(Source : Homme et Espace)
Voici le thème de l’intervention de Robert O. Dean au Sommet d’Exopolitique, qui se tennait à Barcelone les 25 et 26 juillet 2009.
"Pourquoi le plus grand récit de l’histoire humaine n’a jamais été raconté".
"Je prendrai la parole à cette conférence essentiellement pour aborder la plus grande aventure de l’histoire de l’espèce humaine. C’est, en fait, la plus fabuleuse des histoires humaines parce que c’est l’histoire de l’humanité.
En fait, ça se résume simplement à dire : nous ne sommes pas seuls dans l’Univers et nous ne l’avons jamais été.
L’humanité a eu, et a toujours, une relation intime avec plusieurs civilisations extraterrestres incroyablement avancées.
Cette relation dure depuis des milliers d’années et la vérité pourrait maintenant être dévoilée, mais l’humanité est-elle prête à l’accepter et se trouver confrontée à une réalité aussi choquante ?
Que nous soyons prêts ou non, la vérité doit être dite et rien ne sera jamais comme avant.
L’une de ces réalités bouleversantes, et à laquelle nous devrons faire face, est qu’ils sont partout. Nous sommes certains de leur présence permanente à plusieurs endroits de la planète et nous avons des preuves photographiques de leur présence dans l’espace proche et à travers tout le système solaire.
J’apporterai avec moi des photographies de la NASA qui montrent de grands vaisseaux spatiaux non identifiés.
Ils ont suivi Apollo 13 durant tout son trajet vers la Lune ainsi que pendant son retour vers la Terre. J’ai aussi deux photos prises par l’équipage d’Apollo 14 et montrant trois objets. La taille de l’un des vaisseaux extraterrestres était estimée à 10 kilomètres.
Je montrerai aussi deux photos prises pendant le vol de Voyager 1 vers Saturne en 1980. Ces photos stupéfiantes montrent des objets artificiels gigantesques et lumineux à proximité des anneaux de Saturne."
Voir le sujet consacré sur ce blog ici :
Vaisseaux géants dans notre système solaire... Et ici : Petit plus sur saturne et ses vaisseaux géants...
Une table ronde d’une heure s’est tenue également…
Cette Table ronde d’une heure a été filmée à Barcelone, le 26 juillet dernier, avec Alfred Webre, Bob Dean, et Arthur Scott Neumann (présenté à l’origine sous le pseudo d’Henry Deacon). Le thème proposé : "Comment voyez-vous l’avenir ?" sera assez rapidement dépassé.
Le moins connu est Arthur Neumann, le "physicien des Laboratoires Livermore". Bill et Kerry du projet Camelot affirment qu’ils ont fait tous les recoupements nécessaires pour vérifier ses qualités. Ils témoignent qu’il leur avait présenté ses anciens collègues dans le bar qu’ils avaient l’habitude de fréquenter.
Neumann déclare sans hésiter :
"Une civilisation évoluée a construit des villes sous la surface de Mars".
Il ne se fait jamais prier pour évoquer le portail qui permet de se rendre sur la planète. Il m’avait raconté, fin juillet à Barcelone, s’y être rendu plusieurs fois, "pour participer à des réunions d’une heure environ" : "On traverse simplement un couloir, on franchi des portes, et on se retrouve dans une cafetaria sur la base d’accueil. Il y aurait une population de 600.000 habitants à l’heure actuelle."
Il mentionne pour la première fois qu’il est nécessaire d’absorber régulièrement un médicament quand on fait cette expérience. Bill ajoute qu’il s’agit de ’Lorentzil’ - en référence au célèbre physicien Hendrik Antoon Lorentz (1853-1928). "Ce chercheur avait décrit les contractions des longueurs dans le sens du mouvement, subies par un objet qui approche la vitesse de la lumière." On en parle aujourd’hui comme des Transformations de Lorentz.
Robert Dean affirme que le sous-sol de Pine Gap , au centre de l’Australie, et à l’Ouest d’Alice Springs, abrite le principal terminal extraterrestre sur Terre. C’est l’une des trois bases entièrement contrôlées dans ce pays par les américains ; elle emploie actuellement 1.200 personnels de la NRO et la NSA.
C’est alors qu’Arthur Neumann montre à la caméra le visa australien qui figure sur son passeport...
Voir ici le sujet consacré sur cette monstueuse base de Pine Gap :
Pine gap, l’ humanité en danger !!
A l’exception des Gris, Arthur Neumann considère que la plupart des races aliènes sont bienveillantes : "d’autres forces qui ne sont pas à ce stade de l’évolution ne sont pas nécessairement malveillantes, mais simplement dans l’ignorance ; l’absence de lumière n’est pas son contraire."
Lorsqu’il n’avait plus supporté les pressions dans son milieu professionnel, Arthur Neumann avait pris un avion, laissant tout derrière lui, pour se réfugier en Europe.
Alfred Webre raconte comment le Directeur de la CIA de l’époque, George Bush père, avait refusé au Président Jimmy Carter l’accès qu’il réclamait sur le dossier Ovnis, parce qu’il ne pouvait justifier du "Besoin de Savoir".
Il évoque également le témoignage de son ami Andrew D. Basiago, qui prétend également avoir visité Mars à deux reprises en 1980. Malheureusement les explications de Basiago sur les signes de vie sur Mars n’ont jusqu’ici convaincu personne.
Merci à Max, un membre du forum pour les infos sur cette rencontre exceptionnelle de Barcelone 2009.
Bien sur ces ‘’ révélations ‘’ pourraient prêter à sourire concernant Mars et une vie bien présente la bas, mais pourtant beaucoup d’indices scientifiques récent semblent confirmer cette vérité.
Jugez vous même par exemple celui-ci :
La présence de méthane sur Mars reste inexpliquée…
Les concentrations de méthane observées localement sur Mars n’ont pas encore trouvées d’explication sur leur origine. S’agit-il d’émission de nature géo-chimique ou provient-il de formes de vies cachées dans le sol de Mars, à l’abri des rayons cosmiques dont la planète est peu protégée ?!
Les chercheurs Franck Lefèvre et François Forget de l’INSU-CNRS1 ont publiés, le 5 août dernier dans la revue Nature, leur étude sur l’évolution du méthane dans l’atmosphère de Mars, après simulation et modélisation.
Voici le communiqué de presse publié par le CNRS :
« Sur Terre, plus de 90% des émissions de méthane dans l’atmosphère sont d’origine biologique. La détection de traces de méthane sur Mars par la sonde européenne Mars Express (ESA) en 2004 avait donc relancé l’hypothèse d’une vie présente ou passée à la surface de la planète, même si les faibles quantités mesurées (environ 50 000 fois moins que sur Terre) peuvent également résulter d’une source géologique.
Un aspect surprenant de cette découverte est que le méthane martien varie avec la saison et présente de fortes concentrations localisées, comme semblent le montrer des observations télescopiques récemment publiées en janvier 2009.
Du fait de sa durée de vie théorique de plus de 300 ans, on s’attend pourtant à ce que le méthane soit mélangé de façon homogène par la circulation atmosphérique.
En utilisant un modèle de circulation générale qui inclue la photochimie du méthane, les chercheurs ont montré que la photochimie telle que nous la connaissons ne produisait aucune variation mesurable du méthane sur Mars. En revanche, la condensation et sublimation du gaz carbonique aux régions polaires peuvent conduire à des variations importantes de méthane, mais celles-ci diffèrent notablement de celles observées.
Pour obtenir une évolution spatiale et saisonnière compatible avec les observations, il est calculé que le méthane doit être émis dans des quantités comparables à celles produites par hydrothermalisme sur l’ensemble de la dorsale médio-atlantique, une importante source géologique de méthane sur Terre. Une telle production est surprenante sur une planète aride et au volcanisme dormant comme Mars.
Par ailleurs, ce méthane doit être détruit en environ 200 jours terrestres dans l’atmosphère. Ce résultat implique l’existence d’un processus de destruction inconnu, rapide, et particulier à Mars.
De plus, il ne doit pas affecter les autres espèces chimiques observées dans l’atmosphère de la planète (ozone, peroxyde d’hydrogène, ou monoxyde de carbone) pour lesquelles un bon accord est généralement observé avec les modèles.
L’hypothèse récente d’une destruction électrochimique du méthane dans les tempêtes de poussière, testée dans l’étude, ne semble pas répondre à cette dernière condition. Une autre éventualité est que le méthane soit détruit au contact du sol martien.
Dans ce cas, il est montré que cette perte doit intervenir en environ 1 h pour expliquer les observations.
L’existence d’un processus aussi rapide dans le sol martien est aujourd’hui difficilement explicable.
Le prochain rover Mars Science Laboratory (2011) permettra d’étudier cette énigme en effectuant les premières mesures in situ du méthane sur Mars. La surveillance du méthane martien se poursuivra avec le Mars Science Orbiter prévu en 2016, puis par le rover européen Exomars. »
Source : paperblog.fr/science/
Comme on peut le remarquer la disparition et surtout la création de ce méthane, ne peut provenir que d’une Technologie avancée, malgré toutes les hypothèses de réponses tentées par les scientifiques sur ce mystère, un parmi tant d’autre concernant Mars, et notre système solaire en son entier.
Je notais derniérement les réactions scientifiques complétement contradictoire pour la Lune et la présence d’eau, en début d’année 2009 un article soulignait ceci :
Le 25 février 2009 sur Futura Sciences
La Lune manque d’eau, Kaguya le confirme…
Dans une série de quatre articles, les chercheurs japonais font le bilan des observations et des mesures effectuées grâce à la sonde Kaguya-Selene, la plus importante mission lunaire depuis le programme Apollo, lancée en 2007.
Comme le prédisait la théorie de sa formation, la Lune semble bien très pauvre en eau. Depuis la fin des expéditions Apollo, les données cosmochimiques et les progrès dans les simulations de la formation du système solaire ne cessent de donner de plus en plus de poids à un scénario précis pour la formation de la Lune.
Il y a 4,533 milliards d’années, soit environ 34 millions d’années après la formation de la Terre, une petite planète de la taille de Mars aurait heurté la Terre… Etc etc…
Bien que très crédible, cette théorie a encore besoin d’être étayée par des observations sur la nature géologique de la Lune. C’est une des raisons pour lesquelles la Japan Aerospace Exploration Agency (Jaxa) avait lancé la mission Selenological and Engineering Explorer (Selene), rebaptisée ensuite Kaguya.
En plus de nous ramener des images et des vidéos spectaculaires de la surface de la Lune et en particulier de sa face cachée, la sonde japonaise a poussé la cartographie et l’altimétrie lunaire jusqu’à un degré de précision sans égal. Son Laser ALTimeter (LALT) a permis de dresser une carte complète de la surface de la Lune avec une résolution de 15 kilomètres, partout identique.
Précédemment, la mission américaine Clementine n’avait pas observé la totalité de la Lune et, de plus, les images récoltées présentaient des résolutions inégales, entre 20 et 60 kilomètres selon les régions. On sait maintenant que le point le plus élevé de la surface lunaire se trouve dans la partie sud du bassin Dirichlet-Jackson et le point plus bas dans le cratère Jackson.
La différence d’altitude entre ces deux points est de 19,81 km, supérieure à celle qui avait été déterminée jusqu’à présent.
Cette meilleure connaissance de la topographie lunaire a fourni à elle seule une information précieuse. Le relief lunaire apparaît désormais plutôt rugueux, ce qui indique une croûte très rigide. Géologiquement, cette rigidité implique que l’eau est absente, même jusqu’à une grande profondeur.
Sur la Terre, en effet, on sait que la tectonique des plaques, et donc une lithosphère capable de déformation et de mouvements, est reliée à la présence d’eau. Inversement, l’absence d’eau sur Vénus est aussi corrélée à une absence de tectonique des plaques.
Or, cette absence d’eau est précisément ce à quoi on doit s’attendre si la Lune provient bien de l’accrétion du matériau de Théia. Portée à de hautes températures par le choc, cette planète a dû perdre ses composants volatils dont, notamment, l’eau.
La sonde Kaguya et sa petite sœur laissée en orbite, Okina, ont permis pour la première fois d’effectuer des mesures gravimétriques précises. On va donc pouvoir affiner les modèles de l’intérieur de la Lune et donc aussi les scénarios de sa formation.
On savait déjà que, très curieusement, la face cachée est différente de la face visible, aussi bien du point de vue de son altitude moyenne que de son taux de cratérisation. Les mesures gravimétriques ont ajouté à la perplexité des sélénologues.
En effet, si la face visible, notamment au niveau des mers, montre des anomalies positives de gravité, causées par des matériaux plus denses, la face cachée présente, elle, des anomalies négatives de gravité, en particulier au niveau des anneaux des cratères.
Reliées à des remontées de matériaux mantelliques et au comportement de la croûte différents dans les deux hémisphères, ces observations donnent aux chercheurs des indications sur l’histoire thermique de la Lune.
Source : futura sciences
Puis Le 25 septembre 2009, on peut lire son contraire …
L’eau est omniprésente sur la Lune !
L’établissement d’une base permanente sur la Lune demandera d’y trouver d’importantes ressources en eau. On en cherchait dans certains cratères installés aux pôles mais des chercheurs français et américains viennent d’en trouver, bien qu’en faible quantité, partout ou presque et en surface...
La Lune semblait jusqu’ici désespérément sèche, sauf peut-être au fond de certains cratères polaires ne voyant jamais la lumière du Soleil depuis des centaines de millions d’années au moins et où on pouvait espérer trouver des dépôts de glaces accumulés par les chutes de comètes.
L’Univers vient une fois de plus de déjouer les prédictions humaines car les analyses des données fournies récemment par les sondes Chandrayaan-1 et Epoxi indiquent que la surface lunaire contiendrait l’équivalent d’un demi litre d’eau par hectare en moyenne, selon l’un des chercheurs auteurs de cette découverte, le Français Olivier Groussin, du Laboratoire d’astrophysique de Marseille.
Cette découverte n’a été possible que parce que la signature des molécules d’eau dans le domaine de l’infrarouge a enfin pu être obtenue par les instruments des sondes spatiales survolant la Lune, notamment celui nommé Moon Mineralogy Mapper équipantChandrayaan-1.
Sur Terre, l’atmosphère est opaque dans la bande où cette signature spectrale serait observable.
De l’eau, oui, mais en faibles quantités …
Cette eau pourrait trouver son origine dans le flot de protons H du vent solaire frappant la surface de la Lune. Ces particules commenceraient à libérer des atomes d’oxygène O présents dans les minéraux lunaires puis se combineraient à eux pour former des molécules H20 et OH. Au final, les molécules d’eau se fixeraient dans les zones du régolite lunaire où l’éclairage du Soleil est rasant et la température plus basse.
Il semble peu probable, vu les estimations actuelles, que la quantité d’eau présente soit suffisante pour établir une base lunaire permanente en n’importe quel point de la surface lunaire. Mais cette découverte renforce l’idée que la Lune peut stocker de l’eau au fond de ses cratères. LCross ne devrait pas tarder à nous en apprendre plus sur cette question importante pour la colonisation du système solaire.
Source : Futura Science.
On pourrait également prendre cette phrase par exemple :
Cette meilleure connaissance de la topographie lunaire a fourni à elle seule une information précieuse. Le relief lunaire apparaît désormais plutôt rugueux, ce qui indique une croûte très rigide. Géologiquement, cette rigidité implique que l’eau est absente, même jusqu’à une grande profondeur.
Et pourtant…il semble que ce soit bien tout le contraire, il-y-a-de-leau-dans-la-lune … Voir ici : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/il-y-a-de-leau-dans-la-lune_16142/
Ce qui me fait sourire, c’est que quand on n’annonce qu’il n’y a pas d’eau sur ou dans la Lune, cela confirme pour nos scientifiques la théorie officielle de création de la Lune, mais ils n’hésitent pas à nous dire le contraire plus tard, quand la détection d’eau est prouvée en surface comme en profondeur, cela confirme également pour nos scientifiques la théorie officielle de création de la Lune ?!!
Et après c’est nous les farfelus !?
Je note également une remarque du sujet qui dit ceci :
Sur la Terre, en effet, on sait que la tectonique des plaques, et donc une lithosphère capable de déformation et de mouvements, est reliée à la présence d’eau. Inversement, l’absence d’eau sur Vénus est aussi corrélée à une absence de tectonique des plaques.
Ors justement, merci à Luc Ferrer un membre de notre forum, qui nous livre cette toute petite information, mais au combien révélatrice encore une fois :
La sonde Européenne VENUS EXPRESS viens de délivrer des données infrarouges très intriguantes…
La première carte de température de la surface de la planète réalisé entre mai 2006 et Décembre 2007 fait apparaitre que les hauts plateaux de Venus sont d’anciens continents partiellement composés de granites, vestiges d’une tectonique des plaques, u phénomène que l’on pensait reservé à la Terre.
Sources : Sciences et Avenir
Comme toujours à vous de juger…
Voici le thème de l’intervention de Robert O. Dean au Sommet d’Exopolitique, qui se tennait à Barcelone les 25 et 26 juillet 2009.
"Pourquoi le plus grand récit de l’histoire humaine n’a jamais été raconté".
"Je prendrai la parole à cette conférence essentiellement pour aborder la plus grande aventure de l’histoire de l’espèce humaine. C’est, en fait, la plus fabuleuse des histoires humaines parce que c’est l’histoire de l’humanité.
En fait, ça se résume simplement à dire : nous ne sommes pas seuls dans l’Univers et nous ne l’avons jamais été.
L’humanité a eu, et a toujours, une relation intime avec plusieurs civilisations extraterrestres incroyablement avancées.
Cette relation dure depuis des milliers d’années et la vérité pourrait maintenant être dévoilée, mais l’humanité est-elle prête à l’accepter et se trouver confrontée à une réalité aussi choquante ?
Que nous soyons prêts ou non, la vérité doit être dite et rien ne sera jamais comme avant.
L’une de ces réalités bouleversantes, et à laquelle nous devrons faire face, est qu’ils sont partout. Nous sommes certains de leur présence permanente à plusieurs endroits de la planète et nous avons des preuves photographiques de leur présence dans l’espace proche et à travers tout le système solaire.
J’apporterai avec moi des photographies de la NASA qui montrent de grands vaisseaux spatiaux non identifiés.
Ils ont suivi Apollo 13 durant tout son trajet vers la Lune ainsi que pendant son retour vers la Terre. J’ai aussi deux photos prises par l’équipage d’Apollo 14 et montrant trois objets. La taille de l’un des vaisseaux extraterrestres était estimée à 10 kilomètres.
Je montrerai aussi deux photos prises pendant le vol de Voyager 1 vers Saturne en 1980. Ces photos stupéfiantes montrent des objets artificiels gigantesques et lumineux à proximité des anneaux de Saturne."
Voir le sujet consacré sur ce blog ici :
Vaisseaux géants dans notre système solaire... Et ici : Petit plus sur saturne et ses vaisseaux géants...
Une table ronde d’une heure s’est tenue également…
Cette Table ronde d’une heure a été filmée à Barcelone, le 26 juillet dernier, avec Alfred Webre, Bob Dean, et Arthur Scott Neumann (présenté à l’origine sous le pseudo d’Henry Deacon). Le thème proposé : "Comment voyez-vous l’avenir ?" sera assez rapidement dépassé.
Le moins connu est Arthur Neumann, le "physicien des Laboratoires Livermore". Bill et Kerry du projet Camelot affirment qu’ils ont fait tous les recoupements nécessaires pour vérifier ses qualités. Ils témoignent qu’il leur avait présenté ses anciens collègues dans le bar qu’ils avaient l’habitude de fréquenter.
Neumann déclare sans hésiter :
"Une civilisation évoluée a construit des villes sous la surface de Mars".
Il ne se fait jamais prier pour évoquer le portail qui permet de se rendre sur la planète. Il m’avait raconté, fin juillet à Barcelone, s’y être rendu plusieurs fois, "pour participer à des réunions d’une heure environ" : "On traverse simplement un couloir, on franchi des portes, et on se retrouve dans une cafetaria sur la base d’accueil. Il y aurait une population de 600.000 habitants à l’heure actuelle."
Il mentionne pour la première fois qu’il est nécessaire d’absorber régulièrement un médicament quand on fait cette expérience. Bill ajoute qu’il s’agit de ’Lorentzil’ - en référence au célèbre physicien Hendrik Antoon Lorentz (1853-1928). "Ce chercheur avait décrit les contractions des longueurs dans le sens du mouvement, subies par un objet qui approche la vitesse de la lumière." On en parle aujourd’hui comme des Transformations de Lorentz.
Robert Dean affirme que le sous-sol de Pine Gap , au centre de l’Australie, et à l’Ouest d’Alice Springs, abrite le principal terminal extraterrestre sur Terre. C’est l’une des trois bases entièrement contrôlées dans ce pays par les américains ; elle emploie actuellement 1.200 personnels de la NRO et la NSA.
C’est alors qu’Arthur Neumann montre à la caméra le visa australien qui figure sur son passeport...
Voir ici le sujet consacré sur cette monstueuse base de Pine Gap :
Pine gap, l’ humanité en danger !!
A l’exception des Gris, Arthur Neumann considère que la plupart des races aliènes sont bienveillantes : "d’autres forces qui ne sont pas à ce stade de l’évolution ne sont pas nécessairement malveillantes, mais simplement dans l’ignorance ; l’absence de lumière n’est pas son contraire."
Lorsqu’il n’avait plus supporté les pressions dans son milieu professionnel, Arthur Neumann avait pris un avion, laissant tout derrière lui, pour se réfugier en Europe.
Alfred Webre raconte comment le Directeur de la CIA de l’époque, George Bush père, avait refusé au Président Jimmy Carter l’accès qu’il réclamait sur le dossier Ovnis, parce qu’il ne pouvait justifier du "Besoin de Savoir".
Il évoque également le témoignage de son ami Andrew D. Basiago, qui prétend également avoir visité Mars à deux reprises en 1980. Malheureusement les explications de Basiago sur les signes de vie sur Mars n’ont jusqu’ici convaincu personne.
Merci à Max, un membre du forum pour les infos sur cette rencontre exceptionnelle de Barcelone 2009.
Bien sur ces ‘’ révélations ‘’ pourraient prêter à sourire concernant Mars et une vie bien présente la bas, mais pourtant beaucoup d’indices scientifiques récent semblent confirmer cette vérité.
Jugez vous même par exemple celui-ci :
La présence de méthane sur Mars reste inexpliquée…
Les concentrations de méthane observées localement sur Mars n’ont pas encore trouvées d’explication sur leur origine. S’agit-il d’émission de nature géo-chimique ou provient-il de formes de vies cachées dans le sol de Mars, à l’abri des rayons cosmiques dont la planète est peu protégée ?!
Les chercheurs Franck Lefèvre et François Forget de l’INSU-CNRS1 ont publiés, le 5 août dernier dans la revue Nature, leur étude sur l’évolution du méthane dans l’atmosphère de Mars, après simulation et modélisation.
Voici le communiqué de presse publié par le CNRS :
« Sur Terre, plus de 90% des émissions de méthane dans l’atmosphère sont d’origine biologique. La détection de traces de méthane sur Mars par la sonde européenne Mars Express (ESA) en 2004 avait donc relancé l’hypothèse d’une vie présente ou passée à la surface de la planète, même si les faibles quantités mesurées (environ 50 000 fois moins que sur Terre) peuvent également résulter d’une source géologique.
Un aspect surprenant de cette découverte est que le méthane martien varie avec la saison et présente de fortes concentrations localisées, comme semblent le montrer des observations télescopiques récemment publiées en janvier 2009.
Du fait de sa durée de vie théorique de plus de 300 ans, on s’attend pourtant à ce que le méthane soit mélangé de façon homogène par la circulation atmosphérique.
En utilisant un modèle de circulation générale qui inclue la photochimie du méthane, les chercheurs ont montré que la photochimie telle que nous la connaissons ne produisait aucune variation mesurable du méthane sur Mars. En revanche, la condensation et sublimation du gaz carbonique aux régions polaires peuvent conduire à des variations importantes de méthane, mais celles-ci diffèrent notablement de celles observées.
Pour obtenir une évolution spatiale et saisonnière compatible avec les observations, il est calculé que le méthane doit être émis dans des quantités comparables à celles produites par hydrothermalisme sur l’ensemble de la dorsale médio-atlantique, une importante source géologique de méthane sur Terre. Une telle production est surprenante sur une planète aride et au volcanisme dormant comme Mars.
Par ailleurs, ce méthane doit être détruit en environ 200 jours terrestres dans l’atmosphère. Ce résultat implique l’existence d’un processus de destruction inconnu, rapide, et particulier à Mars.
De plus, il ne doit pas affecter les autres espèces chimiques observées dans l’atmosphère de la planète (ozone, peroxyde d’hydrogène, ou monoxyde de carbone) pour lesquelles un bon accord est généralement observé avec les modèles.
L’hypothèse récente d’une destruction électrochimique du méthane dans les tempêtes de poussière, testée dans l’étude, ne semble pas répondre à cette dernière condition. Une autre éventualité est que le méthane soit détruit au contact du sol martien.
Dans ce cas, il est montré que cette perte doit intervenir en environ 1 h pour expliquer les observations.
L’existence d’un processus aussi rapide dans le sol martien est aujourd’hui difficilement explicable.
Le prochain rover Mars Science Laboratory (2011) permettra d’étudier cette énigme en effectuant les premières mesures in situ du méthane sur Mars. La surveillance du méthane martien se poursuivra avec le Mars Science Orbiter prévu en 2016, puis par le rover européen Exomars. »
Source : paperblog.fr/science/
Comme on peut le remarquer la disparition et surtout la création de ce méthane, ne peut provenir que d’une Technologie avancée, malgré toutes les hypothèses de réponses tentées par les scientifiques sur ce mystère, un parmi tant d’autre concernant Mars, et notre système solaire en son entier.
Je notais derniérement les réactions scientifiques complétement contradictoire pour la Lune et la présence d’eau, en début d’année 2009 un article soulignait ceci :
Le 25 février 2009 sur Futura Sciences
La Lune manque d’eau, Kaguya le confirme…
Dans une série de quatre articles, les chercheurs japonais font le bilan des observations et des mesures effectuées grâce à la sonde Kaguya-Selene, la plus importante mission lunaire depuis le programme Apollo, lancée en 2007.
Comme le prédisait la théorie de sa formation, la Lune semble bien très pauvre en eau. Depuis la fin des expéditions Apollo, les données cosmochimiques et les progrès dans les simulations de la formation du système solaire ne cessent de donner de plus en plus de poids à un scénario précis pour la formation de la Lune.
Il y a 4,533 milliards d’années, soit environ 34 millions d’années après la formation de la Terre, une petite planète de la taille de Mars aurait heurté la Terre… Etc etc…
Bien que très crédible, cette théorie a encore besoin d’être étayée par des observations sur la nature géologique de la Lune. C’est une des raisons pour lesquelles la Japan Aerospace Exploration Agency (Jaxa) avait lancé la mission Selenological and Engineering Explorer (Selene), rebaptisée ensuite Kaguya.
En plus de nous ramener des images et des vidéos spectaculaires de la surface de la Lune et en particulier de sa face cachée, la sonde japonaise a poussé la cartographie et l’altimétrie lunaire jusqu’à un degré de précision sans égal. Son Laser ALTimeter (LALT) a permis de dresser une carte complète de la surface de la Lune avec une résolution de 15 kilomètres, partout identique.
Précédemment, la mission américaine Clementine n’avait pas observé la totalité de la Lune et, de plus, les images récoltées présentaient des résolutions inégales, entre 20 et 60 kilomètres selon les régions. On sait maintenant que le point le plus élevé de la surface lunaire se trouve dans la partie sud du bassin Dirichlet-Jackson et le point plus bas dans le cratère Jackson.
La différence d’altitude entre ces deux points est de 19,81 km, supérieure à celle qui avait été déterminée jusqu’à présent.
Cette meilleure connaissance de la topographie lunaire a fourni à elle seule une information précieuse. Le relief lunaire apparaît désormais plutôt rugueux, ce qui indique une croûte très rigide. Géologiquement, cette rigidité implique que l’eau est absente, même jusqu’à une grande profondeur.
Sur la Terre, en effet, on sait que la tectonique des plaques, et donc une lithosphère capable de déformation et de mouvements, est reliée à la présence d’eau. Inversement, l’absence d’eau sur Vénus est aussi corrélée à une absence de tectonique des plaques.
Or, cette absence d’eau est précisément ce à quoi on doit s’attendre si la Lune provient bien de l’accrétion du matériau de Théia. Portée à de hautes températures par le choc, cette planète a dû perdre ses composants volatils dont, notamment, l’eau.
La sonde Kaguya et sa petite sœur laissée en orbite, Okina, ont permis pour la première fois d’effectuer des mesures gravimétriques précises. On va donc pouvoir affiner les modèles de l’intérieur de la Lune et donc aussi les scénarios de sa formation.
On savait déjà que, très curieusement, la face cachée est différente de la face visible, aussi bien du point de vue de son altitude moyenne que de son taux de cratérisation. Les mesures gravimétriques ont ajouté à la perplexité des sélénologues.
En effet, si la face visible, notamment au niveau des mers, montre des anomalies positives de gravité, causées par des matériaux plus denses, la face cachée présente, elle, des anomalies négatives de gravité, en particulier au niveau des anneaux des cratères.
Reliées à des remontées de matériaux mantelliques et au comportement de la croûte différents dans les deux hémisphères, ces observations donnent aux chercheurs des indications sur l’histoire thermique de la Lune.
Source : futura sciences
Puis Le 25 septembre 2009, on peut lire son contraire …
L’eau est omniprésente sur la Lune !
L’établissement d’une base permanente sur la Lune demandera d’y trouver d’importantes ressources en eau. On en cherchait dans certains cratères installés aux pôles mais des chercheurs français et américains viennent d’en trouver, bien qu’en faible quantité, partout ou presque et en surface...
La Lune semblait jusqu’ici désespérément sèche, sauf peut-être au fond de certains cratères polaires ne voyant jamais la lumière du Soleil depuis des centaines de millions d’années au moins et où on pouvait espérer trouver des dépôts de glaces accumulés par les chutes de comètes.
L’Univers vient une fois de plus de déjouer les prédictions humaines car les analyses des données fournies récemment par les sondes Chandrayaan-1 et Epoxi indiquent que la surface lunaire contiendrait l’équivalent d’un demi litre d’eau par hectare en moyenne, selon l’un des chercheurs auteurs de cette découverte, le Français Olivier Groussin, du Laboratoire d’astrophysique de Marseille.
Cette découverte n’a été possible que parce que la signature des molécules d’eau dans le domaine de l’infrarouge a enfin pu être obtenue par les instruments des sondes spatiales survolant la Lune, notamment celui nommé Moon Mineralogy Mapper équipantChandrayaan-1.
Sur Terre, l’atmosphère est opaque dans la bande où cette signature spectrale serait observable.
De l’eau, oui, mais en faibles quantités …
Cette eau pourrait trouver son origine dans le flot de protons H du vent solaire frappant la surface de la Lune. Ces particules commenceraient à libérer des atomes d’oxygène O présents dans les minéraux lunaires puis se combineraient à eux pour former des molécules H20 et OH. Au final, les molécules d’eau se fixeraient dans les zones du régolite lunaire où l’éclairage du Soleil est rasant et la température plus basse.
Il semble peu probable, vu les estimations actuelles, que la quantité d’eau présente soit suffisante pour établir une base lunaire permanente en n’importe quel point de la surface lunaire. Mais cette découverte renforce l’idée que la Lune peut stocker de l’eau au fond de ses cratères. LCross ne devrait pas tarder à nous en apprendre plus sur cette question importante pour la colonisation du système solaire.
Source : Futura Science.
On pourrait également prendre cette phrase par exemple :
Cette meilleure connaissance de la topographie lunaire a fourni à elle seule une information précieuse. Le relief lunaire apparaît désormais plutôt rugueux, ce qui indique une croûte très rigide. Géologiquement, cette rigidité implique que l’eau est absente, même jusqu’à une grande profondeur.
Et pourtant…il semble que ce soit bien tout le contraire, il-y-a-de-leau-dans-la-lune … Voir ici : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/il-y-a-de-leau-dans-la-lune_16142/
Ce qui me fait sourire, c’est que quand on n’annonce qu’il n’y a pas d’eau sur ou dans la Lune, cela confirme pour nos scientifiques la théorie officielle de création de la Lune, mais ils n’hésitent pas à nous dire le contraire plus tard, quand la détection d’eau est prouvée en surface comme en profondeur, cela confirme également pour nos scientifiques la théorie officielle de création de la Lune ?!!
Et après c’est nous les farfelus !?
Je note également une remarque du sujet qui dit ceci :
Sur la Terre, en effet, on sait que la tectonique des plaques, et donc une lithosphère capable de déformation et de mouvements, est reliée à la présence d’eau. Inversement, l’absence d’eau sur Vénus est aussi corrélée à une absence de tectonique des plaques.
Ors justement, merci à Luc Ferrer un membre de notre forum, qui nous livre cette toute petite information, mais au combien révélatrice encore une fois :
La sonde Européenne VENUS EXPRESS viens de délivrer des données infrarouges très intriguantes…
La première carte de température de la surface de la planète réalisé entre mai 2006 et Décembre 2007 fait apparaitre que les hauts plateaux de Venus sont d’anciens continents partiellement composés de granites, vestiges d’une tectonique des plaques, u phénomène que l’on pensait reservé à la Terre.
Sources : Sciences et Avenir
Comme toujours à vous de juger…
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