- que la zone CSE inhibe la croissance de bactéries du sol saprophyte, des levures et d’autres cultures aussi bien que la germination du grain de blé. Il (l’effet de structure en cavités) change aussi le comportement des chlamydospores, algues microscopiques. Les larves abeilles découpeuses de feuilles commencent à luire par phosphorescence, tandis que les abeilles adultes sont plus actives dans ce champ et terminent la pollinisation deux semaines plus tôt.
- que l’on ne pouvait pas faire écran au CSE ; comme pour la gravitation il affectait les organismes vivants à travers des murs, du métal épais et autres écrans.
- que si un objet poreux était déplacé à un autre endroit, l’être humain ne sentirait pas tout de suite le CSE mais après quelques secondes ou minutes, alors que l’ancien emplacement en garderait une trace, ou comme je le dis un “fantôme” perceptible par les mains pendant des heures et parfois plusieurs mois après.
- que le champ CSE ne diminuait pas du tout avec la distance, mais environnait le nids d’abeilles avec un système d’enveloppes invisibles et parfois nettement perceptibles
- que des animaux (souris blanches) et des humains pénétrant dans la zone de CSE (même une zone très forte) s’y adaptaient bientôt. Il ne pouvait pas en être autrement car nous sommes entourés de partout par des cavités grandes ou petites, par des réseaux, des cellules de plantes vivantes et mortes (aussi bien que par nos propres cellules), par des bulles de caoutchouc mousse, de plastique expansé, de béton alvéolé, de salles, de couloirs, de toits, d’espaces entre les parties des machines, d’arbres, de meubles, de bâtiments.
- que le rayon CSE a un impact plus fort sur les organismes vivants lorsqu’il est dirigé à l’opposé du soleil, et vers le bas, vers le centre de la Terre.
- que les montres mécaniques et électroniques placées dans un champ CSE puissant commençaient à fonctionner de façon imprécise. Le Temps doit bien y être pour quelque chose. Tout cela était la manifestation d’une volonté de la Matière, se mouvant constamment. se transformant et existant éternellement.
- Que dans les années 20, le physicien français Louis de Broglie a reçu le prix Nobel pour la découverte de ces ondes, utilisées par la suite dans les microscopes électroniques.
- Que, que, que eh! …bien, il y a beaucoup de choses que mes expériences, ma recherche nous ont apprises, mais cela nous emmènerait dans la physique des solides, la mécanique quantique, la physique des particules, c’est à dire bien plus loin que les principaux caractères de nos insectes et de l’histoire qu’ils nous ont racontée.
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SOURCE QUANT' HOMM
Le texte original a été publié en russe par Yuri. N. Cherednichenko de l’Académie des Sciences Russe.
Slavek Krepelka * dit :
« Le texte a été traduit par un émigrant russe anonyme pour la somme de 600 dollars, mon ami Marinus Berghuis (Ren) et moi-même nous sommes partagés les frais. **
...Je précise que j’ai fait mon possible pour amortir au mieux les côtés slaves dans l’édition de cette traduction du texte d’origine. Je prie les anglophones de m’excuser car la grammaire en conserve un caractère spécifique. M Juri N. Cherednichenko ** a eu la gentillesse de me permettre de publier gratuitement cette traduction.
J’aimerai signaler que le texte contient des contradictions particulièrement dans la partie qui décrit le vol.*** C’est peut-être une intention de l’auteur, mais cela peut aussi être dû au fait qu’il était en mauvaise santé au moment où il rédigeait son livre. »
* Site de Slavek Krepelka http://www3.sympatico.ca/slavek.krepelka
(Le site avec les photos d’origine est à cette adresse http://www.sinor.ru/~che/grebennikov.htm)
** Ils apprécieraient de recevoir via Jerry Decker de KeelyNet quelques participations à leurs frais http://www.keelynet.com/donate1.htm
*** ndlt : dont une où il parle de son ombre projetée sur la clairière alors qu’il vient de décrire le disque terrestre vu de beaucoup plus haut
2- Introduction par N. Cherednichenko
Yuri N. Cherednichenko est directeur de recherche au Laboratoire de Biophysique, à l’Institut de Pathologie et Ecologie Humaine, Académie de Médecine Russe
Viktor Stepanovich Grebennikov est naturaliste, entomologiste de profession, et pour ainsi dire un artiste aux intérêts et aux buts variés. Il est connu pour avoir découvert le CSE. Mais peu de gens connaissent son autre découverte, qui emprunte aussi à la Nature ses secrets les plus intimes.
C’est en 1988 qu’il a découvert les effets antigravitationnels de l’enveloppe de chitine de certains insectes. Mais le phénomène le plus impressionnant découvert à cette occasion a été celui de l’invisibilité complète ou partielle ou la perception déformée des objets matériels entrant dans la zone de gravité compensée. En se basant sur cette découverte, l’auteur a utilisé des principes bioniques pour concevoir et fabriquer une plateforme antigravitationnelle destinée à des vols dirigés à la vitesse de 25 km/min. Depuis les années 1991, 1992, il a utilisé cet appareil pour des déplacements rapides.
Les effets bio-gravitationnels représentent un large spectre de phénomènes naturels, qui ne sont apparemment pas seulement limités à quelques espèces. Il existe de nombreuses données empiriques qui confortent la possibilité d’un allègement de poids ou de lévitation totale d’objets matériels comme étant le résultat d’une action humaine de psychokinèse, comme par exemple la lévitation des yogis pratiquant la méditation transcendantale selon la méthode de Maharishi. Il y a des cas connus de mediums en lévitation pendant des séances spirites. Cependant on commettrait une erreur en pensant que l’on ne trouve seulement ces capacités que chez des gens qui les ont reçues comme un don de la nature.
Je suis convaincu que ces capacités sont une régularité biologique sous étudiée. On sait bien que le poids d’un humain somnambule chute de façon significative. Durant leurs voyages nocturnes, des gens de 80-90 kg qui marchent en dormant peuvent avancer sur de planches étroites, ou marcher sur des gens dormant près d’eux sans leur causer de gêne physique, hormis la frayeur. Quelques cas cliniques de crises épileptiques non spasmodiques ont souvent pour résultat une transformation réversible de personnalité (on fait souvent référence à ces gens dans cet état comme étant “possédés”),transformation par laquelle une fille épuisée et maigre, ou un jeune garçon de 10 ans acquièrent des prouesses physiques d’un athlète bien entraîné.
Ce phénomène psychologique est habituellement connu comme étant un syndrome de personnalités multiples parce qu’il est vraiment différent du complexe classique des symptômes épileptiques. Ce sont des cas cliniques bien connus et bien documentés. Cependant le phénomène accompagné d’un changement de poids d’humains (ndlt : voir le tableau à la fin de la partie 6) ou d’objets matériels ne se réduit pas à des pathologies fonctionnelles de l’organisme.
Des gens en bonne santé en état de stress psychologique intense causé par une situation menaçant leur vie ou motivés irrésistiblement pour arriver à un but d’une importance vitale, ont la capacité de surmonter de façon spontanée des obstacles insurmontables s’ils étaient dans des conditions normales, par exemple soulever des poids énormes. On explique généralement ces phénomènes par une mobilisation extrême de la force musculaire, mais des calculs précis ne cadrent pas avec de telles hypothèses. Apparemment, des athlètes (en saut en hauteur, haltérophiles et coureurs) ont particulièrement développé des mécanismes bio-antigravitationnels. Leurs performances athlétiques sont la plupart du temps (sinon tout le temps) déterminées pas tant par la rigueur de leur entraînement que par leur préparation psychologique.*
Si on entreprenait d’étudier de manière précise les anomalies de poids des humains dans divers états psycho-physiologiques et si on créait les moyens de contrôler le poids dynamique, on aurait alors des données objectives sur ce phénomène inhabituel. Il y a aussi une preuve d’autre phénomène d’augmentation de masse (à court terme) dans des objets biologiques, y compris les humains, et qui ne sont pas relatifs à un transfert de masse.
Le livre de V. S. Grebennikov's a une grande valeur littéraire et comprend les propres illustrations de l’auteur. C’est une sorte de “dactylogramme” de son système de valeurs spirituelles, de ses conceptions de l’écologie, et de son autobiographie d’entomologiste. Il est probable que de nombreux lecteurs ne percevront dans ce le livre rien de plus qu’un résumé pour le public d’une expérience d’entomologiste vécue sur 60 ans d’observations scientifiques, pimentées de quelques éléments de science fiction ; mais cette conclusion serait une profonde erreur. En qualité d’ami de Viktor ayant une connaissance intime de ses travaux (nous habitons à 10 km l’un de l’autre) je peux dire que je n’ai jamais rencontré de scientifique plus soigneux, consciencieux, honnête et talentueux.
On connaît bien aussi Grebennikov dans ce que l’on nomme l’underground scientifique (la branche avancée de la science russe constamment persécutée par l’establishment scientifique officiel). C’est ainsi qu’un comité destiné à combattre la pseudo science, créé au département de l’Académie russe à Novosibirsk, a exercé des représailles sur de nombreux et talentueux membres de notre communauté scientifique locale. C’est à peu près la même situation à l’Académie d’Agriculture Russe. Il est facile de perdre son travail dans un labo (même s’il s’agit du directeur et sans se soucier de ses diplômes et titres). Il suffit de publier un article par exemple sur la signification évolutionnaire des systèmes antigravitationnels chez les insectes.
Mais je demeure convaincu que des découvertes d’une telle importance ne doivent pas être enterrées dans des manuscrits juste à cause du pragmatisme qui dirige encore la science. Pour les dirigeants, ce livre ne sera que de la science fiction, chacun a le droit de croire ce qu’il veut, mais celui qui a des yeux peut voir. Le catastrophisme, à la fois dans l’évolution de la nature vivante et de la nature de la connaissance humaine est réellement une destruction drastique de nos systèmes de croyance anciens – une destruction qui devance les pronostics théoriques. Une foi fanatique et l’adoration d’idoles lient nos académies des sciences contemporaines à une religion païenne. Mais un développement harmonieux (au sens de pneumatosphère de Pavel Florensky) ne sera pas possible sans briser les vieux stéréotypes dans le long travail de maîtrise de la sagesse et de l’expérience des générations plus anciennes.
* Robert A. Nelson ajoute une note en citant Rudolf Nureyev
On dit aussi que, selon les principes aéronautiques établis, les abeilles ne pourraient pas voler, pourtant elles volent. J’ai personnellement (c’est Robert A. Nelson qui parle) observé des abeilles ouvrières en train de planer pendant 18 heures par jour en assurant le devoir de garde de leur colonie et je peux attester que cela paraît être impossible. Elles utilisent apparemment une autre forme d’économie d’énergie qui fait que cette performance est réelle.
Source http://www.rexresearch.com/www.sinor.ru/~che/grebennikov.htm
3- Chapitre 5 « Vol » du livre de V.S. Grebennikov « My World »
Soirée calme dans la steppe. Le disque rouge du soleil a déjà atteint l’horizon lointain, brumeux. Il est trop tard pour rentrer à la maison, je suis resté trop longtemps ici avec mes insectes et je me prépare à passer la nuit sur le terrain. Dieu merci, il me reste assez d’eau et un peu de répulsif contre les moustiques, il y en a bien besoin ici avec les armées de moucherons sur la rive escarpée de ce lac salé.
Je me trouve dans les steppes, dans la vallée de Kamyshlovo. C’était autrefois un puissant affluent de l’Irtysh, mais le labourage des steppes et la déforestation ont transformé la rivière en un petit ravin large et profond avec une succession de lacs salés comme celui-ci. Pas un souffle de vent. Des groupes de canards luisent sur le lac, on entend au loin des bécasseaux
Le ciel immense, couleur de perle s’étend au dessus du monde apaisant de la steppe.
Comme on est bien ici, dehors, dans cette campagne à ciel ouvert !
Je m’installe pour la nuit tout au bord de la pente, sur une clairière herbeuse. J’étale ma veste, je place mon sac à dos sous la tête et avant de me coucher, je ramasse quelques bouses de vaches sèches et les allume. L’odeur inoubliable, romantique, de la fumée bleuâtre se répand doucement sur la steppe qui s’assoupit. Je me couche sur mon lit naturel, j’étends mes jambes fatiguées et j’envisage de passer une autre nuit, merveilleuse, dans la campagne.
La fumée bleue m’emmène tranquillement aux pays des fées; le sommeil vient vite. Je deviens très petit, de la taille d’une fourmi puis immense comme le ciel, et je suis près de sombrer dans le sommeil. Mais pourquoi ce jour-là, ces transformations de pré sommeil de mes dimensions corporelles ont quelque chose d’inhabituel et sont si fortes ? Une nouvelle sensation alliant à la fois un effet de chute et l’impression que le sol se dérobait sous mon corps et que je tombais dans des abysses inconnues et horribles.
D’un seul coup, je vois des flashes. J’ouvre les yeux, mais mon regard ne va pas loin et erre sur le ciel du soir aux couleurs perle et argent et sur l’herbe. Je ressens un goût métallique dans la bouche, comme si j’avais appuyé la langue sur les languettes d’une pile, j’ai les oreilles qui commencent à tinter et je perçois distinctement les doubles battements de mon coeur.
Comment peut-on dormir quand ce genre de choses vous arrive !
Je m’assois et tente d’éloigner ces sensations déplaisantes, mais n’y réussis pas. Le seul résultat c’est que les flashes ne sont plus larges et flous mais pointus et nets, comme des étincelles ou peut-être de petites chaînes, et qu’il est difficile de regarder autour de moi. C’est alors que je me rappelle avoir eu des sensations similaires quelques années avant à Lesochek ou plus précisément à Enchanted Grove (l’auteur fait référence à des lieux de la réserve entomologique de la région de Omsk)
Je dois me lever et marcher sur la rive. Est-ce que l’on ressent la même chose partout ? Non : ici, à un mètre du bord, je ressens un effet net : il y a “quelque chose” alors que dix mètres plus loin dans la steppe, cet effet disparaît nettement.
C’est un peu inquiétant. Je suis seul dans la steppe déserte, près du “lac Enchanté”. Je pourrais rapidement plier bagages et déguerpir. Mais ma curiosité prend le dessus : qu’est ce que c’est donc que cela, vraiment. Se pourrait-il que ce soit l’odeur de l’eau du lac et de la vase qui me fasse cela ? Je descends en bas de la pente et m’assois près de l’eau. L’odeur lourde, douceâtre de résidus d’algues pourris m’enveloppe comme un bain de boue. Je reste assis là pendant cinq à dix minutes sans sensations déplaisantes. Il vaudrait mieux dormir ici, si ce n’était pas aussi humide.
Je grimpe et c’est encore la même vieille histoire : j’ai la tête qui tourne, je ressens encore ce goût “galvanique” acide dans la bouche et je sens que je change de poids, une fois je me sens incroyablement léger, puis insupportablement lourd. J’ai des flashes dans les yeux.
Je me dis que si c’était en fait un mauvais lieu, une sorte de méchante anomalie, il n’y aurait pas d’herbe et de grosses abeilles ne nicheraient pas dans la steppe grasse, alors qu’il y a des nids partout.
En fait j’essayais de faire mon lit juste au-dessus de leur cité et dans ses profondeurs il y avait bien sûr un très grand nombre de tunnels, de chambres, des tas de larves, de cocons, tous vivants et bien portants. Mais à ce moment là, je ne comprenais rien du tout à ce qui se passait…Je me levais avec un bon mal de tête avant le lever du soleil, et, fatigué, je clopinais vers la route pour me faire prendre en stop jusqu’à Isilkul.
Pendant l’été je me suis rendu quatre fois au “Lac Enchanté”, à divers moments de la journée et sous des conditions météo différentes. A la fin de l’été mes abeilles étaient très occupées à bourrer leurs alvéoles avec le pollen des fleurs, bref elles allaient bien. à un mètre du bord de la steppe, au dessus de leurs nids, j’avais les plus déplaisantes sensations, cinq mètres plus loin, plus rien…Et c’était le même vieux trouble : pourquoi, mais pourquoi donc ces abeilles se sentaient tellement bien ici à tel point que toute la steppe est truffée de leurs trous comme du gruyère et parfois par endroits presque comme une éponge ?
La solution est venue bien des années après, quand la cité des abeilles de la vallée de Kamyshlovo est morte : les terres labourées sont arrivées jusqu’à la rive qui par conséquent a diminué. Et maintenant à la place de l’herbe et des trous des abeilles il n’y a rien d’autre qu’un affreux tas de boue.
J’ai seulement une poignée de vieux fragments, de petites boules d’argile de ces nids garnis de nombreuses logettes côte à côte et qui font penser à de petits dés à coudre ou de petites jarres.
Je savais déjà que ces abeilles faisaient partie d’une espèce à quatre anneaux clairs sur leurs abdomens allongés.
Sur mon bureau, encombré d’affaires, nids de fourmis et de sauterelles, bouteilles contenant des produits chimiques et autres choses, j’avais une grande coupe remplie de ces morceaux d’argile.
J’allais attraper quelque chose et mes mains se déplaçaient au-dessus de ces fragments à trous quand une chose étonnante s’est produite : j’ai soudain ressenti une chaleur qui en émanait. En touchant de la main les fragments, ils étaient froids, mais au-dessus, la sensation de chaleur était nette.
De plus, je ressentais dans les doigts quelques secousses (chose qui ne m’était jamais encore arrivée). Et lorsque j’ai poussé la coupe contenant les nids à l’autre bout du bureau et que je me suis penché au-dessus, j’ai eu la même sensation que celle ressentie au lac, ma tête devenait plus légère et plus grosse, mon corps chutait, mes yeux voyaient des flashes rapides, et j’avais dans la bouche le goût de pile. Je me sentais un peu nauséeux…
J’ai placé un morceau de carton au-dessus de la coupe, et la sensation est restée la même. Un couvercle de pot n’a rien changé non plus ; c’était comme si ce quelque chose le traversait totalement. Je devais étudier ce phénomène. Mais que pouvais-je faire chez moi, sans les instruments nécessaires ?
J’obtins de l’aide de nombreux chercheurs, des scientifiques de divers Instituts de l’Académie d’Agriculture de Novosibirsk
Hélas, les instruments, que ce soit des thermomètres ou des détecteurs à ultrasons, des appareils de mesure de magnétisme et d’électricité n’ont rien donné même pas la plus petite réponse.
Nous avons pratiqué une analyse chimique précise de l’argile : rien de spécial. Le radiomètre restait aussi silencieux…Mais des mains, et pas seulement les miennes percevaient nettement, soit de la chaleur, soit du froid et un fourmillement ou parfois une ambiance plus épaisse, plus collante.
Les mains de certaines personnes devenaient plus lourdes, d’autres les percevaient comme soulevées; les doigts et les muscles des bras de certains s’engourdissaient, ils avaient des vertiges et salivaient énormément.
On a pu observer des phénomènes similaires dans un fagot de tubes de papier habités par des abeilles découpeuses de feuilles. Chaque tunnel avait une solide rangée de boîtes à plusieurs couches de feuilles, recouvertes de couvercles concaves (en feuilles aussi). A l’intérieur des boîtes il y avait des cocons de soie ovales avec larves et chrysalides.
J’ai demandé à des gens qui ne connaissaient rien de ma découverte de placer leurs mains ou leur visage au-dessus des nids des abeilles découpeuses de feuilles et j’ai fait un rapport détaillé de l’expérience. On peut voir ces résultats dans mon article “ Propriétés physiques et biologiques des nids d’abeilles pollinisatrices” publié dans le Bulletin des Sciences Agricoles de Sibérie n° 3, en 1984.
Ce même article contient la formule de la découverte, une brève description physique de cet étonnant phénomène.
En me basant sur la structure des nids d’abeilles, j’ai créé une douzaine de nids d’abeilles artificiels en plastique, en papier, en métal, et en bois.
Il en est ressorti que la cause de ces sensations inhabituelles n’était pas de nature biologique, mais tenait à la taille, la forme, le nombre et la disposition des creux formés par n’importe quels objets solides. Et comme auparavant, l’organisme les ressentait, alors que les instruments de mesure restaient muets.
C’est cette découverte que j’ai appelée Cavernous Structures Effect (CSE) et que j’ai continué à faire avec mes expériences.
La nature à continuer à révéler l’un après l’autre ses secrets les plus intimes
Il en est ressorti
Pendant ce temps, je m’employais à inventer des instruments destinés à enregistrer de manière objective le CSE, instruments réagissant avec précision à proximité des nids d’insectes.
On en voit les dessins ici : des récipients scellés, avec des pailles et des fusains brûlés suspendus sur des fils d’araignée. Il y a un peu d’eau au fond pour contrecarrer l’électricité statique qui gêne les expériences faites dans de l’air sec.
Si vous dirigez la pointe d’un vieux nid de guêpes, un rayon d’abeilles ou une touffe d’épis de céréales vers le haut de l’indicateur, il se déplace lentement de quelques douzaines de degrés.
Il n’y a aucun miracle à cela : l’énergie des électrons qui scintillent des deux corps aux cavités multiples crée un système total d’ondes dans l’espace, dans lequel une onde est l’énergie capable d’effectuer une répulsion mutuelle de ces objets – même au travers d’obstacles, comme une capsule d’acier à parois épaisses (voir la photo)
source : http://sites.google.com/site/cahierderecherche/liste-des-articles/effet-des-structures-en-cavite
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