Anonymous s'attaque à la Corée du Nord
A lire ici : http://www.tomsguide.fr/actualite/anonymous-coree-nord,20807.html#xtor=RSS-201
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Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
FLAM- Animateur
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Du moment qu'ils attachent le petit gros avec - http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/la-coree-du-nord-installe-un-nouveau-missile-sur-sa-cote-est_1237639.html
Apollyôn- Modérateur
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
source : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/08/signes-de-preparatifs-d-un-nouvel-essai-nucleaire-en-coree-du-nord_3155591_3216.htmlLa Corée du Sud a souligné, lundi 8 avril, que la Corée du Nord était capable à tout moment d'effectuer un essai nucléaire tout en précisant qu'aucun élément n'accréditait l'imminence d'un tel essai, après avoir laissé entendre que des préparatifs en ce sens s'étaient récemment intensifiés. "Il y a des activités" sur le site atomique nord-coréen de Punggye-ri, mais "il semble s'agir d'activités de routine", a déclaré le ministère de la défense, tandis que selon le ministère de la réunification, un essai n'apparaît pas "imminent". Un peu plus tard, la Corée du Nord a annoncé qu'elle allait retirer les 53 000 employés du complexe industriel intercoréen de Kaesong, et le fermer temporairement.
Plus tôt, la presse sud-coréenne avait annoncé "des mouvements de personnels et de véhicules au niveau du tunnel sud de la base d'essai nucléaire de Punggye-ri", une activité "similaire à celle observée avant le troisième essai nucléaire". "Nous surveillons de près la situation, qui ressemble énormément à ce que nous avons vu avant le troisième essai", avait précisé une source officielle citée par le journal JoongAng Ilbo. "Nous tentons d'établir s'il s'agit d'une véritable préparation en vue d'un essai nucléaire ou d'un stratagème pour accentuer la pression sur la Corée du Sud et les Etats-Unis", expliquait cette source.
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a appelé lundi la Corée du Nord à éviter toute "nouvelle provocation". "La République populaire démocratique de Corée ne peut pas continuer comme cela, elle ne peut pas continuer à confronter et défier l'autorité du Conseil de sécurité et de la communauté internationale", a-t-il ajouté à la suite d'une rencontre à La Haye avec le ministre des affaires étrangères néerlandais, Frans Timmermans.
La Corée du Nord, qui a récemment installé deux missiles de moyenne portée sur sa côte est, pourrait également effectuer un tir d'essai cette semaine, dans une surenchère destinée à obtenir des concessions de Washington, par exemple sur une reprise sans condition des négociations sur le nucléaire civil.
Pyongyang a par ailleurs transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d'un dispositif de tir, selon Séoul. Le Musudan, montré publiquement pour la première fois à l'occasion d'un défilé militaire en octobre 2010, aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, soit la capacité d'atteindre la Corée du Sud ou le Japon. L'engin pourrait toucher des cibles à 4 000 km en cas de charge légère, et donc, en principe, frapper Guam, île du Pacifique située à 3 380 km de la Corée du Nord et où se trouvent 6 000 soldats américains.
D'après le conseiller pour la sécurité nationale de la présidente Park Geun-hye, Pyongyang pourrait effectuer cet essai autour du 10 avril, date à laquelle le régime communiste a indiqué ne plus pouvoir garantir la sécurité des missions diplomatiques étrangères. Les essais pourraient survenir avant le 15 avril, anniversaire de la naissance du défunt fondateur du régime communiste, Kim Il-sung. C'est également peu avant cette date que la Corée du Nord avait effectué un tir – raté – de fusée en 2012, considéré par Washington comme un tir de missile balistique. "Il n'y a aucun signe de préparatifs pour une guerre à grande échelle pour l'instant, mais le Nord doit s'attendre à des représailles en cas de guerre localisée", a prévenu ce conseiller.
Alors que ces informations commençaient à filtrer, le Japon a ordonné dimanche à ses forces armées d'abattre tout missile nord-coréen qui viserait son territoire. L'ordre, donné par le ministre de la défense japonais, Itsunori Onodera, va se traduire notamment par le déploiement en mer du Japon de destroyers équipés du système d'interception Aegis, a précisé un porte-parole.
"Nous ne tiendrons pas de conférence de presse spéciale car nous n'entendons pas être sous l'emprise des provocations nord-coréennes, et la Corée du Nord aurait des indications sur notre stratégie si nous donnions des détails en public", a poursuivi ce porte-parole, sous couvert de l'anonymat. "Il n'existe pas une grande probabilité que ce missile vise le Japon, mais nous avons décidé de nous préparer à toute éventualité", a indiqué une source gouvernementale à l'agence Kyodo.
Le dernier essai nucléaire de Pyongyang avait été mené avec succès le 12 février. Il avait provoqué un renforcement des sanctions de l'Organisation des Nations unies à l'encontre du régime nord-coréen, qui n'a depuis cessé de multiplier les provocations et les mises en garde.
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a appelé lundi la Corée du Nord à éviter toute "nouvelle provocation".
Affirmant être en "état de guerre" avec la Corée du Sud voilà près d'une semaine, la Corée du Nord menace de frapper des objectifs américains et a blooqué l'accès à la zone industrielle de Kaesong, exploitée en commun avec Séoul. Pyongyang a par ailleurs annoncé son intention de redémarrer un réacteur nucléaire arrêté en 2007, malgré les résolutions de l'Organisation des Nations unies lui interdisant tout programme atomique, et a déployé deux missiles sur sa côte est.
C'est dans ce contexte tendu que les Etats-Unis ont toutefois décidé de jouer l'apaisement en reportant un essai prévu en Californie de missile Minuteman 3, un missile balistique intercontinental à ogive nucléaire. Ce missile devait être tiré cette semaine de la base aérienne de Vandenberg, en Californie.
Selon un responsable de la défense, le secrétaire à la défense, Chuck Hagel, a décidé ce report afin d'éviter que l'essai "puisse être considéré comme exacerbant la crise avec la Corée du Nord". Séoul et Washington ont également annulé une réunion prévue le 16 avril à Washington entre le général Martin Dempsey, chef de l'état-major interarmées américain, et son homologue sud-coréen, le général Jung Seung-jo.
Le New York Times a dévoilé par ailleurs dimanche soir des informations sur le plan adopté conjointement par les Etats-Unis et la Corée du Sud pour riposter aux provocations de Pyongyang. Citant des responsables américains sous couvert de l'anonymat, le journal explique que cette nouvelle stratégie de "contreprovocation" a pour but de "répondre de la même façon", immédiatement mais proportionnellement, à la Corée du Nord si elle décide de lancer une attaque terrestre ou un missile. Selon ce plan, la réponse à une attaque nord-coréenne se ferait avec des armes identiques, précise le New York Times. Si la Corée du Nord venait à bombarder des installations militaires sur une île sud-coréenne, le plan prévoit que Séoul réplique avec un tir de barrage d'artillerie de même intensité, ajoute le quotidien américain.
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
La Corée du Nord évacue le complexe de Kaesong
Un soldat sud-coréen au point de contrôle du Pont de la Grande unification, qui mène à la zone démilitarisée séparant la Corée du Sud et la Corée du Nord, à Paju le 8 avril. (Photo Kim Hong-ji. Reuters)
ACTUALISÉ Pyongyang avait déjà chassé les employés sud-coréens de cette zone industrielle mixte située à la frontière. A Séoul, les autorités s'inquiètent de l'activité sur le site d'essais nucléaires de Punggye-ri.
Par AFP
La Corée du Nord a annoncé lundi qu’elle allait retirer les 53 000 employés nord-coréens qui travaillent sur le complexe industriel intercoréen de Kaesong, sur son territoire, et le fermer temporairement. «Nous allons retirer tous nos employés de la zone», a déclaré Kim Yang-gon, un haut responsable du parti, dans un communiqué transmis par l’agence officielle nord-coréenne KCNA.
Pyongyang va également «suspendre temporairement les opérations dans la zone et étudier la question pour savoir s’il doit permettre son existence ou le fermer», a ajouté le responsable. Ces décisions ont été rendues inévitables en raison «des va-t-en-guerre militaires» qui cherchent à faire de Kaesong un objet de confrontation, a déclaré Kim Yang-gon, qui a visité le complexe lundi matin.
«La manière dont la situation évoluera au cours des prochains jours dépendra entièrement de l’attitude des autorités sud-coréennes», selon lui. Depuis mercredi dernier, le Nord interdit l’accès de Kaesong au personnel sud-coréen et aux camions de livraison de matériaux, sur fond de très vives tensions sur la péninsule.
Pour le moment, 13 des 123 entreprises sud-coréennes présentes sur le site ont dû interrompre leur production faute de matières premières. Plus de 300 cadres sud-coréens ont quitté le complexe depuis le milieu de la semaine dernière, mais un demi-millier a décidé de rester, pour veiller au bon fonctionnement des activités.
Précieuse source de devises étrangères dont la Corée du Nord a grand besoin, le complexe de Kaesong est toujours resté ouvert malgré les crises répétées sur la péninsule, à l’exception d’une seule journée, en 2009. Pyongyang en avait bloqué l’accès pour protester contre des manœuvres militaires conjointes américano-sud-coréennes.
Craintes d'essai nucléaire
Dans la principale crainte ayant agité la péninsule ce lundi, la Corée du Sud a déclaré que la Corée du Nord était capable à tout moment d’effectuer un essai nucléaire tout en précisant qu’aucun élément n’accréditait l’imminence d’un tel essai, après avoir laissé entendre que des préparatifs en ce sens s’étaient récemment intensifiés.
«Il y a des activités» sur le site atomique nord-coréen de Punggye-ri mais «il semble s’agir d’activités de routine», a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense, Kim Min-seok, tandis que selon le ministère de la Réunification, un essai n’apparaît pas «imminent».
Le ministre sud-coréen de la Réunification, Ryoo Kihl-jae, avait auparavant fait état de «signes» d’une activité inhabituelle autour du principal site d’essai nucléaire nord-coréen, refusant d’en dire plus. Selon le quotidien JoongAng Ilbo, ces mouvements sur le site de Punggye-ri sont de même nature que ceux observés avant le test du 12 février dernier, sanctionné par le Conseil de sécurité des Nations unies et source des tensions actuelles sur la péninsule coréenne. «Nous surveillons de près la situation qui ressemble énormément à ce que nous avons vu avant le troisième essai», a précisé une source officielle citée par le journal.
La Corée du Nord, qui a récemment installé deux missiles de moyenne portée sur sa côte est, pourrait également effectuer un tir d’essai cette semaine dans une surenchère destinée à obtenir des concessions de Washington, par exemple sur une reprise sans condition des négociations sur le nucléaire civil. «Nous tentons d’établir s’il s’agit d’une véritable préparation en vue d’un essai nucléaire ou d’un stratagème pour accentuer la pression sur nous et les Etats-Unis», a souligné la même source.
A LIRE AUSSI : Pyongyang, le savoir-faire dans la surenchère
Furieuse du nouveau train de sanctions adopté par l’ONU après son nouvel essai nucléaire début février et des manœuvres militaires conjointes en cours entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, la Corée du Nord a multiplié ces dernières semaines les déclarations belliqueuses. Par mesure d’apaisement et afin de laisser à Pyongyang la seule responsabilité de l’escalade, Washington avait annoncé samedi le report d’un essai de Minuteman 3, missile balistique intercontinental à ogive nucléaire, qui devait être tiré cette semaine depuis la base aérienne de Vandenberg en Californie.
Pékin, seul allié de poids du régime nord-coréen, a implicitement adressé une sévère mise en garde à son voisin dont l’économie exsangue vit sous perfusion chinoise. «Personne ne devrait être autorisé à précipiter dans le chaos une région, et à plus forte raison le monde entier, par égoïsme», a lancé dimanche le président chinois Xi Jinping, sans toutefois nommer ni la Corée du Nord, ni du reste les Etats-Unis.
«Aucun signe de guerre à grande échelle»
Pyongyang a par ailleurs transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d’un dispositif de tir, selon Séoul. Le Musudan, montré publiquement pour la première fois à l’occasion d’un défilé militaire en octobre 2010, aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, soit la capacité d’atteindre la Corée du Sud ou le Japon. L’engin pourrait toucher des cibles à 4 000 km en cas de charge légère, et donc, en principe, frapper Guam, île du Pacifique située à 3 380 km de la Corée du Nord et où se trouvent 6 000 soldats américains.
D’après Kim Jang-soo, conseiller pour la sécurité nationale de la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, Pyongyang pourrait effectuer cet essai autour du 10 avril, date à laquelle le régime communiste a indiqué ne plus pouvoir garantir la sécurité des missions diplomatiques étrangères. «Il n’y a aucun signe (de préparatifs pour) une guerre à grande échelle pour l’instant mais le Nord doit s’attendre à des représailles en cas de guerre localisée», a prévenu Kim Jang-soo.
Les deux essais pourraient survenir avant le 15 avril, anniversaire de la naissance du défunt fondateur du régime communiste, Kim Il-sung. C’est également peu avant cette date que la Corée du Nord avait effectué un tir - raté - de fusée en 2012, considéré par Washington comme un tir de missile balistique.
Le Japon a ordonné dimanche à ses forces armées d’abattre tout missile nord-coréen qui viserait son territoire, a annoncé lundi un porte-parole du ministère de la Défense. L’ordre va se traduire notamment par le déploiement en mer du Japon de destroyers équipés du système d’interception Aegis. «Il n’existe pas une grande probabilité que ce missile vise le Japon, mais nous avons décidé de nous préparer à toute éventualité», a indiqué une source gouvernementale à l’agence Kyodo
Un soldat sud-coréen au point de contrôle du Pont de la Grande unification, qui mène à la zone démilitarisée séparant la Corée du Sud et la Corée du Nord, à Paju le 8 avril. (Photo Kim Hong-ji. Reuters)
ACTUALISÉ Pyongyang avait déjà chassé les employés sud-coréens de cette zone industrielle mixte située à la frontière. A Séoul, les autorités s'inquiètent de l'activité sur le site d'essais nucléaires de Punggye-ri.
Par AFP
La Corée du Nord a annoncé lundi qu’elle allait retirer les 53 000 employés nord-coréens qui travaillent sur le complexe industriel intercoréen de Kaesong, sur son territoire, et le fermer temporairement. «Nous allons retirer tous nos employés de la zone», a déclaré Kim Yang-gon, un haut responsable du parti, dans un communiqué transmis par l’agence officielle nord-coréenne KCNA.
Pyongyang va également «suspendre temporairement les opérations dans la zone et étudier la question pour savoir s’il doit permettre son existence ou le fermer», a ajouté le responsable. Ces décisions ont été rendues inévitables en raison «des va-t-en-guerre militaires» qui cherchent à faire de Kaesong un objet de confrontation, a déclaré Kim Yang-gon, qui a visité le complexe lundi matin.
«La manière dont la situation évoluera au cours des prochains jours dépendra entièrement de l’attitude des autorités sud-coréennes», selon lui. Depuis mercredi dernier, le Nord interdit l’accès de Kaesong au personnel sud-coréen et aux camions de livraison de matériaux, sur fond de très vives tensions sur la péninsule.
Pour le moment, 13 des 123 entreprises sud-coréennes présentes sur le site ont dû interrompre leur production faute de matières premières. Plus de 300 cadres sud-coréens ont quitté le complexe depuis le milieu de la semaine dernière, mais un demi-millier a décidé de rester, pour veiller au bon fonctionnement des activités.
Précieuse source de devises étrangères dont la Corée du Nord a grand besoin, le complexe de Kaesong est toujours resté ouvert malgré les crises répétées sur la péninsule, à l’exception d’une seule journée, en 2009. Pyongyang en avait bloqué l’accès pour protester contre des manœuvres militaires conjointes américano-sud-coréennes.
Craintes d'essai nucléaire
Dans la principale crainte ayant agité la péninsule ce lundi, la Corée du Sud a déclaré que la Corée du Nord était capable à tout moment d’effectuer un essai nucléaire tout en précisant qu’aucun élément n’accréditait l’imminence d’un tel essai, après avoir laissé entendre que des préparatifs en ce sens s’étaient récemment intensifiés.
«Il y a des activités» sur le site atomique nord-coréen de Punggye-ri mais «il semble s’agir d’activités de routine», a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense, Kim Min-seok, tandis que selon le ministère de la Réunification, un essai n’apparaît pas «imminent».
Le ministre sud-coréen de la Réunification, Ryoo Kihl-jae, avait auparavant fait état de «signes» d’une activité inhabituelle autour du principal site d’essai nucléaire nord-coréen, refusant d’en dire plus. Selon le quotidien JoongAng Ilbo, ces mouvements sur le site de Punggye-ri sont de même nature que ceux observés avant le test du 12 février dernier, sanctionné par le Conseil de sécurité des Nations unies et source des tensions actuelles sur la péninsule coréenne. «Nous surveillons de près la situation qui ressemble énormément à ce que nous avons vu avant le troisième essai», a précisé une source officielle citée par le journal.
La Corée du Nord, qui a récemment installé deux missiles de moyenne portée sur sa côte est, pourrait également effectuer un tir d’essai cette semaine dans une surenchère destinée à obtenir des concessions de Washington, par exemple sur une reprise sans condition des négociations sur le nucléaire civil. «Nous tentons d’établir s’il s’agit d’une véritable préparation en vue d’un essai nucléaire ou d’un stratagème pour accentuer la pression sur nous et les Etats-Unis», a souligné la même source.
A LIRE AUSSI : Pyongyang, le savoir-faire dans la surenchère
Furieuse du nouveau train de sanctions adopté par l’ONU après son nouvel essai nucléaire début février et des manœuvres militaires conjointes en cours entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, la Corée du Nord a multiplié ces dernières semaines les déclarations belliqueuses. Par mesure d’apaisement et afin de laisser à Pyongyang la seule responsabilité de l’escalade, Washington avait annoncé samedi le report d’un essai de Minuteman 3, missile balistique intercontinental à ogive nucléaire, qui devait être tiré cette semaine depuis la base aérienne de Vandenberg en Californie.
Pékin, seul allié de poids du régime nord-coréen, a implicitement adressé une sévère mise en garde à son voisin dont l’économie exsangue vit sous perfusion chinoise. «Personne ne devrait être autorisé à précipiter dans le chaos une région, et à plus forte raison le monde entier, par égoïsme», a lancé dimanche le président chinois Xi Jinping, sans toutefois nommer ni la Corée du Nord, ni du reste les Etats-Unis.
«Aucun signe de guerre à grande échelle»
Pyongyang a par ailleurs transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d’un dispositif de tir, selon Séoul. Le Musudan, montré publiquement pour la première fois à l’occasion d’un défilé militaire en octobre 2010, aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, soit la capacité d’atteindre la Corée du Sud ou le Japon. L’engin pourrait toucher des cibles à 4 000 km en cas de charge légère, et donc, en principe, frapper Guam, île du Pacifique située à 3 380 km de la Corée du Nord et où se trouvent 6 000 soldats américains.
D’après Kim Jang-soo, conseiller pour la sécurité nationale de la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, Pyongyang pourrait effectuer cet essai autour du 10 avril, date à laquelle le régime communiste a indiqué ne plus pouvoir garantir la sécurité des missions diplomatiques étrangères. «Il n’y a aucun signe (de préparatifs pour) une guerre à grande échelle pour l’instant mais le Nord doit s’attendre à des représailles en cas de guerre localisée», a prévenu Kim Jang-soo.
Les deux essais pourraient survenir avant le 15 avril, anniversaire de la naissance du défunt fondateur du régime communiste, Kim Il-sung. C’est également peu avant cette date que la Corée du Nord avait effectué un tir - raté - de fusée en 2012, considéré par Washington comme un tir de missile balistique.
Le Japon a ordonné dimanche à ses forces armées d’abattre tout missile nord-coréen qui viserait son territoire, a annoncé lundi un porte-parole du ministère de la Défense. L’ordre va se traduire notamment par le déploiement en mer du Japon de destroyers équipés du système d’interception Aegis. «Il n’existe pas une grande probabilité que ce missile vise le Japon, mais nous avons décidé de nous préparer à toute éventualité», a indiqué une source gouvernementale à l’agence Kyodo
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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- Message n°105
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Exclusif:
Kim Jong Un suit un entraînement intensif de cosmonaute pour être le premier homme à poser le pied sur Mars!!!
Kim Jong Un suit un entraînement intensif de cosmonaute pour être le premier homme à poser le pied sur Mars!!!
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°106
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Remarque, tu te dis que c'est pas hollande que tu verras souriant dans un manège...
C'est assez paradoxale !
C'est assez paradoxale !
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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- Message n°107
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Normal Hollande ne va pas sur les maneges...
Hollande ne fait rien...
Juste baisser dans les sondages!!!
Hollande ne fait rien...
Juste baisser dans les sondages!!!
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°108
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Il faudrait faire une semaine d'echange. Nous prenons kim en France et nous envoyons hollande president de corée du nord.
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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- Message n°109
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
La Corée du Nord ruinée et vaincue en 7 jours!!!
OLOVNI- Modérateur
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- Message n°110
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Comment voulez vous relevez la France quand on a un président Hollande qui porte le nom des pays-bas ? Ceci dit en choisissant un premier ministre tel que" j'en marque zéro " Il a réussi le tour de force de rester " the boss"
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°111
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Schattenjäger- Webmaster
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- Message n°112
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
N'empêche, ils ont de la bonne musique en Corée du Nord :
Apollyôn- Modérateur
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- Message n°113
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
source : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/07/crise-en-coree-l-avertissement-de-pekin_3155465_3216.htmlCrise en Corée : l'avertissement de Pékin
Dans un contexte de vives tensions dans la péninsule coréenne, le président chinois, Xi Jinping, estime qu'il faut éviter de précipiter l'Asie dans le chaos. "Personne ne devrait être autorisé à précipiter dans le chaos une région, et à plus forte raison le monde entier, par égoïsme", a déclaré Xi sans désigner ni la Corée du Nord ni les Etats-Unis ou même faire mention des contentieux maritimes de Pékin avec le Japon et d'autres pays de la région.
"Nous devons agir de façon concertée pour résoudre de grandes difficultés afin d'assurer la stabilité en Asie", laquelle "fait face à de nouveaux défis tant que surgissent des questions sensibles et qu'existent des menaces sécuritaires traditionnelles et non traditionnelles", a-t-il dit.
S'exprimant en présence de plusieurs chefs d'Etat et de gouvernement au Forum économique annuel de Boao, dans l'île méridionale de Hainan, M. Xi a appelé la communauté internationale à défendre "une vision pour une sécurité globale, commune et coopérative". Assistaient notamment au forum le président birman, Thein Sein, la première ministre australienne, Julia Gillard, et la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde.
Au cours d'un entretien téléphonique avec le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, le ministre des affaires étrangères chinois, Wan Yi, a fait part de "sa grande inquiétude" concernant les tensions croissantes dans la péninsule Coréenne. "Nous nous opposons à tout acte et toute déclaration provocants de quelque partie dans cette région, et nous ne permettrons pas de perturbations aux portes de la Chine", a-t-il dit selon un communiqué diffusé samedi soir. Selon le New York Times, les Etats-Unis pressent la Chine de faire pression sur le régime communiste nord-coréen sous peine d'avoir à se résigner à un renforcement significatif de la présence américaine dans son voisinage immédiat.
Le ministre des affaires étrangères suisse a pris contact avec la Corée du Nord pour proposer la médiation de son pays face à la montée des tensions, a annoncé une de ses porte-parole. "La Suisse est disposée à contribuer à la détente dans la péninsule Coréenne et est toujours prête à contribuer à la recherche d'une solution, si tel est le vœu des parties, par exemple en accueillant des rencontres entre celles-ci", a déclaré la porte-parole dans un communiqué diffusé par Internet.
Grâce à son statut de pays neutre, la Suisse offre souvent sa médiation dans les conflits internationaux pour accueillir des négociations de paix. Le ministère des affaires étrangères suisse dit avoir participé à plus de 15 dossiers de négociations ces sept dernières années, notamment sur la Colombie, l'Ouganda et le Népal.
La Chine a annoncé dimanche que son ambassade en Corée du Nord fonctionnait normalement et a demandé au régime communiste nord-coréen de garantir la sécurité de ses diplomates, de ses ressortissants et de ses investissements dans ce pays. "Pour le moment, les tensions sur la péninsule Coréenne ne cessent de s'amplifier et la Chine exprime sa vive préoccupation à ce sujet", écrit le ministère des affaires étrangères chinois dans un communiqué. La Corée du Nord a informé les missions diplomatiques qu'elle ne pourrait plus assurer leur sécurité à partir de mercredi après avoir jugé un conflit inévitable en raison des actuelles manœuvres militaires conjointes entre la Corée du Sud et les Etats-Unis.
William Hague, le ministre des affaires étrangères britannique, a déclaré dimanche qu'il n'y avait pas de "nécessité immédiate" de retirer les diplomates britanniques de Corée du Nord, après l'avertissement de Pyongyang suggérant aux ambassades étrangères d'envisager l'évacuation de leur mission. "Nous ne devons pas répondre [...] à cette rhétorique et l'annonce d'une menace externe à chaque fois [que les Nord-Coréens] en font", a-t-il estimé.
Outre-Rhin, le ministre des affaires étrangères allemand, Guido Westerwelle, a jugé dimanche que la Corée du Nord doit assurer la sécurité des ambassades sur son sol. "Il y a des règles claires en vertu du droit international qui lient également la Corée du Nord. Que la Corée du Nord attise les tensions est irresponsable et constitue une menace réelle pour la paix et la sécurité dans la région", a déclaré son ministère.
La Corée du Sud et les Etats-Unis jouent l'apaisement en reportant une importante réunion militaire qui devait se tenir mi-avril à Washington. Le général Martin Dempsey, chef de l'état-major interarmées américain, et son homologue sud-coréen, le général Jung Seung-jo, devaient débattre de leur politique conjointe face à la Corée du Nord et d'autres sujets lors de leurs entretiens annuels le 16 avril.
La Corée du Sud s'inquiétait d'une possible provocation nord-coréenne en l'absence sur le territoire sud-coréen du chef de ses armées, selon l'agence de presse sud-coréenne Yonhap.
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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- Message n°114
Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
La Corée du Nord a renouvelé mardi 9 avril la menace d'une guerre "thermo-nucléaire" sur la péninsule Coréenne et appelé les étrangers présents sur le territoire sud-coréen à considérer leur départ du pays. "Nous ne souhaitons aucun mal aux étrangers qui se trouvent en Corée du Sud si la guerre éclate", a déclaré un porte-parole du Comité coréen pour la paix dans la région Asie-Pacifique, relayé par l'agence de presse officielle KCNA.
Plus tôt dans la matinée, deux lanceurs de missiles Patriot ont été installés au ministère de la défense japonais au cœur de Tokyo, afin d'intercepter un éventuel missile nord-coréen, a-t-on appris auprès du ministère. D'après la presse japonaise, des missiles similaires vont être déployés sur deux autres sites aux alentours de la capitale nippone.
Des batteries d'intercepteurs seront aussi installées sur l'île d'Okinawa, dans le sud du Japon, a annoncé lundi le ministre de la défense, Itsunori Onodera. Lors d'une émission de télévision, il a précisé qu'Okinawa était "l'endroit le plus approprié pour répondre à toute urgence", ajoutant que des Patriot pourraient désormais être déployés sur cette île "de façon permanente".
Les forces d'autodéfense – nom de l'armée japonaise – ont été autorisées à détruire tout missile nord-coréen qui menacerait le territoire nippon, a indiqué lundi un porte-parole du ministère. Outre les batteries de Patriot, Tokyo a déployé des destroyers équipés du système d'interception Aegis en mer du Japon (appelée mer de l'Est par les Coréens), a précisé ce responsable.
La Corée du Nord a transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d'un dispositif de tir, selon Séoul, qui redoute que Pyongyang ne procède à un essai dans les jours à venir. Le Musudan aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, une capacité suffisante pour atteindre la Corée du Sud ou le Japon.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/09/les-employes-nord-coreens-absents-du-complexe-de-kaesong_3156279_3216.html
Plus tôt dans la matinée, deux lanceurs de missiles Patriot ont été installés au ministère de la défense japonais au cœur de Tokyo, afin d'intercepter un éventuel missile nord-coréen, a-t-on appris auprès du ministère. D'après la presse japonaise, des missiles similaires vont être déployés sur deux autres sites aux alentours de la capitale nippone.
Des batteries d'intercepteurs seront aussi installées sur l'île d'Okinawa, dans le sud du Japon, a annoncé lundi le ministre de la défense, Itsunori Onodera. Lors d'une émission de télévision, il a précisé qu'Okinawa était "l'endroit le plus approprié pour répondre à toute urgence", ajoutant que des Patriot pourraient désormais être déployés sur cette île "de façon permanente".
Les forces d'autodéfense – nom de l'armée japonaise – ont été autorisées à détruire tout missile nord-coréen qui menacerait le territoire nippon, a indiqué lundi un porte-parole du ministère. Outre les batteries de Patriot, Tokyo a déployé des destroyers équipés du système d'interception Aegis en mer du Japon (appelée mer de l'Est par les Coréens), a précisé ce responsable.
La Corée du Nord a transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d'un dispositif de tir, selon Séoul, qui redoute que Pyongyang ne procède à un essai dans les jours à venir. Le Musudan aurait une portée théorique de 3 000 kilomètres, une capacité suffisante pour atteindre la Corée du Sud ou le Japon.
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/09/les-employes-nord-coreens-absents-du-complexe-de-kaesong_3156279_3216.html
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Il va peut-être falloir qu'il bouge le petit gros, si il ne veut pas passer pour un con !
Satanas- Dictateur en Chef... A vie
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Apollyôn- Modérateur
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
En tout cas ils sont super-balaizes en camouflage
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Kim Jong Style : la parodie Gangnam style version Corée du NordVidéo Gangnam Style sélectionnée dans Web
Apollyôn- Modérateur
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
source : http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/04/10/coree-du-nord-seoul-et-washington-relevent-leur-niveau-de-surveillance-militaire_3156965_3216.htmlCorée du Nord : Séoul et Washington relèvent leur niveau de surveillance militaire
La Corée du Sud et les Etats-Unis ont relevé d'un cran mercredi 10 avril le niveau de surveillance militaire face aux menaces d'un tir de missile par la Corée du Nord. Le niveau 2, désormais atteint, indique une "menace vitale", selon l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, citant un responsable militaire ayant requis l'anonymat. En temps de paix, le niveau de surveillance est de 4. Le niveau 3 correspond à une importante menace.
Le Japon s'est également déclaré mercredi "en état d'alerte" pour intercepter tout missile menaçant l'archipel. La veille, des missiles Patriot avaient été déployés dans le centre de Tokyo et autour de la capitale. Des batteries d'intercepteurs devaient aussi être mises en place sur l'île méridionale d'Okinawa.
Un tir de missile peut se produire "à n'importe quel moment à partir de maintenant", a déclaré le ministre des affaires étrangères sud-coréen Yun Byung-se devant le Parlement, mettant en garde Pyongyang contre les nouvelles sanctions de l'ONU qu'un tel acte entraînerait.
Ignorant les mises en garde de son voisin et allié chinois, le régime nord-coréen a déployé la semaine dernière sur sa côte orientale deux missiles Musudan, d'une portée théorique de 4 000 kilomètres, soit la capacité d'atteindre la Corée du Sud, le Japon ou l'île américaine de Guam, selon Séoul. L'amiral Samuel Locklear, commandant des forces américaines dans le Pacifique, a dit penser que les Nord-Coréens ont déplacé un nombre indéterminé de missiles Musudan sur la côte orientale du pays. "Notre hypothèse est qu'il y a deux missiles qui seraient préparés afin d'être lancés", a déclaré un responsable de l'administration américaine ayant requis l'anonymat.
Le renseignement militaire sud-coréen affirme que le Nord est désormais prêt à effectuer un tir qui pourrait survenir autour du 15 avril, jour de la naissance du fondateur de la République démocratique populaire de Corée, Kim Il-sung, mort en 1994.
Pyongyang a également agité de nouveau mardi le spectre d'une guerre "thermonucléaire", et appelé les étrangers en Corée du Sud à envisager leur départ du pays. Mercredi matin, le plus important poste-frontière chinois avec la Corée du Nord, à Dandong, a été fermé aux groupes de touristes, restant cependant ouvert pour les affaires.
"Les agences de voyage ne sont pas autorisées à aller là-bas, car le gouvernement nord-coréen demande aux étrangers de quitter ce pays", a déclaré un des responsables du poste-frontière. De son côté, une responsable d'une agence de voyages de Dandong a précisé que la fermeture, décision prise par la Corée du Nord, était valable à compter de mercredi pour une durée indéterminée.
Concernant le rôle de la Chine dans le conflit, la Corée du Sud a affirmé mercredi avoir demandé à Pékin d'intervenir pour inciter les dirigeants nord-coréens à changer d'attitude. La Chine est l'un des seuls alliés politiques et le premier partenaire commercial de la Corée du Nord. "Grâce à une étroite coordination avec la Chine et la Russie, le gouvernement coréen continue ses efforts pour convaincre la Corée du Nord de changer d'attitude", a dit Yun Byung-se.
Schattenjäger- Webmaster
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Re: Pyongyang menace d'une frappe nucléaire "préventive"
Un beau feu d'artifice le 15 Avril pour l'anniversaire de leur guide !
Hier à 22:38 par Schattenjäger
» GILDAS BOURDAIS
Hier à 16:04 par Invité
» Une grotte mystérieuse...En réalité pas grand chose!
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