'électromagnétisme.
L'hypothèse synergétique prédit la possibilité de prélever l'énergie diffuse dans le milieu environnant, par l'intermédiaire de réactions nucléaires faibles (capture de l'électron K par le noyau) que pourraient subir certains éléments "stables" par résonance.
Cependant, la formalisation incomplète de la théorie synergétique, surtout dans le domaine de l'hypothèse de la capture d'énergie diffuse, reste un obstacle à sa prise en considération par la communauté scientifique.
René-Louis Vallée, qui s'est fermement opposé aux choix nucléaires français, déplorait que sa théorie fût injustement ignorée par les autorités, notamment parce qu'elle permet d'espérer une énergie "libre et gratuite", ce qui serait contraire à certains intérêts très puissants.
D'où un manque de financement pour explorer ces pistes de réflexion et un procès continuel en crédibilité.
La théorie ayant acquis une certaine popularité au milieu des années 1970, notamment suite à sa diffusion par le journaliste scientifique Renaud de la Taille dans le magazine Science et Vie, le physicien Jean-Marc Lévy-Leblond en publie une réfutation cinglante dans La Recherche : pour lui « il n'y a là que discours pseudo-théorique et non théorie formalisée et prédictive » et « En un certain sens, la « théorie synergétique » et ses homologues sont semblables aux dogmes religieux ; la question est moins celle de leur vérité intrinsèque que celle de l'adhésion suscitée, et leur réfutation demande moins une critique rationnelle que l'abolition de leurs bases objectives. »
Observations expérimentales pouvant valider certains concepts de la synergétique
Il est souvent enseigné que la radioactivité est un phénomène aléatoire, qui ne peut être ni contrôlé et dont les paramètres (temps de demi-vie, énergie du rayonnement émis) sont fixes. Or, on peut constater qu'il n'existe pas de limite précise entre un atome stable et un atome capable de se désintégrer par transformation radioactive : certains atomes (Osmium) ont des temps de demi-vie très long (quasi-stabilité), d'autres tels le 163Dy (Dysprosium), stables, montrent des propriétés radioactives lorsqu'ils sont totalement ionisés (voir plus bas). La synergétique considère la stabilité des atomes comme résultant d'une interaction constructive des fonctions d'ondes atomiques avec le "milieu diffus", analogue au concept de l'électrodynamique quantique considérant le vide, en vertu du principe d'incertitude de Heisenberg de, comme pouvant produire des particules virtuelles. La critique de Jean-Marc Lévy-Leblond sur ce point peut se résumer à remarquer que l'utilisation du mot "analogie" dans ce type d'argument suffit à le disqualifier d'un point de vue scientifique.
Stabilité des éléments chimiques et ionisation
Contrairement aux conditions de désintégrations souvent rencontrée dans la littérature, qui utilisent le calcul de la différence de masse atomique entre noyau initial et noyau produit pour calculer l'énergie dégagée par une réaction de désintégration, Filippov et al ont établi un modèle qui prend en compte l'ionisation des noyaux pour calculer cette énergie, par l'ionisation des atomes et les perturbations des couches électroniques (comme celles produites par les champ magnétiques ou électriques) peuvent modifier à la fois les période de déclin des atomes radioactifs mais aussi leur schéma de désintégration et modifient donc les conditions de stabilité des atomes. Pour certains atomes stables (163Dy, 193Ir, 205Tl), l'ionisation de tous les électrons dans un plasma conduit à renverser la condition de stabilité.
La première observation en 1992 de la radioactivité induite d'un atome stable(163Dy) sous forme complètement ionisée (163Dy66 ), qui se désintègre lors par radioactivité bêta moins (période de 45 ± 10 jours) , montre que la stabilité des atomes dépend de propriétés intrinsèques aux noyaux, mais aussi des états des couches électroniques. Le signe de l'énergie de désintégration de cet élément, qui, négative au départ, devient positive lorsque la masse des 66 électron et l'énergie de liaison électronique totale des électrons du 163Dy n'est plus prise en compte (l'atome est ionisé), autorise sa désintégration, qui n'était pas possible à l'état naturel.
La théorie Synergétique : Une solution à la crise de l'énergie
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
La théorie synergétique débouche sur quelque chose de très important puisque cela pourra résoudre une des crises majeures de nos sociétés : à savoir la crise de l'énergie.
En effet un calcul relativement simple et classique permet de montrer que la présence d'un champ de gravitation est la preuve d'un défaut d'énergie. Plus le champ de gravitation est important, plus la densité d'énergie dans l'espace est faible? Ce la veut dire donc qu'il y a de l'énergie dans l'espace même en l'absence de toute matière et que sa répartition non uniforme explique l'existence de champs de gravitation. La question est de savoir sous quelle formes se trouve cette énergie omniprésente et s'il y en a une quantité importante. L'hypothèse de base de la théorie Synergétique (tout est électromagnétique) nous amène à penser tout naturellement que cette énergie est sous forme électromagnétique et plus précisément sous forme d'onde, d'une multitudes d'ondes se propageant dans tous les sens. La fréquence de ces ondes est telle que l'on ne peut les mettre ne évidence (1015 GHz). On ne connait pas la valeur totale de cette densité d'énergie mais par contre on peut connaître la différence d'énergie qu'il y a entre 1m3 de vide de matière à la surface de la Terre et 1m3 à la surface du soleil : 45 000 GJ/m3.
Cela ne dit peut être rien d'un prime abord, mais un calcul simple montre que pour deux cubes identiques de 35 mètres de coté contenant du vide, l'un à la surface de la terre, l'autre à la surface du soleil, la différence d'énergie entre les deux cubes est égale à la production d'électricité en France en 2003 (542,3 milliards de kWh soit 1,95 1018 J). Et cette fantastique concentration d'énergie peut être captée.En effet la stabilité de la matière est expliquée en synergétique comme une résonance des noyaux (des atomes qui forme toute matière) avec le milieu diffus, ce gigantesque océan d'énergie. La radioactivité qui est la preuve d'une instabilité de certains atomes, est alors expliquée comme une mauvaise résonance. Le noyau, à la moindre fluctuation du milieu, change de fréquence pour entrer en résonance avec le pic d'énergie le plus proche pour retrouver sa stabilité (à chacun des pics de l'énergie se transforme en matière). Des expériences sur le Tokamak de Fontenay aux Roses (TFR) ont permis cette capture d'énergie diffuse mais cela gênait trop d'intérêts et les résultats furent étouffés. Ces corps ne servant que d'antenne ne sont pas consommés mais toujours renouvelés et il n'y a pas de problèmes de déchets, de pollution, d'énergie fossile épuisable et de privilégier certains pays par rapport à d'autres.
Dans le cas du carbone, par exemple, avec un coefficient d'efficacité de 10-5 (1 atome sur 100 000 entrant en réaction) et un rendement global de 20 %, la reconstitution du carbone à partir du bore 12 fournirait 8kW par gramme de carbone utilisé.
Pour donner un ordre d'idées, de nos jours, une tranche de centrale nucléaire a une puissance comprise entre 900 MWe (centrale de Gugey) et 1400 MWe (centrale de Civaux. La puissance du Barrage de La bathie (barrage de Roselend), le plus important de France est de 546 MWe.
L'univers nous offre un réservoir infini d'énergie, pourquoi ne pas l'utiliser ?
Cette expérience est basée sur la théorie du Pr René-Louis Vallée. Elle a pour but de trouver un appareil simple, facile à répliquer capable de produire la réaction nucléaire annoncée par le Professeur Vallée. Le matériau principal utilisé dans cet appareil est constitué d'une tige de carbone pur.
Dans cette expérience, ce carbone n'est pas consommé par la réaction il agit en fait comme une pompe vis à vis de l'énergie électromagnétique du vide.
Selon le Pr Vallée quelles sont les conditions requises pour obtenir l'effet synergétique :
- aligner les champs d'électrons et les noyaux des atomes de carbone en se servant des champs colinéaires E et B,
- l'énergie des photons extérieurs (g) est utilisée pour absorber l'énergie cinétique des électrons,
- ainsi les électrons arrêtés peuvent être attirés par les noyaux de carbone,
- commence alors une réaction nucléaire où le carbone est transmuté en Bore radioactif (avec une désintégration radioactive de 20 ms)
- ensuite, l'énergie du vide est captée par le noyau et le bore redevient du carbone tout en émettant une forte impulsion de 13mev.
C'est ce que le Pr Vallée appelle "Capture PROTELF " 3 ( PROTon - ELectron Fusion)
Il est important de remarquer que le niveau de radiation mesuré (jusqu'à 0,26µSv/h) de cette expérience est situé dans la gamme des niveaux de radiations ambiantes normales. Ainsi il n'y a pas de risques pour la santé. Un exemple pour comparer : lors d'un voyage intercontinental en avion à environ 15000 mètres d'altitude, le niveau de radiation de 5µSv/h) est 1,3 fois plus élevé que dans cette expérience.
Le professeur Vallée explique schéma à l'appui qu'il est facilement possible de transformer du Carbone 12 (graphite stable) en bore12 beaucoup plus énergétique . Comment ? C'est facile, il suffit de faire retomber l'électron sur le noyau. Ce genre de chose est simple à faire en fusion nucléaire mais le problème est que vous nécessiterez plus d'énergie pour faire retomber l'électron que vous n'en obtiendrez par la désintégration .
La théorie de la Synergétique développée par le professeur Vallée propose un autre moyen par une expérience toute simple : - Procurez-vous un morceau de graphite pur (mine de crayon extra sèche 4H, noyau de pile au charbon, etc.) Une petite quantité suffit (10 grammes), vous comprendrez plus tard. - fixez une électrode à chaque extrémité du bâtonnet de graphite. - entourez ce bâtonnet d'un bobinage de cuivre comme pour créer un électroaimant. Ceci vous donnera le primaire d'un transformateur d'un nouveau genre. - Placez ce petit montage au centre d'un bobinage torique qui sera le secondaire de ce transformateur.
Avant d'aller plus loin, résumons : Vous devez donc avoir un bâtonnet de graphite avec une électrode à chaque bout, entouré d'un bobinage, l'ensemble placé au centre d'un bobinage torique. Munissez vous d'un GBF (générateur basses fréquences) et d'un déphaseur et branchez-les de telle sorte que vous obteniez deux sources sinusoïdales (50 Hz suffisent) déphasées l'une par rapport à l'autre (l'angle de déphasage n'est pas donné ;-) . Branchez une source directement sur le bâtonnet de carbone et l'autre source déphasée sur les bornes du premier bobinage (celui qui entoure directement le carbone). Le carbone se trouve ainsi excité simultanément par un champ électrique variable et par un champ magnétique variable de même fréquence mais déphasé. En jouant sur l'angle de déphasage, le Professeur Vallée affirme qu'en trouvant le bon angle, l'électron de l'atome de carbone entre en résonance, se retrouve déstabilisé et retombe sur le noyau, transformant ainsi le carbone 12 en bore12 beaucoup plus énergétique en rayonnement ß (béta). Le rayonnement est récupéré par le bobinage torique qui le transforme en électricité.
http://www.rexresearch.com/vallee/scivie.pdf
L'hypothèse synergétique prédit la possibilité de prélever l'énergie diffuse dans le milieu environnant, par l'intermédiaire de réactions nucléaires faibles (capture de l'électron K par le noyau) que pourraient subir certains éléments "stables" par résonance.
Cependant, la formalisation incomplète de la théorie synergétique, surtout dans le domaine de l'hypothèse de la capture d'énergie diffuse, reste un obstacle à sa prise en considération par la communauté scientifique.
René-Louis Vallée, qui s'est fermement opposé aux choix nucléaires français, déplorait que sa théorie fût injustement ignorée par les autorités, notamment parce qu'elle permet d'espérer une énergie "libre et gratuite", ce qui serait contraire à certains intérêts très puissants.
D'où un manque de financement pour explorer ces pistes de réflexion et un procès continuel en crédibilité.
La théorie ayant acquis une certaine popularité au milieu des années 1970, notamment suite à sa diffusion par le journaliste scientifique Renaud de la Taille dans le magazine Science et Vie, le physicien Jean-Marc Lévy-Leblond en publie une réfutation cinglante dans La Recherche : pour lui « il n'y a là que discours pseudo-théorique et non théorie formalisée et prédictive » et « En un certain sens, la « théorie synergétique » et ses homologues sont semblables aux dogmes religieux ; la question est moins celle de leur vérité intrinsèque que celle de l'adhésion suscitée, et leur réfutation demande moins une critique rationnelle que l'abolition de leurs bases objectives. »
Observations expérimentales pouvant valider certains concepts de la synergétique
Il est souvent enseigné que la radioactivité est un phénomène aléatoire, qui ne peut être ni contrôlé et dont les paramètres (temps de demi-vie, énergie du rayonnement émis) sont fixes. Or, on peut constater qu'il n'existe pas de limite précise entre un atome stable et un atome capable de se désintégrer par transformation radioactive : certains atomes (Osmium) ont des temps de demi-vie très long (quasi-stabilité), d'autres tels le 163Dy (Dysprosium), stables, montrent des propriétés radioactives lorsqu'ils sont totalement ionisés (voir plus bas). La synergétique considère la stabilité des atomes comme résultant d'une interaction constructive des fonctions d'ondes atomiques avec le "milieu diffus", analogue au concept de l'électrodynamique quantique considérant le vide, en vertu du principe d'incertitude de Heisenberg de, comme pouvant produire des particules virtuelles. La critique de Jean-Marc Lévy-Leblond sur ce point peut se résumer à remarquer que l'utilisation du mot "analogie" dans ce type d'argument suffit à le disqualifier d'un point de vue scientifique.
Stabilité des éléments chimiques et ionisation
Contrairement aux conditions de désintégrations souvent rencontrée dans la littérature, qui utilisent le calcul de la différence de masse atomique entre noyau initial et noyau produit pour calculer l'énergie dégagée par une réaction de désintégration, Filippov et al ont établi un modèle qui prend en compte l'ionisation des noyaux pour calculer cette énergie, par l'ionisation des atomes et les perturbations des couches électroniques (comme celles produites par les champ magnétiques ou électriques) peuvent modifier à la fois les période de déclin des atomes radioactifs mais aussi leur schéma de désintégration et modifient donc les conditions de stabilité des atomes. Pour certains atomes stables (163Dy, 193Ir, 205Tl), l'ionisation de tous les électrons dans un plasma conduit à renverser la condition de stabilité.
La première observation en 1992 de la radioactivité induite d'un atome stable(163Dy) sous forme complètement ionisée (163Dy66 ), qui se désintègre lors par radioactivité bêta moins (période de 45 ± 10 jours) , montre que la stabilité des atomes dépend de propriétés intrinsèques aux noyaux, mais aussi des états des couches électroniques. Le signe de l'énergie de désintégration de cet élément, qui, négative au départ, devient positive lorsque la masse des 66 électron et l'énergie de liaison électronique totale des électrons du 163Dy n'est plus prise en compte (l'atome est ionisé), autorise sa désintégration, qui n'était pas possible à l'état naturel.
La théorie Synergétique : Une solution à la crise de l'énergie
"Il n'y a pas de crise de l'Energie, mais simplement une crise d'Ignorance" B. Fuller
La théorie synergétique débouche sur quelque chose de très important puisque cela pourra résoudre une des crises majeures de nos sociétés : à savoir la crise de l'énergie.
En effet un calcul relativement simple et classique permet de montrer que la présence d'un champ de gravitation est la preuve d'un défaut d'énergie. Plus le champ de gravitation est important, plus la densité d'énergie dans l'espace est faible? Ce la veut dire donc qu'il y a de l'énergie dans l'espace même en l'absence de toute matière et que sa répartition non uniforme explique l'existence de champs de gravitation. La question est de savoir sous quelle formes se trouve cette énergie omniprésente et s'il y en a une quantité importante. L'hypothèse de base de la théorie Synergétique (tout est électromagnétique) nous amène à penser tout naturellement que cette énergie est sous forme électromagnétique et plus précisément sous forme d'onde, d'une multitudes d'ondes se propageant dans tous les sens. La fréquence de ces ondes est telle que l'on ne peut les mettre ne évidence (1015 GHz). On ne connait pas la valeur totale de cette densité d'énergie mais par contre on peut connaître la différence d'énergie qu'il y a entre 1m3 de vide de matière à la surface de la Terre et 1m3 à la surface du soleil : 45 000 GJ/m3.
Cela ne dit peut être rien d'un prime abord, mais un calcul simple montre que pour deux cubes identiques de 35 mètres de coté contenant du vide, l'un à la surface de la terre, l'autre à la surface du soleil, la différence d'énergie entre les deux cubes est égale à la production d'électricité en France en 2003 (542,3 milliards de kWh soit 1,95 1018 J). Et cette fantastique concentration d'énergie peut être captée.En effet la stabilité de la matière est expliquée en synergétique comme une résonance des noyaux (des atomes qui forme toute matière) avec le milieu diffus, ce gigantesque océan d'énergie. La radioactivité qui est la preuve d'une instabilité de certains atomes, est alors expliquée comme une mauvaise résonance. Le noyau, à la moindre fluctuation du milieu, change de fréquence pour entrer en résonance avec le pic d'énergie le plus proche pour retrouver sa stabilité (à chacun des pics de l'énergie se transforme en matière). Des expériences sur le Tokamak de Fontenay aux Roses (TFR) ont permis cette capture d'énergie diffuse mais cela gênait trop d'intérêts et les résultats furent étouffés. Ces corps ne servant que d'antenne ne sont pas consommés mais toujours renouvelés et il n'y a pas de problèmes de déchets, de pollution, d'énergie fossile épuisable et de privilégier certains pays par rapport à d'autres.
Dans le cas du carbone, par exemple, avec un coefficient d'efficacité de 10-5 (1 atome sur 100 000 entrant en réaction) et un rendement global de 20 %, la reconstitution du carbone à partir du bore 12 fournirait 8kW par gramme de carbone utilisé.
Pour donner un ordre d'idées, de nos jours, une tranche de centrale nucléaire a une puissance comprise entre 900 MWe (centrale de Gugey) et 1400 MWe (centrale de Civaux. La puissance du Barrage de La bathie (barrage de Roselend), le plus important de France est de 546 MWe.
L'univers nous offre un réservoir infini d'énergie, pourquoi ne pas l'utiliser ?
Cette expérience est basée sur la théorie du Pr René-Louis Vallée. Elle a pour but de trouver un appareil simple, facile à répliquer capable de produire la réaction nucléaire annoncée par le Professeur Vallée. Le matériau principal utilisé dans cet appareil est constitué d'une tige de carbone pur.
Dans cette expérience, ce carbone n'est pas consommé par la réaction il agit en fait comme une pompe vis à vis de l'énergie électromagnétique du vide.
Selon le Pr Vallée quelles sont les conditions requises pour obtenir l'effet synergétique :
- aligner les champs d'électrons et les noyaux des atomes de carbone en se servant des champs colinéaires E et B,
- l'énergie des photons extérieurs (g) est utilisée pour absorber l'énergie cinétique des électrons,
- ainsi les électrons arrêtés peuvent être attirés par les noyaux de carbone,
- commence alors une réaction nucléaire où le carbone est transmuté en Bore radioactif (avec une désintégration radioactive de 20 ms)
- ensuite, l'énergie du vide est captée par le noyau et le bore redevient du carbone tout en émettant une forte impulsion de 13mev.
C'est ce que le Pr Vallée appelle "Capture PROTELF " 3 ( PROTon - ELectron Fusion)
Avec un tel procédé on peut produire jusqu'à
2988 GW d'énergie libre
par gramme de carbone utilisé
alors que ce même carbone n'est pas consommé.
2988 GW d'énergie libre
par gramme de carbone utilisé
alors que ce même carbone n'est pas consommé.
Il est important de remarquer que le niveau de radiation mesuré (jusqu'à 0,26µSv/h) de cette expérience est situé dans la gamme des niveaux de radiations ambiantes normales. Ainsi il n'y a pas de risques pour la santé. Un exemple pour comparer : lors d'un voyage intercontinental en avion à environ 15000 mètres d'altitude, le niveau de radiation de 5µSv/h) est 1,3 fois plus élevé que dans cette expérience.
Le professeur Vallée explique schéma à l'appui qu'il est facilement possible de transformer du Carbone 12 (graphite stable) en bore12 beaucoup plus énergétique . Comment ? C'est facile, il suffit de faire retomber l'électron sur le noyau. Ce genre de chose est simple à faire en fusion nucléaire mais le problème est que vous nécessiterez plus d'énergie pour faire retomber l'électron que vous n'en obtiendrez par la désintégration .
La théorie de la Synergétique développée par le professeur Vallée propose un autre moyen par une expérience toute simple : - Procurez-vous un morceau de graphite pur (mine de crayon extra sèche 4H, noyau de pile au charbon, etc.) Une petite quantité suffit (10 grammes), vous comprendrez plus tard. - fixez une électrode à chaque extrémité du bâtonnet de graphite. - entourez ce bâtonnet d'un bobinage de cuivre comme pour créer un électroaimant. Ceci vous donnera le primaire d'un transformateur d'un nouveau genre. - Placez ce petit montage au centre d'un bobinage torique qui sera le secondaire de ce transformateur.
Avant d'aller plus loin, résumons : Vous devez donc avoir un bâtonnet de graphite avec une électrode à chaque bout, entouré d'un bobinage, l'ensemble placé au centre d'un bobinage torique. Munissez vous d'un GBF (générateur basses fréquences) et d'un déphaseur et branchez-les de telle sorte que vous obteniez deux sources sinusoïdales (50 Hz suffisent) déphasées l'une par rapport à l'autre (l'angle de déphasage n'est pas donné ;-) . Branchez une source directement sur le bâtonnet de carbone et l'autre source déphasée sur les bornes du premier bobinage (celui qui entoure directement le carbone). Le carbone se trouve ainsi excité simultanément par un champ électrique variable et par un champ magnétique variable de même fréquence mais déphasé. En jouant sur l'angle de déphasage, le Professeur Vallée affirme qu'en trouvant le bon angle, l'électron de l'atome de carbone entre en résonance, se retrouve déstabilisé et retombe sur le noyau, transformant ainsi le carbone 12 en bore12 beaucoup plus énergétique en rayonnement ß (béta). Le rayonnement est récupéré par le bobinage torique qui le transforme en électricité.
http://www.rexresearch.com/vallee/scivie.pdf
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