(Source : The Chiropractic Journal via pleinfeux)
Cet été, après qu’une petite fille soit morte et que plus de 250 autres enfants aient été hospitalisés avec des convulsions et de fortes fièvres après leurs vaccins contre la grippe saisonnière, les officiels de la santé australiens ont interdit les vaccins pour tous les enfants de moins de cinq ans.
Un peu plus tard, la Finlande a également suspendu les vaccins contre le H1N1 en raison de six rapports de narcolepsie chez des enfants et des adolescents suivant immédiatement la vaccination. Selon The Helsinki Times, « Les rapports médicaux indiquent que plus de 750 de ceux qui ont été vaccinés ont éprouvé des effets nocifs. »
En Suède, une enquête a été lancée après que des cas de narcolepsies immédiatement après les vaccinations soient apparus chez des enfants de ce pays.
« Les vaccins semblent être à l’origine d’un ensemble de troubles neurologiques qui affectent les enfants et les adolescents à travers la planète », a déclaré un rapport dans Bharat Chronicle de l’Inde.
Un tollé a été soulevé après qu’il fut révélé que les officiels australiens étant apparemment au courant du problème depuis plusieurs semaines aient pourtant retenu l’information et aient continué à encourager les parents à faire vacciner les bébés, les enfants et les adolescents contre le virus H1N1.
Au début, les officiels de la santé ont essayé de convaincre le public qu’il n’y avait pas de « causalité » entre le vaccin et les effets secondaires, mais même le coroner australien a dû admettre qu’il ne pouvait pas exclure que le vaccin contre la grippe ait été responsable de la mort d’un bambin de deux ans de Brisbane, Ashley Jade Epapara.
Ensuite, la faute a été mise sur un « mauvais lot » de vaccins fabriqués par la société biopharmaceutique CSL de l’Australie sous le nom de Fluvax. « Il n’y a aucun problème de sécurité à long terme avec des vaccins », a dit à WAToday le professeur Peter Richmond, de l’École de Pédiatrie et associé de la Santé Infantile de l’Université Western Australia.
Aux États-Unis, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) a annoncé en août que « Afluria [la version du Fluvax approuvée par la FDA pour une utilisation en Amérique du Nord] ne devait pas être utilisée chez les enfants âgés de 6 mois jusqu’à 8 ans. »
Bien que les autorités sanitaires du monde entier aient tenté de calmer les parents en suggérant que ces réactions aient été relativement rares et qu’elles n’étaient pas le résultat du vaccin lui-même (que des « lots voyous »), les parents n’étaient pas rassurés.
« Mes six enfants ont tous été vaccinés contre la grippe le 21 avril. Dans les heures qui ont suivies, ils ont tous été violemment malades. Des fièvres de plus de 39c et des vomissements. Nous en sommes maintenant au jour trois, et ils ont tous des maux de tête, des fièvres, des douleurs et des diarrhées. C’est terrible, les gens étaient au courant de tout ça depuis des semaines. Le Ministère de la Santé nous considère comme des moins que rien. Je voudrais savoir s’il y aura des problèmes de santé à long terme pour ma famille. Je suis certaine qu’il y a plus que 22 enfants malades. Eh bien, j’ai six d’entre eux. Et je veux des réponses », a déclaré une femme dans la section des commentaires de WAToday qui accompagne l’article.
Cet été, après qu’une petite fille soit morte et que plus de 250 autres enfants aient été hospitalisés avec des convulsions et de fortes fièvres après leurs vaccins contre la grippe saisonnière, les officiels de la santé australiens ont interdit les vaccins pour tous les enfants de moins de cinq ans.
Un peu plus tard, la Finlande a également suspendu les vaccins contre le H1N1 en raison de six rapports de narcolepsie chez des enfants et des adolescents suivant immédiatement la vaccination. Selon The Helsinki Times, « Les rapports médicaux indiquent que plus de 750 de ceux qui ont été vaccinés ont éprouvé des effets nocifs. »
En Suède, une enquête a été lancée après que des cas de narcolepsies immédiatement après les vaccinations soient apparus chez des enfants de ce pays.
« Les vaccins semblent être à l’origine d’un ensemble de troubles neurologiques qui affectent les enfants et les adolescents à travers la planète », a déclaré un rapport dans Bharat Chronicle de l’Inde.
Un tollé a été soulevé après qu’il fut révélé que les officiels australiens étant apparemment au courant du problème depuis plusieurs semaines aient pourtant retenu l’information et aient continué à encourager les parents à faire vacciner les bébés, les enfants et les adolescents contre le virus H1N1.
Au début, les officiels de la santé ont essayé de convaincre le public qu’il n’y avait pas de « causalité » entre le vaccin et les effets secondaires, mais même le coroner australien a dû admettre qu’il ne pouvait pas exclure que le vaccin contre la grippe ait été responsable de la mort d’un bambin de deux ans de Brisbane, Ashley Jade Epapara.
Ensuite, la faute a été mise sur un « mauvais lot » de vaccins fabriqués par la société biopharmaceutique CSL de l’Australie sous le nom de Fluvax. « Il n’y a aucun problème de sécurité à long terme avec des vaccins », a dit à WAToday le professeur Peter Richmond, de l’École de Pédiatrie et associé de la Santé Infantile de l’Université Western Australia.
Aux États-Unis, le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) a annoncé en août que « Afluria [la version du Fluvax approuvée par la FDA pour une utilisation en Amérique du Nord] ne devait pas être utilisée chez les enfants âgés de 6 mois jusqu’à 8 ans. »
Bien que les autorités sanitaires du monde entier aient tenté de calmer les parents en suggérant que ces réactions aient été relativement rares et qu’elles n’étaient pas le résultat du vaccin lui-même (que des « lots voyous »), les parents n’étaient pas rassurés.
« Mes six enfants ont tous été vaccinés contre la grippe le 21 avril. Dans les heures qui ont suivies, ils ont tous été violemment malades. Des fièvres de plus de 39c et des vomissements. Nous en sommes maintenant au jour trois, et ils ont tous des maux de tête, des fièvres, des douleurs et des diarrhées. C’est terrible, les gens étaient au courant de tout ça depuis des semaines. Le Ministère de la Santé nous considère comme des moins que rien. Je voudrais savoir s’il y aura des problèmes de santé à long terme pour ma famille. Je suis certaine qu’il y a plus que 22 enfants malades. Eh bien, j’ai six d’entre eux. Et je veux des réponses », a déclaré une femme dans la section des commentaires de WAToday qui accompagne l’article.
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