Le 11 avril 2009, l’équipage du navire de la marine US, le Milius, a assisté à un spectacle fascinant dont l’origine reste inconnue.
« Salut, je suis le Commandant d’un navire de la Marine des États-Unis en patrouille dans le Golfe Persique. Le 11 avril 2009, nous avons été témoins du phénomène des roues de lumière. C’était incroyable ! Tandis que nous nous efforcions de comprendre ce que nous voyions ! »
Ainsi commence le mail que Kris Sherwood, chercheuse en crop circles, affirme avoir reçu le 12 avril 2009 sur son site (www.cropcircleanswers.com) consacré au décryptage du phénomène.
L’auteur du mail est Kendall Gennick, commandant du navire militaire américain USS Milius (DDG69). Avec plusieurs membres de son équipage, il vient d’assister à un spectacle inouï : « Je suis sur l’aile de passerelle du navire par une nuit noire, sans lune, le ciel est couvert. J’observe la mer d’une hauteur de 15 m. Juste au-dessus de la surface apparaissent, d’on ne sait où, des ondes de lumière blanche pulsée de façon synchrone. Ce sont des cercles en expansion, des cercles en contraction, des vagues, des serpentins et des formes en boomerangs. Ces ondes semblent se déplacer à une vitesse voisine de celle du son et s’étendre vers l’horizon à perte de vue. À chaque pulsation, la mer semble exploser en myriades de petites lumières vertes semblables à des émeraudes à la surface de l’eau (bioluminescence). Le phénomène dure environ 40 minutes jusqu’à ce que, ayant fait route en dehors de la zone, il disparaisse dans le sillage. Les ondes de lumière sont insensibles au vent. Elles se déplacent à la même vitesse avec ou contre ce dernier. En s’éloignant du navire elles perdent leur aspect géométrique et ressemblent à de simples vagues. Il y a de l’orage et des éclairs sur zone ».
Il précise les circonstances de son observation : « Entre 20h30-21 h30 le 11 avril 2009, position : 26° 59’ 04’’N ; 51° 39’ 05”E centre Golfe Persique [À mi-chemin entre le cap Rakan et la côte iranienne], vent : 22 N, 081’ az vrai, température de l’air : 22°C, de l’eau : 24°C, pression : 1007,8 Hp, couverture : 3/8, lever de Lune : 20h51, illumination :95 % »
Son premier officier apporte à son tour son témoignage suivi du navigateur : « Vers 20h30, (...) regardant depuis l’aile tribord de la passerelle, je vis ce qui ressemblait à de fortes vagues nous atteignant par le travers tribord. Comme le navire n’avait même pas un degré de gîte et aucun roulis, je m’avançai pour observer cela de plus près. Au premier regard, cette lumière ne comportait pas de tourbillons ni de cercles, rien que de longues ondes rectilignes approchant de l’horizon et s’étalant à droite et à gauche à perte de vue. J’étais très impressionné par la vitesse et l’uniformité de ces ondes. Leur largeur était quasi égale à leur écartement, que j’estimai à environ 6m, bien que cette estimation de leur vitesse et de leur dimension fut très incertaine. Je signalai le phénomène aux autres marins se trouvant sur passerelle, des théories et explications possibles furent émises aussitôt... serait-ce dû à nos radars ? Averti, le Commandant vint sut la passerelle. Entre-temps les motifs lumineux avaient commencé à changer. Je ne parvenais pas déterminer si c’était les formes qui changeaient ou si nous progressions simplement dans une autre partie du phénomène. Tandis que nous avancions vers ce que je pensais être son centre, je me souviens nettement avoir remarqué des points nodaux à partir desquels la lumière progressait sur 360°. Cela faisait penser à l’effet de l’impact d’une goutte sur une surface d’eau calme, mais avec une dispersion beaucoup plus rapide. Je pensai que la bioluminescence devait au moins y jouer un rôle. Celle-ci est généralement provoquée par la perturbation causée par le sillage, elle est d’un vert brillant, comme une barre de lumière phosphorescente, et s’étale en V à partir de l’étrave. Mais si un agent biologique était en agitation, qu’est-ce qui le perturbait ? Au vu de la vitesse et du dessin, je présumai que c’était de nature sonore. C’était plus lent que la lumière, mais plus rapide que tout ce que j’avais vu provoqué par le vent ou les vagues. Ma théorie fut infirmée lorsqu’apparurent des spirales fixes en rotation, comme si une énorme source de lumière en profondeur était partiellement masquée par un cache en spirale animé d’une rotation ; un artifice dans le genre de l’éclairage d’une piste de danse. Les centres des spirales, nettement définissables, défilaient le long de notre bord. (...) Étant de quart, je ne pus descendre chercher mon appareil photographique et, pour autant que je sache, aucune des photos prises par d’autres ne montre vraiment ce que nous avions vu. Ce fut deux jours plus tard que quelqu’un découvrit le site www.cropcircleanswers.com. La description des cercles de lumière sur la mer correspondait exactement à notre expérience. La seule différence que je puisse trouver est que les croquis sur ce site montrent des ondes qui se chevauchent, alors que pour nous ce ne fut pas le cas. Fin du rapport de l’équipage du Milius. »
Champ magnétique terrestre perturbé Pour Kris Sherwood, ce rapport est une aubaine : « Il y avait longtemps que je cherchais à documenter ce phénomène mystérieux, à y apporter les éléments d’une enquête sérieuse et à en faire connaître et accepter la réalité. Cette observation récente vient corroborer celle d’un autre équipage de la Marine, le USS Concord [voir encadré], qui rencontra le même phénomène en 2007 et, fait remarquable, dans la même région : le détroit d’Ormuz. Il y eut 30 témoins sur le Concord ; avec ceux du Milius cela fait 80, en deux années. (...) Après avoir été informée de cet événement,je reçus d’Afrique du Sud un rapport qui corroborait le rapprochement que M [son mari] et moi faisions depuis longtemps entre les roues de lumières marines, les crop circles d’origine non humaine, les activités de taches solaires et autres phénomènes électromagnétiques planétaires. Précisément les 19 et 20 mai 2007, Radio Pretoria signala des éruptions solaires exceptionnellement puissantes perturbant le champ magnétique terrestre et provoquant la perte de milliers de pigeons voyageurs (lesquels utilisent ce champ pour s’orienter). Un rapport identique parvint d’Europe où des lâchés de pigeons eurent également lieu ce même week-end ».
« Salut, je suis le Commandant d’un navire de la Marine des États-Unis en patrouille dans le Golfe Persique. Le 11 avril 2009, nous avons été témoins du phénomène des roues de lumière. C’était incroyable ! Tandis que nous nous efforcions de comprendre ce que nous voyions ! »
Ainsi commence le mail que Kris Sherwood, chercheuse en crop circles, affirme avoir reçu le 12 avril 2009 sur son site (www.cropcircleanswers.com) consacré au décryptage du phénomène.
L’auteur du mail est Kendall Gennick, commandant du navire militaire américain USS Milius (DDG69). Avec plusieurs membres de son équipage, il vient d’assister à un spectacle inouï : « Je suis sur l’aile de passerelle du navire par une nuit noire, sans lune, le ciel est couvert. J’observe la mer d’une hauteur de 15 m. Juste au-dessus de la surface apparaissent, d’on ne sait où, des ondes de lumière blanche pulsée de façon synchrone. Ce sont des cercles en expansion, des cercles en contraction, des vagues, des serpentins et des formes en boomerangs. Ces ondes semblent se déplacer à une vitesse voisine de celle du son et s’étendre vers l’horizon à perte de vue. À chaque pulsation, la mer semble exploser en myriades de petites lumières vertes semblables à des émeraudes à la surface de l’eau (bioluminescence). Le phénomène dure environ 40 minutes jusqu’à ce que, ayant fait route en dehors de la zone, il disparaisse dans le sillage. Les ondes de lumière sont insensibles au vent. Elles se déplacent à la même vitesse avec ou contre ce dernier. En s’éloignant du navire elles perdent leur aspect géométrique et ressemblent à de simples vagues. Il y a de l’orage et des éclairs sur zone ».
Il précise les circonstances de son observation : « Entre 20h30-21 h30 le 11 avril 2009, position : 26° 59’ 04’’N ; 51° 39’ 05”E centre Golfe Persique [À mi-chemin entre le cap Rakan et la côte iranienne], vent : 22 N, 081’ az vrai, température de l’air : 22°C, de l’eau : 24°C, pression : 1007,8 Hp, couverture : 3/8, lever de Lune : 20h51, illumination :95 % »
Son premier officier apporte à son tour son témoignage suivi du navigateur : « Vers 20h30, (...) regardant depuis l’aile tribord de la passerelle, je vis ce qui ressemblait à de fortes vagues nous atteignant par le travers tribord. Comme le navire n’avait même pas un degré de gîte et aucun roulis, je m’avançai pour observer cela de plus près. Au premier regard, cette lumière ne comportait pas de tourbillons ni de cercles, rien que de longues ondes rectilignes approchant de l’horizon et s’étalant à droite et à gauche à perte de vue. J’étais très impressionné par la vitesse et l’uniformité de ces ondes. Leur largeur était quasi égale à leur écartement, que j’estimai à environ 6m, bien que cette estimation de leur vitesse et de leur dimension fut très incertaine. Je signalai le phénomène aux autres marins se trouvant sur passerelle, des théories et explications possibles furent émises aussitôt... serait-ce dû à nos radars ? Averti, le Commandant vint sut la passerelle. Entre-temps les motifs lumineux avaient commencé à changer. Je ne parvenais pas déterminer si c’était les formes qui changeaient ou si nous progressions simplement dans une autre partie du phénomène. Tandis que nous avancions vers ce que je pensais être son centre, je me souviens nettement avoir remarqué des points nodaux à partir desquels la lumière progressait sur 360°. Cela faisait penser à l’effet de l’impact d’une goutte sur une surface d’eau calme, mais avec une dispersion beaucoup plus rapide. Je pensai que la bioluminescence devait au moins y jouer un rôle. Celle-ci est généralement provoquée par la perturbation causée par le sillage, elle est d’un vert brillant, comme une barre de lumière phosphorescente, et s’étale en V à partir de l’étrave. Mais si un agent biologique était en agitation, qu’est-ce qui le perturbait ? Au vu de la vitesse et du dessin, je présumai que c’était de nature sonore. C’était plus lent que la lumière, mais plus rapide que tout ce que j’avais vu provoqué par le vent ou les vagues. Ma théorie fut infirmée lorsqu’apparurent des spirales fixes en rotation, comme si une énorme source de lumière en profondeur était partiellement masquée par un cache en spirale animé d’une rotation ; un artifice dans le genre de l’éclairage d’une piste de danse. Les centres des spirales, nettement définissables, défilaient le long de notre bord. (...) Étant de quart, je ne pus descendre chercher mon appareil photographique et, pour autant que je sache, aucune des photos prises par d’autres ne montre vraiment ce que nous avions vu. Ce fut deux jours plus tard que quelqu’un découvrit le site www.cropcircleanswers.com. La description des cercles de lumière sur la mer correspondait exactement à notre expérience. La seule différence que je puisse trouver est que les croquis sur ce site montrent des ondes qui se chevauchent, alors que pour nous ce ne fut pas le cas. Fin du rapport de l’équipage du Milius. »
Champ magnétique terrestre perturbé Pour Kris Sherwood, ce rapport est une aubaine : « Il y avait longtemps que je cherchais à documenter ce phénomène mystérieux, à y apporter les éléments d’une enquête sérieuse et à en faire connaître et accepter la réalité. Cette observation récente vient corroborer celle d’un autre équipage de la Marine, le USS Concord [voir encadré], qui rencontra le même phénomène en 2007 et, fait remarquable, dans la même région : le détroit d’Ormuz. Il y eut 30 témoins sur le Concord ; avec ceux du Milius cela fait 80, en deux années. (...) Après avoir été informée de cet événement,je reçus d’Afrique du Sud un rapport qui corroborait le rapprochement que M [son mari] et moi faisions depuis longtemps entre les roues de lumières marines, les crop circles d’origine non humaine, les activités de taches solaires et autres phénomènes électromagnétiques planétaires. Précisément les 19 et 20 mai 2007, Radio Pretoria signala des éruptions solaires exceptionnellement puissantes perturbant le champ magnétique terrestre et provoquant la perte de milliers de pigeons voyageurs (lesquels utilisent ce champ pour s’orienter). Un rapport identique parvint d’Europe où des lâchés de pigeons eurent également lieu ce même week-end ».
Un phénomène de bioluminescence
Pendant des siècles, les marins ont signalé ces phénomènes dans leurs journaux de bord sans avoir été pris au sérieux.
Selon Ed et Kris Sherwood, le phénomène rare et exotique des cercles et des roues de lumière marines se produit apparemment lorsque des micro-organismes bio-luminescents sont stimulés par des forces électromagnétiques planétaires de grande envergure. On peut comparer cela aux tornades de poussière ou de feuilles mortes qui révèlent l’énergie invisible qui les anime. Les lumières marines peuvent apparaître ou venir de loin sur les eaux libres jusqu’à l’horizon sous forme de « roues » spiralées sans limites irradiant à partir d’un point central. Il peut y en avoir plusieurs qui s’entrecroisent et tournoient, en passant jusqu’à trois par seconde devant le navire, en sens tant dextrogyre que lévogyre.
Elles peuvent aussi se manifester en énormes cercles rotatifs, en anneau pulsants concentriques, en croissants tournants, en série convergentes de barres et en taches pulsantes aléatoires, et passer progressivement d’un motif à l’autre.
La plupart des roues de lumières marines et autres phénomènes analogues de bioluminescence ont été signalés dans une zone de latitude relativement étroite de part et d’autre de l’équateur, les conditions favorables de conductivité étant créées par le moment angulaire de la rotation de la planète.
La « lumière » est générée par des micro-organismes bioluminescents, dits « noctiluques », présents en grandes quantités dans certaines eaux et certaines conditions.
Émettant une lueur bleue-verte-blanche, elles sont massivement fluorescentes par interaction avec la décharge d’énergie électromagnétique géométriquement organisée des forces planétaires et solaires, dont elles révèlent la composition et le mouvements via les manifestations de lumières marines.
Mise au point
Tout en reconnaissant l’intérêt, la profondeur et l’objectivité de la recherche des Sherwood sur les crop circles, nous regrettons, s’agissant des lumières marines, que Kris fasse un amalgame fallacieux entre les deux, particulièrement en qualifiant le phénomène des lumières marines de « naturel, comme les crop circles d’origine non humaine ». Kris semble être passée à côté d’un distinguo fondamental précisément à ce propos. Tout d’abord nous ne voyons pas pourquoi les crop circles supposés faits par des extraterrestres seraient moins authentiques que ceux qu’Ed attribue à l’effet d’une « conscience collective » (voir site http://www.creatrixstudio.com/artsherwood.html).
Dans plusieurs numéros récents de NEXUS, nous avons largement abordé l’analyse d’un nombre d’agroglyphes récents remarquables et, pour ce qui concerne leurs auteur nous avons précisément évité les catégories hasardeuses en baptisant ceux-ci « ASNI » (Artistes Spatiaux Non Identifiés) afin de satisfaire tout le monde.
Le distinguo fondamental est que les agroglyphes (non canulars) ont un sens, justement. C’est-à-dire qu’ils comportent un signifiant et un signifié (cf. Saussure), et que ce sens fait écho à notre culture. Or ce n’est pas le cas des lumières marines. Celles-ci sont peut-être naturelles, certes, mais jusqu’à plus ample information, naturelles ou non, elles ne semblent pas véhiculer de sens.
Traduction, commentaires : André Dufour / Nexus n°63
Combien de marins...
Nombreux sont les témoignages de marins décrivant d’étranges cercles ou roues de lumière en pleine mer. Parmi les plus récents, Kris Sherwood cite celui du 18 mai 2007 émanant de l’USS Concord en patrouille au large des côtes iraniennes. Les trente hommes d’équipage ont assisté à un phénomène qui les a fascinés et inquiétés au point qu’ils se sont demandé si l’Iran n’essayait pas sur eux une nouvelle arme secrète ! Ce rapport approuvé par le Commandant fait état de « bulles (décrites comme un show disco sous-marin) et d’anneaux concentriques se développant depuis le voisinage du navire et s’étendant à perte de vue. De temps en temps apparaissaient des barres, ou échelons, de largeurs et directions variables et parfois quelques spirales, mais jamais aucun motif fixe ni rythme régulier, les éclats étant entièrement aléatoires ».
Le 19 mai 2007, vers 00h45, une nouvelle observation est rapportée par l’équipage. Il est question de « barres ou échelons, comme des vagues, de 2,4 à 3 m de large et certaines plus grandes, ainsi que de bulles et de cercles concentriques, toujours sur une très grande étendue.
Parfois les barres variaient en largeur et direction. Davantage de motifs spiralés cette fois, mais toujours sans rythme ni ordre ; toutes les manifestations étaient aléatoires ».
En 1987, dans son article « Wheels of Light ; Sea of Fire, » - pour la revue Oceans, Patrick Huyghe relate le témoignage de R Newton, premier officier sur le MV. Mahsuri, qui traversait le Golfe d’Oman, au large de l’Australie, par une nuit de mai sans lune. Il écrit : « la première chose qui retint l’attention de Newton fut un éclair vert pâle à l’horizon juste devant le bateau. Un instant plus tard, des bandes parallèles de lumière bleuvert commencèrent à avancer silencieusement sur l’eau en direction du navire. (...) Au bout de dix minutes, les bandes se sont dilatées pour former des cercles de lumière qui se répandaient rapidement, comme après le plongeon d’un caillou dans l’eau. ».
Dans son livre Invisible Residents (Hôtes Invisibles) l’écrivain écossais van Sanderson évoque une observation datant du 23 janvier 1964 au large de la côte ouest australienne. Le rapport fait état « d’affolement de la rose du compas au moment de l’apparition de grandes lumières tournant en sens dextrogyre ».
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