Je ne peux résister au plaisir de mettre en ligne le petit texte que j'ai publié hier sur FB, et dont l'argument se tient :
"DE LA CONNERIE COMME ALTERNATIVE AU COMPLOT
L’idée d’un complot politique à la base de la fallacieuse campagne de terreur répandue par les médias, orchestrée par le pouvoir, a forcément été envisagée par les plus suspicieux d’entre nous, dans la mesure où cette campagne est rapidement apparue aux plus attentifs comme monstrueusement disproportionnée par rapport aux statistiques officielles, donc à la réalité du terrain. Mais cette campagne entraînant une chute spectaculaire de l’économie, il devenait difficile d’imaginer quelles sombres et impérieuses motivations politiques pouvaient provoquer une telle obstination dans la déraison et le sabordage concerté.
Une alternative existe bien à cette théorie complotiste, mais elle est encore plus inquiétante.
C’est en effet donner beaucoup de crédit à nos gouvernants que de leur prêter des mobiles inavouables : il n’est que de constater cette évidence que l’irruption de ce coronavirus inconnu a totalement pris les autorités de santé au dépourvu. La très réelle crise sanitaire éclatant en février a démontré que tant les pouvoirs publics que l’autorité de santé étaient démunis, désorganisés devant cet afflux de malades. La gestion de l’épidémie fut menée en dépit du bon sens, l’incohérence des décisions le disputant à la discorde des factions qui se firent jour dans la manière de traiter les patients, à tel point qu’actuellement, il est encore impossible de déterminer si l’hydroxychloroquine a un effet curatif sur le virus. Les directives officielles successives témoignent de cette confusion : l’excédent des malades fut transféré par rail aux quatre coins de l’hexagone avec tambours et trompettes, alors que les cliniques privées restaient vides, le masque était inutile en mars alors qu’il est obligatoire maintenant que l’épidémie est moribonde, les anti-inflammatoires étaient proscrits, aujourd’hui recommandés.
Il est difficile de soutenir que l’exécutif porte sur la situation actuelle un regard lucide alors qu’il était en panique voilà cinq mois.
Ce qui incline à envisager une autre hypothèse…
L’OMS, qui est un organisme spécialisé des Nations Unies, fait autorité dans le domaine de la santé. Ses directives sont suivies dans presque tous les états du monde. Mais cette année, les USA se retirent avec fracas de cette organisation, estimant que son directeur prend des positions trop favorables à la Chine. Ce point est hélas indiscutable, Tedros Ghebreyesus faisant l’apologie du régime, reprenant servilement les éléments de langage du gouvernement chinois, parfois au mot près. Celui-ci a donc une influence grandissante à l’OMS.
Or, à reprendre la chronologie de l’historique de la pandémie, on ne peut qu’être frappé par la conjonction de plusieurs facteurs concordants, au point qu’un scénario se dessine :
* Du laboratoire P4 de Wuhan, connu de l’administration U.S. pour être une passoire, s’échappe (!) à la fin 2019 un coronavirus inconnu, aux propriétés très atypiques pour sa classe (on saura plus tard que ce Covid 19 était déjà connu - voir tableau ci-dessous).
* Dès le début de l’épidémie sur le territoire chinois, les autorités dissimulent la gravité de la situation et s’abstiennent de déclarer l’état d’urgence international (pour laisser au virus le temps de se propager partout, diront les mauvaises langues), puis décrètent un confinement général de la région de Wuhan. Dés lors, l’idée est lancée dans la communauté internationale où le virus commence à faire des victimes.
* Un confinement presque général de la population mondiale est décrété, mettant les économies des pays occidentaux à genoux. Et sept mois après le début de la pandémie, l’OMS continue de distiller ses messages alarmistes et ses directives impérieuses de port du masque partout, alors que le virus a presque disparu d’Europe occidentale, avec la complicité béate de toute la classe politique européenne…
Comment ne pas envisager l’idée que la Chine, qui avait finement observé et évalué la vulnérabilité de nos mentalités timorées, n’avait qu’à libérer un virus moyennement létal mais très contagieux, pour mener à l’Occident une guerre bactériologique peu coûteuse mais très efficace, comptant sur la contagion d’une peur diffuse soigneusement entretenue par le truchement de l’OMS, son organe de propagande ?
Je dis ça, je dis rien……………"
"DE LA CONNERIE COMME ALTERNATIVE AU COMPLOT
L’idée d’un complot politique à la base de la fallacieuse campagne de terreur répandue par les médias, orchestrée par le pouvoir, a forcément été envisagée par les plus suspicieux d’entre nous, dans la mesure où cette campagne est rapidement apparue aux plus attentifs comme monstrueusement disproportionnée par rapport aux statistiques officielles, donc à la réalité du terrain. Mais cette campagne entraînant une chute spectaculaire de l’économie, il devenait difficile d’imaginer quelles sombres et impérieuses motivations politiques pouvaient provoquer une telle obstination dans la déraison et le sabordage concerté.
Une alternative existe bien à cette théorie complotiste, mais elle est encore plus inquiétante.
C’est en effet donner beaucoup de crédit à nos gouvernants que de leur prêter des mobiles inavouables : il n’est que de constater cette évidence que l’irruption de ce coronavirus inconnu a totalement pris les autorités de santé au dépourvu. La très réelle crise sanitaire éclatant en février a démontré que tant les pouvoirs publics que l’autorité de santé étaient démunis, désorganisés devant cet afflux de malades. La gestion de l’épidémie fut menée en dépit du bon sens, l’incohérence des décisions le disputant à la discorde des factions qui se firent jour dans la manière de traiter les patients, à tel point qu’actuellement, il est encore impossible de déterminer si l’hydroxychloroquine a un effet curatif sur le virus. Les directives officielles successives témoignent de cette confusion : l’excédent des malades fut transféré par rail aux quatre coins de l’hexagone avec tambours et trompettes, alors que les cliniques privées restaient vides, le masque était inutile en mars alors qu’il est obligatoire maintenant que l’épidémie est moribonde, les anti-inflammatoires étaient proscrits, aujourd’hui recommandés.
Il est difficile de soutenir que l’exécutif porte sur la situation actuelle un regard lucide alors qu’il était en panique voilà cinq mois.
Ce qui incline à envisager une autre hypothèse…
L’OMS, qui est un organisme spécialisé des Nations Unies, fait autorité dans le domaine de la santé. Ses directives sont suivies dans presque tous les états du monde. Mais cette année, les USA se retirent avec fracas de cette organisation, estimant que son directeur prend des positions trop favorables à la Chine. Ce point est hélas indiscutable, Tedros Ghebreyesus faisant l’apologie du régime, reprenant servilement les éléments de langage du gouvernement chinois, parfois au mot près. Celui-ci a donc une influence grandissante à l’OMS.
Or, à reprendre la chronologie de l’historique de la pandémie, on ne peut qu’être frappé par la conjonction de plusieurs facteurs concordants, au point qu’un scénario se dessine :
* Du laboratoire P4 de Wuhan, connu de l’administration U.S. pour être une passoire, s’échappe (!) à la fin 2019 un coronavirus inconnu, aux propriétés très atypiques pour sa classe (on saura plus tard que ce Covid 19 était déjà connu - voir tableau ci-dessous).
* Dès le début de l’épidémie sur le territoire chinois, les autorités dissimulent la gravité de la situation et s’abstiennent de déclarer l’état d’urgence international (pour laisser au virus le temps de se propager partout, diront les mauvaises langues), puis décrètent un confinement général de la région de Wuhan. Dés lors, l’idée est lancée dans la communauté internationale où le virus commence à faire des victimes.
* Un confinement presque général de la population mondiale est décrété, mettant les économies des pays occidentaux à genoux. Et sept mois après le début de la pandémie, l’OMS continue de distiller ses messages alarmistes et ses directives impérieuses de port du masque partout, alors que le virus a presque disparu d’Europe occidentale, avec la complicité béate de toute la classe politique européenne…
Comment ne pas envisager l’idée que la Chine, qui avait finement observé et évalué la vulnérabilité de nos mentalités timorées, n’avait qu’à libérer un virus moyennement létal mais très contagieux, pour mener à l’Occident une guerre bactériologique peu coûteuse mais très efficace, comptant sur la contagion d’une peur diffuse soigneusement entretenue par le truchement de l’OMS, son organe de propagande ?
Je dis ça, je dis rien……………"
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