Le syndrome ovnien
Par le Dr. Jacques Costagliola
Auteur du livre "Epistémologie du phénomène ovnien" ,
paru aux éditions l'Harmattan (ISBN2-7384-6051-
................................................................
Les témoins d’événements inexplicables se taisent à 90 % par peur des conséquences prévisibles qui vont du rire à l’accusation de soûlographie ou au diagnostic d’hallucination psychotique. Ce qui leur pose problème quand ils sont amenés à consulter pour des troubles en rapport avec une rencontre rapprochée toxique (RRT) qui représente 1 % des observations. Le patient ne consulte pas ou tardivement et cache l’origine de ses maux ; s’il parle, il n’est pas cru par le médecin qui passe aux plaisanteries habituelles. Sous l’influence de conditionnements sociaux, politiques et religieux, nous refusons de voir les témoignages humains et les preuves physiques qui s’accumulent depuis 50 ans. Mais, preuves confinées par le terrorisme scientiste dans des revues squelettiques et des collections ésotériques, que les gens sérieux ne lisent pas.
On y décrit un syndrome transitoire contemporain de l’observation cessant avec elle, rarement complet : éblouissement par une lumière aveuglante, larmoiement, picotement oculaire, chaleur suffocante, odeur d’ozone, sentiment d’extase ou de terreur, sidération avec abolition des mouvements volontaires sans atteinte du tonus musculaire réflexe, le sujet conscient debout sans trouble de l’équilibre continue de voir et d’enregistrer la scène ; il ne s’agit pas de paralysies comme disent les enquêtes.
Dans un petit nombre de cas, on observe des troubles durables, voire des séquelles chroniques. Il s’agit essentiellement de troubles oculaires et de brûlures des téguments curieusement étendues parfois aux zones couvertes : hyperhémie, conjonctivite photonique, douleurs oculaires, baisse de l’acuité visuelle, rétinite ; œdèmes cutanés, brûlures à tous les degrés mais plus souvent du type coup de soleil sévère, pigmentations, purpura, dermite ; mais aussi nausées, vomissements, algies, hypersomnie, syndrome hémorragique ; on suppute une exposition à des rayonnements UV, IR ou microondes, voire ionisants. Dans certains cas l’énergie lumineuse mise en jeu a pu être calculée.
Le médecin doit connaître et affiner ce syndrome maladroitement décrit par les enquêteurs bénévoles, du fait de la désertion des scientifiques. Ce faisant il contribuera peut-être à ouvrir enfin l’ère scientifique du phénomène, qui semble cacher sa cuisine inquiétante derrière un écran d’absurdités propre à le décrédibiliser. La routine, le refus de remettre en question notre conception du monde, la peur de perdre notre hégémonie d’espèce et, plus prosaïquement, des quolibets et de la quarantaine, lui assurent la collaboration des témoins et des politiques, militaires, scientifiques, médiats, peu pressés d’avouer leur impuissance à gérer le phénomène autrement qu’en le niant.
Je sollicite du lecteur toute observation médicale suspecte d’une origine ovnienne. Secret médical et anonymat assurés.
Dr Jacques Costagliola (Versailles)
Article paru dans "Le Quotidien du médecin", lundi 30 novembre 1998
L’homme : domestiqué ou bargeot ?
suivi d’une épistémologie critique de 250 rencontres rapprochées toxiques (RRT)
Notre espèce, sous l’influence de conditionnements rigides, sociaux, politiques et religieux, refuse de voir l’accumulation de témoignages humains et de preuves physiques qui imposent l’idée que quelque chose de très singulier interagit avec notre monde et ce probablement depuis des siècles... Peut-être sommes-nous comme des bactéries dans une boite de Pétri. Nous commençons à réaliser qu’on nous étudie. Nous en avons une certaine vision par l’objectif du microscope, mais aucune conscience claire de l’intelligence aux commandes derrière l’oculaire. L. Moulton
La nef extraterrestre ou l’artéfact terrestre ?
Les hypothèses dominantes concernant le phénomène ovnien, qui frappe insidieusement l’humanité depuis 50 ans : la nef extraterrestre et l’artéfact terrestre, ne laissent le choix qu’entre une humanité sous surveillance et une humanité frappée de démence hystérique. Sommes-nous épiés ? Nous pêche-t-on ? Ou bien notre cerveau est-il malade et inapte à percevoir la réalité ? Et pas seulement les témoins, dits naïfs, visionnaires, hallucinés, ni les crédules, 50 % dit-on, qui les croient, mais aussi l’autre moitié qui nie l’existence des ovnis, en fait un phénomène imaginaire né dans des cerveaux dérangés et ne sait que rire de ce grand nombre frappé selon eux de quasi-démence. Il ne leur vient pas à l’idée d’étudier et de traiter cet état hallucinatoire généralisé à tous les peuples, à toutes les couches de la société, et qui n’épargne même pas le scientifique rationaliste, quand il devient témoin du phénomène ou l’étudie. Il ne leur vient pas à l’idée que ce cerveau faiblard est aussi le leur.
L’étude scientifique de ce problème s’avère capitale, que les observations soient réelles ou imaginaires, que les témoignages soient corrects ou déformés par la crédulité ou par le phénomène lui-même. S’il est réel, c’est la plus grande menace qui ait jamais pesé sur l’humanité (après celle de l’homme sur lui-même) ; s’il renaît sans relâche dans des milliers de cerveaux, si l’adhésion est obtenue sans raison de la moitié de l’humanité, c’est la preuve de la débilité mentale ou de la démence latente de l’espèce Homo sapiens. Si cette " rumeur " résiste au lynchage médiatique des témoins et au terrorisme intellectuel, qui tentent vainement de l’occulter depuis un demi-siècle sous un couvercle de ridicule, de désinformation et de secret, qui foudroient le malheureux témoin halluciné, mais qui ne parviennent à empêcher l’émergence, au plus, que de 75 % des observations, alors, alors, alors, qu’il soit physique ou psychosocial, ce phénomène doit être mis à plat.
Cinquante ans de déni scientifique, cela suffit. Des milliers d’observations, de la simple lumière aux performances inexplicables par la physique à la rencontre rapprochée la plus absurde ou la plus toxique avec des entités bizarres, des centaines de récits de rapts suivis d’explorations anatomiques sauvages, frappés d’amnésie et retrouvés sous hypnose, des milliers de mutilations de bétail, des pictogrammes savant dans les blés, sont perpétrés dans l’indifférence amusée de tous : autorités, scientifiques, opinion publique. Il n’y a pas que les cerveaux dérangés des témoins à étudier, car l’exploitation statistique des observations révèle une cohérence planétaire, donc la réalité d’un phénomène, à qui il arrive parfois de laisser des traces physiques de son passage.
L’information tourne en rond dans le milieu ovniologique, sans parvenir à émerger au grand jour. Les amateurs, et les scientifiques marginaux qui osent étudier le phénomène, sont tenus, pour s’exprimer, d’emprunter la voie de revues confidentielles, d’associations squelettiques et des collections ésotériques. Cela peut encore durer très longtemps.
Par le Dr. Jacques Costagliola
Auteur du livre "Epistémologie du phénomène ovnien" ,
paru aux éditions l'Harmattan (ISBN2-7384-6051-
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Les témoins d’événements inexplicables se taisent à 90 % par peur des conséquences prévisibles qui vont du rire à l’accusation de soûlographie ou au diagnostic d’hallucination psychotique. Ce qui leur pose problème quand ils sont amenés à consulter pour des troubles en rapport avec une rencontre rapprochée toxique (RRT) qui représente 1 % des observations. Le patient ne consulte pas ou tardivement et cache l’origine de ses maux ; s’il parle, il n’est pas cru par le médecin qui passe aux plaisanteries habituelles. Sous l’influence de conditionnements sociaux, politiques et religieux, nous refusons de voir les témoignages humains et les preuves physiques qui s’accumulent depuis 50 ans. Mais, preuves confinées par le terrorisme scientiste dans des revues squelettiques et des collections ésotériques, que les gens sérieux ne lisent pas.
On y décrit un syndrome transitoire contemporain de l’observation cessant avec elle, rarement complet : éblouissement par une lumière aveuglante, larmoiement, picotement oculaire, chaleur suffocante, odeur d’ozone, sentiment d’extase ou de terreur, sidération avec abolition des mouvements volontaires sans atteinte du tonus musculaire réflexe, le sujet conscient debout sans trouble de l’équilibre continue de voir et d’enregistrer la scène ; il ne s’agit pas de paralysies comme disent les enquêtes.
Dans un petit nombre de cas, on observe des troubles durables, voire des séquelles chroniques. Il s’agit essentiellement de troubles oculaires et de brûlures des téguments curieusement étendues parfois aux zones couvertes : hyperhémie, conjonctivite photonique, douleurs oculaires, baisse de l’acuité visuelle, rétinite ; œdèmes cutanés, brûlures à tous les degrés mais plus souvent du type coup de soleil sévère, pigmentations, purpura, dermite ; mais aussi nausées, vomissements, algies, hypersomnie, syndrome hémorragique ; on suppute une exposition à des rayonnements UV, IR ou microondes, voire ionisants. Dans certains cas l’énergie lumineuse mise en jeu a pu être calculée.
Le médecin doit connaître et affiner ce syndrome maladroitement décrit par les enquêteurs bénévoles, du fait de la désertion des scientifiques. Ce faisant il contribuera peut-être à ouvrir enfin l’ère scientifique du phénomène, qui semble cacher sa cuisine inquiétante derrière un écran d’absurdités propre à le décrédibiliser. La routine, le refus de remettre en question notre conception du monde, la peur de perdre notre hégémonie d’espèce et, plus prosaïquement, des quolibets et de la quarantaine, lui assurent la collaboration des témoins et des politiques, militaires, scientifiques, médiats, peu pressés d’avouer leur impuissance à gérer le phénomène autrement qu’en le niant.
Je sollicite du lecteur toute observation médicale suspecte d’une origine ovnienne. Secret médical et anonymat assurés.
Dr Jacques Costagliola (Versailles)
Article paru dans "Le Quotidien du médecin", lundi 30 novembre 1998
L’homme : domestiqué ou bargeot ?
suivi d’une épistémologie critique de 250 rencontres rapprochées toxiques (RRT)
Notre espèce, sous l’influence de conditionnements rigides, sociaux, politiques et religieux, refuse de voir l’accumulation de témoignages humains et de preuves physiques qui imposent l’idée que quelque chose de très singulier interagit avec notre monde et ce probablement depuis des siècles... Peut-être sommes-nous comme des bactéries dans une boite de Pétri. Nous commençons à réaliser qu’on nous étudie. Nous en avons une certaine vision par l’objectif du microscope, mais aucune conscience claire de l’intelligence aux commandes derrière l’oculaire. L. Moulton
La nef extraterrestre ou l’artéfact terrestre ?
Les hypothèses dominantes concernant le phénomène ovnien, qui frappe insidieusement l’humanité depuis 50 ans : la nef extraterrestre et l’artéfact terrestre, ne laissent le choix qu’entre une humanité sous surveillance et une humanité frappée de démence hystérique. Sommes-nous épiés ? Nous pêche-t-on ? Ou bien notre cerveau est-il malade et inapte à percevoir la réalité ? Et pas seulement les témoins, dits naïfs, visionnaires, hallucinés, ni les crédules, 50 % dit-on, qui les croient, mais aussi l’autre moitié qui nie l’existence des ovnis, en fait un phénomène imaginaire né dans des cerveaux dérangés et ne sait que rire de ce grand nombre frappé selon eux de quasi-démence. Il ne leur vient pas à l’idée d’étudier et de traiter cet état hallucinatoire généralisé à tous les peuples, à toutes les couches de la société, et qui n’épargne même pas le scientifique rationaliste, quand il devient témoin du phénomène ou l’étudie. Il ne leur vient pas à l’idée que ce cerveau faiblard est aussi le leur.
L’étude scientifique de ce problème s’avère capitale, que les observations soient réelles ou imaginaires, que les témoignages soient corrects ou déformés par la crédulité ou par le phénomène lui-même. S’il est réel, c’est la plus grande menace qui ait jamais pesé sur l’humanité (après celle de l’homme sur lui-même) ; s’il renaît sans relâche dans des milliers de cerveaux, si l’adhésion est obtenue sans raison de la moitié de l’humanité, c’est la preuve de la débilité mentale ou de la démence latente de l’espèce Homo sapiens. Si cette " rumeur " résiste au lynchage médiatique des témoins et au terrorisme intellectuel, qui tentent vainement de l’occulter depuis un demi-siècle sous un couvercle de ridicule, de désinformation et de secret, qui foudroient le malheureux témoin halluciné, mais qui ne parviennent à empêcher l’émergence, au plus, que de 75 % des observations, alors, alors, alors, qu’il soit physique ou psychosocial, ce phénomène doit être mis à plat.
Cinquante ans de déni scientifique, cela suffit. Des milliers d’observations, de la simple lumière aux performances inexplicables par la physique à la rencontre rapprochée la plus absurde ou la plus toxique avec des entités bizarres, des centaines de récits de rapts suivis d’explorations anatomiques sauvages, frappés d’amnésie et retrouvés sous hypnose, des milliers de mutilations de bétail, des pictogrammes savant dans les blés, sont perpétrés dans l’indifférence amusée de tous : autorités, scientifiques, opinion publique. Il n’y a pas que les cerveaux dérangés des témoins à étudier, car l’exploitation statistique des observations révèle une cohérence planétaire, donc la réalité d’un phénomène, à qui il arrive parfois de laisser des traces physiques de son passage.
L’information tourne en rond dans le milieu ovniologique, sans parvenir à émerger au grand jour. Les amateurs, et les scientifiques marginaux qui osent étudier le phénomène, sont tenus, pour s’exprimer, d’emprunter la voie de revues confidentielles, d’associations squelettiques et des collections ésotériques. Cela peut encore durer très longtemps.
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