casseron a écrit:Il existe pourtant des cas documentés de liaison féconde homme-guenon....
t'es sérieux?
casseron a écrit:Il existe pourtant des cas documentés de liaison féconde homme-guenon....
source : http://www.rue89.com/2013/05/14/controverse-prof-stanford-croit-extraterrestres-linterview-rue89-242316Controverse sur le prof de Stanford qui croit aux extraterrestres : l’interview de Rue89
Ata suscite beaucoup de discussions. Présenté initialement comme un potentiel extraterrestre, le squelette momifié de quinze centimètres est la star du documentaire « Sirius », sorti en salles fin avril aux Etats-Unis. La semaine dernière, sur le Wikipédia français, l’article sur Ata a ainsi été l’un des plus lus – autour de 10 000 visites par jour.
Depuis la publication de notre article, jeudi dernier, sur ce mystérieux spécimen, une polémique s’est centrée sur Garry Nolan, le professeur de Stanford qui a procédé à l’analyse ADN d’Ata dans le documentaire.
Rue89 a dévoilé que le professeur Garry Nolan est lui-même ufologue et qu’il regrette avoir été trop catégorique dans le documentaire.
Selon Michel1961, auteur de l’article Wikipédia sur Ata, l’article a été supprimé de la page d’accueil du Wikipédia francophone suite à des doutes sur la véracité de l’interview de Rue89 :
« On a estimé qu’il n’y avait pas assez de sources recoupées pour étayer que Nolan estimait s’être trompé. »
Dans la version anglaise de Wikipédia, on reste méfiant vis-à-vis des informations communiquées par Rue89. L’information la plus contestée est que cet expert en immunologie soit ufologue. Herostratus, rédacteur senior de Wikipédia, dit ainsi :
« C’est une nouvelle pour moi et je suis amené à me demander ce qui se passe ici… Nolan est un professeur de l’Ecole de médecine de Stanford, je n’ai jamais lu quoi que ce soit qui indiquerait qu’il soit un mec qui croit aux ovnis. Je me méfie un peu de cette source. »
Le rédacteur Herostatus va jusqu’à se demander si nous avons véritablement interrogé Garry Nolan.
« Si vous connaissez bien nos amis américains, vous saurez que si une source vient d’ailleurs ils la considèrent comme étant moins crédible », explique le Toulonnais Michel1961.
Dans l’interview que Garry Nolan a accordée à Rue89 mercredi 8 mai par téléphone, il a affirmé avoir eu tort de dire dans « Sirius » que « de toute évidence » le spécimen Ata avait « respiré, mangé et métabolisé ».
Cette affirmation avait pourtant été reprise par plusieurs médias et laissait entendre que cette créature a bel et bien vécu pendant six à huit ans.
Pour écarter tous vos doutes, nous publions ici l’intégralité de l’interview.
Rue89 : Etes-vous content du documentaire « Sirius » et de votre participation dans celui-ci ?
Garry Nolan : Je pense que le résultat était bien. Mon rôle dedans n’était pas de produire des résultats finaux, mais de permettre aux gens de voir par quel processus des chercheurs font de la recherche dans un domaine controversé. Les producteurs ont fait un bon travail et par la suite ils m’ont soutenu dans mes recherches ultérieures.
Que savez-vous du spécimen ?
Aujourd’hui, nous pensons qu’il s’agit d’un enfant humain. Il n’y a aucune indication qu’il s’agisse d’un extraterrestre. Je ferais très attention à ne pas m’exprimer sur quelque chose dont je ne suis pas sûr. Il y a trois semaines, je ne le savais pas.
Qu’est-ce qui fait alors que vous êtes sûr qu’Ata soit humain aujourd’hui, tandis que vous ne l’étiez pas avant ? Qu’avez-vous comme nouvelle information ?
Ayant eu le temps de réviser les données, j’ai pu réaliser que c’était le cas. La séquence ADN mesure trois milliards de paires de bases azotées et cela prend du temps d’analyser les résultats avec la technologie informatique pour faire des séquençages. On peut faire des erreurs si les analyses ne sont pas correctement faites. Je voulais être sûr que je présentais les résultats les plus exacts possible.
Normalement, ce n’est pas comme ça qu’on fait de la science. D’habitude, on fait ses analyses, ensuite on soumet ses résultats et l’article à une évaluation par ses pairs avant de publier quoi que ce soit. Or, dans un domaine comme celui-ci, où aucune recherche n’a été faite c’est très facile pour n’importe qui d’affirmer quoi que ce soit.
Avant le documentaire, beaucoup de gens disaient « ce n’est qu’un bout de plastique », « c’est un singe ». Tout le monde avait une opinion et chacun était convaincu qu’il avait raison. Pour moi c’était important de montrer au public qui n’allait jamais lire une revue scientifique comment on pouvait faire des analyses. Si on leur montre ce qu’on peut apprendre, cela pourrait trancher le débat. L’idée était de leur montrer tout le processus.
Les résultats du séquençage sont toujours en cours d’analyse. Nous sommes un groupe de dix personnes dans le monde qui travaillons dessus. Certains travaillent dans des universités, certains travaillent pour des entreprises. Le film a donné lieu à des collaborations. Des gens m’ont contacté pour offrir leur aide. J’ai commencé par vérifier leurs qualités et maintenant nous travaillons ensemble. Mon idée était d’explorer une nouvelle manière de faire de la science. Je ne m’attendais pas à ce que l’histoire apparaisse dans tous les journaux.
Pourriez-vous parler plus en détail de ce que vous savez d’Ata ?
Cela peut toujours être un fœtus, nous ne sommes plus sûrs. Mais c’est clair qu’il s’agit d’un être humain, parce que le type de variantes que nous observons dans l’ADN sont exactement les mêmes qu’on retrouve chez des indigènes de la côte ouest de l’Amérique du sud. L’ADN de la mère correspond exactement à un haplotype B2a. Le reste de la séquence semble simplement humain à tous les niveaux.
En même temps ce spécimen n’a que dix côtes. Alors il reste d’autres probabilités. La densité osseuse paraît anormale, cela peut être dû à une mutation dans le gène. Cependant, ce n’est pas facile de dire plus précisément quel gène est responsable. On retrouve plusieurs mutations dans les protéines de cet échantillon et là nous n’avons pas trouvé de réponse. Nous avons pu confirmer qu’il ne s’agit pas de nanisme primordial, mais nous avons trouvé de nouvelles mutations qui pourraient être associées à la croissance. C’est difficile de prouver qu’un seul de ces gènes est la cause absolue. Il peut y avoir une interaction de ces gènes qui a causé le phénotype. Pour que tout le monde soit content il serait nécessaire de faire une liste de gènes possibles.
Chaque personne est née avec des mutations ; tout humain a à peu près cent mutations. L’échantillon ne contient pas plus de mutations qu’un humain moyen, c’est pourquoi il a l’air normal. Mais chaque mutation peut être la source d’un problème potentiel ; elles peuvent exprimer une maladie ou un syndrome.
Dans le documentaire Sirius vous semblez moins convaincu qu’il s’agissait vraiment d’un être humain. Vous dites : « Ce spécimen n’était clairement pas fœtal. » Qu’est-ce qui vous a fait changer d’opinion ?
J’étais plus dans le doute parce qu’à ce moment-là je n’avais pas assez d’informations. Les producteurs m’ont demandé d’essayer de prouver qu’il s’agissait d’un extraterrestre. Et je leur ai promis que je ne serais pas un fondamentaliste ; que je resterais ouvert à un maximum d’hypothèses. Au moment du tournage, je ne pouvais pas prouver qu’il s’agissait d’un humain.
Si on m’avait confié l’échantillon et qu’on m’avait dit que c’était un enfant humain, j’aurais tout de suite confirmé que l’ADN était humain. Tout dépend de la question posée.
On était d’accord (avec les producteurs) que je donnerais plus d’informations après avoir avancé plus dans les recherches. Maintenant, la probabilité qu’il s’agisse d’un extraterrestre est radicalement tombée à zéro. Bien sûr, si on avait découvert une nouvelle espèce de singes cela aurait été intéressant. Maintenant la question qui reste est pourquoi il est aussi petit et comment expliquer l’âge des os. Si c’est un enfant, pourquoi avons-nous affaire à cette structure osseuse ? La structure osseuse du spécimen renforce l’hypothèse qu’il doit être âgé de 6 à 8 ans. L’âge est comparé avec une série de standards basés sur la forme et la maturation de la structure osseuse d’une série d’enfants.
Mais ces critères d’évaluation de l’âge sont basés sur des études empiriques réalisées sur des êtres humains. Si vous vouliez prouver qu’il s’agissait d’une espèce différente, alors, d’un point de vue scientifique, cela n’a pas de sens d’évaluer l’âge avec des critères humains...
Non, c’est vrai. Mais nous voulions explorer différentes possibilités, et ceci était une hypothèse. Cela dit, il y a une manière différente et indépendante d’évaluer l’âge, que je vais essayer de mettre en œuvre. On peut examiner la protéine hémoglobine dans l’échantillon. On n’a pas le même type d’hémoglobine dans le sang lorsqu’on est un fœtus que lorsqu’on est adulte. Lorsque le fœtus vieillit, il utilise d’autres types de protéines pour se servir de l’oxygène. Une fois né, on commence à utiliser un type différent d’hémoglobine parce qu’on n’est plus dans le ventre de sa mère. J’ai eu l’idée d’utiliser cette méthode la semaine dernière seulement, mais c’est une manière indépendante de déterminer l’âge et s’il s’agit d’un fœtus ou non.
Pourquoi n’étiez-vous pas présent lors du prélèvement effectué sur le corps ? Etes-vous sûr que le prélèvement a été fait sur Ata ?
Oui j’en suis complètement sûr. Je leur ai donné (aux membres du Centre d’étude de l’intelligence extraterrestre) les tubes pour recueillir l’échantillon et je leur ai prêté le microscope. Ils sont allés en Espagne et ils ont coupé un morceau de l’os. C’est moi qui ai extrait l’ADN. Je suis absolument sûr qu’il venait d’Ata parce que le morceau était le même que les photos que j’ai vues.
Pourquoi sont-ils allés en Espagne faire le prélèvement ?
Parce qu’on ne peut pas envoyer un corps sans un permis d’importation. C’est comme si vous transportiez un cadavre. Le propriétaire habite en Espagne, je ne suis pas sûr qu’il voulait qu’il soit envoyé de l’autre côté de l’Atlantique à quelqu’un qu’il ne connaissait pas.
Vous dites dans le documentaire que vous estimez que le spécimen est mort il y a 100 ans. Sur quoi vous basez-vous ? Peut-on le voir en examinant de l’ADN ?
Oui, cette conclusion est partiellement basée sur l’analyse de l’ADN. Lorsque l’ADN vieillit, la cytosine se transforme en uracile. Plus l’ADN est vieux, plus l’échantillon contiendra d’uracile.
Dans le documentaire vous dites aussi « De toute évidence il a respiré, mangé et métabolisé » et vous affirmez qu’Ata a vécu. Qu’est-ce qui vous faisait croire ceci ? [Dans le documentaire Garry Nolan continue en disant : « Et de toute évidence, il ne vivait pas dans un environnement où il y avait beaucoup d’attention médicale avancée à laquelle il pouvait avoir accès pour survivre jusqu’à cet âge (6 à 8 ans) », ndlr)
Je me suis trompé là-dessus. Je n’avais pas considéré d’autres alternatives.
Comment décririez-vous les réactions que vous avez eues après votre participation dans Sirius ?
99% des réactions ont été extrêmement positives. J’ai reçu des e-mails très gentils de plusieurs anthropologues qui me disaient « merci d’avoir fait ceci pour nous ». Des gens m’ont contacté pour me raconter qu’ils ont vu d’autres choses bizarres. A chaque fois que les gens voient des choses étranges ils veulent croire que ce n’est pas humain.
Alors, qu’est-ce qui vous a motivé à participer à ce documentaire et pourquoi aviez vous tenu à ces premières hypothèses ?
Il se fait que j’ai une croyance plus que forte dans les ovnis. J’ai lu assez de science fiction dans ma vie pour trouver que c’était une question intéressante. Peu importe pour moi si les gens se moquent de moi ou non. Je suis professeur des universités, j’ai eu sept cancers, indépendamment l’un de l’autre. Quand on est soumis à ce genre d’expérience où l’on risque sa vie, que l’on risque aussi souvent de mourir, on commence à voir la vie différemment. On se dit : « Allez on va s’amuser ! Pourquoi ne prendre aucun risque ? Pourquoi avoir peur ? »
Je ne pense pas que les scientifiques doivent avoir peur de poser des questions. Ces questions portent sur des ovnis, mais pourquoi serait-ce une erreur de se poser des questions sur la vie au-delà de la Terre ? S’il y a des échantillons comme celui-ci je pense qu’il faut aller au bout de la discussion. On va probablement apprendre qu’ils sont tous humains, mais tout de même. Une fois qu’on a pu écarter ces doutes on peut passer à des questions plus subtiles.
Il y a plusieurs scientifiques avec une expertise similaire à la vôtre dans le monde qui auraient pu faire ces tests. Pensez-vous qu’il fallait un scientifique qui croyait aux ovnis pour que ces études soient faites ?
Je pense que cela a rendu la tâche un peu plus probable. J’ai pu le faire. Grâce à mes croyances c’était plus facile pour moi d’aborder ce sujet avec une certaine tranquillité d’esprit et je n’avais pas besoin de m’inquiéter du fait que des gens risquent de se moquer de moi. A travers ce travail, pourtant, j’ai rencontré des gens qui ont vécu des choses étranges qui ne sont pas reliées à ce spécimen en particulier mais qui sont tout à fait reliés à la vie extérieure. Ces choses devraient inviter toute personne raisonnable à se poser des questions.
Comment vous êtes-vous engagé dans le documentaire ?
C’est moi qui leur ai envoyé un message (au CSETI). J’avais rencontré des gens qui avaient eu des expériences intéressantes. Lorsque vous êtes scientifique et que vous voyez une anomalie vous ne la rejetez pas juste comme ça. Beaucoup de la meilleure science qui n’a jamais été faite a commencé par étudier des anomalies. A partir des gens que j’ai rencontrés, une image a commencé à se dresser que toute personne raisonnable serait obligée d’admettre. Je pense que cela mérite plus d’investigations. Ensuite, il faut trouver un équilibre et évaluer le temps et les coûts de ce type de recherche ; combien d’argent requiert la recherche sur les ovnis contre la recherche qui porte sur des vrais problèmes qui concernent des êtres humains, comme des maladies, qui est ce à quoi je me suis consacré pendant toute ma carrière. J’ai étudié l’auto-immunité pendant ces trente dernières années.
source : http://www.gentside.com/extraterrestre/decouvrez-atta-boy-un-humanoide-ressemblant-etrangement-a-celui-de-sirius_art50937.htmlTout comme Ata, Atta Boy a été découvert dans le désert d'Atacama et ne mesure que 15 centimètres. Découvert 70 ans plus tôt par Robert Ripley, cet humanoïde a malheureusment disparu et seules des photos peuvent nous prouver son existence. Mais que peuvent-être ces êtres étranges ? Sont-ils des humains, des aliens ou bien tout autre chose ? Au mois d’avril, un documentaire intitulé Sirius promettait de dire la vérité sur une découverte étrange d’un humanoïde nommé Ata. Cet être avait été trouvé dans le désert d’Atacama, au Chili, en 2003 et ne mesurait que 15 centimètres. Alors que quelques personnes évoquaient une présence extraterrestre, d’autres beaucoup plus sceptiques ne parlaient que de supercherie. Néanmoins, Ata peut être fortement rapproché d’un autre humanoïde très semblable découvert, lui, dans les années 1930. Pour rappel, des tests ADN – non encore concluants à ce jour – avaient affirmé qu’Ata était à 91% constitué d’ADN humain. Les chercheurs se creusent d’ailleurs la tête pour savoir à quoi correspondent les 9% restants. Certains ont déclaré qu’il s’agissait d’un petit corps ayant vécu de six à huit ans alors que d’autres pensaient qu’il s’agissait d’un fœtus humain momifié.
Mais tout ceci peut changer grâce à la découverte d’Atta Boy. Très semblable à Ata, cet humanoïde mesure également 15 centimètres et a été trouvé dans le désert d’Atacama, mais dans la région de la Bolivie et non du Chili. L’homme à l’origine de cette découverte s’appelle Robert Ripley, un globe-trotter millionnaire des années 1930. Passionné par les choses étranges, il a été à l’origine de divers ouvrages, dessins animés, émissions de radio et il a même donné son nom à une trentaine de musées à travers le monde dont la thématique est l’étrange et l’insolite, les musées Believe It or Not !. Un des plus réputés d’entre eux se situe à Picadilly Circus à Londres, où l’on peut remarquer dans l’entrée une vache avec une cinquième patte sur le dos. Une photo datant de 1933 nous montre ainsi Robert Ripley tenant dans sa main cet humanoïde, Atta Boy. D’où vient cet être étrange ? Est-ce un alien, un humain ou encore autre chose ? "Robert Ripley n’a laissé aucune note concernant Atta Boy. Voilà ce qui ajoute encore plus de mystère à la chose. Je sais que Ripley avait décrit Atta Boy comme étant un humain et pas un alien. Il pensait fortement qu’il s’agissait d’une miniature d’un humain momifié" a expliqué Neal Thompson, auteur d’un livre sur Robert Ripley, relayé par The Huffington Post. Le plus étonnant reste tout de même de savoir pourquoi cette découverte est tombée rapidement dans l’oubli. D’ailleurs, personne n’a mis la main sur Atta Boy depuis cette période.
Le nom d’Atta Boy lui a été donné par Robert Ripley lui-même en référence aux Jivaros, peuple d’indiens vivants dans cette région d’Amérique du Sud. Ce peuple est fortement réputé pour être des guerriers et pour avoir été craint par les Européens colonialistes et, avant eux, par les Incas. En cause, une de leur tradition : les tsantsas, appelés également les réductions des têtes. Cette tradition était effectuée sur les têtes des ennemis. Une fois vainqueurs, les Jivaros décapitaient leurs ennemis, retiraient les os du crâne, cousaient les paupières et faisaient sécher la peau. Ce qui donnait l’impression d’avoir des crânes miniatures ressemblant presque à des visages momifiés. "Une chose par laquelle Ripley était fasciné était la miniaturisation de la forme humaine et, par exemple, la tradition des têtes réduites du peuple Jivaro" a souligné Neal Thompson. S’agit-il donc simplement d’un être victime de la tradition de ce peuple amérindien ? "Pour moi, il s’agit beaucoup plus d’un fœtus momifié. En ayant vu des corps réduits, je peux vous dire que cela est très différent de ce qu’est Atta Boy" a certifié Edward Meyer, vice-président des archives de Robert Ripley. "Je pense qu’Atta Boy est une momie bolivienne et non pas un corps réduit par le peuple des Jivaros" a-t-il précisé tout en ajoutant que la ressemblance entre Atta Boy et Ata "n’est pas une coïncidence" car "c’est juste la même histoire 70 ou 80 ans plus tard". Mais la réponse à cette question ne peut se faire qu’en présence physique d’Atta Boy. Lorsque quelqu’un aura mis la main sur cet être miniature, peut-être que des tests ADN pourront être effectués et ainsi, il sera confirmé ou non si Atta Boy et Ata peuvent être mis en relation. "Si quelqu’un a une quelconque information concernant Atta Boy, qu’il me la transmette" a conclu Edward Meyer tout en précisant que cette personne pourra bénéficier d’un droit de passage gratuit à vie dans les 32 musées Believe It or Not ! du monde ! A bon entendeur.
Hier à 22:39 par Schattenjäger
» La France en 2024
Hier à 21:59 par Schattenjäger
» Le Roswell Italien : crash d’ovni, secrets et rumeurs
Mar 19 Nov - 21:25 par Satanas
» Quand des français ont osé, en 1940 !
Dim 17 Nov - 17:51 par anoy
» OVNIs : nouvelles révélations incroyables au Congrès Américain, on fait le point !
Dim 17 Nov - 7:47 par anoy
» L'Iceberg des Red Rooms : La plus grande enquête sur ce mystère d'internet
Sam 16 Nov - 18:12 par Schattenjäger
» Sujet pour les fans de One piece
Sam 16 Nov - 11:24 par Schattenjäger
» Décés de Gildas Bourdais
Ven 15 Nov - 22:38 par Schattenjäger
» GILDAS BOURDAIS
Ven 15 Nov - 16:04 par Invité
» Une grotte mystérieuse...En réalité pas grand chose!
Jeu 14 Nov - 12:37 par Satanas
» L'HISTOIRE QUI A TERRIFIÉ L'EST DE LA FRANCE
Lun 11 Nov - 19:29 par Schattenjäger
» Le cas Paul Bernardo
Lun 11 Nov - 18:09 par Satanas
» 11 Km de Profondeur Sous l’Océan : Ce Que Cachent les Abysses
Mer 6 Nov - 21:50 par Schattenjäger
» 5 THÉORIES SUR BOUDDHA
Mer 6 Nov - 15:11 par Satanas
» Lieux hantés d'Écosse : châteaux, légendes et malédictions.
Ven 1 Nov - 18:45 par Schattenjäger