Parce que si c'est pas une blague de sa part ça mérite d'être badigeonnée de goudron et de plumes et d'être portée sur une poutre jusqu'aux porte de Paris!!
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VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Flycrusher- Membre VIP bronze
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- Message n°201
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Macha- Administrateur
- Nombre de messages : 7174
De retour de Fukushima, où le silence et les mensonges tuent - Voyage de Corinne Lepage au JaponDepuis plusieurs semaines déjà, la catastrophe de Fukushima ne fait plus la une de l’actualité. Pour l’immense majorité de nos concitoyens, la question est réglée et il va quasi de soi que Tepco, et Areva pour ce qui est du traitement des eaux polluées, maîtrisent parfaitement la situation.
Les personnes qui devaient être évacuées l’ont été, le taux de radioactivité baisse et le Japon, vu de France, est prêt à faire redémarrer des centrales. Du reste, régulièrement, la presse, informée par les soins du lobby nucléaire français, indique que telle ou telle centrale va redémarrer.
Cela est dramatiquement et tragiquement faux.
Des millions de mètres cube d’eau contaminée
Tout d’abord, les autorités japonaises – j’ai rencontré le secrétaire d’Etat à l’Environnement, le vice-ministre de l’Environnement et le vice-gouverneur de Fukushima – reconnaissent que la catastrophe est en cours et que rien n’est réglé. Les informations sont très rares.
Les autorités admettent que trois cœurs nucléaires ont fondu et que les cuves ont été transpercées. Cependant, ils ignorent ce qu’il se passe aujourd’hui, en particulier ce point vital de savoir si le radié a été percé par le corium ou non, ce qui signifierait, bien entendu, la pollution irréversible de la nappe phréatique.
Concernant le traitement de l’eau, Greenpeace considère qu’il vient à peine de débuter. Les autorités reconnaissent l’entassement de boues radioactives dont évidemment personne ne veut parler mais aussi les millions de mètres cube d’eau contaminée.
Les dosimètres encore bloqués à l’aéroport
En second lieu, et c’est tout aussi préoccupant, la situation des familles qui vivent dans la région de Fukushima est, au sens propre du terme, véritablement tragique. J’ai passé près de deux heures avec l’association, qui regroupe plusieurs centaines de familles et qui est animée par des femmes déterminées et révoltées.
On peut les comprendre. Ce qui leur est arrivé rappelle de très près ce que nous avons vécu avec Tchernobyl et la manière dont les choses se mettent en place nous renvoie au spectre du passé.
Tout d’abord, et même si on peut comprendre que, vivant en même temps un tremblement de terre et un tsunami, la situation était passablement désorganisée, l’organisation météorologique japonaise était tout de même dans l’incapacité suspecte de fournir les cartes des vents au moment de la catastrophe de Fukushima. Les populations n’avaient aucune idée d’où venaient les vents.
Aucune instruction ne leur a été donnée, aucune pastille d’iode ne leur a été distribuée. Il a fallu attendre plus d’un mois pour qu’elles puissent disposer d’une information publique sur le niveau de contamination et aujourd’hui, ce sont 40 000 dosimètres qui restent bloqués par décision politique à l’aéroport de Tokyo. Les familles ne savent donc pas quel est le niveau de la radioactivité dans laquelle elles vivent.
Les mères inquiètes pour leurs enfants
Sur le plan de l’alimentation, des prélèvements sont faits mais leurs résultats sont donnés bien après que les aliments ont été mis sur le marché et consommés. L’essentiel pour ces mères est, bien entendu, la situation de leurs enfants.
Au Japon, comme partout dans les pays membres de l’AIEA, le niveau admissible pour les populations est de 1 millisievert par an. Il est de 20 millisieverts pour les travailleurs du nucléaire. Aujourd’hui, dans les zones où vivent ces gens, dans la préfecture de Fukushima, le niveau est largement supérieur avec 5 millisieverts, jusque parfois 20 millisieverts.
Ces femmes exigent pour leurs enfants comme pour elles-mêmes le droit de vivre dans un environnement à 1 millisievert. Le problème est que personne n’a les moyens de répondre positivement à leurs questions.
Il faut envisager une évacuation plus large
Deux solutions sont envisageables : soit la décontamination – et on en parle beaucoup au Japon – soit l’évacuation. Il semblerait que quelques cours de récréation aient fait l’objet d’une décontamination, qui consiste à retirer 50 à 60 cm de terre, dont on ne sait du reste pas où on va la stocker.
Cela permet de réduire le niveau de la pollution. C’est peut-être possible au niveau local avec des résultats qu’il conviendrait de vérifier. C’est évidemment impossible à l’échelle d’une préfecture entière.
De ce fait, c’est bien la deuxième solution qu’il faut envisager. Elle consiste bien évidemment à permettre aux gens qui le veulent de partir. Mais pour qu’ils puissent s’en aller, encore faut-il leur permettre d’aller vivre ailleurs.
La vérité de la situation, et c’est là tout son aspect tragique, c’est que les autorités japonaises font ce qu’elles peuvent dans une certaine mesure. Toutefois, puisque l’information est confisquée, les moyens donnés aux gens pour connaître la réalité de la situation leur sont refusés.
Les agriculteurs pas indemnisés
Du point de vue du changement et des décisions techniques à prendre, le monde agricole n’est pas en reste et devient lui aussi victime de la défaillance des autorités.
La préfecture de Fukushima promeut les produits agricoles de la région de Fukushima et se plaint des mauvaises rumeurs qui les concernent. Il m’a été fait cadeau d’un magnifique cageot de pêches. La vérité est, bien entendu, que l’immense majorité des produits de cette zone ne devrait pas être consommée mais pour qu’ils ne le soient pas, encore faut-il que les agriculteurs qui les produisent puissent être indemnisés et gagner leur vie. Or, tel n’est pas le cas.
Cette situation absolument tragique à laquelle est exposée le Japon s’exprimerait ainsi pour tout pays industrialisé, les mêmes risques produisant probablement les mêmes effets. C’est précisément la raison pour laquelle la chape du silence s’est mise sur le Japon.
Les médecins montent des réseaux parallèles
Les médecins n’ont plus le droit de parler et n’osent plus parler. Il semblerait qu’un réseau de pédiatres essaye de se mettre en place, que certains médecins, notamment dans les zones rurales, essayent d’organiser la population de manière à ce qu’elle se protège le mieux possible et qu’un suivi médical puisse être mis sur pied.
Mais tout ceci se fait par une voie citoyenne, par une voie parallèle, j’allais dire occulte, car de manière tout à fait évidente. Les autorités nucléaires ont décidé qu’il n’y aurait pas de connaissances fines et précises des effets épidémiologiques de cette catastrophe.
C’est contre ce mur de silence qu’il convient que, nous tous, nous nous révoltions car il s’agit d’enfants et les enfants de Fukushima pourraient être enfants de Fessenheim, du Buget ou du Blayet. C’est notre responsabilité de parler, d’agir et d’aider les associations qui se battent avec les plus grandes difficultés sur place.
Chut, le Japon va sortir du nucléaire
En revanche, les autorités japonaises, qui mesurent très probablement leurs limites, même si elles ne peuvent pas l’exprimer, semblent avoir pris une vraie décision : celle de sortir du nucléaire.
En effet, il faut savoir, et cette information est soigneusement cachée en France pour des raisons que chacun peut comprendre, que le Japon a réduit de 28% sa consommation électrique depuis Fukushima et près de 40% dans la région de Tokyo. Il n’y a plus aujourd’hui que 14 réacteurs qui sont en activité sur 57.
Cette réduction massive a été obtenue par un éventail de mesures : par exemple, l’extinction des lumières dans les ministères pendant la journée, l’absence de climatisation (malgré les 38 degrés qu’il faisait à Kyoto voici quelques jours), l’extinction des grandes publicités dans Tokyo le soir ou une organisation différente du système de production industrielle qui travaille en roulement et qui a ainsi permis d’obtenir ce résultat remarquable.
Aussi, quand nous, Européens, nous demandons si nous arriverons à faire moins 20% d’ici 2020, il y a beaucoup à apprendre de nos amis japonais. Le nouveau Premier ministre l’a affirmé lors de sa campagne électorale : le Japon est décidé à ne plus construire de nouvelles centrales nucléaires, ce qui veut dire qu’il va sortir du nucléaire.
Quand ? Cela dépend, bien sûr, des stress-tests qui seront réalisés et de la réouverture ou non des centrales nucléaires fermées aujourd’hui en raison de la maintenance d’ici mars 2012.
Photos : Corinne Lepage avec les femmes de Fukushima (François Damerval) ; fleurs de cerisier à Tokyo (David Lee/Picasa).
Par Corinne Lepage
Merci à Corinne Lepage.
Pour ceux qui ne la connaîtraient pas, Corinne Lepage est magistrat. Elle fut très courtement ministre de l'environnement, malheureusement. Corinne Lepage et son époux ont défendu l'Etat français et les victimes de l'Amoco Cadiz, affaire qui a duré plus de 30 ans. On lui doit entre autre la création du fonds d'indemnisation des victimes de catastrophes naturelles et/ou industrielles. Elle a soutenu la mise en place du plan POLMAR, après la marée noire en mars 1978, et son intégration dans le plan ORSEC. Elle est actuellement député européenne et député française. Elle n'est pas du genre à avoir sa langue dans sa poche et contrairement à nos ministres de l'environnement qui l'ont précédé, hormis Huguette Bouchardeau, et lui ont succédé, elle ne porte pas les lobbies dans son coeur.
hocine- Membre VIP Argent
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- Message n°203
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Dans cette affaire de tremblement de terre et tsunami il y avait un travail mal fait , il y a des défauts cachés de conception sur ces centrales nucléaires , une étude mal faite sur la construction au bord de l’océan alors qu’ils savaient qu’ils sont sous la menace d’un méga tremblement de terre et d’un méga tsunami , le Japon c’est un pays à risque très élevé de ces cataclysmes naturels , pour ce qui est du tremblement de terre les installations de ces centrales nucléaires auraient pu tenir le coup qui les a touché ,peut être les normes sismiques n'étaient pas respecté , quant au tsunami de 10 ou 12 mètres s’il a pu provoquer un grand dégâts sur les plaines et les habitations qui sont proches du niveau de l’océan il aurait dû être atténué par de fortes digues de sécurité qui devront entourer les centrales nucléaires qui doivent être aussi à un niveau au sol élevé de l’océan et là aussi ce n’est pas un méga tsunami de plus de 20 à 30 m qui a touché les centrales nucléaires , elles sont surement très fragiles ,ils y avait surement une fraude dans la conception de ces centrales dans les matériaux du bâtis et de la qualité des équipements non adéquats
Une remarque aussi, pour un pays qui a une forte avancée technologique, ils se sont trouvé complètement perdu pour face à cette catastrophe nucléaire, ils ne savaient pas quoi faire devant les dégâts de ses centrales nucléaires et intervenir rapidement pour maitriser la situation, elle s’est échappée de leurs mains, ils demandaient aux autres pays aux centrales nucléaires que devrions nous faire ? Ils n’étaient pas préparé pour faire face à toute éventualité ,cette perte de temps est une faute grave dans cette situation ou tout les moyens qui doivent être prévus en cas d’incident doivent être mis en service sur le champs automatiquement pour maitriser la situation ,ils ont plusieurs centrales nucléaires dans le pays la sécurité et les moyens d’y faire face doivent être présents et mis en action dans les plus bref délais , toutes pertes de temps entraineront des dégâts irréversibles pour le pays .
Les centrales ont explosées ,eux les japonais tournaient on rond , les américains , ils leurs ont envoyer une pompe à eau télescopique , pour envoyer l’eau de mer pour refroidir les réacteurs et attendre , c’est un peu le système de la débrouille ,oui , on a passé au bricolage ,ils n’ont pas trouvé autre chose plus technologique pour y faire face ,alors on jette de l’eau ,on ne sait pas si le réacteur est là ou il a amorcé un voyage vers le centre de la terre , le nuage radioactive une autre malédiction qui va l’arrêter ? Personne, c’est trop tard, on a perdu trop de temps, ils ont trouvé facilement la solution !! Une tranche d’un rayon de 20 km autour de la centrale à évacué !! L’idée est bonne est facile à dire et à réaliser , on rajoute une deuxième tranche de 20 km et avec un simple calcul qui ne demande pas de la technologie ça fait au total 40 km de rayon à évacuer autour de la centrale et puis ils s’arrêtèrent là ,ils ont trouvés qu’a force d’ajouter facilement des tranches ils vont finir d’arriver à la capitale qui elle est proche et à évacuer la population vers l’autre coté jetée sur l’océan et il n’y aurait plus de tranches à ajouter par manque de population à évacuer , ils seront tous jetés à l’eau et surement c’est le nuage radioactive qui s’avancera par tranches , on ne peu rien y faire alors on se tait .
Je suivais leur conférence de presse ,ou chacun de ces responsables qui s’occupaient de cette affaire donnait les informations sur la situation des centrales nucléaires qui ont explosées et même le premier ministre aussi mais c’était des banalités qu’ils répétaient tous les jours devant les journalistes et des représentants de la population , ils disaient et répéter que la situation est entre leurs pleines mains , que la pompe marche toujours ,que l’eau ne manquait pas pour refroidir les réacteurs nucléaires et que tout va bien sauf une partie de cette eau qui elle va se perdre dans l’océan qui est tout proche on a pu rien faire mais pas de problème on ne mange pas de ce poisson là de ce coté de l’océan ,les pécheurs ! qu’ils aillent voir ailleurs il doit y avoir du bon poisson non contaminé et ils vont continué de donner de l’eau à volonté jusqu'à que Dieu sait comment ça va s’arrêter ,ils ont même recueilli une réserve de plusieurs centaines voir de milliers de tonnes d’eau radioactive et ils ne savent quoi en faire une partie de cette eau comme je l’est déjà dit elle va empoisonner l’océan et une autre partie on tonnes de boue contaminé radioactive sur les bras , mais pas de problème , ils sont dans la bonne voie , le nuage radioactive a pris une direction qui fera le tour du monde ,il atteindra l’Amérique et une grande partie de l’Europe et même les autres pays de seconde zone , rien que ça !
Ils font des point de presse tout les jours, responsables de la sécurité de ces centrales nucléaires et le premier ministre japonais, je voyais ça devant la télé et je me disais que ces longues courbettes pour saluer l’assistance ce n’est que leur faire passer la pommade et à la longue le premier ministre japonais se voyant mené en bateau par ces experts intervenants par leur bobard et que visiblement la situation leur échappe il va finir de régler cette affaire devant la caméra de régler leur compte à coups de sabre ou il se poignarde le ventre à la façon des samouraïs pour laver cet affront qui lui est tombé sur sa tête , bien sur les temps ont changés on adopte d’autres coutumes par exemple comme les américains dans une sale affaire de sous on utilise toutes les fourberies et les coups tordus pour sont sortir de ces sales affaires ou il y a fraudes qui pourra l’être sur ces centrales nucléaires .
Une remarque aussi, pour un pays qui a une forte avancée technologique, ils se sont trouvé complètement perdu pour face à cette catastrophe nucléaire, ils ne savaient pas quoi faire devant les dégâts de ses centrales nucléaires et intervenir rapidement pour maitriser la situation, elle s’est échappée de leurs mains, ils demandaient aux autres pays aux centrales nucléaires que devrions nous faire ? Ils n’étaient pas préparé pour faire face à toute éventualité ,cette perte de temps est une faute grave dans cette situation ou tout les moyens qui doivent être prévus en cas d’incident doivent être mis en service sur le champs automatiquement pour maitriser la situation ,ils ont plusieurs centrales nucléaires dans le pays la sécurité et les moyens d’y faire face doivent être présents et mis en action dans les plus bref délais , toutes pertes de temps entraineront des dégâts irréversibles pour le pays .
Les centrales ont explosées ,eux les japonais tournaient on rond , les américains , ils leurs ont envoyer une pompe à eau télescopique , pour envoyer l’eau de mer pour refroidir les réacteurs et attendre , c’est un peu le système de la débrouille ,oui , on a passé au bricolage ,ils n’ont pas trouvé autre chose plus technologique pour y faire face ,alors on jette de l’eau ,on ne sait pas si le réacteur est là ou il a amorcé un voyage vers le centre de la terre , le nuage radioactive une autre malédiction qui va l’arrêter ? Personne, c’est trop tard, on a perdu trop de temps, ils ont trouvé facilement la solution !! Une tranche d’un rayon de 20 km autour de la centrale à évacué !! L’idée est bonne est facile à dire et à réaliser , on rajoute une deuxième tranche de 20 km et avec un simple calcul qui ne demande pas de la technologie ça fait au total 40 km de rayon à évacuer autour de la centrale et puis ils s’arrêtèrent là ,ils ont trouvés qu’a force d’ajouter facilement des tranches ils vont finir d’arriver à la capitale qui elle est proche et à évacuer la population vers l’autre coté jetée sur l’océan et il n’y aurait plus de tranches à ajouter par manque de population à évacuer , ils seront tous jetés à l’eau et surement c’est le nuage radioactive qui s’avancera par tranches , on ne peu rien y faire alors on se tait .
Je suivais leur conférence de presse ,ou chacun de ces responsables qui s’occupaient de cette affaire donnait les informations sur la situation des centrales nucléaires qui ont explosées et même le premier ministre aussi mais c’était des banalités qu’ils répétaient tous les jours devant les journalistes et des représentants de la population , ils disaient et répéter que la situation est entre leurs pleines mains , que la pompe marche toujours ,que l’eau ne manquait pas pour refroidir les réacteurs nucléaires et que tout va bien sauf une partie de cette eau qui elle va se perdre dans l’océan qui est tout proche on a pu rien faire mais pas de problème on ne mange pas de ce poisson là de ce coté de l’océan ,les pécheurs ! qu’ils aillent voir ailleurs il doit y avoir du bon poisson non contaminé et ils vont continué de donner de l’eau à volonté jusqu'à que Dieu sait comment ça va s’arrêter ,ils ont même recueilli une réserve de plusieurs centaines voir de milliers de tonnes d’eau radioactive et ils ne savent quoi en faire une partie de cette eau comme je l’est déjà dit elle va empoisonner l’océan et une autre partie on tonnes de boue contaminé radioactive sur les bras , mais pas de problème , ils sont dans la bonne voie , le nuage radioactive a pris une direction qui fera le tour du monde ,il atteindra l’Amérique et une grande partie de l’Europe et même les autres pays de seconde zone , rien que ça !
Ils font des point de presse tout les jours, responsables de la sécurité de ces centrales nucléaires et le premier ministre japonais, je voyais ça devant la télé et je me disais que ces longues courbettes pour saluer l’assistance ce n’est que leur faire passer la pommade et à la longue le premier ministre japonais se voyant mené en bateau par ces experts intervenants par leur bobard et que visiblement la situation leur échappe il va finir de régler cette affaire devant la caméra de régler leur compte à coups de sabre ou il se poignarde le ventre à la façon des samouraïs pour laver cet affront qui lui est tombé sur sa tête , bien sur les temps ont changés on adopte d’autres coutumes par exemple comme les américains dans une sale affaire de sous on utilise toutes les fourberies et les coups tordus pour sont sortir de ces sales affaires ou il y a fraudes qui pourra l’être sur ces centrales nucléaires .
FLAM- Animateur
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- Message n°204
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Des éruptions solaires pourraient déchaîner un holocauste nucléaire sur Terre, entraînant des centaines de centrales nucléaires dans des fusions totales
Image/LIESI
Mike Adams, de NaturalNews, entre dans les détails de la pire chose qui pourrait arriver à notre planète.
(NaturalNews) Oubliez le calendrier maya pour 2012, la comète Elenin ou le passage en 4ème dimension. La vraie menace pour la civilisation humaine est bien plus banale et c’est juste devant notre nez. Si Fukushima nous a tous autant touchés, c’est juste parce que l’emballement d’une fusion de matériaux nucléaires fissibles peut avoir des conséquences de longue portée et potentiellement dévastatrices pour la vie sur Terre. A ce jour, Fukushima a déjà libéré 168 fois la radioactivité libérée par la bombe d’Hiroshima en 1945 et la catastrophe japonaise est maintenant de manière indéniable le pire désastre nucléaire dans l’histoire de la civilisation humaine.
Mais qu’en serait-il de la civilisation humaine face à une menace pire qu’un simple tsunami détruisant une installation nucléaire ? Qu’en serait-il si une vague géante pouvait détruire tout d’un coup toutes les installations à énergie nucléaire de la planète ?
Un tel scénario n’est pas juste possible, mais en fait inévitable. Et la vague géante menaçant toutes les centrales nucléaires du monde n’est pas faite d’eau mais d’émissions solaires.
Le soleil, voyez-vous, se réveille. La NASA a récemment averti que l’activité solaire est en hausse, avec un pic attendu en 2013 qui pourrait générer d’énormes niveaux de radiations qui circuleraient sur toute la planète. La NOAA ( National Oceanic and Atmospheric Administration) a même fait une annonce sur un avertissement urgent sur des éruptions solaires à venir en 2012 et 2013. Ibtimes a écrit, »Avec le pic d’activité solaire aux environs de 2013, le soleil entre dans une période particulièrement active et de grosses éruptions comme la toute dernière seront probablement communes durant les quelques prochaines années…Une éruption majeure du milieu du 19ème siècle a bloqué le système de télégraphie naissant, et des scientifiques pensent qu’un autre événement similaire est maintenant en route. »
L’histoire continue à expliquer :
»Plusieurs études de gouvernements fédéraux suggèrent que cette activité solaire extrême et ses émissions peuvent résulter en de complets blackouts pendant des années dans des régions du pays. De plus, il peut y avoir des dérangements dans les approvisionnements de courant pendant des années, ou même des décennies, car les courants géomagnétiques attirés par la tempête pourraient rendre caduques les transformateurs. »
Pourquoi tout cela ? Pour le comprendre, vous devez savoir comment fonctionnent les centrales nucléaires. Ou, dit d’une autre manière, comment une centrale est-elle protégée d’un événement nucléaire chaque jour sur notre planète ?
Toutes les centrales nucléaires fonctionnent dans un état de pré-fusion
Toutes les centrales nucléaires sont utilisées dans un état de presque fusion. Elles fonctionnent à de très hautes températures, reposant sur la fission nucléaire pour faire bouillir de l’eau qui produit de la vapeur actionnant des turbines qui génèrent de l’électricité. Non sans danger, le combustible nucléaire est protégé d’une fusion par une circulation constante de refroidisseurs qui sont injectés dans le système de refroidissement en utilisant des pompes électriques très puissantes.
Si on arrête les pompes électriques, le refroidisseur s’arrête de s’écouler et les barres de combustible vont vers une criticité (et ensuite il y a une fusion). C’est ce qui s’est passé à Fukushima quand les barres de combustible usagé sont tombées au travers du sol de béton des enceintes de confinement, déversant d’énormes quantités de radiations ionisantes dans l’environnement. La portée exacte de la contamination de Fukushima n’est même pas encore connue, car l’installation émet toujours de la radioactivité.
Il est crucial de comprendre que les pompes pour le refroidissement nucléaire sont habituellement gérées par le courant du réseau électrique. Elles ne sont pas normalement gérées par le courant produit localement par la centrale nucléaire elle-même. Non, elles sont connectées au réseau. En d’autres mots, bien que les centrales nucléaires produisent des mégawatts d’électricité pour le réseau, elles sont aussi dépendantes du réseau pour faire fonctionner leurs propres pompes de refroidissement. Si le réseau lâche, les pompes aussi, ce qui est la raison pour laquelle elles sont rapidement déconnectées au profit de courant de secours d’urgence – des générateurs ou des batteries.
Comme nous l’avons appris de Fukushima, les batteries sur site ne peuvent gérer les pompes que pendant 8 heures. Après, la centrale est dépendante de générateurs diesel (ou quelquefois propane) pour faire fonctionner les pompes qui font circuler le refroidisseur qui empêche tout le site de ressembler à Tchernobyl. Cela dépend pourtant, de manière critique, de quelque chose de plutôt curieux : la distribution de gazole sur le site. Si le gazole n’a pu être distribué, les générateurs ne peuvent être allumés et le refroidisseur ne circule plus. Quand on saisit l’importance de cette dépendance à un approvisionnement, on comprendra aisément qu’une seule éruption solaire puisse déchaîner un holocauste nucléaire sur la planète.
Quand les générateurs sont en panne et que les pompes s’arrêtent, les barres de combustible commencent leur fusion à travers leur contenant, déchargeant des quantités incroyables de radiations destructrices directement dans l’atmosphère. C’est précisément ce pourquoi les ingénieurs japonais ont travaillé si dur pour reconnecter le réseau électrique local à la centrale après la vague du tsunami – ils avaient besoin de ramener le courant aux groupes électrogènes pour faire fonctionner les pompes qui diffusent le refroidisseur. Cet effort a échoué, bien sûr, c’est pourquoi Fukushima est devenu une telle catastrophe et a relâché d’indénombrables becquerels de radioactivité dans l’environnement (sans fin en vue).
Et pourtant, malgré la destruction que nous venons de voir à Fukushima, aucune centrale nucléaire américaine n’est prête à gérer des pannes de courant. Comme le rapporte Ibtimes :
»Le mois dernier la commission de régulation nucléaire a dit que les centrales américaines affectées par un blackout devraient être capables de se débrouiller sans électricité pendant au moins 8 heures et devraient avoir des procédures pour conserver un refroidissement des réacteurs et des piscines de combustible usagé pendant 72 heures. Les centrales nucléaires dépendent de batteries en standby et de groupes électrogènes de secours. La plupart des systèmes de courant en standby continueraient de fonctionner après une sévère tempête solaire, mais avec un approvisionnement des systèmes de courant avec du carburant adéquat, si les réseaux principaux de courant sont hors service pendant des années, il s’ensuivrait un problème extrêmement critique. Si les piscines de combustible usagé des 104 centrales nucléaires du pays perdaient leur connection au réseau électrique, les régulations actuelles ne seraient pas efficaces pour garantir que ces piscines ne viendraient pas à bouillir – exposant les barres radioactives revêtues de zirconium et déclenchant des incendies qui libèreraient des radiations mortelles. »
Maintenant, qu’est-ce que tout ceci a à voir avec les éruptions solaires ?
Comment la fin de la civilisation moderne surviendrait probablement
Comme tout scientifique bien informé l’admettra facilement, les éruptions solaires ont un potentiel pour souffler les transformateurs de tous les réseaux de courant du pays. C’est parce que les éruptions solaires induisent des courants géomagnétiques (impulsions électromagnétiques puissantes) qui surchargent les transformateurs et les font exploser.
Vous avez probablement été témoins de ceci vous-même pendant un orage quand les éclairs envoient une pulsion électromagnétique puissante qui fait exploser un transformateur local. Les éruptions solaires font la même chose à plus grande échelle. A une échelle mondiale, en fait.
Le résultat est que soudain et sans prévenir, l’infrastructure du réseau peut être détruit sur presque toute la planète. En bonus, presque tous les satellites sont grillés, également, rendant inopérables les GPS et faisant des millions de conducteurs paumés condamnés à errer dans leur quartier parce qu’ils n’ont jamais fait attention aux rues et se sont toujours reliés à la voix du GPS qui leur dit, »dans 50 mètres, tournez à droite. »
Les communications par satellites seront coupées aussi. Cela stoppera bien sûr presque toutes la distribution d’infos de propagande sur la terre, faisant que des milliers de gens mourront instantanément de peur d’avoir soudain l’obligation de penser par eux-mêmes. Comme autre bonus, presque tous les téléphones mobiles seront interrompus, ce qui veut dire que les jeunes ados du monde seront pour la première fois de leur vie obligés de laisser tomber leurs iPhones et de correspondre avec de vraies personnes dans le vrai monde.
Mais le vrai gros problème ici est que le réseau de courant sera détruit presque partout.
Qu’arrive-t-il quand il n’y a pas d’électricité ?
Imaginez un monde sans électricité. Même juste pendant une semaine. Imaginez New York sans électricité, ou Los Angeles ou Sao Paulo. En 72 heures, la plupart des villes du monde seraient dans un chaos total, avec des pillages, des crimes et des incendies partout.
Et si vous pensez que vous pouvez conduire pour vous éloigner du chaos, réfléchissez que les éruptions solaires grilleront toutes les automobiles qui fonctionnent avec des circuits électroniques, ce qui signifie probablement que 98% des véhicules sur la route aujourd’hui seront instantanément transformés en carcasses de métal (ou de plastique, comme on le voit).
Mais ce n’est pas encore la mauvaise nouvelle. Même si toutes les grandes cités du monde prenaient feu pour une autre raison, l’humanité pourrait toujours se récupérer par les fermes : les champs, les graines et le potentiel pour récupérer, d’accord ?
Et pourtant la vraie crise ici prend ses racines dans le fait de réaliser qu’une fois le réseau de courant hors service, toutes les centrales nucléaires du monde passeraient tout d’un coup en »mode d’urgence » et seraient obligées de se relier à leur courant de secours d’urgence sur site pour faire circuler les refroidisseurs et empêcher des fusions nucléaires de se produire. Pourtant, nous l’avons déjà établi, ces installations ont couramment juste quelques heures de courant par batterie utilisables, suivies par peut-être quelques jours valables avec le carburant diesel pour faire fonctionner leurs générateurs.
Ai-je aussi mentionné que la moitié des gens qui travaillent dans des centrales n’ont aucune idée de ce qu’ils font en premier lieu ? La plupart des anciens qui connaissent réellement les installations intérieures et extérieures ont été obligés de partir en raison de leur âge vital limite de l’exposition aux radiations au travail, donc la plupart des ouvriers du nucléaire aujourd’hui sont des »bleus » qui n’ont aucune idée de ce qu’ils font.
Il y a 440 centrales nucléaires fonctionnant dans 30 pays du monde à l’heure actuelle. Il existe en plus 250 soi-disant »réacteurs de recherche », faisant un total de presque 700 réacteurs nucléaires à gérer.
Imaginez maintenant le scénario : arrive une éruption solaire massive qui met hors service le réseau de courant mondial et détruit la majorité des transformateurs de courant, plongeant le monde dans l’obscurité. Les cités s’effondrent dans des chaos et des émeutes, la loi martiale est vite décrétée et toutes les nations du monde sont en pleine urgence. Mais cela ne résout pas le vrai gros problème, qui est quoi faire avec 700 réacteurs nucléaires qui ne peuvent être alimentés par le réseau et doivent pourtant assurer simultanément un courant d’urgence constant pour entretenir des générateurs pour le refroidissement.
Pendant combien de temps le refroidisseur doit-il circuler dans ces installations pour refroidir le combustible nucléaire ? Des mois. C’est aussi la leçon de Fukushima : on ne peut refroidir du combustible nucléaire plus de quelques heures ou jours. Il faut des mois pour amener les centrales à l’état d’arrêt à froid. Et cela veut dire que pour éviter une multitude de fusions dans le style de Fukushima sur la planète, il faut des wagons entiers de gasoil, de générateurs et d’ouvriers nucléaires pour chaque centrale de la planète, ponctuels, à chaque instant, sans pannes, pendant des mois.
Rappelez-vous quand même que ceci doit se faire au milieu d’une chute dans un chaos total de la civilisation, où il n’y a pas de courant, où les exécutifs de loi et les services d’urgence sont totalement débordés, où les gens meurent de faim parce que les approvisionnements en nourriture ont été interrompus (tous les véhicules grillés, vous vous souvenez ?), et quand des pillages et de la violence sont à tous les coins de rue de toutes les grandes villes du monde. Malgré tout, il faut amener ces caravanes de gasoil aux centrales nucléaires pour conserver la fonction des pompes.
Sauf qu’il y a un os, même si on suppose qu’on peut d’une manière ou d’une autre imaginer une logistique miracle et vraiment distribuer du gasoil aux générateurs de secours à temps (ce qui semble improbable).
Le problème est le suivant : où trouver du gasoil ?
Pourquoi les raffineries seront hors service également
Dans des raffineries de pétrole. La plupart des gens ne le réalisent pas, mais les raffineries de pétrole fonctionnent à l’électricité. Sans courant du réseau, les raffineries ne produisent pas une goutte de gasoil. Sans cela, il n’y a aucun générateur qui fera fonctionner le refroidissement des centrales.
Mais attendez, dites-vous : peut-être que nous pourrions avoir du gasoil dans toutes les stations service du monde. Pompez-le dans les cuves, conduisez le en camions et utilisez-le pour alimenter les générateurs, d’ac ? Sauf qu’il y a d’autres problèmes ici : comment pomper tout ce gasoil sans électricité ? Comment trouver tous les pneus et les pièces nécessaires pour faire rouler les camions s’il n’y a aucune électricité pour conserver l’approvisionnement des entreprises qui fonctionnent ? Comment maintenir une infrastructure pour faire rouler les camions quand l’infrastructure électrique est totalement anéantie ?
Quelques pays seraient capables de le réaliser avec quelque chance de succès. Grâce à des escortes militaires et un contrôle total du gouvernement sur toutes les réserves de gasoil, quelques nations seraient capables de protéger un minimum de centrales nucléaires de la fusion.
Mais voici la vraie question : il y a 700 installations nucléaires dans le monde, rappelez-vous. Supposons qu’à la suite d’une éruption solaire massive, les nations du monde soient plus ou moins capables de contrôler la moitié des installations et de les amener à un état d’arrêt à froid. Cela laisse encore en gros 350 centrales en risque.
Maintenant supposons que la moitié de ces dernières soient mises par chance hors de danger et ne soient pas en fonctionnement quand l’éruption solaire survient, elles ne nécessitent donc aucune attention particulière. C’est une supposition très optimiste, mais cela laisse toujours 175 centrales nucléaires prêtes à la panne.
Soyons outrageusement optimistes et supposons qu’un tiers de celles-ci n’aillent pas dans une fusion totale par un miracle divin, ou quelque bizarres distorsions des lois de la physique. Il nous reste donc encore 115 centrales qui « vont à Tchernobyl ».
Fukushima était une centrale nucléaire. Imaginez la dévastation de plus de 100 centrales nucléaires, toutes en fusion en même temps sur la planète. Ce n’est pas la perte d’électricité qui est le vrai problème ; c’est une vague mondiale de radioactivité invisible qui recouvre la planète, s’imprègne dans le sol, irradie tout ce qui respire et délivre le coup d’arrêt fatal à la civilisation humaine que nous connaissons aujourd’hui.
Parce que si vous avez 100 fusions nucléaires simultanées mondiales, la vague de radiations rendra les cultures presque impossibles pendant des années. Cela veut dire pas de production de nourriture pendant des années à suivre. Et cela, à son tour, signifie un effondrement presque total de la population humaine sur notre planète.
Combien de personnes peuvent survivre une année entière sans nourriture ? Pas une sur cent. En allant même au-delà, combien de personnes peuvent vivre essentiellement en souterrain et être en assez bonne santé par rapport aux radiations pour pouvoir avoir des enfants viables et repeupler la planète ? C’est une très, très petite fraction de la population totale.
Ce seront plus probablement des éruptions solaires qui frapperont les centrales nucléaires que des vagues géantes ou des séismes
Quelles sont les chances de survenue réelles ? Un rapport du laboratoire national de Oak Ridge a dit que »…au-delà du terme de la norme d’autorisation de 40 ans pour les centrales nucléaires, une activité d’éruption solaire donne une chance à long terme de 33 % de perte de courant, un risque qui dépasse de manière significative les séismes majeurs et les tsunamis. »
Le lien mondial à l’énergie nucléaire, voyez-vous, nous a condamné à détruire notre propre civilisation. Bien sûr, tout ceci est empêchable si nous démantelions et arrêtions TOUTES les centrales nucléaires de la planète. Mais quelles sont les chances que cela arrive ? Zéro, bien sûr. Il y a trop d’intérêts commerciaux et politiques en jeu.
Donc les centrales subsisteront et nous serons pour cela très vulnérables à une éruption solaire qui pourrait nous frapper n’importe quand et déchaîner un holocauste nucléaire. La planète Terre a déjà été touchée par des éruptions avant, bien sûr, mais toutes les grandes enregistrées dans l’histoire humaine se sont passées longtemps avant l’âge de l’électronique moderne, donc les impacts ont été minimes. Aujourd’hui, la société ne peut fonctionner sans électronique. Ni les pompes de refroidissement des centrales. Une fois que vous réalisez cela, vous commencez à comprendre le vrai danger dans lequel l’humanité s’est placé en se ligotant à l’énergie nucléaire.
En nous ligotant avec l’énergie nucléaire, nous risquons tout. Et nous le faisons aveuglément, sans vraie connaissance des dangers de faire fonctionner plus de 700 installations nucléaires dans un état constant de »presque fusion » tout en dépendant follement d’un courant électrique pour garder les barres de combustible froides. Si Fukushima, rien qu’elle, donne une vague de radiations mortelles, imaginez un monde avec 100 installations nucléaires qui entrent en fusion simultanément.
Une répétition de la tempête solaire de 1859 – appelée l’évènement de Carrington – »dévasterait le monde moderne », admet un article du National Geographic.
Que pouvez-vous faire à ce sujet ? Construisez vous-même un bunker souterrain et préparez-vous à vivre dedans pour une période indéterminée (quelques dizaines de cm vous protègent de la plupart des radiations). Les bonnes nouvelles sont que si vous survivez à tout et retournez un jour à la surface pour planter vos graines non-hybrides et commencez à reconstruire la société humaine, l’immobilier sera vraiment, vraiment bon marché. Spécialement dans les zones irradiées.
Prenez ceci au sérieux ! Lisez ce que dit la NASA
»Juste avant l’aube, les cieux de toute la planète ont donné une éruption d’aurores boréales rouges, vertes et pourpres si brillantes qu’on pouvait lire les journaux aussi facilement qu’en plein jour. De superbes aurores boréales ont pulsé même près de latitudes tropicales sur Cuba, les Bahamas, la Jamaïque, le Salvador et Hawaï. Encore plus déconcertant, les systèmes de télégraphie du monde se sont détraqués. Des décharges d’étincelles ont aspergé les opérateurs du télégraphe et mis le feu au papier. Même quand les télégraphieurs ont été disconnectés des batteries fournissant les lignes, les courants électriques induits par les aurores ont permis à des messages d’être transmis… »
»Comme les technologies électroniques sont devenues plus sophistiquées et plus incorporées dans la vie de tous les jours, elles nous ont aussi rendu plus vulnérables à l’activité solaire. Sur terre, les lignes de courant et les câbles téléphoniques de longue distance pourraient être affectés par les courants boréals, comme arrivé en 1989. Les radars, les communications par téléphones cellulaires et les GPS pourraient être dérangés par le bruit des ondes radio solaires. Des experts disent qu’il y a peu à faire pour protéger les satellites d’une éruption de type Carrington. En fait un article récent estime les dégâts potentiels aux 900 satellites actuellement en orbite à un coût entre 30 et 70 milliards de dollars. »
Traduit par Hélios Bistro-Bar-Blog
SOURCE : lesmoutonsenrages.fr
Achim- VIP
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- Message n°205
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
@ Captain Future
- GARGL -
FLAM- Animateur
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- Message n°206
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Justement, j'aimerais vos avis sur ce genre de "scenario" : est-il crédible sur toute la ligne, en tout cas en ce qui concerne ces possibles incidents d'ordre technique cités dans l'article ?Achim a écrit:
@ Captain Future
- GARGL -
Achim- VIP
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- Message n°207
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
@ Captain
L'article est d'une logique implacable, et la seule incertitude tient à l'intensité de l'éruption solaire ; une éruption de type Carrington est exceptionnelle, mais elle est toujours possible !!
C'est en pensant à la probabilité d'un tel scénario que l'on mesure l'irresponsabilité des abrutis qui nous gouvernent !!
L'article est d'une logique implacable, et la seule incertitude tient à l'intensité de l'éruption solaire ; une éruption de type Carrington est exceptionnelle, mais elle est toujours possible !!
C'est en pensant à la probabilité d'un tel scénario que l'on mesure l'irresponsabilité des abrutis qui nous gouvernent !!
hocine- Membre VIP Argent
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- Message n°208
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Normalement les générateurs d’électricité de secours et le pompage d’eau ne tomberont pas en panne pour la bonne raison :
Dans une usine sensible tel une centrale nucléaire il existe plusieurs groupes de diesel générateurs électrique de secours de fortes puissance en KW voir en Méga Watt , très rarement ils tombent en pannes tous à là fois, on procède tout les quinze jours ou peut être un peu plus (un mois pour les autres usines) à des vérifications d’entretien préventifs plus tests de mise en service sans que ces générateurs ne débitent sur le réseau de l’usine.
Ces générateurs électriques de forte puissance électrique sont autonomes, dés qu’une panne ou un déclenchement accidentel se produit dans l’usine les diesels qui entrainent les générateurs électriques démarrent en 3 ou 4 secondes environ par des batteries d’accumulateurs à courant continu suivant la consigne du relais de manque de tension qui donne l’ordre au relais de démarrage des diesels , les diesels sont alimentés par des grands bacs de gaz oïl et en alimentant ces bacs de fuel en peut tenir ces groupes de secours électriques en service pendant des mois s’il le faut sans aucun apport d’une source électrique extérieur .le branchement de ces groupes électriques se font automatiquement par la fermeture des disjoncteurs de puissance de secours sur le circuit électrique de l’usine après l’ouverture des disjoncteurs à alimentation normale .
Cette électricité permet d’alimenter les équipements prioritaires qui ne doivent pas s’arrêter instantanément, les autres équipements non prioritaires sont délestés
Les générateurs électriques de secours alimentent :
- L’éclairage de secours de toute l’usine
- Salle de contrôle et ses appareils de contrôles, de commande et d’alarmes de l’usine, des moyens de communication de l’usine, des salles de batteries de démarrages des groupes diesels de secours , et d’onduleurs électriques
- Le circuit de rotation du turbo alternateur électrique principale de l’usine qui ne doit aucunement et impérativement s’arrêter de tourner après l’arrêt de l’usine, un moteur vireur le maintien en rotation au ralenti jusqu'à refroidissement complet de l’axe turbine – alternateur pour éviter une distorsion de l’axe qui pourra entrainer une perte de plusieurs millions de dollars si cet équipement sera endommager .
- Les moto pompes de circulation d’eau d’incendie, ces moto pompes qui se mettent en marche automatiquement par l’électricité de secours des générateurs électriques et les diesels entrainant des pompes d’incendie dés que la pression d’eau chute dans la canalisation d’incendie lorsque l’eau est mise à contribution pour éteindre l’incendie ou refroidir les installations ,des immenses bacs de plusieurs milliers de mètres cubes d’eau sont là pour alimenter ces moto pompes d’incendie
- Les motos pompes d’eau du circuit de refroidissement qui n’arrêteront pas de faire circuler le fluide de refroidissement des installations à hautes températures jusqu’a refroidissement complète de ces installations ou pour éteindre un feu .
Avant d’arriver là à un grave incident , le personnel est formé sur la sécurité de l’usine ,chacun sait et doit regagner son poste d’urgence et appliquer les consignes qu’ils les avaient apprises dés qu’une alerte se fait entendre par une sirène , être prêt après la première alerte après le premier coup de sirène ,deuxième alerte tous rejoignent leurs poste d’urgence attendent les ordres , troisième appel de sirène plus longue fin d’alerte ,une répétition d’alerte - évacuer les lieux .
Voila , ce que j’ai décrit c’est un système japonais de sécurité d’une installation à risque dangereux ( j’ai participé sur la sécurité des installations avec les japonais ) ,le danger d’un problème qui se produit dans l’usine peut être contenu par les moyens de secours de l’usine sans aucun apport de sécurité de l’extérieur ,ces moyens de secours sont bien entretenu et contrôlé et ils sont prêt pour faire face à tout moment à un risque grave dans l’usine , le danger est classé par une échelle à risque et d’alerte , les autres moyens de secours de d’autres unités extérieures de l’usine resteront prêtes pour intervenir si l’alerte passe à un niveau élevé pour une nécessaire intervention après une demande d’assistance .
Un incident peut survenir :
- à une faute opératoire - erreur humaine
- a de consigne de sécurité non observée
- à une défaillance technique – défauts sur l’équipement principale lui même pannes d’appareillages de contrôle, défauts système électrique etc. …
- à des causes naturelles - tremblement de terre ou tsunami ; foudre,
- mauvaises conceptions de l’usine construite sur sol instable, marécageux, fraudes sur la qualité des matériaux de constructions et sur l’ossature portante, normes de constructions non respectés, les normes sismiques non respectées, faible protection contre les tsunamis , alors là les risques seront plus graves et risqueront de ne pas être contenu par les moyens de secours de l’usine .
Dans une usine sensible tel une centrale nucléaire il existe plusieurs groupes de diesel générateurs électrique de secours de fortes puissance en KW voir en Méga Watt , très rarement ils tombent en pannes tous à là fois, on procède tout les quinze jours ou peut être un peu plus (un mois pour les autres usines) à des vérifications d’entretien préventifs plus tests de mise en service sans que ces générateurs ne débitent sur le réseau de l’usine.
Ces générateurs électriques de forte puissance électrique sont autonomes, dés qu’une panne ou un déclenchement accidentel se produit dans l’usine les diesels qui entrainent les générateurs électriques démarrent en 3 ou 4 secondes environ par des batteries d’accumulateurs à courant continu suivant la consigne du relais de manque de tension qui donne l’ordre au relais de démarrage des diesels , les diesels sont alimentés par des grands bacs de gaz oïl et en alimentant ces bacs de fuel en peut tenir ces groupes de secours électriques en service pendant des mois s’il le faut sans aucun apport d’une source électrique extérieur .le branchement de ces groupes électriques se font automatiquement par la fermeture des disjoncteurs de puissance de secours sur le circuit électrique de l’usine après l’ouverture des disjoncteurs à alimentation normale .
Cette électricité permet d’alimenter les équipements prioritaires qui ne doivent pas s’arrêter instantanément, les autres équipements non prioritaires sont délestés
Les générateurs électriques de secours alimentent :
- L’éclairage de secours de toute l’usine
- Salle de contrôle et ses appareils de contrôles, de commande et d’alarmes de l’usine, des moyens de communication de l’usine, des salles de batteries de démarrages des groupes diesels de secours , et d’onduleurs électriques
- Le circuit de rotation du turbo alternateur électrique principale de l’usine qui ne doit aucunement et impérativement s’arrêter de tourner après l’arrêt de l’usine, un moteur vireur le maintien en rotation au ralenti jusqu'à refroidissement complet de l’axe turbine – alternateur pour éviter une distorsion de l’axe qui pourra entrainer une perte de plusieurs millions de dollars si cet équipement sera endommager .
- Les moto pompes de circulation d’eau d’incendie, ces moto pompes qui se mettent en marche automatiquement par l’électricité de secours des générateurs électriques et les diesels entrainant des pompes d’incendie dés que la pression d’eau chute dans la canalisation d’incendie lorsque l’eau est mise à contribution pour éteindre l’incendie ou refroidir les installations ,des immenses bacs de plusieurs milliers de mètres cubes d’eau sont là pour alimenter ces moto pompes d’incendie
- Les motos pompes d’eau du circuit de refroidissement qui n’arrêteront pas de faire circuler le fluide de refroidissement des installations à hautes températures jusqu’a refroidissement complète de ces installations ou pour éteindre un feu .
Avant d’arriver là à un grave incident , le personnel est formé sur la sécurité de l’usine ,chacun sait et doit regagner son poste d’urgence et appliquer les consignes qu’ils les avaient apprises dés qu’une alerte se fait entendre par une sirène , être prêt après la première alerte après le premier coup de sirène ,deuxième alerte tous rejoignent leurs poste d’urgence attendent les ordres , troisième appel de sirène plus longue fin d’alerte ,une répétition d’alerte - évacuer les lieux .
Voila , ce que j’ai décrit c’est un système japonais de sécurité d’une installation à risque dangereux ( j’ai participé sur la sécurité des installations avec les japonais ) ,le danger d’un problème qui se produit dans l’usine peut être contenu par les moyens de secours de l’usine sans aucun apport de sécurité de l’extérieur ,ces moyens de secours sont bien entretenu et contrôlé et ils sont prêt pour faire face à tout moment à un risque grave dans l’usine , le danger est classé par une échelle à risque et d’alerte , les autres moyens de secours de d’autres unités extérieures de l’usine resteront prêtes pour intervenir si l’alerte passe à un niveau élevé pour une nécessaire intervention après une demande d’assistance .
Un incident peut survenir :
- à une faute opératoire - erreur humaine
- a de consigne de sécurité non observée
- à une défaillance technique – défauts sur l’équipement principale lui même pannes d’appareillages de contrôle, défauts système électrique etc. …
- à des causes naturelles - tremblement de terre ou tsunami ; foudre,
- mauvaises conceptions de l’usine construite sur sol instable, marécageux, fraudes sur la qualité des matériaux de constructions et sur l’ossature portante, normes de constructions non respectés, les normes sismiques non respectées, faible protection contre les tsunamis , alors là les risques seront plus graves et risqueront de ne pas être contenu par les moyens de secours de l’usine .
sergent garcia- VIP
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Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
"il existe plusieurs groupes de diesel générateurs électrique de secours de fortes puissance en KW voir en Méga Watt ,"
Exact.
...ce qui signifie que, si pour une raison ou une autre, les rafineries ne fournissent plus de carburant..les groupes de secours tombent à leur tour en panne. En cas de coupure de courant généralisée les rafineries ne pourront produirent le carburant nécessaire à long terme (car elle ont besoin d'électricité pour raffiner)...d'où le scénario suivant...
En cas de situations dangereuse les barres de sécurité chutent automatiquement dans le cœur, stoppant instantanément le réacteur. Ca c'est le rôle du système de sécurité. En théorie, dans l'hypothèse d'une coupure de courant longue, avant que le système de sécurité succombe à son tour celui-ci commandera les barres de graphite pour stopper complètement toute réaction nucléaire.
Alors posons-nous la question; Pourquoi le système de secour de Fushima n'a pas fait chuter les barres pour arrêter la réaction nucléaire ? Il me semble que le système de sécurité s'était retrouvé noyé par la vague géante. Autrement dit les deux systèmes de contrôle sont tombé en panne simultanément..et alors là on ne contrôle plus rien, c'est la catastrophe...
Par contre dans le scénario décrit par mon Capitaine, il reste le problème de confinement des divers déchets et autres matériaux radioactifs qui demandent une source d'énergie pour être sécurisés ou traités.
Exact.
...ce qui signifie que, si pour une raison ou une autre, les rafineries ne fournissent plus de carburant..les groupes de secours tombent à leur tour en panne. En cas de coupure de courant généralisée les rafineries ne pourront produirent le carburant nécessaire à long terme (car elle ont besoin d'électricité pour raffiner)...d'où le scénario suivant...
En cas de situations dangereuse les barres de sécurité chutent automatiquement dans le cœur, stoppant instantanément le réacteur. Ca c'est le rôle du système de sécurité. En théorie, dans l'hypothèse d'une coupure de courant longue, avant que le système de sécurité succombe à son tour celui-ci commandera les barres de graphite pour stopper complètement toute réaction nucléaire.
Alors posons-nous la question; Pourquoi le système de secour de Fushima n'a pas fait chuter les barres pour arrêter la réaction nucléaire ? Il me semble que le système de sécurité s'était retrouvé noyé par la vague géante. Autrement dit les deux systèmes de contrôle sont tombé en panne simultanément..et alors là on ne contrôle plus rien, c'est la catastrophe...
Par contre dans le scénario décrit par mon Capitaine, il reste le problème de confinement des divers déchets et autres matériaux radioactifs qui demandent une source d'énergie pour être sécurisés ou traités.
Achim- VIP
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- Message n°210
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
@ sergent garcia
Ehhh oui ! Grâce au Dieu Progrès Technologique, on se retrouve dans un monde merdique !
hocine- Membre VIP Argent
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- Message n°211
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Sergent,
Les raffineries peuvent fournir du carburant même en cas de panne,
Ils ont une grande réserve de carburant qui sont stocké dans des bacs géants de milliers de mètres cube de carburant assez pour tenir un approvisionnement pour des semaines par exemple pour les besoins de secours d’une centrale nucléaire , toutes les raffineries du pays sont mobilisées et prêtes de fournir l’assistance nécessaire dans le cadre de l’assistance mutuelle , toutes ces raffineries ne tombent pas en pannes en même temps , des commandes en urgence seront aussi lancées à l’étranger pour l’envoi de navires citernes de carburants pour créer des stocks en réserve .
Sauf explosion suivi de destruction, les pannes dans une raffinerie ne dépassent pas généralement une semaine ou deux et puis ils ont des unités « utilités » dotés de chaudières alimentant les turbo alternateurs qui fournissent l’électricité et la vapeur pour les turbines à vapeur entrainant des pompes , les installations des raffineries peuvent partiellement rester en service si l’une des unités tombe en panne sans apport extérieure d’énergie électrique , .dans une raffinerie les unités sont séparés , qui sont l’unité de carburant , de lubrifiant , de bitume , de gaz ...
Fukushima me semble une sorte de WTC à une autre dimension, j’ai signalé dans mon post précédent que la centrale pourrait être victime d’une mauvaises conceptions de l’usine construite sur un sol instable, marécageux, fraudes sur la qualité des matériaux de constructions et sur l’ossature portante, normes de constructions non respectés, les normes sismiques non respectées, faible protection contre les tsunamis , alors là les risques seront plus graves et risqueront de ne pas être contenu par les moyens de secours de l’usine .
Depuis longtemps le Japon gagne du terrain sur l’océan , il gagne des surfaces à utiliser sur l’eau ,il met de plus en plus de terre sur la terre immergée de l’océan et là la négligence fait son apparition , on est encouragé à continuer à défier la nature ,on son foute des forts tsunamis ,ils fouillent les archives et ils se disent les petits tsunamis deux ou trois mètres ne feront pas de mal nous allons à une protection contre une vague de cinq ou six mètres et puis un méga tsunami peut être il n’arrivera que dans un siècle ou deux et puis c’est pas sur qu’il arrivera alors on fonce on construit et puis il y a des gros sous en jeu et si on fait dans l’économie en faisant que le stricte minimum sur la construction de la centrale on peu se remplir aussi les poches .
Fukushima est sans doute construite sur ces terres instables une terre gagnée sur l’océan sur une autre terre immergée je crois que là c’est très dangereux lors d’un tremblement de terre, la terre rajouté ne sera jamais solidaire de l’autre qui est là sous l’océan depuis la naissance de la terre , l’une n’est pas solidaire de l’autre , je crois que c’est valable pour les autres habitants balayé par le tsunami ,ils ont payé une faute d’aller habiter et vivre à un niveau très proche que celui de l’océan et surement de la politique – gagné des surfaces habitables sur l’océan .
Il faut vérifier sur quelle terre sont construites les autres centrales nucléaires au Japon ?
Surement ils n’ont su quoi faire face à la catastrophe de cette centrale nucléaire, sans doute le réacteur s’est déplacé vers le bas et il s’est détaché de ses moyens de secours et ce n’était pas prévu dans leur manuel de secours.
Pour ce qui est des installations de contrôle du réacteur nucléaire
Dans toutes les installations de centrales nucléaires , ou raffineries , ou complexe gazier , les salles de contrôles sont d’une construction à toute épreuve ,de l’explosion à l’intérieur de l’usine ,aux inondations ou tsunamis dans les zones à risques et pour cela les salles de contrôles sont élevés en étage ou surélevées , les circuits d’alarmes et de contrôles doivent être loin de toute contrainte d’immersion , de feu , d’accidents mécaniques , avant de la construction de l’usine ,on procède à des sondages du sous sol carottage , la position du terrain par rapport à la mer , zone sismique est prise on compte pour les normes de construction , zones traversé par les ouragans et des vents très forts sont prises en compte et d’autres choses encore .
Les raffineries peuvent fournir du carburant même en cas de panne,
Ils ont une grande réserve de carburant qui sont stocké dans des bacs géants de milliers de mètres cube de carburant assez pour tenir un approvisionnement pour des semaines par exemple pour les besoins de secours d’une centrale nucléaire , toutes les raffineries du pays sont mobilisées et prêtes de fournir l’assistance nécessaire dans le cadre de l’assistance mutuelle , toutes ces raffineries ne tombent pas en pannes en même temps , des commandes en urgence seront aussi lancées à l’étranger pour l’envoi de navires citernes de carburants pour créer des stocks en réserve .
Sauf explosion suivi de destruction, les pannes dans une raffinerie ne dépassent pas généralement une semaine ou deux et puis ils ont des unités « utilités » dotés de chaudières alimentant les turbo alternateurs qui fournissent l’électricité et la vapeur pour les turbines à vapeur entrainant des pompes , les installations des raffineries peuvent partiellement rester en service si l’une des unités tombe en panne sans apport extérieure d’énergie électrique , .dans une raffinerie les unités sont séparés , qui sont l’unité de carburant , de lubrifiant , de bitume , de gaz ...
Fukushima me semble une sorte de WTC à une autre dimension, j’ai signalé dans mon post précédent que la centrale pourrait être victime d’une mauvaises conceptions de l’usine construite sur un sol instable, marécageux, fraudes sur la qualité des matériaux de constructions et sur l’ossature portante, normes de constructions non respectés, les normes sismiques non respectées, faible protection contre les tsunamis , alors là les risques seront plus graves et risqueront de ne pas être contenu par les moyens de secours de l’usine .
Depuis longtemps le Japon gagne du terrain sur l’océan , il gagne des surfaces à utiliser sur l’eau ,il met de plus en plus de terre sur la terre immergée de l’océan et là la négligence fait son apparition , on est encouragé à continuer à défier la nature ,on son foute des forts tsunamis ,ils fouillent les archives et ils se disent les petits tsunamis deux ou trois mètres ne feront pas de mal nous allons à une protection contre une vague de cinq ou six mètres et puis un méga tsunami peut être il n’arrivera que dans un siècle ou deux et puis c’est pas sur qu’il arrivera alors on fonce on construit et puis il y a des gros sous en jeu et si on fait dans l’économie en faisant que le stricte minimum sur la construction de la centrale on peu se remplir aussi les poches .
Fukushima est sans doute construite sur ces terres instables une terre gagnée sur l’océan sur une autre terre immergée je crois que là c’est très dangereux lors d’un tremblement de terre, la terre rajouté ne sera jamais solidaire de l’autre qui est là sous l’océan depuis la naissance de la terre , l’une n’est pas solidaire de l’autre , je crois que c’est valable pour les autres habitants balayé par le tsunami ,ils ont payé une faute d’aller habiter et vivre à un niveau très proche que celui de l’océan et surement de la politique – gagné des surfaces habitables sur l’océan .
Il faut vérifier sur quelle terre sont construites les autres centrales nucléaires au Japon ?
Surement ils n’ont su quoi faire face à la catastrophe de cette centrale nucléaire, sans doute le réacteur s’est déplacé vers le bas et il s’est détaché de ses moyens de secours et ce n’était pas prévu dans leur manuel de secours.
Pour ce qui est des installations de contrôle du réacteur nucléaire
Dans toutes les installations de centrales nucléaires , ou raffineries , ou complexe gazier , les salles de contrôles sont d’une construction à toute épreuve ,de l’explosion à l’intérieur de l’usine ,aux inondations ou tsunamis dans les zones à risques et pour cela les salles de contrôles sont élevés en étage ou surélevées , les circuits d’alarmes et de contrôles doivent être loin de toute contrainte d’immersion , de feu , d’accidents mécaniques , avant de la construction de l’usine ,on procède à des sondages du sous sol carottage , la position du terrain par rapport à la mer , zone sismique est prise on compte pour les normes de construction , zones traversé par les ouragans et des vents très forts sont prises en compte et d’autres choses encore .
Xtra33- Membre - Niveau1
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- Message n°212
les suites du tsunami
Les suites du Tsunami au Japon :
UN MONSTRE EN DIRECTION DES ÉTATS-UNIS!
"Entre 5 et 20 millions de tonnes de débris (bateaux de pêche, meubles, électroménager...) aspirées dans l'océan Pacifique après le tsunami du 11 mars dernier se dirigent rapidement vers Hawaï."
Selon le journal britannique Daily Mail, des chercheurs de l'université d'Hawaï estiment que ces débris pourraient atteindre les côtes américaines au cours des trois prochaines années. "Nous évaluons entre 5 et 20 millions de tonnes la quantité de débris qui proviennent des dégâts causés par le tsunami japonais" a révélé le chercheur Jan Hafner à la télévision hawaïenne. Les membres d'équipage du navire russe STS Pallada ont "repéré des débris à environ 3 000 km du Japon" le mois dernier après avoir passé les îles Midways, écrit encore le quotidien britannique. "Ils ont vu des meubles, certains appareils d'électroménager et ont même récupéré un bateau de pêche", a ajouté Jan Hafner. Le bateau mesure un peu plus de 6 mètres et portait l'inscription "Fukushima". "C'est effectivement notre premier rapport sur les débris du tsunami" a conclu Hafner. L'ensemble des débris pourraient atteindre les côtes américaines au cours des trois prochaines années.
SOURCE: le site : L'Avenir ne nous appartient plus
UN MONSTRE EN DIRECTION DES ÉTATS-UNIS!
"Entre 5 et 20 millions de tonnes de débris (bateaux de pêche, meubles, électroménager...) aspirées dans l'océan Pacifique après le tsunami du 11 mars dernier se dirigent rapidement vers Hawaï."
Selon le journal britannique Daily Mail, des chercheurs de l'université d'Hawaï estiment que ces débris pourraient atteindre les côtes américaines au cours des trois prochaines années. "Nous évaluons entre 5 et 20 millions de tonnes la quantité de débris qui proviennent des dégâts causés par le tsunami japonais" a révélé le chercheur Jan Hafner à la télévision hawaïenne. Les membres d'équipage du navire russe STS Pallada ont "repéré des débris à environ 3 000 km du Japon" le mois dernier après avoir passé les îles Midways, écrit encore le quotidien britannique. "Ils ont vu des meubles, certains appareils d'électroménager et ont même récupéré un bateau de pêche", a ajouté Jan Hafner. Le bateau mesure un peu plus de 6 mètres et portait l'inscription "Fukushima". "C'est effectivement notre premier rapport sur les débris du tsunami" a conclu Hafner. L'ensemble des débris pourraient atteindre les côtes américaines au cours des trois prochaines années.
SOURCE: le site : L'Avenir ne nous appartient plus
FLAM- Animateur
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- Message n°213
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Sûreté nucléaire: les tests de résistance en bonne voie
Centrale nucléaire de Cattenom
Illustration: Stefan Kühn/licence Creative Commons
Les tests de résistance des centrales nucléaires européennes sont en bonne voie et renforceront la sûreté et la sécurité nucléaire dans l'UE, déclare la Commission dans sa toute première communication à ce sujet. À la suite de l'accident nucléaire de Fukushima, l'UE a réagi rapidement et a convenu d'effectuer des tests volontaires pour la totalité des 143 réacteurs électronucléaires en service sur son territoire, sur la base de critères communs. Dans sa communication publiée aujourd'hui, la Commission examine les premières constatations issues de ces tests et indique quelques domaines politiques où le cadre de l'UE dans le domaine de la sûreté nucléaire pourrait être renforcé au moyen de normes communes. Les résultats des tests de résistance seront publiés l'année prochaine une fois les tests achevés.
Le commissaire européen à l'énergie, M. Günther Oettinger, a déclaré: "Les tests de résistance marquent une étape essentielle dans nos efforts pour renforcer la sûreté et la sécurité des centrales nucléaires en Europe. Nous ne pouvons accepter quoique ce soit d'inférieur aux normes techniques les plus élevées possibles. S'il appartient à chaque État membre de décider de recourir ou non à l'énergie nucléaire pour la production d'électricité, il faut garantir que la population n'est pas mise en danger et que les normes de sûreté les plus élevées sont non seulement édictées mais surtout respectées partout dans l'UE et dans le reste du monde."
Les quatorze États membres de l'UE qui exploitent des centrales nucléaires (Allemagne, Belgique, Bulgarie, Espagne, Finlande, France, Hongrie, Pays-Bas, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède), plus la Lituanie qui procède actuellement au déclassement de sa dernière tranche nucléaire, participent à la campagne de tests de résistance. Les voisins de l'UE tels que la Suisse et l'Ukraine participent également à la campagne de tests, tandis que d'autres pays voisins ont confirmé leur engagement à participer.
Les tests avancent conformément au calendrier prévu, les délais ont été tenus jusqu'à présent. Les exploitants nucléaires devaient envoyer un premier rapport pour le 15 août et les autorités nationales de sûreté ont envoyé leurs rapports intermédiaires à la Commission européenne pour le 15 septembre.
Les tests de résistance ont été effectués sur une base volontaire et pour la première fois dans l'UE. Ces évaluations complètes et transparentes renforceront la sûreté et la sécurité nucléaire dans l'UE. La sûreté nucléaire est indivisible. C'est pourquoi la protection de la population de l'UE passe avant tout par l'établissement d'un processus visant à établir les normes communes les plus élevées possibles en matière de sûreté et de sécurité.
La gestion des menaces sur la sécurité, c'est-à-dire la prévention des actes délibérés et la planification de la réaction face à de tels actes, est évaluée en parallèle dans le cadre d'un processus supervisé par le Conseil de l'UE. Le rapport sur l'avancement des travaux du groupe ad hoc du Conseil sur la sécurité nucléaire, joint au rapport intermédiaire de la Commission, souligne que les États membres, dans leur engagement en faveur de la sécurité nucléaire, sont prêts à aller plus loin en tirant pleinement parti des mécanismes internationaux pertinents et en les renforçant.
La Commission européenne est déjà occupée à tirer les premières leçons des tests, bien que les résultats définitifs ne soient pas encore connus: ils sont attendus pour l'année prochaine, une fois les tests achevés. La communication identifie plusieurs domaines politiques où une action supplémentaire est jugée nécessaire, soit dans le cadre d'une meilleure coordination entre les États membres ou d'une proposition de nouvelle législation de l'UE dans le domaine de la sûreté nucléaire:
Une nouvelle législation de l'UE pourrait définir des critères communs pour le choix des sites, la conception, la construction et l'exploitation des centrales nucléaires. Des dispositions légales devraient aussi renforcer l'indépendance des autorités de sûreté qui délivrent les permis et effectuent des contrôles sur place.
Les États membres pourraient établir des plans de gestion des risques nucléaires transfrontaliers afin de mieux se préparer aux situations d'urgence et de mieux coordonner leurs réactions en pareil cas.
Une approche européenne de la responsabilité nucléaire devrait également être mise en place. Les victimes devraient recevoir la même indemnisation quel que soit leur pays de résidence.
Les programmes de recherche de l'UE devraient comporter un important volet sur la sûreté nucléaire.
Contexte
L'objectif des tests de résistance est de réévaluer la capacité des centrales nucléaires à résister aux conséquences des catastrophes naturelles, des défaillances humaines ou d'actes malveillants.
Les exploitants devaient remettre leur rapport final pour le 31 octobre 2011 et les autorités nationales pour le 31 décembre 2011. Les rapports finaux nationaux feront l'objet d'un examen par les pairs menés par des experts d'autres États membres et un représentant de la Commission européenne. La Commission européenne présentera les résultats définitifs au Conseil Européen lors de sa réunion de juin 2012.
Les rapports nationaux et les résultats de l'examen par les pairs seront rendus publics. Les rapports nationaux sur l'avancement des tests sont disponibles sur le site de l'ENSREG.
SOURCE : techno-science.net
FLAM- Animateur
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Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Sécurité nucléaire: visite surprise de deux députés
La centrale nucléaire de Paluel, en Seine-Maritime, le 15 mars 2011
KENZO TRIBOUILLARD AFP.COM
NUCLEAIRE - La centrale du Blayais, en Gironde, et celle de Paluel, en Seine Maritime, ont reçu la visite de deux députés mercredi...
Documentation foisonnante et parfois erronée, clef du tableau électrique indisponible car en commande: une visite inopinée de parlementaires dans deux centrales nucléaires pour des exercices d'urgence n'a rien dévoilé d'alarmant mais donné lieu à des «situations parfois burlesques». Les exploitants sont animés par «un haut de degré de responsabilité» a souligné d'entrée Claude Birraux, président de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst), avant de détailler les péripéties de sa visite nocturne dans la centrale de Paluel (Seine-Maritime).
Les responsables de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) qui l'accompagnaient mercredi soir y ont simulé «une perte totale des alimentations électriques» et du diesel de secours du réacteur numéro 1 qui nécessitait son branchement sur la tranche numéro 2 pour rétablir l'alimentation en énergie. Un cas de figure similaire à celui qui a provoqué l'accident dans la centrale japonaise de Fukushima le 11 mars dernier.
Une opération qualifiée d'«exotique» par EDF
L'alerte fictive est lancée à 22h00 et les agents d'astreinte arrivent sur place rapidement pour préparer ce raccordement électrique, une opération qualifiée d'«exotique» par EDF, a rapporté Claude Birraux jeudi lors d'une conférence de presse. Les déconvenues s'enchaînent: à 23h30, les agents annoncent qu'une clef nécessaire pour ouvrir un panneau d'alimentation électrique est actuellement «en commande» et n'est pas disponible sur le site... A 00h00, l'équipe arrive dans le local électrique de la tranche 1 «mais les indications du document de procédure ne correspondent pas au panneau électrique» qu'ils y trouvent. «Il y a un doute: les clefs sur le panneau sont-elles mal étiquetées ou bien sommes-nous dans le mauvais local? Le local non plus n'est pas numéroté», ce qui ne facilite pas la manoeuvre, poursuit le député.
Il faudra «plusieurs allers et retours» entre la tranche 1 et la tranche 2 pour que les agents de la centrale découvrent qu'une partie des instructions qu'ils ont entre les mains sont «inexactes». «L'énigme est résolue» mais l'opération n'est pas effectuée pour autant. L'équipe décide alors, de sa propre initiative et «à raison», de se rendre dans la tranche. Malheureusement, le guide de procédure d'EDF comporte de nouvelles inexactitudes, des ambiguïtés et «certaines actions semblent tout bonnement inutiles au personnel sur place», relève Claude Birraux.
Erreurs et lacunes dans la procédure
Jugement sans appel de l'ASN, cité par l'Opecst: le guide technique d'EDF pour cette procédure, daté de décembre 2008, comporte de «nombreuses erreurs» et «lacunes», et il n'était «à l'évidence pas opérationnel». «Toutefois, il est important de signaler que le personnel a su se poser de bonnes questions, n'est jamais resté bloqué devant ces situations parfois burlesques, et au final réussissait à progresser dans ce guide technique qu'il n'hésitait pas à critiquer lui-même ouvertement», insiste Claude Birraux.
L'inspection menée par le sénateur Bruno Sido, vice-président de l'Opecst, à la centrale du Blayais (Gironde) a là encore mis en lumière les difficultés des agents à se repérer dans le maquis documentaire d'EDF décrivant les consignes à suivre en cas d'incident. Il aura ainsi fallu une demi-heure et quatre personnes compulsant frénétiquement leurs fiches pour répondre à la question posée par l'ASN: «quel est le critère conduisant à l'arrêt du pompage d'eau en cas d'inondation?». Les agents d'EDF cherchaient dans la rubrique «pompage» alors que la réponse se trouvait dans la rubrique «inondation», a expliqué Bruno Sido.
SOURCE : 20minutes.fr
FLAM- Animateur
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- Message n°215
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Nouvelle fuite radioactive détectée à Fukushima
Vue de la centrale accidentée de Fukushima. AFP/.
Une nouvelle fuite de liquide radioactif se déversant en partie dans l'océan Pacifique a été détectée à la centrale accidentée de Fukushima, a annoncé, lundi 5 décembre, l'opérateur du site Tokyo Electric Power (Tepco). Des techniciens ont été dépêchés sur les lieux pour trouver la cause de cet écoulement qui s'est produit à proximité d'un système de décontamination des eaux usées, a précisé Tepco.
Une nappe de 45 tonnes d'eau polluée a été découverte autour d'un condensateur, et une barrière de sacs de sable a été dressée à la hâte pour empêcher l'eau de s'échapper. La majeure partie du liquide contaminé est restée à l'intérieur du bâtiment abritant le système de décontamination, mais quelque 300 litres auraient coulé vers un caniveau débouchant dans l'océan, a indiqué un responsable de Tepco.
CÉSIUM 137 ET IODE 131
L'eau contenait des substances radioactives comme le césium 137 et l'iode 131, mais à des niveaux "similaires ou légèrement supérieurs" à ceux détectés dans l'eau de mer près du site nucléaire, a-t-il ajouté. D'autres substances dangereuses, comme le strontium radioactif, qui peut provoquer des cancers des os, seraient également présentes dans l'eau contaminée, mais il faudra deux à trois semaines avant d'en avoir confirmation, selon Tepco. "Nous allons continuer notre enquête sur le problème survenu" au système de décontamination, a indiqué le porte-parole.
Dans les semaines qui ont suivi l'accident atomique du 11 mars, causé par un séisme et un tsunami géants, Tepco a déversé 10 000 tonnes d'eau légèrement radioactive dans l'océan Pacifique. Les tests effectués par la suite ont démontré que la radioactivité s'était dispersée dans la mer sans menacer directement la vie animale ou celle des humains. Tepco a précisé que cette fuite n'allait pas l'empêcher de parvenir d'ici à la fin du mois à un "arrêt à froid" des réacteurs, c'est-à-dire au maintien stable du combustible nucléaire sous la barre des 100 °C.
La catastrophe de la centrale Fukushima Dai-Ichi, la plus grave depuis celle de Tchernobyl, en 1986, n'a fait aucun mort direct, mais a contraint des dizaines de milliers de personnes à fuir les zones contaminées par les rejets hautement radioactifs des réacteurs endommagés.
LEMONDE.FR avec AFP | 05.12.11 | 09h26
SOURCE : .lemonde.fr
-Z-- VIP
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- Message n°216
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Bah ! On en est pas à une de plus... La ça rentre dans la rubrique "fait divers nucléaire"....
FLAM- Animateur
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- Message n°217
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
François Fillon confirme un audit de la sûreté des sites nucléaires
Après l'intrusion début décembre d'une dizaine de militants de Greenpeace dans deux centrales nucléaires françaises, François Fillon a annoncé lundi 19 décembre que la France allait lancer un audit de la sécurité des sites nucléaires du pays.
Dans une lettre aux ministres de l'écologie, de l'intérieur et de l'industrie, le premier ministre demande que les premières conclusions lui soient communiquées le 31 janvier et le rapport définitif le 30 juin 2012. L'audit portera sur les installations nucléaires qui ont fait l'objet en 2011 d'une évaluation complémentaire de sûreté.
Lire la suite sur lemonde.fr
Apollyôn- Modérateur
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- Message n°218
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Japon : le rapport qui accuse la Tepco et le gouvernement
Le manque d’organisation et de préparation de l’exploitant de la centrale de Fukushima et du gouvernement est mis en exergue dans un rapport d’experts publié lundi.
Le groupe d’experts mandatés par le gouvernement Japonais a rendu un rapport particulièrement sévère vis-à-vis des autorités gouvernementales et de l’opérateur TEPCO, exploitant de la centrale de Fukushima. Les auteurs reprochent notamment aux deux entités d’avoir sous-estimé les risques de tsunami après un séisme lors des études de sécurité. La vague qui a frappé la centrale nucléaire était deux fois plus haute que la hauteur maximale prévue par l’organisme de régulation nucléaire, à savoir six mètres.
Pourtant, la TEPCO avait modélisé en 2008 l’impact d’une vague de plus de quinze mètres mais sans prendre de mesures correctives même si les calculs prouvaient que cette hypothèse n’était pas impossible. Pour les experts cette estimation erronée a conduit à négliger certains risques comme l’arrêt total de toutes les sources électriques alimentant les réacteurs.
Toujours selon le rapport, les accidents survenus sur les réacteurs auraient pu être minimisés et les rejets de substances radioactives auraient pu être limités avec une réponse adaptée à la situation. Les auteurs estiment que les techniciens auraient dû procéder à des relâchements de pression dans les réacteurs 1 et 3 et débuté les opérations d’arrosage plus tôt. Apparemment les travailleurs n'ont pas cherché de sources alternatives d'eau pour refroidir les réacteurs car ils supposaient que les systèmes de refroidissement fonctionnaient, même si de nombreux signaux d'avertissement affirmaient le contraire.
Des défauts de communication entre l’opérateur, les fonctionnaires de l’organisme de régulation nucléaire et le bureau du premier ministre sont également relevés. De même que la qualité des informations communiquées à la population lors des premiers jours de la catastrophe. Pour éviter une potentielle panique, le gouvernement a « usé d’un langage pour tenter d’atténuer la crise alors que trois réacteurs étaient effondrés » ce qui a amené a exposé des populations à la la radioactivité au lieu de les évacuer plus rapidement.
Ce mardi, au lendemain de la publication du rapport (dont la version définitive est attendue pour l’été prochain) le ministre japonais du Commerce et de l'Industrie a annoncé qu’il envisageait un versement massif de fonds public (plus de 10 milliards d’euros) dans les comptes de TEPCO. L’opérateur connait en effet de graves difficultés financières compte tenu du coût des opérations de sécurisation de la centrale et d’indemnisation des personnes blessées ou évacuées.
Si le versement d’une telle somme était accepté cela reviendrait de facto à une nationalisation de l’exploitant, ses fonds propres étant largement inférieurs à cette somme. Une réunion doit avoir lieu ce soir (heure française) entre le ministre et les dirigeants de TEPCO. Elle devrait sceller, au moins temporairement, le sort de la société.
source : http://www.sciencesetavenir.fr/crise-nucleaire-au-japon/20111227.OBS7615/japon-le-rapport-qui-accuse-la-tepco-et-le-gouvernement.html
Apollyôn- Modérateur
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- Message n°219
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
AFPle gouvernement nippon a craint un temps la fin de Tokyo
Le gouvernement japonais a travaillé un temps sur un scénario prévoyant la fin de Tokyo, à l'issue d'une série d'explosions nucléaires consécutive à l'accident de la centrale de Fukushima, a révélé mardi une commission indépendante enquêtant sur la réaction des autorités.
Le porte-parole du gouvernement au moment de l'accident consécutif au tsunami du 11 mars 2011, Yukio Edano, a déclaré aux enquêteurs: "J'ai pensé à un scénario diabolique" où les réacteurs nucléaires auraient explosé les uns après les autres. "Si ça arrive, Tokyo est fini", a expliqué avoir pensé le responsable à l'époque.
Des plans avaient été dressés au cas où une immense évacuation de la capitale aurait été nécessaire, à la mi-mars au moment où la maîtrise de la crise nucléaire en cours était encore très incertaine.
La préfecture de Tokyo compte 13 millions d'habitants. En y ajoutant la population des trois préfectures voisines constitutives du "grand Tokyo", la mégapole compte 35 millions d'habitants, formant la plus importante agglomération urbaine du monde.
Ces informations avaient déjà été révélées il y a quelques mois par le Premier ministre de l'époque, Naoto Kan, démissionnaire depuis.
Les données plus précises fournies mardi ont été publiées dans un rapport d'une commission d'experts chargée d'enquêter sur les événements entourant la pire crise nucléaire planétaire depuis l'accident de Tchernobyl (Ukraine) en 1986.
D'après cette étude, le gérant de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima Daiichi (située à 220 km au nord-est du centre de Tokyo), Tokyo Electric Power (Tepco), a voulu au pire de la crise évacuer le site atomique où ses employés tentaient de maîtriser le désastre.
Mais Tepco, qui a refusé de répondre aux questions de la commission, s'est vu ordonné à l'époque par Naoto Kan de continuer le travail en maintenant ses travailleurs sur place.
D'après les experts, si le Premier ministre n'avait pas insisté et obtenu gain de cause, l'accident de Fukushima aurait davantage dégénéré, entraînant des conséquences catastrophiques.
Près d'un an après le début de la crise, l'accident est aujourd'hui en cours de contrôle et les réacteurs sont en état "d'arrêt à froid", c'est à dire que leur température interne est descendue sous les 100°C.
Une centaine de milliers de personnes, habitant les environs de la centrale dans la préfecture de Fukushima, ont été évacuées dans les premières semaines de l'accident. Certaines des zones vidées de leur population vont rester inhabitables en raison d'une forte radioactivité, a prévenu le ministère de l'Environnement.
TrustNo1- VIP
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- Message n°220
Re: VIOLENT SEISME ET TSUNAMI AU JAPON
Quand je pense qu'il en ont pour 40 ans de démantèlement ; je n'imagine même pas l'étendu des dégats........
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