Révélation : Canberra a partagé des renseignements sur Assange avec Washington pendant plus de deux ans - http://wikileaksactu.wordpress.com/2012/10/24/revelation-canberra-a-partage-des-renseignements-sur-assange-avec-washington-pendant-deux-ans/
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Assange réfugié a l'ambassade d'équateur
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Re: Assange réfugié a l'ambassade d'équateur
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Assange réfugié a l'ambassade d'équateur
Wikileaks : Assange promet «un million de documents»
Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a fait un discours jeudi soir depuis le balcon de l'ambassade d'Équateur à Londres où il est réfugié depuis six mois. Son cas est dans une impasse.
Correspondant à Londres
Depuis le balcon de l'ambassade d'Équateur à Londres, où il est réfugié, Julian Assange a promis jeudi soir la révélation par le site Wikileaks de «plus d'un million de documents en 2013 affectant tous les pays du monde». Le fondateur de l'organisation prônant la transparence de l'information a voulu montrer à ses partisans qu'il ne baissait pas les bras dans l'adversité. Cela fait six mois exactement qu'il a trouvé asile dans la représentation diplomatique équatoriennedont il ne peut sortir au risque d'être immédiatement arrêté et extradé vers la Suède, où la justice souhaite l'entendre pour deux affaires de viol.
Chants de Noël, bougies, vin chaud, entre 100 et 200 supporters - et à peu près autant de journalistes - s'étaient massés sous les fenêtres de l'ambassade, juste derrière le grand magasin de luxe Harrods illuminé. Assange les a remerciés, ainsi que tous ceux qui chaque jour depuis six mois surveillent le site. Se disant «en sécurité ici» malgré une «liberté limitée», il a rendu hommage aux «232 journalistes qui passeront la nuit en prison ce soir» ainsi qu'au soldat américainBradley Manning, détenu pour avoir transmis des centaines d'informations à Wikileaks.
«Trouver une solution diplomatique»
On l'avait dit souffrant d'une infection pulmonaire liée à son confinement mais l'Australien à la chevelure argentée a semblé en forme. Il a reçu des visites, dont celles de Lady Gaga ou de Jean-Luc Mélenchon. «C'est de la révélation de la vérité que tout découle», a-t-il déclaré. Il a dénoncé l'enquête «immorale» de la justice américaine sur Wikileaks, ainsi que le comportement du gouvernement de son pays d'origine, l'Australie.
Les chaînes d'information britanniques n'ont pas diffusé l'intervention et le cas Assange en pleine impasse suscite au Royaume-Uni pas mal de lassitude. Londres se dit engagé à «trouver une solution diplomatique» mais rappelle son «obligation légale de l'extrader vers la Suède». L'Équateur a demandé aux Britanniques qu'il puisse bénéficier d'un sauf-conduit ou que Stockholm apporte des garanties qu'il ne serait pas ensuite extradé vers les États-Unis, où il redoute d'être poursuivi pour espionnage.
Le président équatorien Rafael Correa a embrassé cette cause pour se présenter en parangon de la liberté d'expression. L'élection présidentielle prévue dans le pays en février devrait faire évoluer la situation. Brian, 23 ans, un étudiant équatorien à Londres, était venu mercredi soir apporter son soutien à «la cause de la transparence». «Je suis contre le front uni occidental et la stigmatisation d'Assange, a-t-il réagi. On ne parlerait pas tant des accusations criminelles dont il fait l'objet s'il ne s'agissait pas de lui.»
Une fois les fenêtres de l'élégant bâtiment de briques rouges refermées, les Londoniens et touristes du quartier chic de Knightsbridge ont repris leur shopping de Noël.
Le Figaro
Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a fait un discours jeudi soir depuis le balcon de l'ambassade d'Équateur à Londres où il est réfugié depuis six mois. Son cas est dans une impasse.
Correspondant à Londres
Depuis le balcon de l'ambassade d'Équateur à Londres, où il est réfugié, Julian Assange a promis jeudi soir la révélation par le site Wikileaks de «plus d'un million de documents en 2013 affectant tous les pays du monde». Le fondateur de l'organisation prônant la transparence de l'information a voulu montrer à ses partisans qu'il ne baissait pas les bras dans l'adversité. Cela fait six mois exactement qu'il a trouvé asile dans la représentation diplomatique équatoriennedont il ne peut sortir au risque d'être immédiatement arrêté et extradé vers la Suède, où la justice souhaite l'entendre pour deux affaires de viol.
Chants de Noël, bougies, vin chaud, entre 100 et 200 supporters - et à peu près autant de journalistes - s'étaient massés sous les fenêtres de l'ambassade, juste derrière le grand magasin de luxe Harrods illuminé. Assange les a remerciés, ainsi que tous ceux qui chaque jour depuis six mois surveillent le site. Se disant «en sécurité ici» malgré une «liberté limitée», il a rendu hommage aux «232 journalistes qui passeront la nuit en prison ce soir» ainsi qu'au soldat américainBradley Manning, détenu pour avoir transmis des centaines d'informations à Wikileaks.
«Trouver une solution diplomatique»
On l'avait dit souffrant d'une infection pulmonaire liée à son confinement mais l'Australien à la chevelure argentée a semblé en forme. Il a reçu des visites, dont celles de Lady Gaga ou de Jean-Luc Mélenchon. «C'est de la révélation de la vérité que tout découle», a-t-il déclaré. Il a dénoncé l'enquête «immorale» de la justice américaine sur Wikileaks, ainsi que le comportement du gouvernement de son pays d'origine, l'Australie.
Les chaînes d'information britanniques n'ont pas diffusé l'intervention et le cas Assange en pleine impasse suscite au Royaume-Uni pas mal de lassitude. Londres se dit engagé à «trouver une solution diplomatique» mais rappelle son «obligation légale de l'extrader vers la Suède». L'Équateur a demandé aux Britanniques qu'il puisse bénéficier d'un sauf-conduit ou que Stockholm apporte des garanties qu'il ne serait pas ensuite extradé vers les États-Unis, où il redoute d'être poursuivi pour espionnage.
Le président équatorien Rafael Correa a embrassé cette cause pour se présenter en parangon de la liberté d'expression. L'élection présidentielle prévue dans le pays en février devrait faire évoluer la situation. Brian, 23 ans, un étudiant équatorien à Londres, était venu mercredi soir apporter son soutien à «la cause de la transparence». «Je suis contre le front uni occidental et la stigmatisation d'Assange, a-t-il réagi. On ne parlerait pas tant des accusations criminelles dont il fait l'objet s'il ne s'agissait pas de lui.»
Une fois les fenêtres de l'élégant bâtiment de briques rouges refermées, les Londoniens et touristes du quartier chic de Knightsbridge ont repris leur shopping de Noël.
Le Figaro
Macha- Administrateur
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- Message n°43
Julian Assange veut se faire élire sénateur
AUSTRALIE - A force de ruminer dans l'ambassade d'Equateur à Londres, le fondateur de WikiLeaks pense avoir trouvé la solution pour se sortir de là : accéder au rang de parlementaire dans son pays.
Après le parachutage électoral, Julian Assange invente l'évacuation électorale. Réfugié depuis huit mois à l'ambassade d'Equateur à Londres, le fondateur de WikiLeaks, citoyen australien, pense avoir enfin trouvé une solution pour en sortir : être élu au Sénat de son pays. Dans une interview donnée au site The Conversation, il annonce donc sa volonté de se présenter au scrutin prévu le 14 septembre prochain.
Le calcul est le suivant, détaille The Conversation en rapportant les propos de Julian Assange : "S'il gagne un siège au Sénat, la justice américaine ne voudra pas déclencher une bataille diplomatique, elle abandonnera son enquête pour espionnage", lancée suite aux révélations par WikiLeaks de documents diplomatiques confidentiels, notamment sur l'Afghanistan. Par un effet domino, croit savoir le cyber-militant un brin mégalo, le gouvernement britannique de David Cameron suivra son allié américain. Sinon, "le coût politique du statu quo actuel sera encore plus élevé".
Un parti Wikileaks en Australie
Afin de mettre en actes sa stratégie, Julian Assange a déjà entrepris de monter son propre parti, baptisé... WikiLeaks. Son conseil national est déjà composé, et son fondateur ne doute pas qu'il réunira les 500 cotisants requis par la loi. Pour les sénatoriales, des candidats seront présentés dans plusieurs Etats australiens, dont lui-même dans celui de Victoria.
Si cette partie de son scenario se réalisait, il lui faudrait encore se débarrasser de la justice suédoise. Car c'est bien cette dernière, qui poursuit Julian Assange pour une affaire de viol qu'il nie, qui a demandé à Londres son extradition. Cette affaire est "en train de s'effondrer", estime l'intéressé. " Le gouvernement suédois devrait laisser tomber l'affaire, qui l'oblige néanmoins à faire sa propre enquête approfondie sur comment et pourquoi son système a échoué". Au cas où, Julian Assange compte bien sur le soutien du président équatorien, Rafael Correa, pour maintenir la pression sur Stockholm. Peu après sa réélection dimanche, celui-ci a a appelé à trouver une "solution rapide" pour le fondateur de WikiLeaks.
Le calcul est le suivant, détaille The Conversation en rapportant les propos de Julian Assange : "S'il gagne un siège au Sénat, la justice américaine ne voudra pas déclencher une bataille diplomatique, elle abandonnera son enquête pour espionnage", lancée suite aux révélations par WikiLeaks de documents diplomatiques confidentiels, notamment sur l'Afghanistan. Par un effet domino, croit savoir le cyber-militant un brin mégalo, le gouvernement britannique de David Cameron suivra son allié américain. Sinon, "le coût politique du statu quo actuel sera encore plus élevé".
Un parti Wikileaks en Australie
Afin de mettre en actes sa stratégie, Julian Assange a déjà entrepris de monter son propre parti, baptisé... WikiLeaks. Son conseil national est déjà composé, et son fondateur ne doute pas qu'il réunira les 500 cotisants requis par la loi. Pour les sénatoriales, des candidats seront présentés dans plusieurs Etats australiens, dont lui-même dans celui de Victoria.
Si cette partie de son scenario se réalisait, il lui faudrait encore se débarrasser de la justice suédoise. Car c'est bien cette dernière, qui poursuit Julian Assange pour une affaire de viol qu'il nie, qui a demandé à Londres son extradition. Cette affaire est "en train de s'effondrer", estime l'intéressé. " Le gouvernement suédois devrait laisser tomber l'affaire, qui l'oblige néanmoins à faire sa propre enquête approfondie sur comment et pourquoi son système a échoué". Au cas où, Julian Assange compte bien sur le soutien du président équatorien, Rafael Correa, pour maintenir la pression sur Stockholm. Peu après sa réélection dimanche, celui-ci a a appelé à trouver une "solution rapide" pour le fondateur de WikiLeaks.
source : http://www.metrofrance.com/info/wikileaks-julian-assange-veut-se-faire-elire-senateur/mmbr!iPY8N7EDq8Kpg/
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