(Source : Agoravox)
"Chercher à faire voler un engin plus lourd que l’air serait une perte de temps." (J. W. Rayleigh - Prix Nobel de physique, 1904)
A l’entrée de Couilly-Pont-aux-Dames, se dresse une étrange construction métallique. C’est une grande roue de près de 20 mètres de diamètre. Elle en intrigue plus d’un. Ce n’est pas un manège, ni une éolienne d’un nouveau genre. Rares sont ceux qui en connaissent l’origine et la fonction et encore plus rares sont ceux qui l’ont vue en mouvement. Pourtant, elle tourne !
Je fais partie des quelques privilégiés qui ont eu la chance de voir la roue s’animer, s’arrêter et puis repartir toute seule ! L’heure est grave. Si j’étais célèbre, je me lancerais bien dans un J’accuse façon Zola ! Car au nom d’un principe élevé en dogme scientifique, l’humanité est peut-être en train de se priver des bénéfices de l’invention qui se dresse devant nos yeux, là à notre porte.
Le moteur gravitationnel, la roue "à mouvement perpétuel" d’Aldo Costa est toujours perçu par le monde scientifique patenté comme une attraction, voire une supercherie. D’autres scientifiques, qu’ils soient Français ou étrangers, sont moins catégoriques et pensent au contraire que la réalisation de M. Costa mérite que l’on y accorde plus d’attention, de respect et de crédit. Et si cette roue était bien comme l’affirme son concepteur, le simple résultat d’une exploitation astucieuse de la gravité comme source "perpétuelle" d’énergie, une invention que seul un mécanicien pouvait concevoir, tant il perturbe les convictions des physiciens, alors dans ce cas, nous sommes en train de passer à côté de quelque chose de géant !
Aldo Costa a construit de ses mains cette roue de 18 mètres de diamètre, après de nombreux prototypes réalisés en une trentaine d’années.
Il a même dû la reconstruire entièrement après la tempête qui a secoué la France en 1999.
Pour approfondir
Cliquez ici pour écouter les interviews d’Aldo Costa sur Ici et Maintenant (fichiers mp3)
Voir aussi les explications détaillées de l’inventeur sur :
le site d’Aldo Costa, chez Bixis
cherrytree.free.fr/
Elle tourne sans qu’on la pousse ...
Mes études bien anciennes en sciences physiques ne me donnent aucune légitimité pour fournir un avis éclairé. Je n’ai pas tout assimilé des explications fournies par l’inventeur de la roue, mais une chose me paraît claire, c’est qu’il n’y a pas de miracle dans cette invention, résultat de l’exploitation astucieuse des lois physiques, par un mécanicien imaginatif. Je vais néanmoins tenter d’exposer d’une façon simple l’essentiel de ce que j’ai compris du fonctionnement du moteur gravitationnel. Mes propos sont simplificateurs et je conseille à ceux qui veulent approfondir de se reporter aux liens ci-dessus. Le principe de l’invention (voir la figure ci-dessous) consiste à placer une roue en déséquilibre permanent en déplaçant de petites masses métalliques (gravitons) à sa périphérie. Sur la partie droite de la roue les masses sont plus éloignées du centre que leurs homologues, symétriques, de la partie gauche. De ce fait, un moment est créé dans la roue qui la fait tourner naturellement pour trouver un équilibre. Mais c’est un leurre, car l’inventeur astucieux a imaginé un dispositif qui va maintenir la roue dans ce "perpétuel" état de déséquilibre. Pour reprendre son expression, "la roue tourne à la recherche d’un équilibre impossible". C’est un système de ressorts qui permet d’écarter les masses du centre de la roue sur son bord droit. Les ressorts sont successivement comprimés (accumulation d’énergie) puis relâchés (libération de l’énergie). Bien sûr, ils ne se compriment pas tous seuls par la grâce du Saint Esprit. Quand une masse se présente au point bas Y, le ressort sur lequel elle repose se trouve comprimé, au moyen d’une sorte d’excentrique (tenseur) non représenté sur la figure, qui comprime le ressort en profitant de son propre poids (gravité) et sans intervention externe. Le ressort comprimé est bloqué par un taquet. Du même coup, la masse est rapprochée du centre de la roue et elle garde cette position pendant toute la phase de remontée (demi-roue gauche). Arrivée en X au sommet de la roue, le taquet est libéré et le ressort se détend utilisant l’énergie accumulée pour repousser la masse vers l’extérieur, toujours sans intervention externe (réversibilité). La masse bascule alors dans la phase redescendant... C’est ainsi que, très schématiquement, l’état de déséquilibre permanent est maintenu. En théorie la seule énergie introduite dans le système, il en faut sinon la roue ne démarrerait pas, est l’énergie consacrée à comprimer une première fois les ressort sur la demi-roue de gauche.
La roue démarre dès que l’on a comprimé les ressorts, et si on la bloque dans sa course, elle redémarre toute seule dès qu’on la libère. Pour continuer à tourner, la roue doit vaincre les forces de frottements. Le point d’équivalence est le point au-delà duquel la roue produit plus de puissance qu’elle n’en consomme pour vaincre les frottements. Au-delà de ce point, la roue est théoriquement capable de produire de l’énergie sans autre apport extérieur que les forces gravitationnelles. L’inventeur a calculé que sa roue tournerait indéfiniment (s’il n’y avait pas usure des mécanismes) en augmentant le nombre de masses et avec une taille d’une soixantaine de mètres. Mais voilà, la roue actuelle illustre le principe, mais s’arrête au bout de quelques tours ! Il faudrait construire une roue plus grande pour vérifier la validité de l’invention. Bien sûr cela ne coûterait pas des mille et des cents, toutefois aucune perspective favorable ne semble vouloir se dessiner.
M. Aldo COSTA : un personnage courtois, agréable, enthousiaste, convaincu... plus de 80 ans. L’énergie est dans la roue et la force est en lui... bref voilà un personnage attachant et lucide bien plus sympathique qu’un Pr Tournesol. Le travail monumental réalisé par Aldo Costa m’inspire le respect, mais me laisse songeur. Le musée et centre de congrès inachevé (le grand bâtiment construit à côté de la roue) apporte une dimension un peu pathétique à cette aventure et nous laisse l’arrière-goût d’un énorme sentiment de gâchis.
Aldo Costa a consacré une grande partie de sa fortune personnelle pour bâtir un univers qu’il voulait en quelque sorte dédié au bien de l’humanité. Cela n’a pas été sans lui poser de réels problèmes financiers et il ne s’en cache pas, familiaux également. Qui sait, les grands artistes ont été parfois révélés longtemps après leur disparition, peut-être en est-il aussi de certains inventeurs. Je n’ai pas trop envie de parler légèrement de ce sujet car il y a déjà eu, à mon avis, trop d’incompréhension
Une erreur de communication
La recherche du mouvement perpétuel, à l’image de celle de la pierre philosophale, a toujours motivé les inventeurs et laissé le monde scientifique dubitatif. C’est encore le cas aujourd’hui. Pour s’en convaincre, il suffit de lancer une recherche sur Google avec le terme anglais de « perpetual motion ». La science officielle a condamné l’idée même de « mouvement perpétuel », le déclarant impossible car violant les lois du second principe de la thermodynamique.
Alors faut-il en déduire que ceux qui continuent à chercher sont tous des poètes ou, pire, des charlatans ? Aldo Costa a sans doute commis une erreur de communication, le jour où il a utilisé le terme de mouvement perpétuel pour promouvoir son invention. Il discréditait du même coup son invention aux yeux d’un monde scientifique pointilleux.
Aujourd’hui, il préfère parler de moteur gravitationnel, le système étant en quelque sorte alimenté par des forces gravitationnelles qui existent bien, sont en accès "libre" et illimité, car dans l’univers toutes les masses s’attirent mutuellement selon l’inverse carré des distances qui les séparent.
Le bêtisier des grands scientifiques a de quoi nous laisser perplexe. Pourtant leurs propos paraissaient des plus sérieux et des plus raisonnables dans le contexte de leurs époques
"Nous ne saurons jamais de quoi sont faites les étoiles." (Auguste Comte - 1850, peu avant la découverte de la spectroscopie)
"La matière n’a plus de secret pour nous." (Claude Bernard - 1874)
"Il n’y a plus de mystère dans la nature." (Marcelin Berthelot - 1887)
"Le téléphone ? De la ventriloquie." (Bouillaud - 1882)
"Chercher à faire voler un engin plus lourd que l’air serait une perte de temps." (J.W. Rayleigh - Prix Nobel de physique, 1904)
"L’exploitation de l’énergie nucléaire : un conte à dormir debout." (E. Rutherford, Prix Nobel de chimie, 1908)
Quel avenir pour la roue d’Aldo Costa, à l’ère du développement durable ?
Tous les scientifiques ne sont pas recroquevillés dans une carapace de certitudes. Certains, par curiosité sans doute, ont rendu visite à Aldo Costa, notamment à l’occasion des journées portes ouvertes qu’il a organisées à plusieurs reprises les années passées. Des journalistes, aussi, sont venus : français, allemands, américains, australiens… L’inventeur a eu droit à des passages dans plusieurs reportages TV (France 2 par exemple) ainsi que des interviews régulières sur la radio "Ici et Maintenant", spécialisée dans des sujets scientifiques, les Xfiles, ovnis et quelques autres ésotérismes. La roue d’Aldo Costa vient également de trouver sa place dans Le Grand Livre des inventions de la fille de l’ancien président. On voit avec quelle énergie, M. Costa, à 80 ans, continue à défendre sa création, son rêve.
Quoi qu’il en soit, à une époque où l’on nous gave de développement durable, d’économies d’énergie, de gaz à effet de serre, de peopolisation, d’énergies renouvelables (*)... je me demande s’il est bien raisonnable de continuer à considérer le moteur gravitationnel de Couilly-Pont-aux-Dames avec autant de légèreté. Il n’est plus concevable que la communauté scientifique patentée refuse de se pencher objectivement sur cette réalisation même s’il lui faut, pour cela, faire preuve d’un peu d’humilité. Quel est le risque ?
Le moteur gravitationnel, une machine alimentée par une énergie "perpétuelle" et inépuisable : et si c’était vrai ?
"Chercher à faire voler un engin plus lourd que l’air serait une perte de temps." (J. W. Rayleigh - Prix Nobel de physique, 1904)
A l’entrée de Couilly-Pont-aux-Dames, se dresse une étrange construction métallique. C’est une grande roue de près de 20 mètres de diamètre. Elle en intrigue plus d’un. Ce n’est pas un manège, ni une éolienne d’un nouveau genre. Rares sont ceux qui en connaissent l’origine et la fonction et encore plus rares sont ceux qui l’ont vue en mouvement. Pourtant, elle tourne !
Je fais partie des quelques privilégiés qui ont eu la chance de voir la roue s’animer, s’arrêter et puis repartir toute seule ! L’heure est grave. Si j’étais célèbre, je me lancerais bien dans un J’accuse façon Zola ! Car au nom d’un principe élevé en dogme scientifique, l’humanité est peut-être en train de se priver des bénéfices de l’invention qui se dresse devant nos yeux, là à notre porte.
Le moteur gravitationnel, la roue "à mouvement perpétuel" d’Aldo Costa est toujours perçu par le monde scientifique patenté comme une attraction, voire une supercherie. D’autres scientifiques, qu’ils soient Français ou étrangers, sont moins catégoriques et pensent au contraire que la réalisation de M. Costa mérite que l’on y accorde plus d’attention, de respect et de crédit. Et si cette roue était bien comme l’affirme son concepteur, le simple résultat d’une exploitation astucieuse de la gravité comme source "perpétuelle" d’énergie, une invention que seul un mécanicien pouvait concevoir, tant il perturbe les convictions des physiciens, alors dans ce cas, nous sommes en train de passer à côté de quelque chose de géant !
Aldo Costa a construit de ses mains cette roue de 18 mètres de diamètre, après de nombreux prototypes réalisés en une trentaine d’années.
Il a même dû la reconstruire entièrement après la tempête qui a secoué la France en 1999.
Pour approfondir
Cliquez ici pour écouter les interviews d’Aldo Costa sur Ici et Maintenant (fichiers mp3)
Voir aussi les explications détaillées de l’inventeur sur :
le site d’Aldo Costa, chez Bixis
cherrytree.free.fr/
Elle tourne sans qu’on la pousse ...
Mes études bien anciennes en sciences physiques ne me donnent aucune légitimité pour fournir un avis éclairé. Je n’ai pas tout assimilé des explications fournies par l’inventeur de la roue, mais une chose me paraît claire, c’est qu’il n’y a pas de miracle dans cette invention, résultat de l’exploitation astucieuse des lois physiques, par un mécanicien imaginatif. Je vais néanmoins tenter d’exposer d’une façon simple l’essentiel de ce que j’ai compris du fonctionnement du moteur gravitationnel. Mes propos sont simplificateurs et je conseille à ceux qui veulent approfondir de se reporter aux liens ci-dessus. Le principe de l’invention (voir la figure ci-dessous) consiste à placer une roue en déséquilibre permanent en déplaçant de petites masses métalliques (gravitons) à sa périphérie. Sur la partie droite de la roue les masses sont plus éloignées du centre que leurs homologues, symétriques, de la partie gauche. De ce fait, un moment est créé dans la roue qui la fait tourner naturellement pour trouver un équilibre. Mais c’est un leurre, car l’inventeur astucieux a imaginé un dispositif qui va maintenir la roue dans ce "perpétuel" état de déséquilibre. Pour reprendre son expression, "la roue tourne à la recherche d’un équilibre impossible". C’est un système de ressorts qui permet d’écarter les masses du centre de la roue sur son bord droit. Les ressorts sont successivement comprimés (accumulation d’énergie) puis relâchés (libération de l’énergie). Bien sûr, ils ne se compriment pas tous seuls par la grâce du Saint Esprit. Quand une masse se présente au point bas Y, le ressort sur lequel elle repose se trouve comprimé, au moyen d’une sorte d’excentrique (tenseur) non représenté sur la figure, qui comprime le ressort en profitant de son propre poids (gravité) et sans intervention externe. Le ressort comprimé est bloqué par un taquet. Du même coup, la masse est rapprochée du centre de la roue et elle garde cette position pendant toute la phase de remontée (demi-roue gauche). Arrivée en X au sommet de la roue, le taquet est libéré et le ressort se détend utilisant l’énergie accumulée pour repousser la masse vers l’extérieur, toujours sans intervention externe (réversibilité). La masse bascule alors dans la phase redescendant... C’est ainsi que, très schématiquement, l’état de déséquilibre permanent est maintenu. En théorie la seule énergie introduite dans le système, il en faut sinon la roue ne démarrerait pas, est l’énergie consacrée à comprimer une première fois les ressort sur la demi-roue de gauche.
La roue démarre dès que l’on a comprimé les ressorts, et si on la bloque dans sa course, elle redémarre toute seule dès qu’on la libère. Pour continuer à tourner, la roue doit vaincre les forces de frottements. Le point d’équivalence est le point au-delà duquel la roue produit plus de puissance qu’elle n’en consomme pour vaincre les frottements. Au-delà de ce point, la roue est théoriquement capable de produire de l’énergie sans autre apport extérieur que les forces gravitationnelles. L’inventeur a calculé que sa roue tournerait indéfiniment (s’il n’y avait pas usure des mécanismes) en augmentant le nombre de masses et avec une taille d’une soixantaine de mètres. Mais voilà, la roue actuelle illustre le principe, mais s’arrête au bout de quelques tours ! Il faudrait construire une roue plus grande pour vérifier la validité de l’invention. Bien sûr cela ne coûterait pas des mille et des cents, toutefois aucune perspective favorable ne semble vouloir se dessiner.
M. Aldo COSTA : un personnage courtois, agréable, enthousiaste, convaincu... plus de 80 ans. L’énergie est dans la roue et la force est en lui... bref voilà un personnage attachant et lucide bien plus sympathique qu’un Pr Tournesol. Le travail monumental réalisé par Aldo Costa m’inspire le respect, mais me laisse songeur. Le musée et centre de congrès inachevé (le grand bâtiment construit à côté de la roue) apporte une dimension un peu pathétique à cette aventure et nous laisse l’arrière-goût d’un énorme sentiment de gâchis.
Aldo Costa a consacré une grande partie de sa fortune personnelle pour bâtir un univers qu’il voulait en quelque sorte dédié au bien de l’humanité. Cela n’a pas été sans lui poser de réels problèmes financiers et il ne s’en cache pas, familiaux également. Qui sait, les grands artistes ont été parfois révélés longtemps après leur disparition, peut-être en est-il aussi de certains inventeurs. Je n’ai pas trop envie de parler légèrement de ce sujet car il y a déjà eu, à mon avis, trop d’incompréhension
Une erreur de communication
La recherche du mouvement perpétuel, à l’image de celle de la pierre philosophale, a toujours motivé les inventeurs et laissé le monde scientifique dubitatif. C’est encore le cas aujourd’hui. Pour s’en convaincre, il suffit de lancer une recherche sur Google avec le terme anglais de « perpetual motion ». La science officielle a condamné l’idée même de « mouvement perpétuel », le déclarant impossible car violant les lois du second principe de la thermodynamique.
Alors faut-il en déduire que ceux qui continuent à chercher sont tous des poètes ou, pire, des charlatans ? Aldo Costa a sans doute commis une erreur de communication, le jour où il a utilisé le terme de mouvement perpétuel pour promouvoir son invention. Il discréditait du même coup son invention aux yeux d’un monde scientifique pointilleux.
Aujourd’hui, il préfère parler de moteur gravitationnel, le système étant en quelque sorte alimenté par des forces gravitationnelles qui existent bien, sont en accès "libre" et illimité, car dans l’univers toutes les masses s’attirent mutuellement selon l’inverse carré des distances qui les séparent.
Le bêtisier des grands scientifiques a de quoi nous laisser perplexe. Pourtant leurs propos paraissaient des plus sérieux et des plus raisonnables dans le contexte de leurs époques
"Nous ne saurons jamais de quoi sont faites les étoiles." (Auguste Comte - 1850, peu avant la découverte de la spectroscopie)
"La matière n’a plus de secret pour nous." (Claude Bernard - 1874)
"Il n’y a plus de mystère dans la nature." (Marcelin Berthelot - 1887)
"Le téléphone ? De la ventriloquie." (Bouillaud - 1882)
"Chercher à faire voler un engin plus lourd que l’air serait une perte de temps." (J.W. Rayleigh - Prix Nobel de physique, 1904)
"L’exploitation de l’énergie nucléaire : un conte à dormir debout." (E. Rutherford, Prix Nobel de chimie, 1908)
Quel avenir pour la roue d’Aldo Costa, à l’ère du développement durable ?
Tous les scientifiques ne sont pas recroquevillés dans une carapace de certitudes. Certains, par curiosité sans doute, ont rendu visite à Aldo Costa, notamment à l’occasion des journées portes ouvertes qu’il a organisées à plusieurs reprises les années passées. Des journalistes, aussi, sont venus : français, allemands, américains, australiens… L’inventeur a eu droit à des passages dans plusieurs reportages TV (France 2 par exemple) ainsi que des interviews régulières sur la radio "Ici et Maintenant", spécialisée dans des sujets scientifiques, les Xfiles, ovnis et quelques autres ésotérismes. La roue d’Aldo Costa vient également de trouver sa place dans Le Grand Livre des inventions de la fille de l’ancien président. On voit avec quelle énergie, M. Costa, à 80 ans, continue à défendre sa création, son rêve.
Quoi qu’il en soit, à une époque où l’on nous gave de développement durable, d’économies d’énergie, de gaz à effet de serre, de peopolisation, d’énergies renouvelables (*)... je me demande s’il est bien raisonnable de continuer à considérer le moteur gravitationnel de Couilly-Pont-aux-Dames avec autant de légèreté. Il n’est plus concevable que la communauté scientifique patentée refuse de se pencher objectivement sur cette réalisation même s’il lui faut, pour cela, faire preuve d’un peu d’humilité. Quel est le risque ?
Le moteur gravitationnel, une machine alimentée par une énergie "perpétuelle" et inépuisable : et si c’était vrai ?
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