La recherche du Titanic était une couverture pour une mission secrète de la Guerre Froide
Par Rédacteur en chef.
Publié le 24 mai 2008, dernière mise à jour le 24 mai 2008.
L’homme qui a localisé l’épave du Titanic a révélé que la découverte était une couverture destinée à camoufler la mission réelle d’inspection des épaves de 2 sous-marins nucléaires disparus au cours de la Guerre Froide.
Lorsque Bob Ballard a conduit une équipe qui a localisé en 1985 l’épave du paquebot, il avait déjà terminé sa tâche principale qui était de découvrir ce qui était arrivé aux sous-marins USS Thresher et USS Scorpion.
Les 2 sous-marins de l’US Navy ont coulé au cours des années 60, tuant plus de 200 marins et faisant craindre qu’au moins l’un d’entre eux, le Scorpion, avait été coulé par l’URSS.
Le Dr Ballard, un océanographe, a reconnu qu’il avait localisé et inspecté les épaves pour l’US Navy au cours de missions “top secret” avant d’être autorisé à chercher le Titanic.
Ce n’est qu’une fois qu’il ait utilisé son nouveau robot sous-marin pour cartographier les sites des épaves des sous-marins qu’il a pu l’utiliser pour parcourir l’Atlantique Nord afin de localiser la tombe du paquebot de luxe. Cela voulait dire qu’il n’avait que 12 jours pour trouver le Titanic.
“Je ne pouvais le dire à personne,” indique-t-il. “Il y avait beaucoup de pression sur moi. C’était une mission secrète. J’ai pensé que c’était un échange honnête pour avoir la chance de chercher le Titanic.
“Nous avons transmis les données aux experts. Ils ne nous ont jamais dit ce qu’ils en ont conclu — notre travail était de recueillir les données. Je peux seulement en parler maintenant parce que cela a été déclassifié.”
Le Dr Ballard a déclaré que ce qu’il avait vu pendant l’inspection des épaves lui a donné l’idée de chercher une ligne de débris qui le conduirait aux sections principales du Titanic. Le Thresher avait implosé loin sous la surface et était réduit en milliers de petits morceaux et le Scorpion était presque complètement détruit. “C’était comme penser qu’il était passé par une déchiqueteuse. Il y avait une longue ligne de débris.” Le Dr Ballard a développé au début des années 80 un robot sous-marin et a approché l’US Navy en 1982 pour obtenir le financement de la recherche du Titanic, qui a coulé en 1912 après avoir heurté un iceberg, faisant 1.500 morts.
On lui a répondu que les militaires ne voulaient pas dépenser une fortune pour localiser le paquebot, mais qu’ils voulaient savoir ce qui était arrivé à leurs sous-marins. Les militaires étaient anxieux de savoir comment les réacteurs nucléaires se comportaient après être restés si longtemps au fond.
Au cours des années 80, la flotte de sous-marins nucléaires a été réduite après les accords Salt II (discutions sur la limitation des armements stratégiques) et une éventualité était de couler en mer les réacteurs inutiles. Le Dr Ballard a indiqué que les échantillons prélevés sur les compartiments réacteur des 2 sous-marins montraient qu’il y avait peu de risques de fuites radioactives pour l’environnement.
L’océanographe a reçu le financement pour effectuer 2 expéditions, l’une en 1984 pour trouver l’épave du Thresher au large de l’Est des Etats-Unis et une autre pour trouver le Scorpion dans l’Atlantique Est.
Le Thresher, le plus moderne des sous-marins d’attaque de l’US Navy à l’époque, a coulé en avril 1963 avec ses 129 membres d’équipage pendant qu’il effectuait des essais de tenue en mer après des réparations en cale sèche.
Un bâtiment de surface, le Skylark, était en contact lorsque l’équipage du sous-marin a signalé qu’un tuyau à haute-pression alimentant le réacteur nucléaire en eau de refroidissement avait explosé. L’accident, qui s’est produit à 300 m de profondeur, a provoqué la perte de toute alimentation électrique. Il a ensuite coulé si profondément que la coque épaisse a implosé.
Le Scorpion a disparu en 1968 avec 99 membres d’équipage, et certains imaginaient qu’il avait été coulé par des forces soviétiques. L’examen visuel du site de l’épave par le Dr Ballard a montré que la cause la plus probable de sa destruction était qu’il avait été touché par une torpille folle qu’il avait lancé lui-même.
Référence :
The Times (Grande-Bretagne)
http://www.corlobe.tk/article9054.htmlMais je rajoute une couche,
La vraie histoire du Titanic
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Officiellement, le « Titanic » a été découvert par l’équipe américaine de Robert Ballard le 1er septembre 1985. Mais 7 ans avant la découverte officielle du Titanic, en 1978, l’épave était déjà située sur des cartes secrètes de la Royal Navy. Elle avait été repérée par un navire britannique. Nous étions alors en pleine guerre froide, et la zone où a sombré le transatlantique faisait partie du futur couloir de patrouille des submersibles stratégiques britanniques et américains. Un couloir qui part des côtes américaines et va du côté de Mourmansk. Mais la réalité est quelque peu différente.
Révélations.L’histoire était jolie, pimentée de la dose de mystère et de suspens nécessaire. Avec une happy end à l’américaine bien enlevée. Belle, mais fausse. Eté 1985 : l’équipe franco-américaine dirigée par Jean-Louis Michel, ingénieur à l’Ifremer, et le géologue Robert Ballard, du Woods Hole Institute ( Cape Cod, Etats-Unis ), patrouille depuis six semaines au sud de Terre-Neuve dans l’espoir de repérer l’épave du Titanic. Espoir jusque-là déçu. Le Suroît, navire océanographique de l’Ifremer, appelé à une autre mission, a dû quitter la zone. Les chercheurs sont réunis à bord du Knorr, le navire de l’organisme américain. Quand, le 1er septembre, au milieu de la nuit, l’engin sous-marin qui scrute le fond détecte la masse significative d’une chaudière. L’épave fantasmatique est enfin retrouvée.
Depuis des années, des passionnés prospectaient en vain à la recherche de ce paquebot mythique. Comme Jacky Grimm, un richissime aventurier texan déjà parti à la poursuite du monstre du loch Ness et du yéti, qui avait entrepris vers 1975 des recherches avec des moyens modernes, issus de la prospection pétrolière. Suite à ces échecs successifs, on avait fini par penser que le navire naufragé à l’extrémité du plateau des Grands Bancs au sud de Terre-Neuve, une zone sismique très active, avait été recouvert par des avalanches sous-marines.
C’était tout du moins la version officielle, raconte aujourd ‘hui Paul Henry Nargeolet.
Officier de marine et chef du département engins sous-marins du Groupe d’Intervention sous la mer, puis responsable du département des engins sous-marins à l’Ifremer, cet ancien plongeur-démineur est l’homme au monde qui connaît le mieux l’épave du Titanic. Il aura réalisé plus de trente plongées sur le transatlantique. Et l’histoire qu’il raconte aujourd’hui est bien loin de celle que les médias ont rapportée à l‘époque.
Première révélation
L’épave perdue ne l’était pas pour tout le monde. Elle fut en réalité localisée bien avant sa découverte officielle. En 1978, P.H. Nargeolet, un navire océanographique anglais avait détecté un grand bateau coupé en deux. Les Britanniques partageaient alors avec la marine américaine la prospection de la future zone de patrouille des sous-marins nucléaires. Pourquoi les Britanniques gardent-ils le secret ? Tout simplement parce que le Titanic était une planque idéale pour les sous-marins stratégiques. Une telle masse métallique peut en effet parasiter les moyens de détection ennemis.
Autre révélation
Pendant la phase de préparation de la recherche, Robert Ballard connaissait ces renseignements et les cartes secrètes où figurait l’épave, affirme P.H. Nargeolet. J’en ai la preuve : un journaliste anglais m’a avoué qu’il lui avait donné des informations avant même de trouver le Titanic. Alors pourquoi toute cette mise en scène ? Un petit retour en arrière s’impose. Dans les années 70, le jeune géologue Robert Ballard rencontre Jean-Louis Michel, alors chercheur au Cnexo ( centre national d’exploitation des océans, futur Ifremer ) au cours de l’expédition océanographique Famous ( French Américan Mid Ocean Survey ). Dix ans plus tard, le scientifique américain développe pour le compte de la marine américaine un traîneau sous-marin doté de caméras vidéo. Jean-Louis Michel est, quant à lui, le concepteur d’un sonar remorqué Sar pouvant atteindre 6000 mètres de profondeur.
Robert Ballard a expliqué qu’il pourrait être intéressant de faire des essais communs sur le Titanic se souvient P.H. Nargeolet.
En réalité, Ballard a besoin de la caution de l’organisme scientifique français pour monter une expédition sur le paquebot et vendre les droits photographiques aux médias. Son système Argo ne pouvant prospecter une zone au milieu de l’Atlantique, s’adjoindre les services du Sar lui permet d’offrir des garanties de réussite. Un accord vite conclu, les prospections commencent en août 1985. Tous les renseignements disponibles indiquaient que l’épave se trouvait à l’ouest du 50° degré de longitude, raconte P.H. Nargeolet. Or, le Carpathia a récupéré les rescapés trois heures après le naufrage par 49° 53° ouest. Cette position sensiblement différente pouvait en partie se justifier par la présence du Gulf Stream. Mais les naufragés n’ont pas pu dériver d’une quinzaine de milles en trois heures. Les historiens ont cru à la position donnée par le Titanic, ce qui était une erreur.
Pourquoi cette différence ?
L’équipage du Titanic s’estimait plus à l’ouest, car il naviguait à l’estime depuis son dernier point de midi, soit depuis près de douze heure, alors qu’il venait de rentrer en plein dans le Gulf Stream. Or les différentes campagnes d’exploration menées dans la zone ont parfois rencontré des courants de 4 nœuds. L’équipe franco-américaine décide donc de prospecter à partir de la zone où ont été recueillis les naufragés. Le bateau de l’Ifremer, armé du Sar, programmé pour prospecter à 180 mètres du fond, doit couvrir les 85% de la zone où l’épave a le plus de chances de se trouver. En cas d’échec, il est prévu que le navire américain prenne le relais. En réalité, Robert Ballard s’est réservé la zone de l’épave.
Ironie de l’affaire
Lorsque l’expédition démarre, par la zone attribuée à l’Ifremer, le Sar repère à sa première descente une importante anomalie magnétique. Cette anomalie correspond ( on le saura plus tard ) au Titanic. Mais personne n’y croit sauf les deux ingénieurs du Leti ( Laboratoire d’électronique et de technologie d’instrumentation ) qui s’occupent du magnétomètre.
Sur le bateau, les autres ont pensé qu’il s’agissait d’un « rat bleu » , une incohérence technologique en langage de sous-marinier.
S’ils avaient cru au tracé magnétique, le Titanic aurait été trouvé dans la demi-heure suivante, reconnaît Paul Henri Nargeolet.
La campagne du Suroît se termine fin août sans que le sonar soit repassé aux abords de l’épave. Toute l’équipe de recherche embarque alors sur le Knorr, venu prendre la relève avec l’Argo.
L’Argo n’a rien avoir avec le Sar, précise Nargeolet. Dans un cas, il s’agit d’un sonar qui balaye une vaste zone, dans l’autre, d’une caméra au bout d’un fil, qui fait des « spaghettis » au fond : le chariot va où il veut. Dès que le bateau avance, il part en pendule à 500 mètres, et se balade de façon désorganisée.
Par chance, au moment où l’engin passe au-dessus d’une des chaudières, Jean-Louis Michel surveille l’écran vidéo. Il comprend aussitôt l’intérêt de la silhouette détectée par les caméras. Et identifie l’épave. Le scénario est alors bouclé : les Américains peuvent s’attribuer officiellement la découverte du Titanic. Pour que les médias ne soient pas pris au dépourvu, un journal anglais a reçu dès le vendredi l’annonce de la découverte « pressentie » pour la nuit du samedi au dimanche suivante ! Et un hélicoptère, lui aussi commandé la veille, est sur place le dimanche matin pour récupérer les photos…
Ballard savait que la prospection arrivait dans la bonne zone, sourit P.H. Nargeolet. Il était donc sûr de trouver l’épave, à quelques heures près…
A quelques heures près… Au moment où l’Argo repère la chaudière du Titanic, Robert Ballard dort. Du sommeil du juste…
Source : revue Sciences et Avenir- mai 2001 N°651
…………………………………………………………………….SOS…………………………………………………Save Our Souls……………fut la premiere utilisation d’un signal de detresse.Les faits : Le mercredi 10 avril 1912, le paquebot Titanic partait de Southampton vers New-York pour son voyage d’inauguration avec 2201 personnes à bord. Dimanche 14 avril, à 23h40, il frôlait un iceberg en plein Atlantique. Lundi 15 avril, à 3 heures du matin, il gisait au fond de l’océan. Le naufrage du siècle fit 1490 personnes disparus et 711 rescapés, qui furent ramener à bord du Carpathia sur New-York
Le naufrage du Titanic : et si c’était un complot ?
http://www.leblogdeletrange.com/?p=208Céladon qui va prendre sa bouée.....ou la planche de surf.
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