Source : http://www.ufofu.org/
M. Marcellin Rouzeaud, 42 ans, viticulteur domicilié à Moussoulens.
Le témoin circule à bord de son automobile sur la RN269 en direction de Carcassonne. Il vient juste de quitter Moussoulens lorsqu'il découvre posé au beau milieu de la chaussée, une masse qu'il ne parvient pas à identifier.
Elle se trouve à la hauteur des Pépinières de Bernardo, au Camas, que l'on appelle dans le pays le Camas de Pezens. Il se rapproche quand même, pensant qu'il s'agit d'un véhicule accidenté, puis il stoppe à dix mètres de la chose. Il descend de voiture pour voir ce qui se passe exactement et distingue une forme humaine qui paraît sortir de la masse, laquelle ressemble à un "gerbier" (une petite meule de gerbes), ou d'un demi-œuf de 1,80 m de haut.
L'engin est lumineux, comme phosphorescent, et la lumière qu'il émet est beaucoup plus puissante que les phares de sa voiture. Quant à l'humanoïde, seule sa tête dépasse d'une sorte de cape couvrant tout le reste du corps et touchant presque le sol. Par contre, le témoin ne parvient pas à distinguer les traits de son visage. M. Rouzeaud demande au "bonhomme" s'il a besoin d'une aide quelconque pour le tirer de là, mais il n'obtient pas de réponse. Le témoin veut s'avancer davantage mais le personnage le repousse d'une main et le touche au niveau de l'estomac pour l'empêcher d'approcher, tout en prononçant quelques mots dans une langue incompréhensible pour M. Rouzeaud. L'individu fait signe au témoin de ne pas toucher la masse, et avec des gestes de la main il lui fait signe de reculer. Le "bonhomme" rentre alors dans la masse lumineuse puis en ressort avec un petit objet qu'il pose dans l'herbe au bord de la route.
Toujours par signes, l'individu lui fait comprendre qu'il ne faut surtout pas toucher cet objet puis il lui désigne la Lune, sa forme, puis son engin, et ce à plusieurs reprises. Le témoin croit comprendre que le "bonhomme" reviendra à la prochaine lune et que le petit objet lui servira de repère pour revenir au même endroit. Puis un second occupant surgit de la masse, d'une taille estimée de 1,30 m à 1,35 m. Immédiatement après les deux personnages réintègrent l'objet sans que le témoin puisse voir de quelle manière. Il croit que l'engin va être garé sur le côté de la route, mais au lieu de cela, il perçoit d'abord un bruit comparable au froissement d'une toile de tente, ou au vol d'une troupe de perdreaux, et la machine s'élève à la verticale jusqu'à environ deux cents mètres, puis se dirige vers le nord comme une flèche. M. Rouzeaud, quelque peu ahuri, retourne alors à sa voiture et reprend sa route en se demandant s'il n'a pas rêvé.
Informations complémentaires
1) Le témoin fit une relation détaillée de son aventure aux enquêteurs, le 4 septembre 1967 soit près de 13 ans après les faits. L'enquête fit apparaître que le témoin commença d'abord par se taire, par peur du ridicule. Mais quinze jours plus tard, en vendangeant chez ses parents, il raconta l'incident à son père, lequel disait ne pas croire aux soucoupes volantes. Et c'est comme cela que tout le village fut mis au courant.
2) Le témoin prétend avoir retrouvé l'objet déposé par l'humanoïde sur le bord de la route plusieurs jours après son observation. C'est un ami à lui, M. Rives, patron d'un bar à Carcassonne qui l'incita à retourner sur les lieux pour voir si cette preuve de l'atterrissage de l'engin était toujours là. Le petit objet n'était pas plus gros qu'une châtaigne, lisse sur le dessus comme s'il était vernis, couleur terre, et qu'une lame de couteau ne put entamer. M. Rouzeaud remit l'objet à un certain M. Alary, marchand de chaussures à Carcassonne, dans le but de le faire analyser. M. Alary aurait ensuite prétendu que les chimistes contactés n'avaient pas été capables d'identifier la matière de l'objet. Quand M. Rouzeaud voulut le récupérer, il ne le put pas, car il aurait été envoyé à Paris pour de plus amples analyses.
3) Le 13 octobre 1968, les enquêteurs se rendirent chez M. Alary, à Carcassonne. Là, ils apprirent que M. Jean Alary, fils du précédent, avait fait une enquête à l'époque. En 1968, M. Jean Alary était directeur théâtral à Carcassonne. Il parut tout d'abord gêné, commençant même par feindre de ne rien savoir. Puis, il admit que les détails de l'affaire se perdaient dans les brumes du temps. Finalement, il reconnut avoir eu le petit objet trouvé par M. Rouzeaud, et affirma qu'il ne s'agissait que d'un débris de mâchefer, précisant même que si le laboratoire de Paris avait bien renvoyé les résultats des analyses, il n'avait pas rendu l'objet.
4) Lors de leurs investigations, les enquêteurs purent se rendre compte que les gens du village de Moussoulens connaissaient bien l'histoire de l'atterrissage et, sans avoir d'opinion bien arrêtée sur le témoignage de M. Rouzeaud, jugeaient ce dernier "intelligent, honnête et... malin". En outre, les enquêteurs font remarquer que ni les journaux, ni la gendarmerie n'eurent vent de l'affaire.
5) En conclusion, les enquêteurs estiment que les différents éléments collectés au cours de leurs investigations sur cette affaire permettent de conclure que M. Rouzeaud est de bonne foi et a bien fait une étrange observation à environ 2 kilomètres de Moussoulens alors qu'il partait pour Carcassonne où il devait prendre un ami à la gare, en provenance de Marseille. Par contre, concernant l'histoire du petit objet, ils estiment que le témoin a cherché un support matériel pour accréditer son témoignage, cela étant, d'après eux, un trait de caractère des paysans. En appui à leur thèse, ils rappellent une anecdote : lors de leur première visite au domicile du témoin, n'ayant trouvé que sa femme, celle-ci leur déclara pour introduire l'affaire : "Ah oui ! Le petit engin qu'ils lui ont laissé dans l'herbe". Ceci semble, d'après eux, bien prouver la forte impression que produisit à l'époque cet "additif" (artificiel ?).
Sources : GEOS International, n°2, septembre 1969, pages 5-11 (enquête de MM. François Taseï et Jean-Claude Baillon) ; Jean Sider, Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste, pages 166-168 ; Lumières dans la Nuit, n°374, pages 12-13 (article de M. Joël Mesnard).
Ce témoignage est extrait du livre OVNI : Le dossier des rencontres rapprochées du troisième type en France de Julien Gonzalez. Vous pouvez contacter l'auteur et commander le livre sur son blog. Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur.
M. Marcellin Rouzeaud, 42 ans, viticulteur domicilié à Moussoulens.
Le témoin circule à bord de son automobile sur la RN269 en direction de Carcassonne. Il vient juste de quitter Moussoulens lorsqu'il découvre posé au beau milieu de la chaussée, une masse qu'il ne parvient pas à identifier.
Elle se trouve à la hauteur des Pépinières de Bernardo, au Camas, que l'on appelle dans le pays le Camas de Pezens. Il se rapproche quand même, pensant qu'il s'agit d'un véhicule accidenté, puis il stoppe à dix mètres de la chose. Il descend de voiture pour voir ce qui se passe exactement et distingue une forme humaine qui paraît sortir de la masse, laquelle ressemble à un "gerbier" (une petite meule de gerbes), ou d'un demi-œuf de 1,80 m de haut.
L'engin est lumineux, comme phosphorescent, et la lumière qu'il émet est beaucoup plus puissante que les phares de sa voiture. Quant à l'humanoïde, seule sa tête dépasse d'une sorte de cape couvrant tout le reste du corps et touchant presque le sol. Par contre, le témoin ne parvient pas à distinguer les traits de son visage. M. Rouzeaud demande au "bonhomme" s'il a besoin d'une aide quelconque pour le tirer de là, mais il n'obtient pas de réponse. Le témoin veut s'avancer davantage mais le personnage le repousse d'une main et le touche au niveau de l'estomac pour l'empêcher d'approcher, tout en prononçant quelques mots dans une langue incompréhensible pour M. Rouzeaud. L'individu fait signe au témoin de ne pas toucher la masse, et avec des gestes de la main il lui fait signe de reculer. Le "bonhomme" rentre alors dans la masse lumineuse puis en ressort avec un petit objet qu'il pose dans l'herbe au bord de la route.
Toujours par signes, l'individu lui fait comprendre qu'il ne faut surtout pas toucher cet objet puis il lui désigne la Lune, sa forme, puis son engin, et ce à plusieurs reprises. Le témoin croit comprendre que le "bonhomme" reviendra à la prochaine lune et que le petit objet lui servira de repère pour revenir au même endroit. Puis un second occupant surgit de la masse, d'une taille estimée de 1,30 m à 1,35 m. Immédiatement après les deux personnages réintègrent l'objet sans que le témoin puisse voir de quelle manière. Il croit que l'engin va être garé sur le côté de la route, mais au lieu de cela, il perçoit d'abord un bruit comparable au froissement d'une toile de tente, ou au vol d'une troupe de perdreaux, et la machine s'élève à la verticale jusqu'à environ deux cents mètres, puis se dirige vers le nord comme une flèche. M. Rouzeaud, quelque peu ahuri, retourne alors à sa voiture et reprend sa route en se demandant s'il n'a pas rêvé.
Informations complémentaires
1) Le témoin fit une relation détaillée de son aventure aux enquêteurs, le 4 septembre 1967 soit près de 13 ans après les faits. L'enquête fit apparaître que le témoin commença d'abord par se taire, par peur du ridicule. Mais quinze jours plus tard, en vendangeant chez ses parents, il raconta l'incident à son père, lequel disait ne pas croire aux soucoupes volantes. Et c'est comme cela que tout le village fut mis au courant.
2) Le témoin prétend avoir retrouvé l'objet déposé par l'humanoïde sur le bord de la route plusieurs jours après son observation. C'est un ami à lui, M. Rives, patron d'un bar à Carcassonne qui l'incita à retourner sur les lieux pour voir si cette preuve de l'atterrissage de l'engin était toujours là. Le petit objet n'était pas plus gros qu'une châtaigne, lisse sur le dessus comme s'il était vernis, couleur terre, et qu'une lame de couteau ne put entamer. M. Rouzeaud remit l'objet à un certain M. Alary, marchand de chaussures à Carcassonne, dans le but de le faire analyser. M. Alary aurait ensuite prétendu que les chimistes contactés n'avaient pas été capables d'identifier la matière de l'objet. Quand M. Rouzeaud voulut le récupérer, il ne le put pas, car il aurait été envoyé à Paris pour de plus amples analyses.
3) Le 13 octobre 1968, les enquêteurs se rendirent chez M. Alary, à Carcassonne. Là, ils apprirent que M. Jean Alary, fils du précédent, avait fait une enquête à l'époque. En 1968, M. Jean Alary était directeur théâtral à Carcassonne. Il parut tout d'abord gêné, commençant même par feindre de ne rien savoir. Puis, il admit que les détails de l'affaire se perdaient dans les brumes du temps. Finalement, il reconnut avoir eu le petit objet trouvé par M. Rouzeaud, et affirma qu'il ne s'agissait que d'un débris de mâchefer, précisant même que si le laboratoire de Paris avait bien renvoyé les résultats des analyses, il n'avait pas rendu l'objet.
4) Lors de leurs investigations, les enquêteurs purent se rendre compte que les gens du village de Moussoulens connaissaient bien l'histoire de l'atterrissage et, sans avoir d'opinion bien arrêtée sur le témoignage de M. Rouzeaud, jugeaient ce dernier "intelligent, honnête et... malin". En outre, les enquêteurs font remarquer que ni les journaux, ni la gendarmerie n'eurent vent de l'affaire.
5) En conclusion, les enquêteurs estiment que les différents éléments collectés au cours de leurs investigations sur cette affaire permettent de conclure que M. Rouzeaud est de bonne foi et a bien fait une étrange observation à environ 2 kilomètres de Moussoulens alors qu'il partait pour Carcassonne où il devait prendre un ami à la gare, en provenance de Marseille. Par contre, concernant l'histoire du petit objet, ils estiment que le témoin a cherché un support matériel pour accréditer son témoignage, cela étant, d'après eux, un trait de caractère des paysans. En appui à leur thèse, ils rappellent une anecdote : lors de leur première visite au domicile du témoin, n'ayant trouvé que sa femme, celle-ci leur déclara pour introduire l'affaire : "Ah oui ! Le petit engin qu'ils lui ont laissé dans l'herbe". Ceci semble, d'après eux, bien prouver la forte impression que produisit à l'époque cet "additif" (artificiel ?).
Sources : GEOS International, n°2, septembre 1969, pages 5-11 (enquête de MM. François Taseï et Jean-Claude Baillon) ; Jean Sider, Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste, pages 166-168 ; Lumières dans la Nuit, n°374, pages 12-13 (article de M. Joël Mesnard).
Ce témoignage est extrait du livre OVNI : Le dossier des rencontres rapprochées du troisième type en France de Julien Gonzalez. Vous pouvez contacter l'auteur et commander le livre sur son blog. Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur.
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