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Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Flycrusher- Membre VIP bronze
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- Message n°242
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Eh oui on dirait que l'affiche est déjà prête !
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°243
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Les premiers images du tournage son disponible :
ethane- Membre VIP bronze
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- Message n°244
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Il regroupe encore pas mal de monde pour un "tyran" comme l'OTAN voudrait bien nous le faire croire!!!
Et en plus il sort tranquille, pas inquiet le moins du monde de la soit disante menace aerienne....
bain de foule de Kadhafi avant hier...
https://www.youtube.com/watch?v=yN0qLNEhLk0&feature=player_embedded[/youtube]
Et en plus il sort tranquille, pas inquiet le moins du monde de la soit disante menace aerienne....
bain de foule de Kadhafi avant hier...
https://www.youtube.com/watch?v=yN0qLNEhLk0&feature=player_embedded[/youtube]
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°245
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Nous allons apprendre beaucoup de choses dans le futur, et je ne suis pas certains que Kadhafi jouera le rôle du méchant. Surtout quand nous apprendrons officiellement qui est a la tête des "révolutionnaires"
Nous sommes victime de la désinformation des journalistes car il ne faut pas oublier que nous jouons le rôle des envahisseurs. Il s'agissait d'une affaire interne avant tout au départ, la réaction de Kadhafi est finalement logique.
Nous sommes victime de la désinformation des journalistes car il ne faut pas oublier que nous jouons le rôle des envahisseurs. Il s'agissait d'une affaire interne avant tout au départ, la réaction de Kadhafi est finalement logique.
Schattenjäger- Webmaster
- Nombre de messages : 44284
- Message n°246
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
La France capitule-t-elle devant le colonel Kadhafi ?
Le ministre de la Défense a sous-entendu que le départ de Kadhafi n'était plus une condition à l'arrêt de l'opération militaire. Il s'agirait alors d'un rétropédalage majeur. Par Sarah Diffalah
Le colonel Kadhafi, le 10 avril 2011 à Tripoli. HAMZA TURKIA/CHINE NOUVELLE/SIPA
RÉAGIR
C'est bien la première fois depuis le début de l'opération militaire en Libye, il y a quatre mois, que la France, par la voix de son ministre de la Défense, fait savoir qu'elle pourrait renoncer à vouloir faire partir le colonel Kadhafi. Comme on lui demandait, dimanche dernier sur BFMTV/RMC si l'engagement militaire cesserait avec la fin de Kadhafi, Gérard Longuet a répondu : "Nous avons arrêté la main de Kadhafi sur son peuple. Nous leur demandons de parler entre eux, de se mettre autour d'une table". Et si Kadhafi n'est pas parti? "Il sera dans une autre pièce de son palais avec un autre titre", a-t-il poursuivi.
Un but de guerre réversible
Ces propos ont rapidement suscité une interrogation majeure. Et si la France avait décidé que le départ de Kadhafi n'était plus la condition sine qua non de l'arrêt de la guerre en Libye? Bien que la résolution de l'Onu n'évoquait d'aucune manière cet objectif, les voix britannique, américaine, française et même africaine s’étaient largement faites entendre pour dire que la fin de l’opération passait nécessairement par le départ de Kadhafi du pouvoir.
Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, s'est bien empressé le lendemain de réaffirmer que la chute du guide était un "élément clé" des négociations, mais la suspicion a gagné du terrain. "Les propos de Gérard Longuet sont en effet très surprenants", s’étonne Louis Gautier, professeur à l’université Lyon III et ancien ministre de la Défense de Lionel Jospin. Personne n’aurait envisagé un tel revirement à 360° !" François Heisbourg, conseiller spécial pour la Fondation pour la recherche stratégique partage la même surprise : "Si cette stratégie est confirmée par le chef des Armées, en l’occurrence Nicolas Sarkozy, on peut effectivement dire que c’est un changement radical dans les événements. Cela voudrait tout simplement dire que le but de guerre a changé."
Négociations directes?
Coïncidence, les confidences de Gérard Longuet interviennent au moment où le fils de Mouammar Kadhafi, Seif El-Islam, affirme que Paris négocie directement avec Tripoli, écartant de fait les rebelles de Benghazi qui réclament la tête du guide libyen. Des informations à prendre avec prudence, mais qui alimentent le flou qui entoure le réel état des avancées diplomatiques. "Bien sûr, les proches de Kadhafi sont dans une stratégie d’intoxication en faisant croire que des négociations directs ont lieu, mais tous ces éléments participent au trouble et viennent affaiblir l’assurance que tient à garder le gouvernement français", explique Louis Gautier.
Un Longuet décalé
Une position française de plus en plus difficilement tenable en raison des différents sons de cloches qui parviennent à l’opinion publique. Déjà Gérard Longuet avait cru bon en avril, de sortir du rang en déclarant que la coalition était "certainement" en train de sortir de la résolution 1973 de l'Onu citant la tribune commune publiée dans la presse de Barack Obama, Nicolas Sarkozy et David Cameron qui justifiait la volonté de voir Kadhafi quitter le pouvoir.
François Heisbourg se refuse cependant à croire à une totale navigation à vue du gouvernement. Selon lui, les propos de Gérard Longuet pourraient viser "à secouer les rebelles de la Cyrénaïque toujours bloqués sur les mêmes lignes de front".
Partition
Dans une interview au Figaro, le premier ministre libyen, Baghdadi al-Mahmoudi, se dit pourtant prêt à des négociations sérieuses avec la France. "Nous sommes prêts à négocier, sans conditions, […] l’ouverture de Gérard Longuet est positive. Il [le colonel Kadhafi] a dit qu'il était prêt à respecter la décision du peuple libyen, que le peuple pouvait choisir la forme du gouvernement, une république, une monarchie ou bien gardé le système actuel de la Jamahirya, et qu'il se plierait à cette décision", dit-il avant de rajouter "on ne peut pas lui en demander plus".
"Il faut souhaiter que lors du vote au Parlement, on éclaircisse un peu quels sont les buts de guerre et que le gouvernement s'explique sur les négociations qu'il a engagé avec Kadhafi dont le fils nous dit qu'elles pourraient aboutir à un partage du pouvoir et non pas à un accord pour un nouveau pouvoir impliquant le départ de Kadhafi", s’inquiète Louis Gautier.
Le scénario de la partition serait en effet la pire issue. Celle qui pourrait provoquer la perte du soutien relatif de l’Union africaine et de la Ligue arabe et qui pourrait déséquilibrer la région.
Sarah Diffalah – Le Nouvel Observateur
Le ministre de la Défense a sous-entendu que le départ de Kadhafi n'était plus une condition à l'arrêt de l'opération militaire. Il s'agirait alors d'un rétropédalage majeur. Par Sarah Diffalah
Le colonel Kadhafi, le 10 avril 2011 à Tripoli. HAMZA TURKIA/CHINE NOUVELLE/SIPA
RÉAGIR
C'est bien la première fois depuis le début de l'opération militaire en Libye, il y a quatre mois, que la France, par la voix de son ministre de la Défense, fait savoir qu'elle pourrait renoncer à vouloir faire partir le colonel Kadhafi. Comme on lui demandait, dimanche dernier sur BFMTV/RMC si l'engagement militaire cesserait avec la fin de Kadhafi, Gérard Longuet a répondu : "Nous avons arrêté la main de Kadhafi sur son peuple. Nous leur demandons de parler entre eux, de se mettre autour d'une table". Et si Kadhafi n'est pas parti? "Il sera dans une autre pièce de son palais avec un autre titre", a-t-il poursuivi.
Un but de guerre réversible
Ces propos ont rapidement suscité une interrogation majeure. Et si la France avait décidé que le départ de Kadhafi n'était plus la condition sine qua non de l'arrêt de la guerre en Libye? Bien que la résolution de l'Onu n'évoquait d'aucune manière cet objectif, les voix britannique, américaine, française et même africaine s’étaient largement faites entendre pour dire que la fin de l’opération passait nécessairement par le départ de Kadhafi du pouvoir.
Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, s'est bien empressé le lendemain de réaffirmer que la chute du guide était un "élément clé" des négociations, mais la suspicion a gagné du terrain. "Les propos de Gérard Longuet sont en effet très surprenants", s’étonne Louis Gautier, professeur à l’université Lyon III et ancien ministre de la Défense de Lionel Jospin. Personne n’aurait envisagé un tel revirement à 360° !" François Heisbourg, conseiller spécial pour la Fondation pour la recherche stratégique partage la même surprise : "Si cette stratégie est confirmée par le chef des Armées, en l’occurrence Nicolas Sarkozy, on peut effectivement dire que c’est un changement radical dans les événements. Cela voudrait tout simplement dire que le but de guerre a changé."
Négociations directes?
Coïncidence, les confidences de Gérard Longuet interviennent au moment où le fils de Mouammar Kadhafi, Seif El-Islam, affirme que Paris négocie directement avec Tripoli, écartant de fait les rebelles de Benghazi qui réclament la tête du guide libyen. Des informations à prendre avec prudence, mais qui alimentent le flou qui entoure le réel état des avancées diplomatiques. "Bien sûr, les proches de Kadhafi sont dans une stratégie d’intoxication en faisant croire que des négociations directs ont lieu, mais tous ces éléments participent au trouble et viennent affaiblir l’assurance que tient à garder le gouvernement français", explique Louis Gautier.
Un Longuet décalé
Une position française de plus en plus difficilement tenable en raison des différents sons de cloches qui parviennent à l’opinion publique. Déjà Gérard Longuet avait cru bon en avril, de sortir du rang en déclarant que la coalition était "certainement" en train de sortir de la résolution 1973 de l'Onu citant la tribune commune publiée dans la presse de Barack Obama, Nicolas Sarkozy et David Cameron qui justifiait la volonté de voir Kadhafi quitter le pouvoir.
François Heisbourg se refuse cependant à croire à une totale navigation à vue du gouvernement. Selon lui, les propos de Gérard Longuet pourraient viser "à secouer les rebelles de la Cyrénaïque toujours bloqués sur les mêmes lignes de front".
Partition
Dans une interview au Figaro, le premier ministre libyen, Baghdadi al-Mahmoudi, se dit pourtant prêt à des négociations sérieuses avec la France. "Nous sommes prêts à négocier, sans conditions, […] l’ouverture de Gérard Longuet est positive. Il [le colonel Kadhafi] a dit qu'il était prêt à respecter la décision du peuple libyen, que le peuple pouvait choisir la forme du gouvernement, une république, une monarchie ou bien gardé le système actuel de la Jamahirya, et qu'il se plierait à cette décision", dit-il avant de rajouter "on ne peut pas lui en demander plus".
"Il faut souhaiter que lors du vote au Parlement, on éclaircisse un peu quels sont les buts de guerre et que le gouvernement s'explique sur les négociations qu'il a engagé avec Kadhafi dont le fils nous dit qu'elles pourraient aboutir à un partage du pouvoir et non pas à un accord pour un nouveau pouvoir impliquant le départ de Kadhafi", s’inquiète Louis Gautier.
Le scénario de la partition serait en effet la pire issue. Celle qui pourrait provoquer la perte du soutien relatif de l’Union africaine et de la Ligue arabe et qui pourrait déséquilibrer la région.
Sarah Diffalah – Le Nouvel Observateur
ethane- Membre VIP bronze
- Nombre de messages : 562
- Message n°247
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
ici
Je suis un jeune libyen et je connais très bien la France et le peuple français... Je sais qu'ils sont pas d'accord avec ce qui se passe en LIBYE... Nos les libyens, nous avions une bonne image de la France avant cette sale guerre soutenu et adopté par Sar...kozy... Nous étions en paix... Ces rebelles ne sont pas ceux que crois Sarkozy... Ce n'est pas des saints, ils l'ont trompé et lui ont dis comme quoi Kadhafi va tombé en 3 jours... Cette guerre va continuer pendant des années sans résultats positifs et qui a couté des milliards... Les médias cachent la vérité et font tout pour salir l'image de ce qui se passe vraiment sur place... Les médias France 24, TF1, Al jazira, Al arabiya, CNN, BBC etc... font tout pour faire passer les miliciens qui se sont révoltés comme des anges tombé du ciel... C'est simplement de la propagande pure... Regardez ce qui vient de ce passer... Un pauvre français sans défense vient de se faire tuer et dans la ville de ces rebelles... Et par qui??? Ces miliciens armés et que la France les a reconnu comme une autorité légale... Ce français a été tué à Benghazi ville contrôlé par les rebelles... Je pense que demain ils vous diront que c'est les proches de Kadhafi qui ont fais ça... Ils se foutent de la gueule du monde avec leurs médias mensongères... Il faut être réaliste... Savez vous que à Benghazi il y a 5 groupes militaires qui sont en désaccord entre eux et qui se font la guerre... Le premier groupe est celui de l'ancien ministre de l'intérieur : Abd el Fatah Younes. Le deuxième groupe est le groupe de l'Al-Qaida où son siège est basé à Derna (ville situé à 250 de l'est de Benghazi). Le troisième groupe est le groupe de l'ancien général de l'armée libyen Khalifa Haftar. Et le dernier groupe est les Salafistes (Groupe combattants islamistes) et la plupart d'entre eux étaient en prison à abou slim Tripoli. Sans oublier le groupe du conseil de transition libyen basé à Benghazi... Voilà un apercu de la situation qui se passe à Benghazi et dans les villes de l'Est de la Libye (Al Bida, Derna, Tobrok et Almarj). Imaginez la sécurité de vos patriotes qui se déplacent en Libye actuellement grâce à Sarko...
-Z-- VIP
- Nombre de messages : 2916
- Message n°248
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Je me demande de quoi nous français pouvons avoir à nous plaindre de cette guerre....
Reste que je ne vois toujours pas ce nous avons à y gagner...
Le Parlement approuve la poursuite des opérations militaires en Libye
Quelques heures après le vote favorable des députés, les sénateurs ont approuvé à leur tour à une large majorité la prolongation des opérations françaises en Libye sous la bannière de l'Otan.
Dépêche AFP - Le Parlement a autorisé mardi le gouvernement à prolonger la participation des forces armées françaises à l'opération internationale en Libye, les élus UMP, mais aussi socialistes, le pressant de dégager une solution politique au conflit.
Après les députés, les sénateurs (notamment UMP, PS) ont voté en faveur de la poursuite des opérations à une très large majorité. Les communistes se sont en revanche prononcés contre et plusieurs élus PS se sont abstenus.
LE DÉBAT DE FRANCE 24
Par FRANCE 24
La Libye a aussitôt "regretté" ce feu vert du Parlement français, selon le porte-parole officiel Moussa Ibrahim.
A l'ouverture du débat, le Premier ministre François Fillon a défendu le bilan de quatre mois de bombardements aériens, soulignant que "partout les Libyens libres gagnent du terrain". "Certes, le point de rupture n'a pas encore été atteint. Mais c'est maintenant qu'il faut être plus ferme que jamais", a-t-il fait valoir. "Une solution politique (...) commence à prendre forme".
Le chef du gouvernement a rappelé les moyens mobilisés depuis mars par Paris contre les forces du colonel Kadhafi : 4.400 soldats engagés, 40 avions de combat, 8 navires et 18 hélicoptères d'attaque qui font de la France "le premier pays contributeur" de l'opération, au côté de la Grande-Bretagne.
"Non seulement il n'y a pas enlisement en Libye, mais il y a progrès", a assuré pour sa part le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé.
Les paramètres d'une solution politique sont, selon lui, désormais "agréés par tout le monde", c'est-à-dire le départ de Kadhafi du pouvoir, un cessez-le-feu effectif et la constitution d'un gouvernement de transition.
Est-ce que Kadhafi "doit rester en Libye, est-ce qu'il doit partir de Libye ? Ce sont des choses à discuter entre les protagonistes", a souligné M. Juppé.
La France travaille, selon lui, à l'après-Kadhafi et prépare notamment aux Nations-Unies la mise en place d'"une force de stabilisation internationale".
Pour le président de la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée, Axel Poniatowski (UMP), si l'opération était interrompue aujourd'hui "les forces mises en réserve par Kadhafi ne tarderaient pas à reprendre l'offensive".
LIBYE
Les États membres de l'Otan rattrapés par la bataille de l'opinion
Dénonçant le "retard à l'allumage" du gouvernement pour soutenir les mouvements de contestation dans le monde arabe, le député PS Bernard Cazeneuve a souhaité pour sa part "que les choses s'accélèrent sur le plan diplomatique et politique pour dégager la bonne issue".
Il a émis en revanche "la plus grande réserve" sur le parachutage d'armements par la France début juin aux insurgés, qui contribue "à la dissémination des armes". Il s'est également interrogé sur le financement des Opérations extérieures des armées (Opex), pour lequel 630 millions d'euros ont été prévus lors du vote du budget 2011, mais dont le coût devrait selon lui atteindre un milliard d'euros.
Un surcoût que le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a évalué pour l'opération libyenne à 104 millions d'euros fin juin, non compris l'usure prématurée des matériels de l'ordre d'une soixantaine de millions d'euros.
Hostiles à l'engagement français, les élus communistes ont estimé par la voix de la sénatrice Michèle Demessine que "la poursuite des frappes aériennes serait contre-productive" et ne peut être la bonne façon de sortir de la crise.
482 députés (UMP et PS) ont voté en faveur de la poursuite des opérations, 27 contre. Au Sénat, la prolongation a été votée par 311 voix contre 24.
Le gouvernement a par ailleurs accepté qu'un nouveau débat ait lieu à la rentrée de septembre devant le Parlement si le conflit n'était pas terminé.
Libye : Paris a dépensé 100 millions d'euros
Les opérations françaises contre les forces du colonel Kadhafi, qui durent depuis trois mois, représentent un surcoût d'environ un million d'euros par jour pour l'armée française.
Reste que je ne vois toujours pas ce nous avons à y gagner...
Macha- Administrateur
- Nombre de messages : 7174
- Message n°249
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
Ce que la France a à y gagner !
Ces articles ne sont certes pas récents, mais ils démontrent pourquoi la France "est présente" dans le conflit, et pourquoi Kadhafi l'a mauvaise ...
Se trouvent également sur le territoire lybien des mines d'or et de diamants ...
La fin justifie les moyens ...
Ces articles ne sont certes pas récents, mais ils démontrent pourquoi la France "est présente" dans le conflit, et pourquoi Kadhafi l'a mauvaise ...
Se trouvent également sur le territoire lybien des mines d'or et de diamants ...
La fin justifie les moyens ...
LE MONDE du 27.07.07Le "mémorandum d'entente" sur le nucléaire, signé lundi 25 juillet à Tripoli par le président de la République, Nicolas Sarkozy, et le numéro un libyen, Mouammar Kadhafi (Le Monde du 27 juillet), ouvre la voie à une coopération dans toutes les applications du nucléaire civil. Il intéresse les groupes français du secteur, surtout Areva, EDF et le Commissariat à l'énergie atomique (CEA), mais il a réveillé toutes les inquiétudes. Les risques de prolifération ont été dénoncés par les Verts et les associations écologistes français. Dans le quotidien économique Handelsblatt, le secrétaire d'Etat allemand aux affaires étrangères, Gernot Erler, a critiqué un accord impliquant son pays à travers Siemens, détenteur de 34 % du constructeur de réacteurs Areva NP.
En raison des délais de certification et de construction, la Libye ne disposera pas d'une centrale avant six à huit ans. M. Sarkozy estime que la manière de traiter la Libye sera scrutée à la loupe par le monde arabe. La priver du nucléaire, c'est s'exposer à "une guerre des civilisations", a-t-il prévenu. " Si on ne donne pas l'énergie du futur aux pays du sud de la Méditerranée, comment ils vont se développer ? s'est-il interrogé. Et s'ils ne se développent pas, comment on va lutter contre le terrorisme ?" Il a reconnu que tout risque de prolifération n'est pas écarté en ajoutant qu'il existe, en cas de crise, "un système permettant de désactiver une centrale nucléaire depuis l'extérieur".
L'accord pour la construction d'une centrale alimentant en électricité une usine de dessalement d'eau de mer - une activité très "énergivore" qui aurait pu être couplée à une centrale thermique - n'a pas été rendu possible par la seule libération des infirmières bulgares. Il supposait surtout que la Libye, signataire du traité de non-prolifération en 1975, renonce d'abord à son programme d'armes de destruction massive, notamment nucléaires. Tripoli l'a fait fin 2003 sous la pression des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne et a accepté le contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur ses installations de recherche.
"TEMPS DES POLITIQUES"
La coopération Paris-Tripoli ne part pas de rien. Des discussions sur le nucléaire "durent déjà depuis plusieurs années", a indiqué, jeudi, le ministère des affaires étrangères. En mars 2006, le CEA a signé un accord portant sur le dessalement de l'eau de mer utilisant l'énergie nucléaire et sur la production de radio-isotopes (médecine, industrie). Récemment, une équipe d'Areva s'est rendue à Tripoli pour y présenter ses activités. "C'était une rencontre exploratoire, précise un porte-parole. Aujourd'hui, c'est le temps des politiques. Demain, ce sera celui des industriels."
Dans l'immédiat, le groupe d'Anne Lauvergeon s'intéresse à d'éventuels gisements d'uranium dans le Sud libyen. "Le contexte géologique est le même" qu'au Niger, où Areva exploite d'importantes mines, a indiqué M. Sarkozy. Le groupe discute aussi du rachat des 1 600 tonnes d'uranium stockées par Tripoli dans le cadre de son programme militaire.
De nombreux pays du pourtour méditerranéen (Egypte, Algérie, Maroc, Turquie) et du golfe Persique ont l'intention de se doter de centrales nucléaires. Et la concurrence va s'exacerber entre les français (EDF, Areva), les américains (General Electric), les japonais (Toshiba-Westinghouse) et les russes (Atomenergoprom). Areva et EDF n'ont "que quelques années d'avance" sur leurs concurrents, prévient le PDG d'un grand groupe d'énergie.
Les pays en pointe dans l'industrie nucléaire civile (Etats-Unis, Russie, France, Japon) tentent de concilier deux objectifs : exporter leurs produits (réacteurs, cycle combustible-retraitement) sans déclencher de phénomène de prolifération. D'où l'idée lancée par les présidents américain et russe, George Bush et Vladimir Poutine, de créer des centres de référence dans les pays "sûrs" où les nations émergentes voulant accéder au nucléaire civil puissent se fournir en uranium faiblement enrichi avant de leur renvoyer le combustible usagé pour retraitement.
Jean-Michel Bezat
7-11-2010Découverte de nouveaux gisements de pétrole en Libye
PANALa compagnie pétrolière libyenne "Waha Oil Compagny" a découvert trois nouveaux gisements de pétrole offshore dans le bassin de Syrte, dans le centre de la Libye, annonce dimanche la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC) sur son site Internet.
La même source a indiqué que le premier puits de prospection 6S1-59, qui se trouve dans le bassin de Syrte sur le bloc 59, est situé à environ 70 km au sud-est de la région de Jalou.
La deuxième découverte a été faite sur le puits de prospection Ch-CH1-71, dans le bassin de Syrte, au bloc 71 situé à 140 km sud de la région de Mrada.
La troisième découverte, faite par "Waha Oil Compagny", une société de la NOC, a été réalisée sur le puits 6-A1-59, situé à 90 km sud-ouest de la région de Jalou.
La Libye possède des réserves de pétrole, estimées à 60 milliards de barils, et gazière de 1.500 milliards de m3.
Elle maintient une production pétrolière entre 1,3 et 1,7 millions de barils/jour avec une ambition de la porter à trois millions de barils/jour et une production de 2.600 millions de pieds cubes de gaz par jour.
(Source : African Manager)
Fissoul- Membre VIP bronze
- Nombre de messages : 713
- Message n°250
Re: Révolte (Tunisie, Egypte & co)
la syrie, le yemen, la palestine et israel, ...le proche et moyen orient est en train de faire sauter le couvercle de la marmite une fois de plus.
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