(Source : blogfinance)
Pur hasard ?
Si selon les medias internationaux, l’Union européenne se voit désormais contrainte de régler ses factures de pétrole iranien non plus en dollars ni en euros, les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont adopté lundi de nouvelles sanctions contre Téhéran, visant en particulier son secteur gazier et pétrolier.
Raison officielle : la poursuite de son programme nucléaire controversé. Le vice-président iranien Mohammad Reza Rahimi a en effet récemment indiqué que les consommateurs européens de pétrole iranien seront désormais obligés de le payer dans d’autres monnaies que l’euro ou le dollar. "Nous sommes libres de choisir n’importe quelle monnaie pour le paiement de nos fournitures pétrolières [...] L’essentiel est d’exclure l’euro et le dollar", a ainsi déclaré tout net M.Rahimi.
Il y a quelques jours déjà, l’agence américaine Bloomberg avait relayé des informations provenant de sources proches du dossier, que l’Iran était actuellement en cours de négociation avec ses acheteurs européens en vue de modifier la monnaie utilisée pour les règlements.
Selon Bloomberg, Téhéran envisagerait de se tourner désormais vers le dirham émirati. Une information toutefois démentie par le président de la Banque centrale des Emirats arabes unis.
Rappelons que le dollar, principale monnaie d’échange au niveau mondial pour le règlement de factures d’hydrocarbures a été abandonné par l’Iran au profit de l’euro après l’adoption des sanctions américaines.
Réponse du berger à la bergère ? Les nouvelles sanctions adoptées par l’Union européenne visent tout particulièrement le secteur iranien des industries gazière et pétrolière. Il est ainsi prévu d’interdire tout nouvel investissement, assistance technique ou transferts de technologies, dans le domaine du raffinage et la liquéfaction de gaz. Histoire de limiter la possibilité pour l’Iran de s’affranchir des pipelines internationaux et de leurs royalties pour exporter sa production ... ? Qui sait ...
Dans la même optique, non dépourvue d’intérêts financiers, le secteur iranien du transport de fret, par mer ou par air, sera également sévèrement limité.
La plupart de ces sanctions devront prendre effet dès mardi, lors de leur publication au Journal officiel de l’UE.
Sources : AFP, Ria Novosti, Bloomberg
Pur hasard ?
Si selon les medias internationaux, l’Union européenne se voit désormais contrainte de régler ses factures de pétrole iranien non plus en dollars ni en euros, les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont adopté lundi de nouvelles sanctions contre Téhéran, visant en particulier son secteur gazier et pétrolier.
Raison officielle : la poursuite de son programme nucléaire controversé. Le vice-président iranien Mohammad Reza Rahimi a en effet récemment indiqué que les consommateurs européens de pétrole iranien seront désormais obligés de le payer dans d’autres monnaies que l’euro ou le dollar. "Nous sommes libres de choisir n’importe quelle monnaie pour le paiement de nos fournitures pétrolières [...] L’essentiel est d’exclure l’euro et le dollar", a ainsi déclaré tout net M.Rahimi.
Il y a quelques jours déjà, l’agence américaine Bloomberg avait relayé des informations provenant de sources proches du dossier, que l’Iran était actuellement en cours de négociation avec ses acheteurs européens en vue de modifier la monnaie utilisée pour les règlements.
Selon Bloomberg, Téhéran envisagerait de se tourner désormais vers le dirham émirati. Une information toutefois démentie par le président de la Banque centrale des Emirats arabes unis.
Rappelons que le dollar, principale monnaie d’échange au niveau mondial pour le règlement de factures d’hydrocarbures a été abandonné par l’Iran au profit de l’euro après l’adoption des sanctions américaines.
Réponse du berger à la bergère ? Les nouvelles sanctions adoptées par l’Union européenne visent tout particulièrement le secteur iranien des industries gazière et pétrolière. Il est ainsi prévu d’interdire tout nouvel investissement, assistance technique ou transferts de technologies, dans le domaine du raffinage et la liquéfaction de gaz. Histoire de limiter la possibilité pour l’Iran de s’affranchir des pipelines internationaux et de leurs royalties pour exporter sa production ... ? Qui sait ...
Dans la même optique, non dépourvue d’intérêts financiers, le secteur iranien du transport de fret, par mer ou par air, sera également sévèrement limité.
La plupart de ces sanctions devront prendre effet dès mardi, lors de leur publication au Journal officiel de l’UE.
Sources : AFP, Ria Novosti, Bloomberg
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