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5 THÉORIES SUR LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTE
Schattenjäger- Webmaster
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5 THÉORIES SUR LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTE
Schattenjäger- Webmaster
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La 5eme hyopthese est sympa. je n'y avait jamais pensé.
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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Cette hypothese est pourtant d'une grande logique.
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
Si la 5 éme hypothèse peut suggérer en partie comment seraient nées les religions, elle n'explique nullement le phénomène de mort imminente.
La 4 éme hypothèse si on lui enlève l'inutile et passe-partout physique quantique est la plus probable. Cette idée rejoint la pensée de Teillhard de Chardin
La 4 éme hypothèse si on lui enlève l'inutile et passe-partout physique quantique est la plus probable. Cette idée rejoint la pensée de Teillhard de Chardin
Invité- Invité
Pas mal la video mais elle zappe les OBE, les expériences hors du corps, qui ont été étudiées par exemple pour Nicolas Fraisse. J'ai lu les bouquins, passionnant.
Comme il est prouvé que l'esprit se déplace et a une activité consciente lors de déplacements hors du corps, ce qui rejoint des témoignages historiques antérieurs, pourquoi quand on est mort, l'EMI serait un rêve et quand on est vivant ce ne serait pas un rêve ?
Les OBE rejoignent et confortent les EMI, on ne doit pas les séparer, cela veut dire qu'une partie de l'esprit se promène qu'on soit mort (EMI puis départ dans les comètes) ou vivant (états de conscience modifiée, Expériences hors du corps).
L'hypothèse qui me semble probable est qu'on est un peu comme des icebergs.
Une grosse partie de notre réalité totale est cachée, et par moment on se rends compte que notre réalité est plus importante que l'égo.
Je pense qu'on est en partie ailleurs même quand on est vivant, comme si on avait deux niveaux, et que quand on meurt, on laisse tomber une partie dense de nous (la matière, le corps) comme une carapace devenue inutile et non adaptée.
Et on se rejoint, on se regroupe au niveau de la conscience supérieure.
Ce qui procure cette extraordinaire sensation de bonheur et de paix.
Car l'inclusion dans la matière n'est pas confortable du tout, on doit y aller mais je ne sais pas pourquoi.
Cette carapace, le corps, est utile, elle comprends un cerveau, et des muscles, mais la conscience n'est pas le cerveau, une partie d'elle est localisée dans le cerveau, et dans l'espace temps.
La partie conscience "délocalisée" envoie des informations qui expliquent les phénomènes paranormaux. (Et en recueille sans doute. )
Rêve prémonitoire par exemple : la conscience délocalisée est hors du temps et de l'espace et nous envoie l'info. Elle voit que notre chat est dans un puit, notre petit enfant s'étouffe, le titanic va sombrer, et que la montagne pelée va exploser...
Déplacement expérience hors du corps et EMI même combat.
Fantôme : contact avec un esprit non matériel, s'il est vivant, télépathie, s'il est "mort" fantôme, sachant que ce contact forcément nous l'avons avec notre partie délocalisée.
D'où la difficulté d'avoir des preuves matérielles.
L'information est floue.
Nous voyons ou nous entendons, pas avec nos oreilles et nos yeux, mais avec notre conscience délocalisée hors espace temps, qui a des possibilités supérieures au corps pour certaines perceptions, futur, télépathie, etc... et inférieures au corps pour la précision dans la matière dense. L'action reste réservée au corps.
Il y aurait deux zones ou plus, une dense, la matière, le corps, une non dense chargée pourtant d'information, et nous sommes vivants dans les deux à la fois.
A un moment donné, on se rétracte de la matière dense. On "meurt".
L'explication "rêve" ne tient pas.
J'ai eu quelques expériences paranormales et elles n'ont rien à voir avec un rêve lié à une indigestion.
Quand à la sensation de paix, et de bonheur je l'ai ressentie lors d'un contact, et ce n'est pas terrestre, ça ne provient pas d'une hormone. Ce n'est pas le corps qui fait ça, il ne saurait pas. L'endroit où j'étais était infini. Parce qu'il n'est pas localisé dans l'espace temps.
Cette sensation est incompatible avec la matière et la vie.
Le plus proche est la sensation d'amour.
Ce qui expliquerait le lien avec les religions, qui lorsqu'elles ne racontent pas qu'il faut tuer tout le monde, parlent d'amour, d'un lien agréable, de retour au bercail.
Ce n'est pas matériel.
Dire, c'est un rêve, c'est une hallucination, ne fait que reporter le problème sans le résoudre.
Pourquoi ce serait seulement quand on meurt qu'on rêve de tunnel et de paix ? Cela devrait être courant.
Et la partie culturelle de l'expérience a été exagérée. Il y a un certain nombre de critères et de phases qui ont été déterminées, et qui sont valables partout.
Porte ou tunnel, roue, ou serpent géant, le passage peut être aussi direct sans porte ou quoique ce soit. Il ressemble souvent à un vortex, qui serait peut être le "lieu" où la matière se densifie, dans les phénomènes physiques, les vortex sont légion.
Je suis "partie" sans le vouloir et sans mourir, et je suis arrivée directement, pas de sas, mais pour repartir, j'ai vu la terre avec un mouvement de type yin et yang, elle tournait et en la regardant (focalisation de la conscience sur l'espace temps) je me suis retrouvée dans mon corps.
Si il y a une partie culturelle, comme pour l'apparence des êtres croisés, c'est sans doute que cette expérience fortement étrange doit pour être racontée emprunter des termes culturels compréhensibles.
Comment raconter son expérience ? Avec des mots courants.
J'ai vu des oiseaux, parce que c'est ma référence, assez archétypale, les anges sont des oiseaux, l'esprit saint aussi. A ma place, un autre aurait vu la vierge Marie, des anges, Merlin l'enchanteur, des êtres lumineux...
Nous piochons dans un stock d'image pour traduire quelque chose qui échappe à la matière mais que nous reconnaissons à l'instinct, que notre conscience profonde reconnait.
Autre chose, il faut rapprocher ces expériences d'EMI et d'OBE des vies successives.
Il y a des témoignages de vies antérieures où la mort est décrite.
J'ai eu accès sans doute à une de mes vies antérieures, et je me suis vu mort, au 19eme, du plafond d'une tente, j'étais un médecin militaire américain et je connaissais mon nom. Je n'étais pas intéressé par mon corps, et je me suis retrouvé faisant une revue de vie, et rejoignant des chamans amerindiens.
Ces expériences sont si peu banales qu'on ne peut pas les confondre avec une hallucination ou un "rêve" normal.
Les grecs pensaient qu'il y avait deux sortes de rêves, les "normaux" dus aux événements de la journée, et les spéciaux où il a communication.
Je ne peux pas balayer mes expériences, surtout en les recoupant avec celles des autres, ce que je fais.
Je crois que l'espace temps est créé par notre conscience, elle "regarde" à un endroit qui devient l'espace temps. C'est une zone dense, la matière. Nous nous concentrons dessus.
(C'est d'ailleurs sans doute ici qu'on peut inclure les OVNIs. Il est fort possible qu'ils aient besoin de conscience qui observe, d'observateur, pour atterrir. )
Mais notre "nous", notre conscience supérieure est ailleurs hors espace temps.
Et on y rencontre d'autre êtres comme nous, morts ou vivants.
Autrement dit, la vie serait le fait d'être en partie dans de l'information dense, mais ça gêne la communication avec le niveau supérieur qui se fait difficilement et avec un manque de maitrise.
Les scientifiques sont contraint de se bouger le derrière pour réexaminer leurs thèses, d'autant que certains se sont retrouvés dans ces situations étranges, parce que sinon ce sont les religieux, pour beaucoup mal intentionnés, incultes, qui vont "prendre le marché".
On va pas recommencer avec les bûchers, les caillassages, les interdits de toute sortes...
Effectivement la physique quantique et la science de l'information tendent des perches, hors religion.
Elles se penchent sur la non localisation de la conscience, et le passage d'information à distance.
Pour le partage de la revue de vie, des médecins se sont retrouvés embarqués avec des mourants, des voisins de chambre aussi. L'empathie n'a rien à voir.
Ressentir l'émotion de quelqu'un qui rit ou qui pleure (les neurones miroirs), c'est une chose, mais assister à sa vie, et à ses actions, c'est tout de même bien différend.
Je pense plutôt qu'il y a une sphère autour de la personne qui meurt où l'espace temps se barre, le mourant "perds" ses informations qui se dédensifient et la personne à coté peut se retrouver dedans. Et hop, il se tire. Ou il reste coincé et fait un beau poltergeist ou un fantôme paumé.
Je crois qu'on a plusieurs vies, et que l'oubli entre les vies provient de la dedensification de l'information inscrite dans l'espace temps (la partie de notre mémoire qui est localisée et dense). C'est le léthée des grecs, le thé de la dame chinoise des enfers, mais il est temps qu'on se conçoive comme ce que nous sommes, quelque chose de bien plus grand, et de plus bizarre.
Et on retrouve des potes, c'est la bonne nouvelle.
Comme il est prouvé que l'esprit se déplace et a une activité consciente lors de déplacements hors du corps, ce qui rejoint des témoignages historiques antérieurs, pourquoi quand on est mort, l'EMI serait un rêve et quand on est vivant ce ne serait pas un rêve ?
Les OBE rejoignent et confortent les EMI, on ne doit pas les séparer, cela veut dire qu'une partie de l'esprit se promène qu'on soit mort (EMI puis départ dans les comètes) ou vivant (états de conscience modifiée, Expériences hors du corps).
L'hypothèse qui me semble probable est qu'on est un peu comme des icebergs.
Une grosse partie de notre réalité totale est cachée, et par moment on se rends compte que notre réalité est plus importante que l'égo.
Je pense qu'on est en partie ailleurs même quand on est vivant, comme si on avait deux niveaux, et que quand on meurt, on laisse tomber une partie dense de nous (la matière, le corps) comme une carapace devenue inutile et non adaptée.
Et on se rejoint, on se regroupe au niveau de la conscience supérieure.
Ce qui procure cette extraordinaire sensation de bonheur et de paix.
Car l'inclusion dans la matière n'est pas confortable du tout, on doit y aller mais je ne sais pas pourquoi.
Cette carapace, le corps, est utile, elle comprends un cerveau, et des muscles, mais la conscience n'est pas le cerveau, une partie d'elle est localisée dans le cerveau, et dans l'espace temps.
La partie conscience "délocalisée" envoie des informations qui expliquent les phénomènes paranormaux. (Et en recueille sans doute. )
Rêve prémonitoire par exemple : la conscience délocalisée est hors du temps et de l'espace et nous envoie l'info. Elle voit que notre chat est dans un puit, notre petit enfant s'étouffe, le titanic va sombrer, et que la montagne pelée va exploser...
Déplacement expérience hors du corps et EMI même combat.
Fantôme : contact avec un esprit non matériel, s'il est vivant, télépathie, s'il est "mort" fantôme, sachant que ce contact forcément nous l'avons avec notre partie délocalisée.
D'où la difficulté d'avoir des preuves matérielles.
L'information est floue.
Nous voyons ou nous entendons, pas avec nos oreilles et nos yeux, mais avec notre conscience délocalisée hors espace temps, qui a des possibilités supérieures au corps pour certaines perceptions, futur, télépathie, etc... et inférieures au corps pour la précision dans la matière dense. L'action reste réservée au corps.
Il y aurait deux zones ou plus, une dense, la matière, le corps, une non dense chargée pourtant d'information, et nous sommes vivants dans les deux à la fois.
A un moment donné, on se rétracte de la matière dense. On "meurt".
L'explication "rêve" ne tient pas.
J'ai eu quelques expériences paranormales et elles n'ont rien à voir avec un rêve lié à une indigestion.
Quand à la sensation de paix, et de bonheur je l'ai ressentie lors d'un contact, et ce n'est pas terrestre, ça ne provient pas d'une hormone. Ce n'est pas le corps qui fait ça, il ne saurait pas. L'endroit où j'étais était infini. Parce qu'il n'est pas localisé dans l'espace temps.
Cette sensation est incompatible avec la matière et la vie.
Le plus proche est la sensation d'amour.
Ce qui expliquerait le lien avec les religions, qui lorsqu'elles ne racontent pas qu'il faut tuer tout le monde, parlent d'amour, d'un lien agréable, de retour au bercail.
Ce n'est pas matériel.
Dire, c'est un rêve, c'est une hallucination, ne fait que reporter le problème sans le résoudre.
Pourquoi ce serait seulement quand on meurt qu'on rêve de tunnel et de paix ? Cela devrait être courant.
Et la partie culturelle de l'expérience a été exagérée. Il y a un certain nombre de critères et de phases qui ont été déterminées, et qui sont valables partout.
Porte ou tunnel, roue, ou serpent géant, le passage peut être aussi direct sans porte ou quoique ce soit. Il ressemble souvent à un vortex, qui serait peut être le "lieu" où la matière se densifie, dans les phénomènes physiques, les vortex sont légion.
Je suis "partie" sans le vouloir et sans mourir, et je suis arrivée directement, pas de sas, mais pour repartir, j'ai vu la terre avec un mouvement de type yin et yang, elle tournait et en la regardant (focalisation de la conscience sur l'espace temps) je me suis retrouvée dans mon corps.
Si il y a une partie culturelle, comme pour l'apparence des êtres croisés, c'est sans doute que cette expérience fortement étrange doit pour être racontée emprunter des termes culturels compréhensibles.
Comment raconter son expérience ? Avec des mots courants.
J'ai vu des oiseaux, parce que c'est ma référence, assez archétypale, les anges sont des oiseaux, l'esprit saint aussi. A ma place, un autre aurait vu la vierge Marie, des anges, Merlin l'enchanteur, des êtres lumineux...
Nous piochons dans un stock d'image pour traduire quelque chose qui échappe à la matière mais que nous reconnaissons à l'instinct, que notre conscience profonde reconnait.
Autre chose, il faut rapprocher ces expériences d'EMI et d'OBE des vies successives.
Il y a des témoignages de vies antérieures où la mort est décrite.
J'ai eu accès sans doute à une de mes vies antérieures, et je me suis vu mort, au 19eme, du plafond d'une tente, j'étais un médecin militaire américain et je connaissais mon nom. Je n'étais pas intéressé par mon corps, et je me suis retrouvé faisant une revue de vie, et rejoignant des chamans amerindiens.
Ces expériences sont si peu banales qu'on ne peut pas les confondre avec une hallucination ou un "rêve" normal.
Les grecs pensaient qu'il y avait deux sortes de rêves, les "normaux" dus aux événements de la journée, et les spéciaux où il a communication.
Je ne peux pas balayer mes expériences, surtout en les recoupant avec celles des autres, ce que je fais.
Je crois que l'espace temps est créé par notre conscience, elle "regarde" à un endroit qui devient l'espace temps. C'est une zone dense, la matière. Nous nous concentrons dessus.
(C'est d'ailleurs sans doute ici qu'on peut inclure les OVNIs. Il est fort possible qu'ils aient besoin de conscience qui observe, d'observateur, pour atterrir. )
Mais notre "nous", notre conscience supérieure est ailleurs hors espace temps.
Et on y rencontre d'autre êtres comme nous, morts ou vivants.
Autrement dit, la vie serait le fait d'être en partie dans de l'information dense, mais ça gêne la communication avec le niveau supérieur qui se fait difficilement et avec un manque de maitrise.
Les scientifiques sont contraint de se bouger le derrière pour réexaminer leurs thèses, d'autant que certains se sont retrouvés dans ces situations étranges, parce que sinon ce sont les religieux, pour beaucoup mal intentionnés, incultes, qui vont "prendre le marché".
On va pas recommencer avec les bûchers, les caillassages, les interdits de toute sortes...
Effectivement la physique quantique et la science de l'information tendent des perches, hors religion.
Elles se penchent sur la non localisation de la conscience, et le passage d'information à distance.
Pour le partage de la revue de vie, des médecins se sont retrouvés embarqués avec des mourants, des voisins de chambre aussi. L'empathie n'a rien à voir.
Ressentir l'émotion de quelqu'un qui rit ou qui pleure (les neurones miroirs), c'est une chose, mais assister à sa vie, et à ses actions, c'est tout de même bien différend.
Je pense plutôt qu'il y a une sphère autour de la personne qui meurt où l'espace temps se barre, le mourant "perds" ses informations qui se dédensifient et la personne à coté peut se retrouver dedans. Et hop, il se tire. Ou il reste coincé et fait un beau poltergeist ou un fantôme paumé.
Je crois qu'on a plusieurs vies, et que l'oubli entre les vies provient de la dedensification de l'information inscrite dans l'espace temps (la partie de notre mémoire qui est localisée et dense). C'est le léthée des grecs, le thé de la dame chinoise des enfers, mais il est temps qu'on se conçoive comme ce que nous sommes, quelque chose de bien plus grand, et de plus bizarre.
Et on retrouve des potes, c'est la bonne nouvelle.
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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La seule façon de savoir...c'est de mourir!
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
Félicitations à Le Roy Hugon pour son excellente intervention.
Invité- Invité
Merci, Casseron, je bouquine, j'écoute les autres, et je réfléchis pour essayer de comprendre ce qui se passe de façon globale et en mettant en relation des secteurs de pensées qui se comportent de façon isolée, donc incomplète. C'est un sujet qui me passionne.
casseron- Ufologue de Terrain
- Nombre de messages : 10128
Le Roy Hugon écrit :
en mettant en relation des secteurs de pensées qui se comportent de façon isolée, donc incomplète.
C'est bien là le hic. L'esprit d'analyse est fort développé mais celui de synthèse quasi inexistant.. Continue de le développer !
en mettant en relation des secteurs de pensées qui se comportent de façon isolée, donc incomplète.
C'est bien là le hic. L'esprit d'analyse est fort développé mais celui de synthèse quasi inexistant.. Continue de le développer !
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